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Martine ma cousine est escort

Martine ma cousine est escort



Un jour je suis tombé sur un site d’escort girl. J’étais en déplacement sur Paris. Une grosse réunion de ma broîte me retenait quelques jours dans la capitale et le soir je m’emmerdais fermement.
Donc je pianotais sur ce site à la recherche d’une femme qui me plaise. Et là ! Je tombe sur ma cousine. Voilà bien quelques années que je ne l’avais pas vu. Je savais qu’elle était partie à Paris pour travailler… Et bien ma cousine est une escort girl !
J’étais fasciné de regarder Martine sous toutes les coutures. C’était une belle fille.
J’entrai mes coordonnées bancaires sur le site et voilà la commande faite. Quelques secondes plus tard je recevais un message sur ma broîte courriel.
« Votre assistante vous retrouvera au restaurant La Tour à 21h00. »
J’étais assez excité. J’allais jouer une farce à ma cousine. Peut-être prendrait-elle mal le fait que je sache sa profession mais je la rassurerai sur ma discrétion vis-à-vis de la famille.
Bien évidemment je ne m’imaginais pas ‘conclure’ avec elle. Je voulais passer une bonne soirée et bien me marrer.
Lorsque nous étions enfants, nous nous retrouvions sa famille et la mienne en vacances aux sports d’hiver. Nous partions tous les deux sur les pistes pendant des heures à nous éclater. Nous nous faisions tomber. Bataille de neige, luge étaient nos récréations.
Costume, cravate, rasage et me voilà devant la porte du restaurant où le serveur m’installe à la table réservée.
« – Votre rendez-vous arrivera plus tard ?
– oui c’est ça, dis-je en souriant au serveur. »
A 21h10, Martine entra dans le restaurant et fut amenée vers moi par le même serveur. Elle portait une longue robe rouge légèrement décolletée.
– Bernard !, s’écria-t-elle
– Assied-toi Martine, assied-toi, fis-je en riant.
– Tu fais quoi ici ?
– Je t’ai commandé !
– Mais… tu…
– Je ne savais pas que tu étais une escort girl…, murmurai-je en admirant ses épaules nues.
Elle ne répondit pas. Visiblement, elle ne savait guère si elle devait rester ou pas.
– Ne t’inquiète pas Martine, je ne dirai rien à personne. Mais je ne pouvais pas résister à te faire cette plaisanterie.
– ça t’arrive souvent ?
– quoi ?
– de faire appel à des filles comme moi, dit elle avec plus d’aplomb.
– non, jamais.
On nous servit un bon repas que nous dégustâmes tranquillement en narrant nos souvenirs communs. Je la regardais tout de même car je ne l’avais jamais vu sous cet angle et dans une robe aussi belle.
L’addition payée, nous discutions encore. Le restaurant se vidait doucement.
– Qu’est-ce qu’on fait maintenant Bernard ? dit ma cousine en souriant.
– Je ne sais pas, il n’est pas très tard…
Un silence un peu gênant s’installa.
– D’habitude, le client m’amène à son hôtel.
Je sentais de la nervosité dans son regard.
– Martine je ne pensais pas à cela en prenant ce rendez-vous.
Un vent de soulagement passa sur son visage. Elle balança ses longs cheveux blonds en arrière.
– Ouais mais tu as payé ! Tu veux que j’appelle une collègue ?
– Non, non. Tu sais, je m’ennuyais ce soir et j’ai passé un bon moment avec toi.
Elle se leva et passa son petit manteau. Je l’imitai.
– Amène-moi à ton hôtel quand même. On boira un coup.
J’ouvris le mini bar de ma chambre et je servis un verre à Martine qui s’assit sur le fauteuil, les jambes croisées. Je m’installais sur le bord du lit.
– Excuse ma curiosité, mais tu fais ça depuis longtemps ?
– Depuis 3 ans maintenant. Et j’adore ça. Je suis libre de mon temps et je gagne bien ma vie.
Je continuais à la questionner pendant un bon moment en tâchant de ne pas être trop glauque. On riait pas mal et je resservais nos verres vides.
– Bernard. Ne bouge pas. Je vais quand même t’en donner pour ton argent !
Elle posa son verre sur le guéridon à sa gauche et décroisa ses longues jambes. Doucement, elle releva sa robe jusqu’à mi cuisse et, tout en me fixant avec une malice sur le bord des lèvres, elle écarta ses cuisses pour que je puisse découvrir son sexe. Elle ne portait pas de culotte.
– Attends…, balbutiais-je… tu
– Chut, fit-elle. Ne bouge pas. Regarde c’est tout.
Elle se leva et dégrafa admirablement sa robe qui tomba à ses pieds, sur la moquette. Elle l’enjamba et se posta devant moi, nue, complètement nue hormis ses chaussures à talons haut.
– Martine ! Non.
– Chuuut, murmura-t-elle. Regarde.
Elle commença à se tordre devant moi, exaltant ses formes voluptueuses, prenant ses seins lourds dans ses mains et les malaxant.
– Tu aimes ?
– En tout cas, tu sais y faire, avouai-je un peu hypnotisé par le corps nu de ma cousine.
Elle se tourna et se pencha pour me laisser une vu extraordinaire sur son joli postérieur qu’elle dandina un peu en se caressant les cuisses.
– Voilà petit cousin ! Tu en as eu pour ton argent j’espère ? lança-t-elle en se retournant.
J’étais un peu déboussolé en la regardant se rhabiller.
– Je dois y aller, j’ai un client après toi.
– euh, ok… tu fais quoi demain soir ? Il me reste une soirée encore à Paris. Tu veux aller voir un film avec moi ?
– T’es gentil Bernard, mais je travaille le soir. Monte un week-end avec ta femme, on pourra se voir. Mais là je bosse, finit-elle par déclarer en agrafant sa robe rouge.
– Ok.
Elle me fit un baiser fraternel sur la joue et s’éclipsa en souhaitant me revoir bientôt.
Le lendemain, je passais ma journée au siège social dans des réunions interminables où rien n’est décidé mais tout le monde semble être content d’être là. Sauf que moi je ne pense qu’à ma cousine ! L’image de son corps nu me hantait. Ses courbes voluptueuses s’élevaient dans mon esprit aussi subtilement que des volutes d’encens.
A la pause du déjeuner, je me connectais sur internet. Il fallait que je baise le soir même pour m’ôter cette image fantasmatique de la tête. Il y avait de belles filles quand même. J’évitais soigneusement de revoir ma cousine et je choisis une brune au type asiatique dont le pubis bien taillé m’attirait et je donnais rendez-vous directement à l’hôtel.
Rasséréné, je terminais mon marathon de réunions plus concentré. Le soir venu, je me douchais et, après un repas au restaurant de l’hôtel, je remontais dans ma chambre pour attendre ma petite gâterie.
– toc, toc, fit la porte
J’ouvris la porte avec un peu d’excitation et d’appréhension mêlée et, stupéfait, je découvris Martine devant moi dans une magnifique robe bleue à une bretelle, dégageant ainsi une épaule nue sur laquelle ses longs cheveux blonds et bouclés tombaient en cascade. Elle me sourit et entra avant que je puisse l’y inviter.
– Qu’est-ce que tu fais là ? demandai-je en refermant la porte.
– Tu as fais une commande je crois ?
– euh … oui … mais pas avec toi ! tremblai-je en me servant un whisky.
– J’en veux bien un moi aussi cousin, dit-elle en souriant et en s’asseyant sur le bord du lit. Elle avait posé son petit sac à main sur la commode.
Elle but quelques gorgées alors que moi pas : je vidais mon verre d’un coup ! Pouvez-vous vous imaginer dans l’état où j’étais ? Je ne comprenais pas. Le désir que j’avais enfoui en moi jaillissait subitement et était assis sur mon lit d’hôtel. Sa robe était courte et ses jambes longues. Bien fuselées, elles étaient croisées et me narguaient ostensiblement.
– J’ai demandé à une autre femme de venir. Tu l’as remplacé exprès ?
– Ne t’inquiète pas petit cousin ! Tout va bien se passer, déclara-t-elle d’un ton un peu mystérieux.
– Mais tu es ma cousine, presque ma sœur. On a passé toute notre jeunesse ensemble.
Je remarquais également ses tétons qui perçaient le tissu léger de la robe bleue. Ils devaient être durs ; plus nous parlions, plus ils me défiaient cachés derrière la muraille bleue si fine pourtant.
– toc, toc, fit la porte.
J’osai à peine ouvrir la porte. Mais Taïko, la femme du site, était posté devant moi dans une tenue beaucoup sexy que ma cousine, mais très classe. Un pantalon noir droit et un haut rouge. Les yeux pétillants de l’asiatique me plurent de suite.
Je l’invitais finalement à rejoindre sa collègue qu’elle connaissait visiblement. Elles s’embrassèrent.
– Taïko, je te présente mon cousin Bernard qui veut un peu de distraction. Loin de sa femme, le pauvre, s’ennuie.
– Vous êtes charmant, murmura la jeune femme avec un air presque pudique.
– Oui n’est-ce pas, reprit Martine. Hier il m’a fait une plaisanterie et a loué mes services. Il était content de son coup mais je n’ai pas honoré ma prestation.
Taïko, debout à mes côtés, écoutait ma cousine qui était assise sur le lit.
– Mais, je n’y comptais pas Martine, intervins-je.
– Ah oui ?
Désabusé, je mentais en déclarant n’avoir aucun désir pour elle. Mais la traîtresse rompu ma plaidoirie d’un ton suave mais directe.
– Taïko, peux-tu ôter ton haut ?
L’asiatique obtempéra et je découvris une magnifique petite poitrine dont les seins pointaient vers le haut. Les petits tétons braquaient le plafond. Son ventre plat et musclé m’attira.
– Bernard, caresse-la !
Je regardais un moment ma cousine assise devant nous, et j’obéis à ces ordres en me laissant glisser dans le plaisir de la soumission.
– Lèche ses seins !
La peau de l’asiatique était aussi douce qu’un abricot. Les tétons durcirent dès mes premières caresses et roulèrent sous la pression de ma langue.
Les mains de Taïko passaient dans mes cheveux. Elle effleurait ma nuque de ses doigts fins.
– Enlève son pantalon.
Obéissant, je m’agenouillais au pied de la femme en baissant son pantalon dans le même mouvement. Je ne sais pas si c’était une habitude dans leur broîte d’escort Girl, mais Taïko, comme ma cousine, ne portait pas de culotte. Son pubis, bien taillé, se dévoila juste devant mon visage.
Je levais la tête pour m’apercevoir que l’asiatique m’épiait en souriant.
Martine se posta aux côtés de sa collègue et ses doigts vinrent fendre les lèvres juste devant mes yeux.
– Regarde sa fente. Elle va reluire et couler. Tu boiras ! Tu laperas !
Progressivement, je m’approchais de son sexe à la fois transi mais excité par les caresses de ma cousine. Il se contracta, puis se détendit laissant couler sur ses lèvres ce liquide visqueux. Elle fut délicate. Je pressai son clitoris que je sentis raide, sous ma langue et mes doigts, alors que sa vulve était charnue, humide et poisseuse. Je pénétrai un doigt. Elle se cambra. Mon doigt coulissait sur les parois de son antre, très subtile, mais efficace pour son plaisir qui commençait à monter, se mêlant à ses soupirs ; ses sons se fondant dans mon souffle. Les doigts Martine se mêlèrent aux miens.
Très vite, à force d’agiter nos doigts sur son clitoris à cadences variées, tandis que d’autres exploraient son sexe, elle suffoqua. Ce fut submergeant, elle ne nous contrôlait pas et elle se figea complètement d’extase, avant de tomber sur le lit, complètement détendue, comme vidée. Quelques légers spasmes se manifestaient encore. Nous la caressions tendrement, l’embrassions les épaules.
A ce moment d’abandon et de tendresse, je sentis des doigts dégrafer la fermeture éclaire de mon pantalon. Ma cousine me sourit et posa le plus doux et charnel des baisers sur mes lèvres closes. L’ouverture de mon pantalon permit à mon sexe d’être libéré par la main adroite de Martine. Elle finit par baisser entièrement mon pantalon jusqu’à mes talons tout en pressant gentiment ma verge presque tendue et en dardant mes lèvres avec le bout de sa langue.
J’étais interdit par les effluves i****tueux qui émanaient dans cette chambre d’hôtel. Nous venions d’offrir un orgasme à une belle asiatique et voilà que ma propre cousine m’embrassait, me branlait doucement et me déshabillait.
– Prend-là ! lança-t-elle en dirigea mon phallus vers le sexe humide et offert de Taïko qui écarta ses cuisses dans une exhibition lascive.
Je ne tins plus et pénétrai avec vigueur l’escort girl qui l’accueillit jusqu’au fond. Je commençai des allées-venues à un rythme soutenu, d’autant plus que Martine m’encourageait en caressant mes fesses et mon anus. Bras tendus, je me démenais en regardant la petite poitrine de l’asiatique trembler sous mes à-coups réguliers et puissants. Avec souplesse, elle remonta ses genoux pour mieux sentir ma vigueur et ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau. Nos corps se collèrent et roulèrent sur le lit. Je sentais que Taïko voulait jouir à nouveau tout de suite, se sentir défaillir.
Ma cousine était derrière moi et je sentais ses mes me saisir les bourses, les malaxer, enfoncer un doigt entre mes fesses… bref elle m’attisait.
Taïko se plaça presque de force au-dessus de moi et s’empala à nouveau avec un rythme soutenu. Elle ne manquait pas de santé. Et sans s’occuper de mon propre rythme ni de mon plaisir, elle se servit de ma verge pour s’empaler avec vigueur, frottement sporadiquement son pubis sur le mien. Je voyais son visage se crisper.
Magnifique. Elle était magnifique. Peu de femmes vous offre ce spectacle. Se donner totalement à sa propre jouissance. Faire l’obole de ce que tout homme adore : être l’objet de jouissance de sa partenaire.
Elle jouit finalement dans une tension silencieuse et puissante dont l’unique regard final, yeux dans les yeux, m’informa de la puissance phénoménale de son orgasme. Son sexe, petit et serré, se rétrécit autour de ma verge.
– Reste allongé ! murmura enfin Martine qui s’allongea à mes côtés entièrement nue.

Son corps était chaud et sa peau sur la mienne m’électrisa. Taïko mit du temps à revenir parmi nous. Elle se leva et laissa la place à ma cousine qui m’enjamba. Sa toison blonde s’approcha de mon sexe tendu. Elle le tenait en main, le dirigeait. Elle posa ses lèvres humides sur mon gland et attendit.
– Je vais jouir avec toi Bernard. Tu comprends. Tu vas faire jouir ta cousine. J’ai envie de toi.
Je demeurais silencieux et je regardais son corps voluptueux.
– Taïko ! Assied-toi sur lui.
Et je vis le sexe trempé et odorant devant mon visage. Elle m’offrit sa moule que je mangeai.
C’est là que Martine s’enfonça sur mon pieu. Moins serré, plus humide son vagin progressait sans mal le long de ma tige dure. Ma cousine accéléra rapidement.
La blonde ferma les yeux quand le plaisir monta doucement. Elle s’appliquait à maintenir le rythme tout en ressentant la moindre parcelle de plaisir, le moindre frisson qui parcourait le bas de son dos. Elle ouvrit les yeux. Un long râle emplit la chambre. J’admirai l’orgasme de ma cousine.
Il nous fallu un très long moment pour réagir. Tous les trois allongés sur le lit nous nous caressions mollement. Suavité. Sensualité. Ambiance charnelle étouffante et libérante. Aucune description possible à qui ne connaît cet instant de totale symbiose charnelle.
Finalement Martine le redressa et positionna sa collègue à quatre pattes.
– Prend-la en levrette Bernard.
J’obtempérai et ma verge s’immisça dans l’antre serrée et moins humide de l’asiatique qui accueillait mon phallus avec une certaine tension.
– Bourre-la!
Collée à moi, par derrière, ma cousine m’imprima le mouvement et le rythme, et je bourrai la pauvre Taïko qui était visiblement trop petite pour ma turgescence.
– Cogne-là au fond, susurrait Martine à mon oreille en malaxant mes testicules.
D’un coup, je me tendis et sentis le jus couler dans mon sexe pour éjaculer dans le vagin de Taïko qui gémissait. Ma cousine m’encourageait, me pressait, m’embrassait. J’ai hurlé. Serrant les hanches de la petite asiatique, je demeurais tendu comme un arc un long moment toujours bandé dans son petit sexe. La petite perverse contractait son périnée et l’effet malaxant, oppressant sur ma verge me réjouissait.
Finalement, Taïko se leva et se doucha. Nous restâmes, Martine et moi dans le lit. L’asiatique pris son enveloppe en m’embrassant.
Ma cousine dormit avec moi, comme lorsque nous étions enfants, serrés l’un contre l’autre dans les bras, la peau contre la peau dans une étreinte fraternelle.

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