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J’adore me sentir femme

J’adore me sentir femme



Je m’appelle Karim. Cela fait longtemps que je sais que je préfère les garçons. Au fil des années, je voulais de plus en plus ressembler aux filles de mon âge, malgré le fait que je sois un garçon. J’ai l’avantage d’avoir un visage assez juvénile et plutôt mignon et on me confondit avec une fille à de nombreuses reprises. Ma sœur me prêtait des habits et m’apprenait à me maquiller, à m’épiler….
À mes 18 ans, j’avais de longs et beaux cheveux bruns et la pratique de l’athlétisme m’a permis de me forger un corps athlétique sans être trop musclé. À la fin de mon année de première (où j’ai eu pour la seconde fois un petit copain pendant les 6 premiers mois), plusieurs classes se sont données rendez-vous à une fête d’un village proche pour fêter la fin de l’année. Je m’y rends avec mes amis et l’on commence doucement notre soirée avec quelques verres.

Rapidement, je remarque une tête du lycée qui m’est familière. C’est un garçon de 20 ans qui est en BTS dans mon lycée et, pendant tout au long de l’année, nous nous jetons quelques regards furtifs. Mais j’ai à chaque fois l’impression que ça relève plus du regard curieux, voire même choqué, que du matage. Et j’aurais aimé à l’époque que ça soit le cas. C’était un homme châtain foncé avec un visage aux traits fins et il avait une musculature développée que j’apercevais quand il portait des habits un peu moulants. La soirée se passe et à 2 heures du matin, moi et mes amis ne marchons plus droit du tout.

Je décide d’ailleurs d’aller faire un tour dehors pour prendre l’air. J’aperçois alors le fameux garçon assis sur un banc en train de fumer, à ce qu’il me semble, un joint. Je décide dans un élan de courage éthylique d’aller m’asseoir à côté de lui. On se dit bonjour puis il me propose de fumer sur son joint, j’accepte puis j’essaye d’entamer la discussion :
– On s’est déjà vu non ?
– Oui, on est au même lycée.
– Ah oui, c’est toi que je croise de temps en temps et j’ai souvent remarqué que t’avais toujours un regard pour moi !

Je rentrai direct dans le sujet, motivé par mon degré d’alcool, mais surtout par l’idée de balader mes mains frêles sur son torse musclé. Ma question l’embarrassa, mais en fait, il me répondit en rigolant :
– En fait, c’est juste qu’à chaque fois, je n’arrive pas à me faire à l’idée que t’es un mec.
– Oh ben, ne t’en fait pas, ça me fait plaisir d’entendre ça. Tu trouves que je ressemble beaucoup à une fille ?
– Ah bah oui, au début je me suis même dit « elle est mignonne cette petite seconde ! » mais après, on m’a dit que t’étais un mec.
Il me répondit ça sur un ton un peu hésitant, mal à l’aise et je remarquai que la bosse qu’il avait ne venait pas de la pliure de sa braguette. Lui faisais-je vraiment de l’effet ? Je ne pouvais pas retenir cette folle envie qui montait en moi, je sentis que mon anus criait famine.

-Tu sais, il y a des choses que je fais aussi bien qu’une fille.

Je tentai le tout pour le tout et commençai à caresser son torse, il repoussa ma main que je redirigeai directement vers son entrejambe en lui demandant :

– Et ça, qu’est-ce que ça veut dire?
En effet, je pouvais sentir à travers son jean que sa bite est bel et bien dure comme la pierre.
-Non c’est juste que je suis en manque de sexe…parce que …En fait, t’as raison, mais attention, il est hors de question que je te suce ou que tu m’encules, OK ?
– Oui et je n’en parlerais à personne, promis.
– Tu veux bien me sucer alors ?
– Avec grand plaisir !

On va donc se chercher un endroit plus tranquille, je prends bien le soin de marcher devant lui tout en dandinant mon cul. Car c’est ma plus grande fierté, bien rond et bien ferme qui en ferait douter plus d’un hétéro. Faire la pute devant ce beau mâle que je m’apprêtait à sucer dans un recoin caché d’un petit village me rendait dingue et ma bite à moi commençait à se sentir à l’étroit dans mon jean bleu.

C’est dans un des recoins éclairés mais discrets nous jetions notre dévolu. Ni une ni deux, je défais sa ceinture et baisse son boxer pour laisser sortir sa bite qui est de taille moyenne, mais très épaisse. Je donne des coups de langue sur son gland énorme, sa respiration s’accélère et je décide d’avaler les premiers centimètres en m’appliquant.
Je progresse petit à petit, à coup de va viens, le long de sa grosse tige bien virile, je commence à être bien à l’aise et lui aussi, si bien qu’il me demande d’arrêter car il ne veut pas jouir aussi rapidement.
Je me relève et il me dit que je fais ça même mieux que certaines meufs. Je le remercie et lui dis que vu son engin, j’étais grandement motivé. J’ose alors lui demander s’il peut enlever son t-shirt pour que je puisse mater son torse. Il accepte et enlève son t-shirt pour laisser découvrir un torse poilu, large et pourvu de deux gros pecs, des bras très accueillants. Il est plus grand que moi et il n’a pas un physique « sec », il a un peu de bidon, le tout recouvert par une fine couche de poil, un de mes grands fantasmes se trouve là devant moi : un homme musclé sans être sec et poilu, mon cul n’en criait plus que famine.

Je ne pus m’empêcher de poser mes mains sur ses pecs. Il ne réagit pas, je me permets donc de parcourir son corps de long en large pendant que je m’accroupis pour goûter à cette magnifique bite. Je défais mon jean pour qu’il ait une vue sur mon cul mais aussi pour libérer ma bite qui se sentait vraiment trop à l’étroit. Je continue de le sucer au plus profond de ma bouche, je fis descendre mes mains au niveau de son cul ferme que j’agrippe pour m’aider à faire progresser son zob dans ma gorge. Il comprend ma manœuvre et empoigne mes cheveux et commence à faire des petits va et viens pour me baiser la gorge, mais le tout sans brutalité. Il commence à pousser des petits râles de satisfaction à mesure que sa bite progresse vers le fond de ma gorge. Je me retire, histoire de respirer un coup, c’est alors qu’il me relève pour pouvoir me peloter le cul.
– T’as un cul magnifique et bien ferme en plus !
– Si tu le souhaites, il est tout à toi.
– T’as envie que je te défonce ton cul de petite salope, c’est ça ?
– Oh oui, je t’en supplie !!!
– Alors avance jusqu’à ma tente et ne te rhabille pas, je veux voir ce petit cul se dandiner devant moi !

Me voilà donc, le jean sous les fesses, en train de traverser un village à la merci de n’importe quel regard curieux. Cela devrait m’angoisser, mais au contraire, ça m’excite au plus haut point. La traversée du village est rythmée par les fessées qu’il me donne et auxquelles je réponds à chaque fois par des petits gémissements de plaisir d’être soumise à cet homme viril que je connaissais à peine.

On rentre dans sa grande tente, je lui dis que mon anus a besoin d’être préparé afin de pouvoir accueillir sa bite, il me répond de me préparer pendant que lui me mate. Je sors alors de mon sac à main ma brosse à cheveux que j’ai choisie exprès pour sa forme et mon lubrifiant. Je m’assois face lui et commence, petit à petit, à me détendre en m’enfonçant cette brosse dans mon petit anus qui allait bientôt se faire détruire.
Je continue cela pendant quelques minutes devant le regard excité de mon partenaire qui finira par se lever de sa chaise pour me rejoindre. Il me soulève grâce à sa force et me retourne.
Je me retrouve à 4 pattes, tendant le cul qui ne réclame que son dû, au maximum. Il se positionne derrière moi et fait venir et aller sa bite dans la raie de mon cul jusqu’à que je sente le bout de son gland qui, petit à petit, élargit l’entrée de mon anus. Les premiers centimètres sont durs, sa bite est vraiment large mais il s’y prend doucement. Une fois bien en place, il commence à mettre plus de vigueur dans ses coups de reins. La sensation de l’intérieur de mon anus s’élargissant au passage de sa queue fit grimper en moi un feu d’excitation et de soumission totale. Je collai mon torse sur le matelas afin que mon cul soit le plus tendu, tendu en direction de ce mâle qui, par les coups de reins qu’il m’assenait, me rendit de plus en plus salope.

Après plusieurs va-et-vient de plus en plus lourds, il voulut aller plus profondément dans mon intérieur, il se pencha au-dessus de moi, posa sa main gauche sur le haut de mon dos pendant que l’autre agrippait fermement ma fesse droite. C’est maintenant la quasi-totalité de sa queue qu’il m’enfonce au rythme de sa respiration haletante et des claquements de son ventre sur mon cul comblé. Je ne peux retenir, malgré la proximité de personnes dormant dans les autres tentes, des gémissements de plus en plus aigus, trahissant l’irrésistible plaisir que je prenais à être totalement dominé par cette montagne qui, de tout son poids, m’écrasait sur le matelas, mon visage frotte le matelas sous les coups de boutoir de mon partenaire dans le fond de mon cul. Je sentais ses couilles taper contre les miennes jusqu’à ce que mon partenaire ralentisse la cadence.

La levrette commençant à nous fatiguer, il me retourna à nouveau pour me placer sur le dos. Il met mes jambes sur ses épaules, je suis son pantin tellement l’excitation me coupe les muscles:

– Prends-moi comme une salope…Je suis ta petite pute…Lui répétai-je en gémissant
– A peine 18 ans, mais t’es déjà une avaleuse de bite professionnelle !

Sur ces mots, il remit en place sa bite d’un coup de rein et il reprit son rythme devenu frénétique pour mon plus grand bonheur. Je pouvais maintenant sentir sa bite frotter contre ma prostate et je sentis l’orgasme monter en moi. Plus il montait et plus je soulevais mon bassin si bien qu’il m’agrippa les fesses pour me soulever.

– Plus vite, je vais jouir…défonce-moi ! lui criai-je tout en me masturbant furieusement.

Sur mes mots, il me martelait, mon basin étant à moitié en l’air, mon corps est balancé d’avant en arrière. Puis vint l’orgasme, foudroyant, accompagné des torrents de mon foutre qui se déversa sur mon torse et partout sur mon visage. J’étais allongé là, recouvert de mon propre sperme, quasiment amorphe, toujours rempli par la bite de mon partenaire qui me donnait toujours des coups de reins, mais de manières plus douces. J’essayais de goûter mon précieux liquide autour de ma bouche, j’étais trop « faible » pour utiliser mes doigts. Il le remarqua, se leva en me soulevant aussi. Je me retrouvai à genoux, de nouveau face à ce merveilleux morceau de viande. Il mit sa main dans mes cheveux et me dit :

– Ne t’en fais pas, la deuxième fournée arrive ! Suce-moi, seau à sperme !

Il enfourna de suite sa bite dans ma gorge. Et je le suçai encore, plein d’entrain à l’idée de me voir avec cette bite bien épaisse dans ma bouche avec mon foutre étalé sur la gueule. Cette vision extérieure de moi m’excitait au plus haut point et je m’acharnai sur la queue de mon grand guerrier jusqu’à que celui-ci vienne envoyer tout son foutre sur ma petite gueule déjà souillée par ma propre semence, dans un grand râle de satisfaction.
Il semble complètement vidé, et il y avait de quoi. J’étais encore à genoux en train de goûter le mélange de nos semences qui dégoulinait de mon visage jusque sur mes cuisses encore tremblantes. Je n’avais envie que d’une chose : réitérer l’expérience !
Il était hors de question que j’en reste là avec cet homme sur qui j’ai tant fantasmé ! Je veux devenir sa salope attitrée, accourir chez lui à sa demande, à n’importe quelle heure, pour qu’il puisse déverser sa virilité dans mon petit cul de soumise.

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