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Jeunesse en quête d’expérience

Jeunesse en quête d’expérience



Étant un jeune homme plutôt actif, je ne comptais plus le nombre d’heure sportive passé à l’extérieur de chez moi. Pratiquant la majorité du temps mes mouvements d’arts martiaux en forêt tout près de mon logis. Je croisais souvent deux jeunes filles début vingtaine m’observant du regard me souriant. Une fille plutôt menue s’appelant Myriam avec de long cheveux bruns et de superbe yeux de couleurs pers. Mesurant environ 5 pieds 2, plutôt mince avec de petits seins, une fille assez joviale et sympathique. L’autre s’appelant Jessie, plutôt grande (5 pieds 7) ayant une cousine de mon âge (28 ans). Une jeune femme voluptueuse avec les cheveux longs bruns foncés et les yeux bleues. Elle avait de gros seins et était disons de beauté moyenne.

L’une emboîta le pas un jour pour venir me parler. Myriam se présentant, me demandant qu’elles étaient le but de mes nombreuses marches en forêt, lui expliquant seulement m’entraîner dans un coin isolé mes mouvements de Kung Fu et de Karaté à l’abri des regards. Trouvant la plénitude d’une forêt et d’une rivière très apaisante, libérant mon esprit de toutes émotions négatives. Sans réel intérêt pour se type d’entrainement, voulaient par contre m’inviter toutes les deux à faire du camping en leurs compagnie, me proposant un feu en fin de soirée. Elles craignaient aussi l’arrivé d’animaux nocturnes, voulant un homme de confiance courageux pour les protéger (même si elles me connaissaient que depuis peu, mais peut-être un peu plus de réputation par contre).

Acceptant l’offre des deux jeunes demoiselles, me dirigeant en leurs compagnies en forêt dès 18 heures. Elles étaient très gentilles toutes les deux, y allant de conversation en conversation. Allumant un feu en début de soirée, il y avait des brochettes de boeuf qui cuisaient sur la broche s’ajoutant en plus à quelques consommations alcoolisées (Bière – Mousseux). Une tente de quatre places fut montée en préavis, suggérant une fin soirée agréable positionné entre deux ou bien collé à une femme quelconque. Les brochettes dégustées, les deux filles un peu pompettes disaient me trouver beau, voulant toutes les deux m’embrasser à tour de rôle. Passant à l’action, elles embrassaient plutôt bien, suggérant peut-être d’y aller un peu plus loin une tente unique le suggérant. Jessie m’avouant être toujours vierge, voulait que je sois son premier, dans la hâte me proposant de venir la fourrer tout de suite dans la tente, puis Myriam consentante en second. Mesurant 5 pieds 6 avec les cheveux châtains et les yeux pers, j’avais un corps athlétique et je paraissais plutôt bien d’en l’ensemble.

Jessie se déshabillant dans la tente me montrant ses gros seins puis sa grosse vulve le poil taillé semi court. Se levant debout pour venir coller son pubis sur ma bouche m’agrippant la tête de ses deux mains, moi agenouillé en sous-vêtement. Ce jour de proclamation qui était le sien, allait fort probablement être merveilleux et passionné. Lui léchant la chatte, elle était maintenant allongée les deux jambes bien écartées gémissant, découvrant l’amour pour la première fois, moi devant, venant ensuite pénétrer son antre bien lubrifié pour y percer l’hymen après 3 ou 4 vas et viens. Elle ressentait un peu de douleur au début mais commençait à prendre conscience de la nouveauté peu à peu durant les ébats. Elle était moyennement chaude mais j’avais espoir de rectifier la situation, moi commençant à accélérer la cadence peu à peu comme deux morceaux de bois se frottant l’un à l’autre pour ainsi produire des flammèches. Ses deux jambes montant dans les airs en forme de V, elle commençait maintenant à jouir sous mes coups de pieux livrés en cadences sa chaleur corporelle ayant maintenant décuplée. Sa vulve juteuse exprimait des sons très humides de perforations perverses. Elle prenait maintenant son pieds, ma verge entrant sortant à pleine vitesse le liquide vaginale maintenant en abondance. Son torse et ses seins étaient chauds, de la cyprine coulant de son vagin sur la couverture qui nous servait de matelas. Elle citait mon nom me suppliant de continuer à se même rythme. Venant au final en saccade dans belle grosse vulve humide au bout de 15 minutes, déclenchant un premier orgasme à celle-ci, son corps se crispant un moment puis se relâchant peu à peu libérant les phéromones de l’amour vers mes parois nasales pour un dernier instant frivole.

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