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La revanche d’Alain

La revanche d’Alain



Depuis l’épopée du Carnaval, Alain s’était juré de se venger. Certes, il avait été contraint et forcé par notre petit groupe de furie, mais forcé de dire qu’il avait aimé cette épreuve. Maintenant, en tant que mâle alpha, il n’était pas question qu’il en reste là et comptait bien trouver un moyen de prendre une revanche.
Il m’avait seulement dit :
« Tu ne perd rien pour attendre Michèle. La vengeance est un plat qui se mange froid et tu vas manger crois-moi. »
Les jour passent et j’attends avec une certaine anxiété ce fameux moment.
Je ne vais pas dire que c’est le train-train quotidien mais presque. Peut-être est-il plus assidu dans ses démonstrations et ses exigences sexuelles. Je le suce pour le réveiller le matin, je dois obligatoirement rester nue à la maison en toute circonstance et il me sodomise plus souvent. Mais je sais que sa perversion et son appétit sexuel pour sa vengeance lui feront oublié toute forme de respect pour moi et que ses copains participeront certainement avec mes amies.
Un matin, il décide d’aller faire une sortie photos en bord de mer avec moi. Aussitôt sur les lieux il exige que je me mette nue et que je prenne des poses obscène pour ses clichés qu’il compte mettre sur le net. Je n’oppose aucune réticence et même trouve ça très excitant. Après une heures passées à prendre des photos, au détour d’une dune, des hommes me tombent dessus, m’aveuglent avec un bandeau et me ligotent. Je n’ai même pas le temps de réagir et Alain les laisse faire. Serait-ce l’heure de la vengeance ? Je me débat et commence à crier mais je reçois une claque sur les seins et j’entends Alain me dire :
« Tu la fermer et les suivre gentiment ! Sinon tu risques que ta peine soit encore plus rigoureuse ! »
Assumant le dérapage du carnaval, je m’y attendais à un moment ou à un autre. Ne voyant aucune possibilité de me soustraire à mon châtiment, je ne peux qu’obtempérer.
Arrivée sur le parking, j’entends le coffre d’une voiture s’ouvrir et on me jette dedans. N’ayant prononcé aucun mot, je ne sais même pas si se sont nos copains ou des inconnus qui me k**nappent. Le coffre claque et la voiture se met en route. Le trajet me semble interminable.
On roule sur une allée en gravier et la voiture s’arrête. On me sort du coffre et une voix inconnue lance :
«  Emmenez la dans la salle d’interrogatoire et préparez la ! »
Je suis soulevée et traînée par deux tortionnaires dans une grande salle qui résonne le vide.
On m’affuble d’un collier assez serré et on m’attache en croix. Je suis totalement offerte.
Paniquée, je demande :
« Mais qui êtes vous ? Que voulez-vous ? Me faites pas de mal ! Pitié ! »
Personne ne répond. Pleins de questions se bousculent dans ma tête. Je sais que c’est la vengeance de mon mari mais c’est gens font-ils partis de notre cercle d’amis où des inconnus recruté par mon mari ?
J’entends Alain qui leurs dit :
« Finissez de le préparer »
On me tord un téton, on l’allonge et je ressens une douleur vive d’une pince crocodile qu’on y fixe.
Je serre les dents pour ne pas crier. On en fait de même avec l’autre téton. La douleur es vive mais je résiste. Puis c’est au tour de ma langue, mes lèvres intimes et mon clito. Là je ne peu retenir un long gémissement, la douleur étant foudroyante. Les larmes me montent aux yeux.
Une voix que ne reconnais pas dit à mon mari :
« La voilà presque prête. »
Mon mari lui répond :
« Oui, mais je pense que c’est insuffisant. Ajoutez des poids aux pinces ! »
Là, je hurle en suppliant mon mari d’arrêter. Pour seule réponse, je sens quelqu’un qui m’ouvre les fesses et m’enfile sans douceur un énorme gode dans le cul. Je me tortille comme je peux et mes cris de supplique les font rire mes bourreaux.

Alain leurs dit alors :
« Très bien, c’est parfait. Michèle ? Tu sais pourquoi tu es là? »
Comme je ne réponds pas, concentrée sur la douleur, on m’assène une formidable claque sur mes fesses.
« Oui ! Je sais ! C’est pour le carnaval ! »
Là, je reconnais seb qui dit :
« Elle est moins con qu’on ne pourrait penser. »
Alain m’explique :
« Tes copines qui on participé à me torturer et à m’humilier l’autre jours, sont ici également. Elles se retrouvent dans la même situation et leur sort ne dépendra que de toi. Nous allons t’apprendre ce que veut dire le respect et tu vas répondre aujourd’hui de tes faute devant notre tribunal. »
Je comprends vite que ce simulacre de procès va me coûter cher et je me met à supplier en criant :
« Laissez mes copines tranquilles bande de salops ! J’avoue tout ce que vous voulez. Mais ne me faite pas de mal ! »
Aussitôt Christian m’interromps :
« Tu n’a rien à dire. Tu es une femelle que nous allons punir pour les faits qui te sont reprochés. Pour avoir imploré notre clémence, tu recevra 20 coups de fouet et chacune de tes complices 5 coups ! »
Christophe lance :
« C’est moi qui vais appliquer la sentence sur ta femme Alain ! »
Alain lui répond :
« Ok ! Nous nous allons nous occuper des autres salopes à ton rythme et en les frappant aux mêmes endroits ! »
Le premier coup atteint mes reins. Je me tord sous la brûlure de la lanière et j’entends mes copines crier. Les coups se suivent, sur mes cuisses, mes fesses, mes seins….
Enfin la torture s’arrête. Mes amies geigne silencieusement et mon corps zébré de traces rougeâtre me chauffe horriblement.

On m’enlève mon bandeau. Une foi mes yeux accoutumé à la lumière, je fais un tour d’horizon pour m’apercevoir que mes amies son comme moi attachées nues et en croix. Mais elles n’ont pas de pinces comme moi. Je remarque que le tribunal fantoche est bien composé de nos amis mais ils sont accompagnés de racailles de la cité.
Alain me détache et en me mettant à quatre pattes, il tire sur ma laisse en ordonnant !
« Ca sucer le jury ! »
« Oh mon chéri pas ça. Je veux bien sucer nos amis mais pas ces racailles ! »
« Obéit salle chienne ! » Me répond-il en tirant sur la laisse.
Ils ont déjà sorti leurs queues nauséabondes et me présentent fièrement leurs sexes dressés.
David lance :
« Suce ! Putain ! »
J’obéis et prends en bouche un premier gland. Puis je passe au suivant et un de ci de suite. Arrivée au dernier, Guillaume leurs dit :
« Elle est a vous les mecs ! Faites d’elle ce que bon vous semble, sans trop l’abîmer quand même ! »
C’est la curée. Ils me sautent tous dessus et les pénétrations s’enchaînent. Je ne suis qu’un bout de viande entre leurs mains. Certains me pelote su durement que j’ai l’impression qu’il vont m’arracher les seins.
Pendant ce temps, le « tribunal » détache mes amis et les utilisent à qui mieux mieux. C’est une vraie orgie BDSM dont les femelles sont les victimes. Mais ce n’est pas comparable à ce que subis.
Après un temps qui me semble interminable, les mecs commencent à se lâcher et me remplissent de sperme. Il me jettent sur un matelas crasseux au sol et en remerçiant nos hommes, il repartent enfin. Je suis une vraie loque. Je n’ai pas jouie mais je méritais cette punition et je dit à Alain :
« Merci mon chéri. Je ne recommencerais pas. J’espére que tu me pardonne. »
En éjaculant dans la bouche de Vanessa, Il me regarde souriant etme dit :
« Oui tu est pardonnée. Je t’aime. »
Me voilà rassurée.
Du côté de mes copines, je sais qu’elle ont joui et qu’elles ont adoré de participer à ce jugement .

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