Depuis que mes parents avaient acheté cette maison, je devais faire un grand détour pour aller à la gare. Je me souvenais de cette histoire écrite par Marcel Pagnol de cette famille qui traversaient une propriété privée pour aller à leur maison de campagne. Ce fut un peu mon cas. N’en pouvant plus, je me suis aventurée à traverser cette grande propriété pour aller plus vite. Il y avait une grille verrouillée par une chaîne cadenassée et derrière une allée. Un jour, une partie du mur de clôture s’est effondré non loin de là et j’ai pu enfin m’aventurer.
Je marchais et l’angoisse me torturait puis j’ai pu sortir par la grille principale qui donnait non loin de la gare que je fréquentais. Le soir venu, j’ai eu peur de faire le chemin en sens inverse même si le matin, il m’avait fait gagner beaucoup de temps.
Le lendemain matin, mon réveil a sonné. Il était cinq heures et demi du matin. Je l’ai éteint et quand je me suis réveillée, il était déjà six heures un quart. Je me suis précipitée pour m’habiller et j’ai rejoint le mur cassé. Le propriétaire y avait fait poser une pancarte disant que l’accès est interdit et que c’est une propriété privée. Malgré ça, je suis passée et j’ai pu avoir mon train.
J’ai fait ce chemin pendant un mois puis un matin, alors que j’étais au milieu du parc, un molosse m’a barré le chemin. J’ai commencé à reculer puis un garde en uniforme est arrivé et qui m’a dit que je suis dans une propriété privée. J’ai bafouillée que c’est la première fois que je passe par ici mais il n’a rien voulu comprendre et il m’a emmené vers sa maison puis il m’a dit que je resterai là jusqu’à l’arrivée de la police.
Il me faut avouer que l’année d’avant, je m’était fait arrêtée pour avoir volé des sous-vêtements dans un magasin et je m’en était tiré avec une remontrance et la menace que la prochaine fois ce sera la prison.
Ce n’est pas la police qui est arrivée mais le propriétaire de la… propriété. Il semblait avoir la quarantaine soit le double de mon âge. Il était pas mal foutu et il a dit au garde de nous laisser seuls. Après ça, il m’a sermonnée en me disant que ce que j’ai fait est très grave et moi, je l’ai suppliée de ne pas me dénoncer à la police.
C’est quand il a porté la main à sa braguette que ça m’a donné une idée. Je l’ai supplié de ne rien dire à mes parents. J’ai eu l’impression qu’il ne comprenait pas ce que je voulais lui dire.
– Je serai gentille avec vous, ai-je ajouté !
– Qu’est-ce que tu veux dire, m’a-t-il demandé ?
– Je vous plais pas ?
Je ne pouvais pas lui dire que j’avais eu plusieurs petits amis l’année précédente, pas ensemble, mais qu’aucun ne m’avait jugée digne de rester avec moi. J’avais pourtant accepté, pour les garder, de baiser avec eux, mais ça n’avait rien changé et j’étais seule.
– Si ! Tu es mignonne, m’a répondu le propriétaire ! Précise-moi ce que tu propose !
J’avais la honte de lui dire que je ferais l’amour avec lui s’il ne me dénonce pas. Et pourtant, je lui ai dit. Il m’a alors demandé si j’ai un petit ami, si j’en ai déjà eu un, si je suis encore vierge et le comble du comble, il m’a demandé si je suis saine puis quand nous nous sommes mis d’accord, il m’a donné l’adresse d’un gynéco pour me faire examiner. Je tremblais de tout mon être. Il m’a laissée partir et j’ai pu prendre un train même en retard et je me suis fait menacer de licenciement par mon patron.
J’avais huit jours pour passer cet examen, huit jours pendant lesquels je pouvais continuer à traverser la propriété. Après j’ai appelé le numéro de portable pour dire que c’était fait puis j’ai attendu la réponse. Le jour d’après, le propriétaire du terrain m’a dit que je dois venir dans sa main en rentrant de mon boulot le soir. J’y suis allé en rentrant. Le propriétaire était là. J’étais vraiment impressionnée. Il m’a dit de poser mon sac à main puis il m’a demandé comment on fait. Je ne comprenais pas sa question. Il m’a demandé si je me contente de relever ma jupe. J’ai répondu qu’on fait comme ça mais il m’a encore dit qu’il a l’impression que ce que je cache devrait lui plaire.
– J’aime les jolies filles mince qui ont une belle poitrine, a ajouté le propriétaire ! Est-ce que tu es comme ça ?
Je n’aimais pas vraiment mes seins car s’ils étaient gros, ils tombaient.
– Montre-moi, m’a dit le type ?
J’ai retiré mes fringues.
– Tu es vraiment mignonne, m’a-t-il dit ! J’adore tes seins !
Il m’a attrapée par la taille.
– Déshabille-moi !
Je n’avais jamais fait ça avec un homme. Ça avait toujours été des coups rapides Je n’osais pas le regarder.
– Regarde-moi, m’a dit le propriétaire ! N’aie pas peur !
Je l’ai regardé. J’ai déboutonné sa chemise puis j’ai déboutonné son pantalon et j’ai touché sa bite.
– Vous bandez, lui ai-je dit, inconsciemment !
– C’est utile, non, m’a-t-il répondu ?
– Oui !
– Que veux-tu faire ?
J’ai commencé à le branler puis je me suis agenouillée devant lui et j’ai mis sa bite dans ma bouche. Le type a posé ses mains sur mes joues et il m’a dit que je suis une bonne fille et j’ai commencé à sucer. J’avais sucé la bite de chacun de mes anciens copains mais là, c’était différent. Le propriétaire m’encourageait en me disant des mots doux puis il m’a emmené sur son lit et il m’a relevé les jambes pour me pénétrer.
Je ne savais pas quoi faire de mes mains mais il m’a dit de me caresser les seins. Jamais encore je n’avais eu autant de plaisir à être pénétrée. Tout à coup, il m’a demandé si je suis droitière et comme c’était le cas, il m’a dit de me masturber tout en continuant à me caresser les seins.
– Tu es belle, a ajouté le type ! Maintenant, on va faire autre chose !
Je ne m’attendais pas à ça. Il m’a écarté les fesses avec ses pouces et il a enfoncé son gland dans mon anus puis il m’a demandé s’il peut continuer. Pour moi, c’était ça ou la police et je me disais qu’après tout, je l’avais bien mérité. Il a enfoncé sa bite jusqu’au fond.
Je n’aurais jamais dit à mes anciens amants que je m’étais parfois enfoncé un doigt dans l’anus.
– Ça va ?
Il a dû me le répéter plusieurs fois avant que je ne réagisse et que je lui dise que ça va. Il m’a alors fait mettre sur le ventre, jambes pendantes au bord du lit et il s’est renfoncé dans mon anus.
– C’est bien, a-t-il fini par me dire, la voix enrouée, tu es une gentille fille !
Il s’est retiré et il s’est fini à la main et il a éjaculé sur mes fesses. Après, il m’a indiqué la salle de bains et quand je suis revenu, il avait le sourire.
– C’était bien, non, m’a-t-il dit ? Je t’ai fait l’amour dans tes trois trous !
– Mais j’ai pas joui, lui ai-je répondu !
J’avais honte de lui dire ça mais je n’avais pas pu m’en empêcher. Il m’a alors demandé ce que j’attends pour me finir et je me suis masturbée devant lui jusqu’à l’orgasme.
– Je crois qu’on va faire de belles choses ensemble, m’a-t-il dit ensuite ! Tu me plais beaucoup et j’en ai marre des putes !
Je n’ai jamais su s’il parlait de vraies putains ou de call-girls. Après, il m’a dit qu’il sera absent toute la semaine et il m’a donné rendez-vous la semaine suivante.
– Tous les soirs, ça te va, m’a-t-il encore proposé ? Moi, en tout cas, ça me fait envie ! Est-ce que tu connais bien ton cycle ? En tout cas, je ne veux pas te faire prendre la pilule et je ne veux pas avoir d’enfants !
Je suis rentré chez moi. Dans mon esprit, tout était confus mais je pouvais encore sentir dans mon corps tout ce que j’avais fait avec ce type, sa bite dans ma bouche et dans mon con et dans mon anus. Quand j’ai été dans ma chambre, je me suis touchée et mes deux trous étaient encore en feu et dans la nuit, j’ai fait un rêve et quand je me suis réveillée, j’ai pu constater que j’avais joui.
Ma mère s’est quand même rendue compte que je partais plus tard pour mon travail et elle m’a demandé si j’ai changé d’horaire et je lui ai répondu que j’ai trouvé un raccourci.
A mon travail, il m’arrivait de sentir la bite dans mon corps, de la sentir aller et venir et plusieurs fois je me suis touchée. J’avais besoin de toucher mes seins et de toucher mes deux trous. Le dimanche suivant, quand je me suis couché, je pensais déjà au lundi soir, que j’allais retrouver le propriétaire, me donner à lui, jouir peut-être…
Le soir, je suis partie de mon boulot et j’ai pris mon train puis je suis entrée dans le par cet ensuite dans la maison et j’ai appelé :
– Vous êtes là ?
J’ai appelé plusieurs fois et le propriétaire a fini par arriver.
– Tu aimes ça, m’a-t-il demandé ? Est-ce que tu t’es masturbée en pensant à moi ?
– Oh, non !
Il m’a répondu que j’aurais dû. Il m’a demandé comment se passent mes soirées et il m’a dit qu’il veut que je me masturbe dans mon lit avant de m’endormir et j’ai promis. Il a voulu voir le carnet où je note mon cycle puis il m’a emmené dans la chambre et nous avons fait l’amour et cette fois, il a joui sur mon ventre puis il m’a demandé si je veux qu’il jouisse dans ma bouche. J’ai accepté et il m’a dit que c’est ce qu’on fera demain puis il m’a dit qu’il veut que je note tout ce qu’on fait dans mon carnet.
Le lendemain, il a tenu parole et j’ai avalé sa semence. Il jouissais parfois dans mon anus, ou dans mon vagin quand je ne risquais rien ou dans ma bouche ou sur mes seins. Un jour, il m’a dit qu’il veut faire de moi une vraie femme et pour ça, je lui faisais confiance. Je n’étais pas qu’un jouet. Il était souvent absent et je compensait en me masturbant dans mon lit.
Quand mon patron m’a proposé un poste dans une autre usine, avec un salaire plus conséquent, je me suis demandée si j’allais accepter. J’en ai parlé à mon amant qui m’a dit qu’il ne peut pas m’empêcher et c’est comme ça qu’on s’est quittés. Quelques années plus tard, quand je suis repassé dans ce village, je suis allé voir la propriété et j’ai appris que le propriétaire était parti quelque temps avant.
– Où ça, ai-je demandé ?
– Mais au cimetière, m’a répondu le gardien !
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