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La déchéance de ma femme

La déchéance de ma femme



Mon mari était invité à la fête annuelle de son entreprise, il pouvait venir accompagné et il adorait me voir porter des tenues sexy à en faire jalouser les autres.
J’adorais jouer ce jeu, je n’hésitais pas à sortir mes plus belles tenues avec mes plus beaux escarpins. Il était fier à mes côtés, il me prenait comme un trophée, l’idée m’excitait mais je voulais surtout danser ce soir là.
Sur la piste avec mon mari, son patron vint nous interrompre, il demanda s’il pouvait m’emprunter, ce à quoi mon mari acquiesça.
Le slow passant permit à son supérieur de bien se caler contre moi. Prise un peu de panique, je jetai un œil sur mon conjoint qui me faisait comprendre qu’il préférait que j’accepte tout.
Durant la chanson, je sentais ses mains descendre sur mes fesses. Sans hésitation, il me pelotait devant mon époux. Il me regarda et me dit :

– Embrasse-moi !
– Quoi ?! C’est hors de question !
– Si tu le fais, j’augmente ton mari.
– C’est du chantage monsieur !
– Je suis le boss, je m’en fiche. Maintenant, embrasse-moi avec la langue !

Je repensais à mon chéri qui nous regardait et j’étais prise de honte en voulant l’aider, il allait sûrement péter un plomb mais quand il saura le pourquoi du comment, il me remerciera.
Je penchai ma tête vers le chef et plantai ma langue dans sa bouche. On s’embrassa bien pendant une minute où il ne se gêna pas de remonter ma jupe pour caresser la peau des fesses.
Je fis un regard de dégoût à mon cher et tendre et on voyait dans ses yeux toutes la tristesse et le dégoût qu’il ressentait, il me sourit en me faisant comprendre qu’il savait ce que je faisais et qu’il avait confiance.
Il sortit enfin sa langue de ma bouche avec un énorme filet de bave qui s’écrasa sur mon visage, il m’empêcha de m’essuyer avec mes mains et me dit de le suivre en me tenant fermement par l’avant bras.
Il m’emmena dans des toilettes un peu plus loin de la salle, il m’expliqua qu’ici, on serait tranquille.
Il me demanda de le sucer, ce à quoi je répondis par la négative. Il me tira par les cheveux tout en me crachant à la figure! Il n’hésitait pas à me tirer de gauche à droite et en moins de 3 secondes, ma coiffure était complètement défaite.
Arrivant enfin à me libérer de son emprise, je rejoignis mon mari. On rentra immédiatement et il s’excusa de m’avoir fait subir cela.

1 mois plus tard, mon mari était promis à une promotion mais que lui et son boss devait planifier. Il proposa à mon mari de venir manger chez lui. Ce à quoi je fus également invitée. J’étais en colère et je ne voulais pas y aller mais pour mon époux, je finis par céder à a sa requête.
Une fois là bas, le patron nous accueillit avec un notaire, je fus rassurée en me disant qu’au moins on ne serait pas que les 3.
Le repas se passa à merveille et les négociations commencèrent. Le patron était prêt à doubler son salaire, ce qui était fantastique pour nous, mais il y avait une condition.

– Je doublé votre salaire si vous me donnez votre femme en esclave.

Mon mari et moi étions extrêmement surpris, il refusa directement mais le patron continua de négocier.

– Ne vous en faites pas, je ne vous la vole pas ! Elle continuera à être à vous, juste que je pourrai l’utiliser quand j’en aurai besoin !

Je voyais mon époux mitigé, je lui faisais du coude pour le rappeler à la raison, mais l’argent le tentait trop !

– A une condition alors, pas plus de deux jours par semaine !
– D’accord

Un « marché conclu » se fut entendre et le notaire prenait des notes comme si de rien n’était.
J’étais outrée, j’étais vraiment juste un trophée pour mon mari qui m’utilise comme tremplin pour arriver à ses fins !

Le patron se mit à côté de mon siège et, sans hésiter, caressa un de mes seins, je ne savais pas quoi faire et voulant me lever et fuir, le notaire prit parole :

– Si vous tentez de briser leur contrat, votre mari sera licencié et vous vous retrouverez à la rue.

Mon époux me regarde et, d’un air motivé, me dit que ce n’est pas la mort par rapport à ce qu’on pourra s’offrir.
Prise de colère, je décide de jouer le jeu, quitte à bien lui faire mal.

Le boss me demande de me mettre à genoux, en face de lui. Sans hésitation, je me retrouve à ses pieds entre ses jambes. Il caresse mon visage et n’hésite pas à mettre ses doigts dans ma bouche. D’appuyer bien sur ma langue pour me faire saliver et sortir ses doigts et humidifier mes joues de la sorte.

– Alors la dernière fois, tu ne voulais pas me faire plaisir ?

La situation commençait à m’exciter et m’inquiéter, j’étais prêté par haine à prendre réellement du plaisir à ce jeu malsain.

– Réponds sale pute!
– Désolé monsieur, je ne voulais pas faire de peine à mon époux.
– Mais tu en avais envie, sale truie, hein !?
– Heu… Oui…

Une gifle frappa ma joue et d’un air plus sûr, je repris :

– Oui monsieur ! J’aurai aimé vous faire plaisir.
– Parce que ton mari ne te fait jamais plaisir ? Dis-lui qu’il est à chier et que tu le détestes !
– T’es à chier ! Je te déteste ! Tu me dégoûtes !

J’étais heureuse de pouvoir dire cela !

– Bon le cocu lopette, tu peux te barrer, ta femme passe la nuit ici. Je te la rendrai demain !
– A vrai dire monsieur, j’aimerais que mon cocu lopette assiste. J’aimerais enfin lui montrer comment je suis quand je ressens enfin du plaisir ave un vrai mâle !
– Haha ! J’aime ça grosse pute ! Dis-moi que tu me veux !
– Je vous veux monsieur, j’aimerais sentir un vrai homme avec un gros zob en moi !
– Dis-moi que tu es prête à tout pour me faire plaisir ! Même au pire !
– Je ferai le pire pour vous faire plaisir !
– Lèche le sol comme une chienne, je veux reposer mes pieds !

J’étais choquée par sa demande, mais en plus d’être en colère, j’ai dit que j’étais prête à ce genre de choses.
Je penchai ma tête et posai mon visage sur le carrelage, je sentis ses pieds sur mes cheveux.
-Lèche le sol connasse ! Je veux voir ta langue sur ce carrelage !

Je sortis ma langue pour laper le sol et, directement, un crachat arriva sur ma langue et sur le sol. Je fus surprise mais pas dégoûtée. J’aimais beaucoup les jeux de salive.
Je léchai sans réfléchir ni broncher puis il posa son pied devant ma langue. Je compris directement ce qu’il attendait et aspergeai ses orteils dans ma bouche. Il leva ma tête avec son pied et me fit signe de venir sur ses jambes. J’étais à califourchon sur lui, même si son énorme zob me gênait, je réussis à m’installer. Il empoigna ma tête et me roula une pelle magistrale ! Il bavait partout, je sentais sa salive couler dans mon soutien-gorge, pendant qu’on mélangeait nos langues, il s’amusait à cracher au fond de ma gorge. Je m’appliquais à avaler.
Il mordait mes lèvres jusqu’à ce que je gémisse de douleur, puis mordit ma langue, passa son nez dans mes narines puis revenait dans ma bouche.
Après 5 minutes de pelles intenses, j’étais inondée d’excitation. En décollant mes lèvres, je me suis retrouvée à le remercier.

– De rien poufiasse ! Tu adores ma crache hein ?
– Oui monsieur, j’aime quand vous me léchez et crachez dans ma bouche !
– Dis-moi que tu m’aimes !
– Je vous aime monsieur !
– Dis-moi que tu m’aimes plus que ton mari !
– Je vous aime plus que mon mari monsieur !
– Dis-moi que tu veux devenir mon esclave et ma pute et que je peux t’offrir à qui je veux !
– Je veux devenir votre esclave et votre pute monsieur ! Offrez-moi à qui vous voulez ! Je serai votre vide-couilles et votre garage à bites !
– Promets-moi de toujours rapporter à ton cocu mon sperme et celui de tes futurs amants afin qu’il le boive et le déguste ?
– Je vous le promets monsieur ! D’ailleurs, bien avant notre mariage, il a toujours été pédé et vide-couilles du quartier où nous habitions.

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