Vidant mes testicules passablement souvent en compagnie de madame Carmen. La sexagénaire qui venait à peine de se découvrir une voracité de cougar. Le tarif de 15 dollars l’accouplement changeant vers un loyer fixé à 200 dollars le mois. Car on le faisait vraiment beaucoup. Jouissant toujours en me demandant d’y aller fort. M’avouant que sa soeur Lisette nous avait surpris récemment en plein ébat. La porte de sa chambre entrouverte pendant que je la pinais solidement en levrette. Assise au salon par la suite pour nous écouter chanter. Devenant ainsi jalouse que sa frangine plus vieille puisse faire l’amour avec un si beau jeune homme. Revenant une heure plus tard pour en discuter avec celle ci. Fidèle à son mari. Elle l’enviait tellement…
Lisette – Alors le petit jeune…Il a quel âge…
Carmen – 25 ans…
Lisette – Il est bien membré…
Carmen – Pas tellement…Mais il est dure à épuiser…
Lisette – Hummm…C’est lui…Ou c’est toi…
Carmen – C’est lui…Il trouvait son loyer trop élevé…
Lisette – Et ton deuxième logeur…
Carmen – Aussitôt parti…Tu sais…Moi et lui…Je fais seulement l’amour avec le plus vieux…Il est consentant de toute façon…
Lisette – Ah…Bon…Tu le suces…
Carmen – Non…J’aime me faire prendre sèchement et sans flafla…Alors aussitôt que l’occasion se présente…Il arrive et on y vas…
Lisette – D’autres étudiants auparavant…
Carmen – Non…C’est le premier…
Lisette revenant quelques fois aux jours suivant. Envieuse de sa soeurette qui vantait les mérites sexuelles de son jeune partenaire sexuel. À présent ouverte à une éventuelle infidélité. Elle avait plutôt décidée d’aller flirter subtilement avec le deuxième chambreur. Qui lui n’était visiblement pas intéressé envers les vieilles madames. Optant pour une seconde options qu’était le voyeurisme. Discutant de la situation avec Carmen. Elle voulait seulement nous voir en plein ébat. Et ainsi mouiller de la chatte un peu. Son mari la rendant plutôt froide à ce niveau depuis beaucoup trop longtemps…
Lisette – Tu crois qu’il va accepter…
Carmen – Je crois bien…
Lisette – Il a l’air vraiment chaud…
Carmen – Oui…Comme un lapin…
Lisette – Et si j’avais envie de me le faire aussi…
Carmen – Vas-y…On peut toujours se le partager…Disons qu’il commence à m’épuiser un peu…
Fourrant dorénavant Carmen devant ses yeux une fois par semaine. Le vendredi soir toujours libre Lisette apparaissant toute émoustillée. La madame assise sur une chaise devant le lit. Habillée d’un pantalon blanc et d’un chemisier bleu marin. Une belle femme dans l’ensemble assez mince. Aux cheveux grisonnants et aux yeux noirs. Elle se caressait subtilement la chatte en nous regardant baiser. Un café latté dans les mains. Faisant un peu de bruit en prenant une brève gorgé de son liquide chaud. Je savais pertinemment qu’elle allait vouloir s’assouvir de ma fervente jeunesse elle aussi. Attendant ce moment qui arriva vers le milieu du mois. Trois semaines passées apparaissant discrète chez ma logeuse absente. Après une brève discussion. M’affirmant qu’il n’y avait jamais eu un homme qui lui avait fait autant d’effet. À présent accroupie sur le plancher de la cuisine entrain de me faire une fellation. Découvrant cette femme gourmande de 65 ans en pleine action. Après quelques minutes arrêtant sa stimulation pour me parler un peu…
Lisette – Carmen t’as déjà sucé jusqu’à présent…
Moi – Non…Pas une fois…
Lisette – T’as envie de me fourrer…On est seul ici…Et elle nous laisse sa chambre pour nous envoyer en l’air…
Moi – Enfin…Oui…Si tu veux…
Fourrant toute habillée la plus jeune soeur de ma logeuse dans son lit. Prise en levrette avec sa poitrine sortie de son chemisier et son pantalon baissé. Découvrant sa chatte étroite et son pubis gris taillé court. Y allant d’une baise rapide mais à quel point enrichissante. La madame qui me regardait souvent vers l’arrière. Ses vêtements enlevés empoignant ses hanches puis sa poitrine moyenne tombante et molle. La pointe de ses seins bien saillante. Le visage plaintif en apposant sa main gauche sur ma hanche ou bien mon ventre musclé. Voulant fort probablement que je ralentisse la cadence. Elle gémissait les joues rougies. En se masturbant le clitoris de ses doigts fins et agiles. Découvrant une femme beaucoup plus ouverte que sa frangine assez frigide. Venant éjaculer dans sa bouche à sa demande au final.
Remettant la casserole sur le feu deux jours plus tard en compagnie des deux dames. Obtenant l’occasion de le faire en trio durant la période de mi-session. Baisant dans tous les recoins de la maison. Les deux femmes apparemment devenues de vrai perverses en chaleurs. L’odeur du sexe imprégné sur tous les meubles de bois. Le lit de Carmen, ma chambre et le salon fortement sollicités durant cette semaine de relâche. Elle m’avait pourtant avouées être de ferventes pratiquantes de la religion catholique. Mais que le temps était peut-être venu de céder au vice de ma tige tendue. Et de le faire incessamment. Dans les rythmes chauds de la cadence charnelle.
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