Mon mari est tombé accroc de la vidéo que j’ai tourné pour lui. J’en suis flattée, c’était le but recherché sauf que…il ne me touche plus. Il passe deux heures par nuit à se masturber en la regardant et le soir il est trop fatigué pour faire l’amour.
La situation se retourne contre moi quelque part, mais je ne m’attendais vraiment pas à ça. Je fouille dans ses fichiers et retrouve des captures d’écrans, des extraits de mes baises avec Thomas et ses deux amis, des petits ralentis bien choisis… et quand j’essaye de lui en parler, il m’esquive…
Nos moments ensemble se résument au repas du soir, où il parle de son travail, et éventuellement d’une petite série devant laquelle il s’endort au bout de vingt minutes.
J’espère au moins qu’il n’a pas mis ma vidéo en ligne quelque part, car cette fois là je n’ai pas mis de masque, juste ma laisse…
Un peu abasourdie dans un premier temps, j’ai repris mes bonnes habitudes : caresses devant du porno, avec mes godes…et orgasmes à répétition pour lâcher la pression.
Ça m’a bien défoulé pendant un moment mais l’issue est inéluctable : en bonne omnivore que je suis, je commence à avoir besoin de chair à toucher, à branler, à sucer longuement.
La semaine prochaine mon mari part en Alsace pour un contrat important. J’ai une folle envie de retourner au club seule, je regarde tous les jours les photos et les thèmes des soirées du site du club. Ils ont même mis en place des soirées glory hole depuis peu, qui attirent beaucoup d’hommes. Depuis le temps que je fantasme d’en faire un….
J’ai donc décidé de me préparer, tant pis pour lui, je ne lui dirai même pas, à aller faire des coquineries là-bas.
J’ai commandé de la nouvelle lingerie et quelques accessoires dont notamment une magnifique queue de loup avec un plug anal au bout. Quand j’ai vu ça sur le catalogue en ligne du sex shop, je n’ai eu qu’une seule envie : de la voir sur moi !
J’attends le colis pour samedi matin….j’aurais préféré le recevoir dans la semaine quand mon travaille mais bon, je vais bien trouver un moment pour faire les essayages quand même ce week-end.
Samedi 8h49
Mon mari part faire les courses. Je m’installe à l’ordi pour regarder mes messages sur Xhamster et mate un peu les nouvelles vidéos fraiches du matin quand on sonne à la porte.
Chouette, c’est le facteur ! Je récupère le colis et signe le bon de livraison. L’envoi est heureusement tout à fait anonyme, l’employé de la Poste ne peut pas imaginer ce qu’il y a dedans…
Je déballe.
La lingerie est un peu plus cheap que prévu. Au moins on peut la déchirer à la première baise sans regret…seul le kimono noir et rouge que j’ai choisi a une très belle matière, très douce, et une coupe vraiment sexy.
Mais surtout la queue de loup est magnifique ! On dirait du vrai. Le plug est assez gros, même très gros, je n’ai pas fait attention aux dimensions indiquées sur le site. Je pense qu’il va rentrer quand même…j’y travaillerai en tout cas, j’ai trop envie de me voir avec cet accessoire que je trouve très excitant.
J’étais en train d’admirer mon nouveau jouet quand mon téléphone m’avertit soudain que je viens de recevoir un message. Étonnée je regarde
« Tu viens ? »
C’est Loïc, mon jeune voisin… Je regarde dehors et vois qu’il y a effectivement de la lumière chez lui alors que ses parents sont partis depuis 3 jours à Bali. Je le croyais en Suède jusqu’à Noël…il a dû rentrer dans la soirée pour les vacances de Toussaint, on s’est endormis tellement tôt avec mon mari que je n’ai rien entendu.
Ça c’est une excellente surprise !
« J’arrive !!!!! »
Je vais en profiter pour faire un petit test…
Je file à la salle de bain me laver l’anus et j’essaye la queue de loup. Elle a du mal à entrer, le plug est vraiment très large. Avec un peu de gel et beaucoup de patience, j’y arrive enfin. Mmmm.. c’est déjà bon de se sentir pleine….Dans mon grand miroir l’effet est incroyable. Je me mets à quatre pattes et l’image m’excite énormément. J’en connais un qui va aimer.
J’enfile ma nouvelle culotte noire et rouge, avec soutien gorges assorti, des dim up, mon nouveau kimono, une paire de petits talons noirs, quelques breloques…. et je me précipite chez Loïc la queue de loup dépassant de ma culotte mais invisible avec le kimono par dessus.
La porte est ouverte comme au bon vieux temps ; j’entre.
Personne dans le salon.
Je vais dans la chambre et, deuxième surprise de la matinée, Loïc est bien dans son lit, mais il n’est pas seul dans la chambre….
« Salut Loulou ! Je te présente Kerim, un ami turc d’Erasmus qui fait ses études avec moi en Suède. »
Je me sens un peu désorientée à poil dans mon kimono avec ma surprise….
Je tends la main à Kerim qui a dormi sur le petit canapé. C’est un beau jeune homme hâlé, très poilu, pas très grand mais assez musclé, qui a l’air bien dans sa peau.
« Bonjour Louise, enchanté de faire votre connaissance, Loïc m’a beaucoup parlé de vous… »
Et il m’offre un sourire charmeur toutes dents dehors, renforcé par ses yeux noirs intenses, en plus de parler un français impeccable.
« …Bonjour Kerim »
« N’aie pas peur Loulou, il ne va pas te manger…viens plutôt me rejoindre…. »
Ce petit salaud soulève alors ses draps et affiche déjà sa belle queue en érection. Vilain garçon ! Il sait que je ne résiste pas à sa queue…va t’il résister à la mienne ?
Je mouille déjà….depuis le temps que je suis en manque, voilà qu’il m’offre mon repas préféré sur un plateau, en plus de la bonne surprise de le revoir si vite.
«Viens Kerim, Louise va nous faire sa spécialité, le strip tease du samedi matin ! »
Le jeune turc va le rejoindre dans le lit, avec son caleçon qui se déforme déjà. Ils ont mis le chauffage à fond dans la chambre, je commence à avoir les joues roses…
Les deux jeunes hommes ne disent plus rien, me regardent avec appétit en attendant mon show.
Ok les garçons, vous allez voir ce que vous allez voir !
Je commence à me déhancher, faisant glisser le kimono sur mes épaules, pour leur montrer un peu de peau et je prends tout mon temps pour dévoiler mon buste centimètre par centimètre.
Kerim a retiré son caleçon pour se caresser. Son sexe est un peu plus court que celui de Loïc, mais a l’air très épais…et surtout son gland ressemble a un cèpe ! Sa vue me surexcite. Un champignon xxl à la place de la bite, mon dieu, je sens que je vais faire des folies….
Au moment de faire glisser définitivement mon kimono, je me retourne et vais me mettre à quatre pattes sur le canapé. Un dernier coup de hanches et le léger vêtement tombe au sol, dévoilant ma trouvaille, bien plantée dans mes fesses.
« Woaou !!!! »
L’effet est garanti. Les garçons applaudissent
Loïc, qui n’a pas perdu son humour :
« T’es magnifique Loulou ! Un rien t’habille…. »
« Vous êtes très belle madame ! » ajoute Kerim, la bite à la main.
Les deux jeunes hommes sont déjà debout et viennent caresser ma queue de loup.
« Tu vas voir, Louise est la meilleure suceuse de l’univers… » dit Loïc fièrement en approchant sa grosse queue de ma bouche. On dirait qu’il présente sa vieille tante qui fait les délicieuses tartes Tatin de son enfance !
Quel toupet quand même… Mais bon, je n’ai pas envie de le décevoir devant son ami et surtout j’ai très envie de le gouter et de lui faire découvrir mes nouveaux talents pour la gorge profonde.
Mes deux jeunes bandeurs sont excités comme des puces, joyeux, sautillants, légers malgré leurs couilles pleines. Un grand rayon de soleil entre tout à coup dans la chambre comme par enchantement. Cette ambiance me remplit d’euphorie, moi la vieille femme qui les régale…je me sens leur reine. Comme quoi il en faut peu pour être heureux, un plug anal, une bouche gourmande et les voilà qui se présentent à mes lèvres, le gland humide.
Je les butine tour à tour, gaiment, gardant une main libre pour me caresser. J’aime la tension dans le sexe, l’urgence…mais là rien de tout ça, c’est juste simple et joyeux.
La grosse queue de Loïc est toujours aussi bonne à sucer, plus je le pompe plus l’appétit vient en pipant, j’ai déjà envie de son foutre.
« Donne moi ta jouissance…. » et j’accélère ma pipe comme une morte de faim.
« Hé !….. » il ne s’y attendait pas « Mmmmm… oh putain c’est bon…. »
Kerim voyant que je suis toute sur Loïc a la bonne idée de se mettre derrière moi pour me caresser les fesses et les seins avec beaucoup de sensualité. Ses petits baisers dans mon dos et mon cou sont délicieux.
Je continue à sucer fort tout en me caressant.
Ma jouissance est proche…cette fois c’est moi qui réclame
«Mange moi la chatte ! »
Aussitôt il vient s’allonger entre mes cuisses et pose sa délicieuse bouche charnue sur ma moule trempée…c’est le bonheur absolu, l’ivresse des sens, je peux libérer ma deuxième main pour branler à toute vitesse mon petit voisin vicieux et me laisser jouir avec lui. Il sait que quand j’ai envie de sperme, rien ne m’arrête et il s’apprête à se soulager dans ma bouche.
Quand je sens qu’il n’en peut plus, que le foutre va irrémédiablement quitter ses couilles pour se libérer, j ‘enfonce sa grosse queue tout entière dans ma gorge en une seule poussée et je sens son sperme inonder mes amygdales par petits jets puissants. Je me régale, les deux mains agrippées à ses belles fesses musclées, la bouche pleine, ma chatte explose de bonheur sur la langue onctueuse du jeune turc qui accueille ma jouissance sans broncher, je suis pourtant presque assise sur son visage.
Pendant mon orgasme, j’ai l’image de notre statue de chair, immobile et crispée dans la jouissance, dont les fluides se propulsent et se mélangent en cascade. Une vision d’amour absolu, de la plus belle aventure que l’homme puisse connaitre, du plus beau voyage : le sexe.
Je garde longtemps Loïc entier dans ma bouche, jusqu’à sa détumescence, et libère sa belle queue toute propre pour le laisser s’affaler sur le canapé.
J’en profite que Kerim est allongé et qu’il se branle pour dégager sa tête et venir m’empaler sur son formidable gland.
La double pénétration du plug et de sa queue est divine, il saisit mes hanches pour me faire sauter sur son bassin qui bat la mesure diaboliquement.
Je crois un instant qu’il va jouir mais mon jeune baiseur a l’air de parfaitement contrôler son plaisir et je profite de son membre raide pour délivrer mes entrailles de deux orgasme vaginaux sur son infatigable bite.
Il s’amuse même à ralentir et accélérer subitement sa rythmique, comme un batteur pendant son solo, imprimant une cadence infernale à mes fesses.
Et surtout il joue avec avec mon plug, tirant dessus, le faisant sortir un peu, puis le remettant en place tout au fond de mon cul.
Le passage de la grosse ogive qui entre qui sort de mon fion détend complètement mon sphincter, le fait bailler quand il accélère le mouvement pour me le défoncer tout à fait, faisant des allers retours puissants et rapides. La sodomie du plug conjuguée à sa queue épaisse qui pilonne ma moule fait exploser mon clitoris, j’ai même l’impression qu’il jute comme un petit sexe tellement la délivrance est violente.
Je m’entends crier comme une vierge qu’on déflore, je retrouve toute ma jeunesse au contact charnel de ce corps puissant que je chevauche.
Je n’ai même pas vu que Loïc s’était levé et qu’il rebande déjà….
Il tire sur ma queue de loup pour la déloger et s’enfonce glorieusement dans mon trou du cul béant en une seule poussée. Je n’aurais pas osé en rêver, les deux étudiants qui prennent leur voisine bourgeoise en sandwich, qui la ramonent comme des taureaux en rut.
Je sens leurs bras musclés s’accrocher à mes hanches, à mes épaules, ils me démontent comme une petite fille, comme si j’avais quinze ans et pesais 45 kilos…. leur vigueur est ma cure de jouvence, leurs queues régénèrent mes cellules comme aucun traitement, leur sperme va m’offrir la vie éternelle.
Au bout d’un quart d’heure de leur chevauchée sans pitié, je suis ivre de jouissance, j’ai les trous qui fument, je réclame une pause café.
Pendant que Loïc prépare les expressos, je ne peux m’empêcher de reprendre la bite à Kerim en bouche sur le lit où il s’est allongé. Sa queue bande aussi fort que sa nationalité l’indique, sa vigueur m’impressionne. Mais c’est surtout son gland qui me fascine. Je suis obligée d’ouvrir la bouche en grand pour le sucer convenablement, avec beaucoup de salive, pendant que je caresse ses couilles bien pleines. Mon désir reprend vie à sentir son odeur musquée, j’ai déjà oublié la pause café, j’ai envie qu’il me déchire les entrailles avec son gros champignon, qu’il me défonce comme une chienne avant que mon mari ne rentre de courses.
Loïc pose les expressos sur son bureau et prend son téléphone pour nous prendre en photo. Je n’ai pas de masque mais j’imagine que c’est juste pour lui qu’il le fait. Peut-être pour se branler dans sa chambre d’étudiant en Suède…je laisse faire.
Je n’en peux plus, mon trou du cul se dilate pendant que je suce. Je suis sûre qu’il est devenu aussi accueillant qu’une bouche. Je stoppe ma pipe et me retourne pour m’installer confortablement en levrette, pose docilement ma tête sur les draps pour lui offrir mon cul bien ouvert.
J’ai l’impression que mon anus suinte comme une chatte et quand il y fait pénétrer ses doigts, une petite éjaculation me surprend, un jet de mouille sort de ma chatte pour tacher les draps.
Dès qu’il me prend je pars en jouissance continue. La petite douleur que je sens au début se transforme en euphorie charnelle, il prend tout son temps, faisant rentrer centimètre par centimètre à chaque coup de bassin. Son gland est même plus gros que le plug, il envahit tout ma cavité anale avec délice, c’est presque indescriptible tant la jouissance est forte, son rythme de cavalerie me dévaste les entrailles et je n’ai même plus besoin de me toucher pour éjaculer en continu pendant qu’il m’encule vigoureusement.
Loïc continue de nous fusiller, visiblement très excité.
Mon dieu que ces jeunes hommes me font du bien ! Ils me rendent belle et heureuse. Je vais les remercier comme il se doit.
Enivrée de jouissance je m’allonge sur le dos dans le lit mouillé.
« Branlez-vous dans ma bouche, mes trésors… »
J’ai l’impression que nous sommes de la même famille, dans une entente parfaite, et que nous nous donnons mutuellement un plaisir bien naturel, sans tabou, sans morale. Juste du plaisir. Ils m’enlèvent avec insouciance tous mes petits complexes de femme vieillissante.
Le premier à approcher son gland au dessus de ma bouche est mon jeune turc, il se branle doucement pendant que je mange ses couilles poilues et il se soulage entre mes lèvres en fermant les yeux, tout à son plaisir. Sa jouissance est longue, je laisse son sperme couler tout seul dans ma gorge sans bouger et quand il pose son gland épanoui sur ma langue, je le tétouille doucement pour m’enivrer de son jus épais.
Loïc pose enfin son téléphone pour décharger lui aussi sur mon visage, je reconnais le gout amer et doux de son sperme que je lape avec bonheur. Mon clitoris recommence à palpiter, réanimé par mon extase buccale, et je m’offre une dernière branlette en mastiquant la queue ramollissante de mon jeune voisin.
Ils me rejoignent alors tous les deux dans le lit, me serrant de leurs bras juvéniles, dans une étreinte câline d’une douceur infinie. Alors qu’ils me couvrent de caresses et de baisers, j’entends la voiture de mon mari se garer devant l’entrée. Avec regret je quitte mes deux jeunes amants d’un jour, récupère ma queue de loup, mes vêtements et rentre chez moi en passant discrètement par la cuisine pendant que mon mari ferme le garage.
C’est plus tard dans la matinée que Loïc m’envoie plusieurs mails avec les photos qu’il a prises. En fait ce sont des petites vidéos de quelques secondes, il a dû se tromper de touche…Il va falloir que je fasse des captures d’écran et que je recadre, sinon on voit trop mon visage… j’aimerais bien en faire profiter mes amis…
Je peux peut-être demander ce service à mon mari, maintenant qu’il est spécialiste…
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