Je continuais à voir Constance presque chaque fin de semaine après notre cours de théâtre au lyçée. Les semaines , les mois passaient et à chaque vendredi soir chacun apprenait de l’autre sexuellement. Je savais par exemple qu’elle n’aimait pas du tout que je lui claque les fesses pendant que je la prenais en levrette, ou mes poils sur les couilles qu’elle rasait consciencieusement avant la baise. De son côté elle savait que me faire lècher les pieds me laissait de marbre ou que je n’appréçiais pas particulièrement de me faire pincer les tétons. Le corps de l’autre nous apparaissait plus familier et chacun connaissait les préférences de son partenaire.
Dans le même temps l’on poursuivait respectivement des relations amoureuses. Constance avait finit par cèder aux avances d’un camarade de classe avec qui elle était souvent fourrée, un benêt un peu grassouillet et maladroit qui vivait là sa première expérience avec une fille. De mon côté j’essayais de m’amouracher d’une fille trés jolie mais aussi très crispante; chaque baiser était un combat.
Ce que je trouvais fort c’était comment Constance parvenait à concilier autant d’aventures à la fois -je n’y parvenais pas moi avec ma jolie petite poupée et du reste notre histoire finit très vite en eau de boudin- elle s’affichait avec son grassouillet mais était toujours avec ce chirurgien jaloux qui parfois passait la voir à la sortie du lyçée. Celui-là justement Constance m’en parla un soir suite à notre séance de coït hebdomadaire ,elle s’inquiétait.
-Je le vois de plus en plus régulièrement sur mon lieu de travail, tu sais, ce marché de légumes le samedi après-midi et bien maintenant je le vois à chaque fois. J’ai bien peur qu’il me suive.
-Il ne nous a jamais suivi jusqu’içi que je sache.
-Le studio lui appartient. Il me le loue à un prix dérisoire.
Tout ça je le savais, nous en avions déjà parlé à plusieurs reprises, la situation commençait à m’agacer sérieusement.
-Et comment on fera le jour où il nous trouvera içi?.
-j’en sais rien. Je saurais pas où aller si jamais il me virait du studio…
-Tu vivrais chez moi en attendant que les choses s’améliorent.
En fait, ayant dis ça ce n’était pas une super idée. Je ne voyais pas du tout Constance loger chez mon père. Cela devait rester MON histoire, NOTRE histoire…
-Il vaut mieux que je lui parle face à face. Déjà qu’il ne supporte pas l’idée que je sorte avec Florian au lyçée…
Florian était le benêt grassouillet décrit plus haut.
-Tu sais que lui et sa femme font chambre à part maintenant?. Il dort sur le canapé.
-Et alors, qu’est ce que ça peut me faire?. C’est son affaire après tout.
-Quoi qu’il en soit je lui parlerai de notre relation.
-Super… Au fait. Et ton chauffeur de bus ?…
-Oh lui?!. C’est terminé.
La seconde d’après je lui saisissais le menton pour l’embrasser. Nos corps s’enroulèrent dans les draps et ce fut un nouveau champ de bataille.
Quelques jours après je fumais dans la cour du lyçée avec quelques copains quand je vis passer Constance. Nos regards se croisèrent, je compris qu’elle avait quelque chose à me dire. Je terminais tranquillement ma cigarette puis allais discrètement la rejoindre dans le hall du bâtiment principal.
-Ca y est, je lui ai dis. Pour nous.
-Super.
Elle hésita une seconde.
-Il voudrait… te rencontrer.
-Moi?. Mais j’ai rien à lui dire à ce type.
-…il voudrait que ce soit demain ,à la sortie des cours…
Je protestais mais elle me fit comprendre qu’il ne lui laissait pas le choix.
Le lendemain à la sortie du lyçée je voyais Constance en pleine discussion avec Florian, le pauvre affichait une mine de chien battu, il faisait vraiment de la peine à voir.
Je marchais deux rues plus loin, Constance me rejoignit.
-Qu’est ce que tu lui as dis à ton chevalier servant?. Il avait l’air au bord des larmes…
-Ne sois pas méchant s’il te plait, je viens de lui dire que c’était fini entre nous.
-Il ne l’a pas très bien pris.
-J’en suis désolée mais il fallait que je fasse quelque chose. La situation est assez compliquée et du reste il ne se passait rien entre nous.
-Tu veux dire qu’il ne t’as jamais touché ?…
-Rien d’autre que des bisous, tu comprends que j’avais envie de passer à autre chose.
A ce moment une berline allemande de couleur noire s’arrêta à notre niveau.
Une vitre tintée s’abaissa.
-Vous deux. Montez dans la voiture.
Sans se formaliser du manque de politesse Constance s’installa à l’arrière de la voiture. Après une hésitation je fis de même et le véhicule repartit promptement avec un bruit de moteur étouffé. D’ailleurs l’étouffement c’était bien la sensation qui me convenait le mieux à ce moment-là. Dehors nous traversions les quartiers de la capitales, nombres d’arbres étaient en fleurs et tout vert en ce début de printemps ,j’aurais voulu ouvrir la portière et sauter en marche. Respirer un bon coup.
Le type au volant avaient les cheveux noirs plaqués en arrière par le gel et qui lui retombaient sur la nuque. Il portait une chemise rose clair et du rétroviseur je croisais son regard. Il avait le regard dur et sec comme son visage décomposé de multiples angles droits. Il ressemblait à un amérindien.
-Tu as dis à ton ami où je vous emmène ?.
-Il le saura bien assez tôt. C’est une surprise.
Je me tournais vers Constance. Qu’est ce que ça voulait dire?. Elle me jeta un regard puis posa une main sur ma cuisse.
Encore un quart d’heure comme ça et nous arrivions dans une banlieue limitrophe à l’ouest de la capitale pour nous arrêter devant un immeuble haussmanien dont la façade semblait avoir été rafraichie récemment.
Tout le monde descendit et nous pénétrions dans une hall des plus chic marbré au sol et lustré au plafond. De magnifiques boiseries mettaient en valeur les murs. Vraiment du beau travail. Tout pour en mettre plein la vue aux visiteurs.
Nous nous retrouvions au quatrième étage d’un trois-pièces qui à vue de nez faisait une bonne centaine de mètres carré. L’affaire était rondement menée, le petit jeu marchait à la perfection. Et maintenant qu’allait t’il dire?. Qu’allait t’il faire?. Il nous invita à nous asseoir autour d’une table basse transparente sur d’élégants canapés de tissu noir. Le chirurgien nous offrit à boire sans que je puisse en savoir davantage.
Il me fixa de ses yeux mauvais un certain temps, cela me glaça.
Une sonnette retentit. Le chirurgien alla ouvrir. J’étais dos à l’entrée, j’entendais des voix d’hommes. Peut être deux ou trois. Face à moi les grandes fenêtres aux rideaux blancs transparents me faisaient mal aux yeux, le chirurgien n’avait pas jugé bon d’allumer.
Je sentis la main de Constance serrer la mienne avec force. Trois hommes firent leur apparition, chacun portant des chemises de couleurs différentes mais tous dégageaient une allure de macro.
-Salut!.
-…Salut…
Puis sans plus me prêter attention deux des types démontèrent le canapé devant moi et je compris qu’il faisait également lit. Sans un mot je vis Constance se lever et se diriger vers une pièce que j’imaginais la salle de bain.
-Excusez moi. Je peux savoir ce qu’on fait là moi et Constance?…
Le troisième larron qui ne s’occupait pas du lit me posa une main ferme à l’épaule.
-T’en fais pas petit. Tu ne vas rien manquer au programme. Tu seras aux premières loges !.
Le chirurgien était assis sur le fauteuil à ma gauche, ne me prêtant aucune attention. Il manipulait avec concentration une tablette numérique.
Au bout d’un temps qui me parut interminable Constance réapparut. Elle était vétue de sous vêtements noirs en dentelle qui faisait comprendre au premier coup d’oeil qu’on avait affaire là à de la qualité hors de prix.
Le lit avait été fait. Les draps posés. Le chirurgien pouvait lancer.
-Vous pouvez vous occuper d’elle maintenant !.
Et les deux gorilles devant moi se déshabillèrent. Corps maigres mais grands, glabres et secs. Leurs sexes étaient de taille agréables et Constance embrassa les deux hommes chacun à tour de rôle avant de s’agenouiller pour les sucer.
-Mais qu’est ce que… je croyais qu’on était içi pour discuter.
Je tentais de m’adresser au chirurgien mais ce fut le type à mes côtés qui répondit à sa place.
-Qu’est ce qui ne vas pas?. C’est ce qu’on est en train de faire là alors détends toi ça vaux mieux.
En prononçant « détends toi » il m’avait les épaules des deux mains.
Constance suçait les 2 sexes à tour de rôle. Elle avait l’air de prendre encore plus de plaisir qu’avec moi, ce qui me révoltais. Les types avaient dégraffés le yeux de sa guépière et l’on voyait ses gros nichons balloter. De temps à autres des mains experts caressaient sa belle poitrine. Son large derrière n’était pas en reste et quand je vis l’un des deux salauds lui claquer violemment le cul je sursautais involontairement.
Elle ne protestait pas, pire elle y prenait apparemment du plaisir alors que je n’avais pas le droit de lui claquer les fesses.
A ce spectacle le chirurgien restait de marbre, continuant de pianoter ,mais le type à mes côtés n’en perdait pas une miette.
-Ta copine je peux te dire qu’elle encaisse bien par le cul. J’ai eu l’occasion de l’essayer. Son trou de balle après c’était un vrai choux-fleur.
-Aahhh… aaaahh… oui. Oui!.. oui!… Défonce-moi. Allez !!!..
-Tu vois?. Elle en redemande…
L’un des types l’avait allongé sur le dos et la baisait furieusement. J’avais l’impression de voir des rapaces sur leur proie. Un serrement s’opérait dans ma gorge. Les structures métalliques du lit se mirent à grincer furieusement. Le deuxième gars se faisait sucer copieusement puis il eut une idée, il s’assit carrément sur la tête de Constance afin qu’elle lui bouffe le cul généreusement. Il en profitait pour traire sa bite entre ses seins tandis que son acolyte continuait de la pilonner telle une bête furieuse.
Ma gorge était sèche je n’avais plus de salive et mon coeur battait à tout rompre lorsque les deux salauds décidèrent de la prendre en double.
Constance avait délibérément posé son cul face à moi afin que je n’en rate pas une miette. Elle s’assit sur la queue du premier mec allongé sur le lit tandis que l’autre lui grimperait sur son cul, ce cul tellement appétissant, cette grande fille aux hanches pleines. Moi qui n’avait jamais osé la sodomie. La bite força le petit trou qui rentra dans un bruit de pet obscène. Et les deux gars remuèrent des reins alternativement ,le coeur à l’ouvrage. Constance n’était pas en reste remuant son généreux bassin pour donner encore plus de force et d’intensité au plaisir qu’elle ressentait.
-Ouiii… ouiii… Aaaaaaahhh… c’est bon!… Salauds!!!… Rrraaahhh… mmmmm…. hummmm….bien dans l’axe. Comme ça c’est bon!!!…
La chose dura longtemps. Incroyable longtemps avant que les deux salauds ne jouissent au visage Constance qui paraissait absolument ravie.
Le type à mes côtés finit par le lâcher les épaules d’une tape amicale.
-Tu comprends la situation maintenant, il va falloir que tu prennes une décision.
Le chirurgien venait de poser sa tablette sur la table basse. Il me regarda comme si je venais d’apparaitre.
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