Eric vient de partir. Il veut profiter de son samedi pour avancer dans sa maison, qui est en chantier. La séparation a été difficile, mais Eric a finalement résisté à l’envie de prendre Lisa sur la table. Les mouvements de son bassin contre sa jambe, sa respiration saccadée, sa langue dans son cou, son regard trouble, tout indiquait à Marc qu’elle s’offrait, chaude et impudique.
Mais, bravement, il a réussi à rompre et à s’en aller. Lisa est seule, le ventre en feu. Décidément, ce soir, elle veut se donner entièrement à lui, le sentir en elle plus fort que jamais. Or qu’est ce qu’un cadeau sans un bel emballage? Elle réfléchit. Sa lingerie est jolie, mais plutôt sobre. De la dentelle, certes, mais, même si ses shortys, ou ses tangas soulignent avantageusement la courbe de ses fesses, elle aimerait quelque chose d’exceptionnel.
Dans sa tête, une petite voix répète « la valise…..la valise….. ». Oui, il y a la valise. Mais depuis trois ans qu’elle la possède, Lisa ne l’a jamais ouverte. Elle ressent comme un malaise quand elle s’en approche, mélange de crainte, d’envie… C’est une grande valise Vuiton et Lisa se doute de ce qu’elle contient : de la lingerie fine, et pas n’importe laquelle. Certainement ce qui se fait de mieux en matière de porte jarretelles, de corset, de guêpières, de bas.
Madame Hendrix, sa directrice d’école la lui a offerte après la remise des résultats qui clôturait son graduat. Une dernière fois, elle a convoqué d’un regard Lisa dans son bureau, et une dernière fois Lisa lui a obéi.
_ Voilà, après aujourd’hui, nous ne nous verrons plus. Je tenais à t’offrir ceci…
Et elle lui avait tendu cette valise étonnamment lourde, que Lisa avait eu du mal à ne pas laisser tomber.
_ Tu l’ouvriras chez toi…
_ Oui madame.
Madame Hendrix s’était approchée, lui avait doucement relevé le menton, et, pour la première fois elle l’avait embrassée. Longuement, sensuellement. Lisa lui avait rendu son baiser avec une passion à la mesure de la frustration qu’elle ressentait depuis des mois. Puis, légèrement essoufflée, Madame Hendrix avait rompu. Sa voix sèche, froide, avait une dernière fois résonné dans la tête de Lisa.
_ Va, maintenant!
Lisa avait baissé la tête et obéi, non sans avoir remarqué l’humidité dans les yeux de la directrice.
En repensant à ce moment, Lisa sent comme une boule lui serrer le ventre. Même après ces quelques années, madame Hendrix lui fait encore cet effet, ce mélange de peur, d’admiration, d’excitation. La valise, si proche, agit comme un catalyseur. Elle l’a souvent regardée, mais l’envie de l’ouvrir a toujours été moins forte qu’une appréhension inexplicable. Puis un cheveu sur l’oreiller lui fait penser à Eric, et la nécessité de lui donner du plaisir prend le pas sur la peur. Il est avec elle.
Deux « clacs », et la valise est déverrouillée. Ouf! elle a osé. Mais quand elle lève le couvercle, les odeurs qu’elle perçoit la ramènent, telle la madeleine de Proust, plus de cinq ans en arrière.
Lisa est seule, dans les couloirs de cette grande école qu’elle ne connaît pas. Elle vient de terminer ses études secondaires, et elle est venue pour s’inscrire dans cet établissement huppé, très réputé dans la région. Les secrétaires qui sortent d’ici sont sûres de trouver rapidement un bon job.
Bien sûr, Lisa sait que ce sera dur, mais elle est très motivée. Elle veut à tout prix sortir de son quartier, s’élever plus haut que les autres filles promises aux petits boulots, aux contrats précaires.
Trop fière pour demander, elle déambule, cherchant son chemin. Soudain, elle aperçoit une silhouette qui attire son attention. Elle croit d’abord que c’est une bonne soeur, mais l’école n’est pas catho…Pourtant, cette longue jupe ample, ces chaussures plates, cette coiffure sans recherche, quelque chose sur sa poitrine (une croix?), et ce gilet bleu marine ont de quoi tromper. La démarche décidée, la posture très droite, la tête haute ne correspondent pourtant pas non plus à l’idée que Lisa se fait d’une religieuse.
Curieuse, elle fixe cet étrange personnage, quand elle croise son regard. Bleu acier, intense, sévère. Lisa a la désagréable impression qu’en un instant, elle a été comme scanée, que cette personne de l’autre côté du couloir sait tout d’elle. Elle baisse la tête, détourne le regard, et rougit.
Puis une fois la dame passée, elle s’en veut. Merde, pourquoi est ce qu’elle a baissé les yeux devant cette vieille chouette? Et elle a rougi comme une gamine qui voit un homme bander pour la première fois…
Elle trouve enfin le secrétariat, attend son tour, et commence à s’expliquer avec la secrétaire quand la dame du couloir entre. Sa voix claque comme une giffle, sèche, singlante.
_ Madame Leroi, envoyez moi cette jeune fille, voulez vous?
_ Bien, madame la directrice!
Lisa est éberluée. On est où là? Dans un film? Bien, madame la directrice! Tu parles! Mais elle ressent aussi que la directrice jouit d’une autorité incontestée. Elle a senti chez madame Leroi une espèce de crainte superstitieuse, mêlée d’un profond respect.
Lisa entre dans le bureau. La directrice est assise, un petit panneau » K.Hendrix » devant elle. Lisa s’assied. A peine ses fesses ont elles touché le siège qu’ un « levez vous » sévère la cueille comme un uppercut. Lisa obéit et recommence à rougir.
_ Ici, mademoiselle, nous formons une élite! Les filles qui manquent d’éducation et de discipline, nous nous en séparons. Vous comprenez?
_ Euh, oui…
Après un soupir impatient et un regard glacé :
_ Oui qui?
_ Oui, madame
_ C’est mieux, mais pas encore tout à fait complet…
_ Euh, oui madame la directrice ?
_ Voilà, nous avançons…Vous vous tenez toujours de cette façon grotesque? Avec ce dos voûté et ces bras ballants? Redressez vous bon sang! Le dos droit, la tête haute, le regard modeste!
Rougissant encore plus, Lisa s’exécute.
_ Voila, c’est acceptable! Tournez vous!
Lisa obéit et tourne sur elle même.
_ Quant à votre tenue, j’espère que vous n’espérez pas venir suivre les cours ainsi attifée?
Attifée? La dernière fois que Lisa a entendu ce mot, c’est il y a longtemps, dans la bouche de sa grand mère…Et puis, pourquoi lui demander de se tourner?
_ Non, madame….Euh, non, madame la directrice.
_ Nous verrons. Mademoiselle, l’année passée, quinze jeunes filles sortant de la même école que vous sont venues ici. Savez vous combien ont réussi?
_ Euh, non, madame la directrice…
_ Zéro!! Vous entendez? Zéro! Et savez vous pourquoi? Parce qu’elles étaient paresseuses, mal préparées et manquaient tout simplement de capacités. Voilà le résultat su laisser aller qui règne à l’ECS (l’école de lisa, ndlr)! Des incapables! Qu’est ce qui va faire que vous, vous allez réussir?
_ Euh, je suis motivée…
_ Motivée? Ce n’est pas ce que me dit votre carnet de notes….Réussite tout juste à l’ECS…Pfffffff….Enfin, si vous désirez vous inscrire, je ne peux vous en empècher….Mais je vous mets en garde, aucun manque à la discipline, aucun désordre ne seront tolérés! Chaque année, nous devons nous séparer de certaines étudiantes qui créent du scandale…Souvent issues de l’ECS d’ailleurs.
Complètement décontenancée, Lisa s’entend répondre:
_ Oui, madame la directrice, je veux m’inscrire.
Avec un soupir pessimiste, madame Hendrix remplit sa demande d’inscription.
_ Voilà, vous êtes inscrite! Mais j’ai oublié de vous dire une chose. Certaines de nos étudiantes se croient sorties de la cuisse de Jupiter parce que leurs parents ont de l’argent…Elles ne supportent pas de voir des filles des « quartiers » envahir ce qu’elles considèrent comme « leur » école! Elles feront tout pour vous provoquer. Je désapprouve évidemment ces conduites, mais vous allez devoir prendre sur vous, en êtes vous capable?
_ Oui, madame la directrice!
Là Lisa s’avance un peu…A l’ECS, sa réputation de bagarreuse n’est plus à faire. Susceptible, fière, avec une certaine capacité de v******e à la mesure des frustrations endurées…
_ Bien, vous pouvez disposer…
Et Lisa tourne les talons, ses documents sous le bras, elle sent le regard de madame Hendrix dans son dos. L’étrange malaise qui l’étreint ne la quittera qu’à la sortie de l’école.
Après avoir commencé l’année pleine d’optimisme et de bonne volonté, Lisa, au fil des cours, se rend compte de la hauteur de l’obstacle. Elle commence à perdre pied au niveau scolaire. Quand elle demande une explication aux autres filles, on l’envoie « sur les roses ». Ca la met en colère, mais que faire? Et ce n’est rien à côté des regards méprisants qu’elle doit supporter à longueur de journée. Madame Hendrix n’avait pas tout à fait tort!
Un soir, peu après la Toussaint, ses parents, saouls, pour changer, s’engueulent, comme d’habitude. Mais ce jour là, le ton monte un peu plus. Puis Lisa entend une bouteille se briser, son père hurler de douleur. Inquiète, Lisa se risque au rez de chaussée. Son père gît au sol, une flaque de sang près de la tête. Sa mère continue de lui gueuler dessus! Lisa se rend compte de la gravité de la situation. Elle tente de garder son sang froid et appelle les secours, puis accompagne son père dans l’ambulance. Elle passe la nuit aux urgences et reprend le bus au petit matin. Un détour par la maison pour prendre ses affaires, et la voila partie en classe. Mal coiffée, pas maquillée, ses vêtements fripés, dédraîchis.
Arrivée dans le couloir devant la classe, un groupe de filles la regarde en pouffant en parlant à voix basse. Lisa sent la colère l’envahir. Elle sert les dents.
_ Alors souillon, as tu bien récuré les toilettes?
Cette petite pétasse de Lucie Dupré!!! Lisa se rue sur elle, lui envoie deux gnons dans la tronche, puis lui prend les cheveux et la plaque au sol violemment. Elle s’apprète à recommencer à lui défoncer la face, quand elle se sent tirée vers l’arrière avec une force surprenante. Madame Hendrix, avec son air de bonne soeur tient Lisa à bout de bras. Son regard d’acier la cueille comme une volée de plomb cueille un ramier, et elle s’effondre.
_ Rossi! Ca ne m’étonne pas! Dupré, faites vous soigner que diable!
Puis, revenant à Lisa :
_ Dans mon bureau!
Madame Hendrix la prend par le col et l’emmène à travers le secrétariat jusqu’à son bureau d’abord, puis dans un second petit bureau adjacent. Lisa ne remarque pas qu’elle ferme les portes à clefs derrière elle.
_ Asseyez vous!
Lisa obéit, toute volonté semble l’avoir quittée.
_ Je vous avais prévenue, je pense! Et après à peine deux mois vous tombez dans le piège! Vous êtes encore plus stupide que ce que je pensais! Vous vous rendez compte que nous ne pouvons tolérer ce qui vient de se passer! Mademoiselle, nous allons devoir nous séparer de vous…
Lisa reçoit ces paroles comme des coups en pleine figure. Virée? C’est impossible! Tous ses projets s’effondrent. A bout de nerfs, elle fond en larmes. Dans le brouillard, elle voit madame Hendrix se lever. Lisa s’attend à un geste de réconfort quand la directrice lui prend le visage, la tourne vers elle. Puis CLAC!!! Une giffle puissante, donnée sans retenue, manque de la faire tomber de sa chaise. Elle se tient la joue, interloquée, bouche béante.
_ Je déteste les pleureuses!
Puis après quelques instants :
_ Bien, le conseil de discipline se réunira demain pour statuer sur votre sort. Inutile de vous dire que mon influence y est décisive. Je peux peut être vous sauver la mise, si vous montrez que vous êtes capable d’obéissance!
Les yeux encore humides, Lisa acquiesce.
_ Bien, nous allons voir! Debout! Quoi qu’il en soit, votre conduite de ce matin mérite une punition, n’est ce pas?
_ Oui, madame la directrice!
_ Baisse ton pantalon!
Lisa s’arrête. C’est quoi ces conneries?
_ Et bien?
Le regard de glace de madame Hendrix prend possession de la volonté de la jeune fille.
_ La culotte aussi!
Lisa obéit. La voilà cul à l’air, son pantalon sur les chevilles. D’un porte parapluie derrière le petit bureau, la directrice sort deux fines baguettes. Elle en tient une dans chaque main. Puis elle vient à côté de Lisa, en applique une sur sa nuque, appuie.
_ Penche toi sur le bureau!
Lisa n’a pas remarqué le passage au tutoiement. Elle obéit, sans volonté. Une autre baguette vint se glisser entre les jambes nues, se poser sur le sexe de Lisa. Puis, prenant le bureau pour appui, elle pousse vers le haut.
_ Relève les fesses!
Tandis que cette seconde baguette continue d’appuyer légèrement en s’immiçant entre les lèvres de Lisa, la première s’abat sèchement sur ses reins.
_ Creuse le dos!
Ainsi cambrée, Lisa est très excitante. Les hanches un peu larges s’évasent harmonieusement sur une croupe remplie, ronde, offerte. La directrice apprécie, satisfaite de voir qu’elle ne s’était pas trompée. Un cul d’exception cette petite! Juste comme elle les aime.
Sur ces globes pâles, dodus, la baguette souple et dure à la fois s’abat une première fois. « CLAC »
_Aïe!
_ Ca suffit les gérémiades!
Sur le sexe de Lisa, l’autre baguette, d’un mouvement doux, lui caresse les lèvres et le clitoris. Les fesses reçoivent encore quelques « clacs » plus légers, dispensant de légers pincements. La brûlure initiale devient chaleur, et cette chaleur se diffuse dans le ventre der Lisa. Son sexe devient de plus en plus sensible. Elle se sent mouiller, remplie de honte! CLAC! Un coup plus fort la fait se contracter. Son sexe, malgré elle, voyage d’avant en arrière sur le bois lisse,doux. Puis Madame Hendrix lui imprime un mouvement de rotation rythmé par les coups plus légers qui continuent de s’abattre sur les fesses, le haut des cuisses et le bas du dos de la jeune fille.
_ Tu dois être punie, n’est ce pas? CLAC CLAC
_ Aïe, oui madame la directrice!
_ Et pourquoi? CLAC
_ Euh, hmm je…aïe…hummm, oh!…Je ne sais pas, aïe! , madame la hmmmm directrice!
_ Parce que tu m’as désobéi! CLAC CLAC CLAC!
_ Oui! Aïe..
Les fesses de Lisa brûlent, son sexe coule. Les coups redoublent, la douleur,et…le plaisir aussi! Chaque coup est comme un catalyseur de son plaisir, qui monte, monte. Les gémissements se font plus lascifs, plus forts. Madame Hendrix continue d’imprimer le rythme de cette danse sensuelle, insistant se plus en plus dur le sexe de Lisa, lui tapottant le clitoris. Elle sent quelque chose de brûlant dans son ventre qui grandit, se diffuse dans tout son corps. Elle n’a jamais rien ressenti de pareil. Son gémissement se fait continu, étonné, et suppliant.
Puis, un étrange rictus au coin des lèvres, la directrice retire sa baguette juste au moment où Lisa, elle le sentait, allait jouir comme jamais! Elle est terriblement frustrée, la honte prend place en elle, à mesure que le plaisir la quitte.
_ Bien, je constate que tu es prête à m’obéir. Je prendrai ta défense demain au conseil. Tu es d’ores et déjà renvoyée pour aujourd’hui et demain. Rhabille toi et rentre chez toi!
Sois dans mon bureau lundi à 8 heures précises. Je te ferai part des décisions qui te concernent.
Lisa ne le sait pas, mais le conseil de discipline n’est qu’un organe de pacotille, où madame Hendrix décide, et les autres membres acquiescent.
Comme dans un rêve (ou un cauchemar ?), elle se rhabille, les fesses rougies, puis la tête baissée :
_ A lundi, madame la directrice…
_ N’oublies tu rien?
Lisa ne voit pas…Ah oui,…
_ Merci madame la directrice.
_ Bien! Prends ces quelques jours pour réfléchir à ta conduite…
Dans la rue, une voiture qui klaxonne ramène Lisa à elle, devant la valise ouverte. Tout est rangé impeccablement, emballé, classé. Plusieurs grandes enveloppes de papier Kraft sont disposées sur la lingerie. Sur une feuille, les mots suivants : « je n’ai rien gardé, bien entendu ». Lisa ouvre une première enveloppe. Des photos d’elle en noir et blanc. Uniquement du noir et blanc. Lisa n’avait jamais pu voir ces photos. Madame Hendrix aimait beaucoup « jouer à la poupée » avec Lisa. L’habiller, la coiffer, la maquiller, et la prendre en photo dans le petit studio du grenier. Tout ce qu’elle porte sur les photos est présent dans la valise. Lisa n’a jamais trop su d’où venait cette lingerie, mais elle est de la meilleure qualité, c’est certain. Lisa ouvre les enveloppes, regarde les photos. WOW. Elle sait qu’elle n’est pas vilaine, mais elle a presque du mal à se reconnaître. La sensualité suinte du papier! Du travail de pro. De grand pro…Les photos ont été sélectionnées. En général, une petite dizaine accompagne chaque tenue. Il y a une vingtaine d’enveloppes. En plus de la lingerie proprement dite, les chaussures et tous les « accessoires » sont présents, dont un gode nickelé, sobre et classique…
A la troisième enveloppe, elle s’arrête. C’est ça. Une paire de bas « leggings » en latex noir, montant des chevilles « jusques en haut des cuisses ». A cet endroit où elle est un peu potelée. String en latex noir assorti. Des sandales à hauts talons. Un petit corset enserre sa taille et son ventre. Un chignon, rouge à lèvre vif, boucles d’oreilles pendant bas. Le noir révèle la pâleur de sa peau, les hauts talons la cambrent divinement. Ses seins semblent vouloir regarder le plafond bien en face. Même Lisa en a le souffle coupé! Son cul est tellement mis en valeur! Elle se trouve belle sur ces photos! Très belle! Une vague de reconnaissance pour madame Hendrix l’envahit. Elle va porter ça ce soir, Eric va adorer…
Vite un rendez vous chez Flo, tant pis pour la dépense, puis un repas commandé chez André, elle passera prendre du champagne chez le caviste.
L’après midi se passe dans l’effervescence pour Lisa, qui court d’un coin à l’autre de la ville, remontée comme un coucou. Pour Eric, c’est…la sieste!
En rentrant, moulu par sa semaine de boulot et de sexe, il s’effondre dans son lit, dort jusque 17h. Quand il se réveille, la situation de la maison l’opprime. Putain, rien n’avance! Et Lisa l’attend dans une heure, il a déja reçu 3 sms…Elle parle d’une surprise…Très tentant, mais il va y laisser sa peau si ça continue! Puis il voit ses yeux brûlants, suppliants. Ses seins qui frétillent, sa cambrure…La sensation qu’il a quand il frôle sa peau de ses lèvres. Et il bande…Il se laisse aller un peu dans cette douce torpeur, puis hop! Une douche et en route!
Quand Lisa lui ouvre la porte, Eric est ébloui. Coiffée, maquillée, habillée d’une simple petite robe noire, elle est parfaite! Sexy en plus avec ces espèces de bas en latex et ces hauts talons! Eric sent son énergie déborder de nouveau. Un fluide sensuel puissant circule déjà entre eux, alors que la porte n’est pas encore refermée. C’est Lisa qui rompt la première.
_ Ce soir, je suis toute à toi…
Son regard, lourd de sous entendus donne des idées à Eric. Peut être que…
_ Tu veux bien me laisser m’occuper de toi?
Tu parles! Oui oui il veut bien!
_ Alors viens!
Elle l’entraîne dans la sale de bains, le déshabille entièrement, le caresse, le masse. Pas de baignoire malheureusement, mais Lisa lui donne une douche, en le massant avec des trucs qui sentent bon! Eric adore! Ca le tonifie, une petite érection apparaît.
_ Hé la, on est pressé?
Lisa le caresse légèrement, et l’érection devient grosse, quasi verticale, palpitante.
_ Hmmm non, …C’est trop bon!
Elle le rince, le sèche, lui enfile un peignoir neuf en éponge. Puis elle le prend par la main et l’allonge sur le lit, et défait doucement son peignoir. Il est nu, son sexe dressé, dans une douce béatitude. Lisa sort un onguent et le masse en commençant par son visage, puis tout son corps. Comme Eric bande déja au maximum, elle évite la zone de son sexe. En plus du bien être physique, Eric la regarde. Elle est trop belle, trop douce, trop chaude! Et elle est la à son service comme une concubine des 1001 nuits! Elle se lève et enlève sa robe. Encore un coup dans l’estomac d’Eric! Il ne voit plus que ce cul! Un cul comme on en rève! Rond, cambré, offert. Lisa se tourne doucement, se déhanche. Elle regarde Eric droit dans les yeux. Pas besoin de lui demander si il aime, il est comme hypnotisé. Elle descend son string jusqu’au sol, comme une professionnelle. Puis revient sur le lit, s’installe à califourchon sur le bas ventre d’Eric. Elle lui prend les les mains, les plaque sur ses fesses. Eric presse bien ses doigts dans cette chair souple, et douce. Elle cambre bien ses reins, sûre de son effet. Eric contemple le petit triangle noir parfaitement taillé entre les jambes de sa maîtresse, confortablement installé dans les rondeurs de ses cuisses. Puis elle se penche sur lui, l’embrasse dans le cou, et murmure.
_ Je sais ce que tu veux…Je le veux aussi, mais tu veux bien me laisser faire?
Quelle douce confidence…Ce disant, elle caresse doucement le haut des cuisses d’Eric, ses testicules, la hampe dressée de son sexe. Impossible de faire plus dur! Eric continue de masser vigoureusement les 2 globes de chair pâles. Lisa se redresse, porte la main à son anus, puis vient le poser sur la pointe dressée.
_ Continue d’écarter mes fesses!
Eric sent son gland presser contre cet orifice qui lui semble bien étroit…Ca fait un peu mal, à Lisa aussi qui respire plus fort. Ses hanches bougent très légèrement, c’est comme une vibration. Hmmm c’est bon, Eric gémit. Lisa respire à fond, les yeux fermés, concentrée. Ses hanches tournent légèrement aussi maintenant, et Eric sent comme une ouverture se produire. Il sent sa chair se ficher dans celle de Lisa, s’y fixer comme une cheville. Eric écarte les fesses encore un peu plus et Lisa, subitement, s’enfonce avec un petit cri. Puis elle respire profondément, plusieurs fois, en gémissant de douleur. Puis son mouvement lent et sensuel reprend. Les millimètres s’ajoutent dans cette si agréable lenteur. Eric sent Lisa se dilater, l’accueillir, l’aspirer au plus profond d’elle même. Jusqu’à ce que ses fesses touchent mes hanches d’Eric, et s’y écrasent. Elle pousse alors un long gémissement, se relâche complètement. Puis comme épuisée, elle s’étale sur Eric, l’embrasse longuement. Très tendrement. Sa main passe derrière elle, caresse les couilles d’Eric. Il grogne. Elle se redresse, remonte et redescend les hanches très lentement, bien à fond. Puis encore, et encore, imperceptiblement plus vite. Eric, qui jusque là rongeait son frein avec délice, ajoute un petit coup de rein à chaque mouvement. Lisa feule. Il retire ses mains des fesses de Lisa, lui prend un sein, et le visage dans une douce caresse. Elle lui prend les doigts, les lèche! Hmmm ! Puis ses mains courent partout sur ce corps doux, chaud. Le latex du legging, si lisse est une sensation nouvelle pour Eric. Sublime!
Lisa accélère maintenant franchement. Ses fesses claquent en rythme sur les hanches d’Eric. Un petit « ah » est proncé à chaque contact. Puis un « oh »….Eric sent Lisa qui s’emballe, il lui reprend les fesses et commence à la pistonner avec force. Un grand OOOOH OUI! sort du ventre de Lisa. Et enfin un « prends moi maintenant » quand elle se retire et s’installe, prosternée devant lui. Il la place, très ramassée, en position foetale, et la pénètre d’un coup, rageur, enserrant tout son corps. Les 2 amants ne font plus qu’un. Plus qu’un corps, plus qu’une vibration, plus qu’un plaisir qui monte, déborde, envahit tout, les sort d’eux même. A l’unisson, ils poussent un long gémissement, sur la même note. Eric se déverse en longs flots qui semblent ne jamais s’arrêter, ébloui. Sous les jets de chaleur, Lisa se désintègre dans un nuage de lumière.
Ils flottent pendant de longues minutes, reprenant conscience très doucement. Leur corps moites continuent cette communication sensuelle, a****le. Puis, doucement la prenant toujours dans ses bras, Eric la couche sur le flanc, toujours emprisonnée dans ses membres.
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