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Soumis à ma belle-mère (6)

Soumis à ma belle-mère (6)



Ma belle-mère maîtrise toute ma sexualité

Dés que nous le pouvons, nous faisons l’amour, chez l’un ou l’autre, ou à l’hôtel. Notre complicité sensuelle ne cesse d’avancer dans un rapport dominante à soumis. Cela est possible car ni elle ni moi n’avons plus aucun rapport avec nos conjoints respectifs. Dans notre famille, un nouveau couple s’est composé dans l’ignorance de tous: ma belle-mère et moi.

Son caractère dominant s’affirme toujours plus. Je lâche prise sur tout.
« Jean, à partir de maintenant, je veux contrôler tout ton désir d’homme afin de l’orienter entièrement vers moi. Je veux être celle que tu désires exclusivement, et être celle qui te donne du plaisir, comme tu dois m’en donner. J’attends une douceur totale de ta part. Dans les prochains jours, je t’interdis de te caresser et de jouir. Je déciderai seule quand cela te sera autorisé. Tous les soirs, tu devras poser ta cage jusqu’au moment où tu pars travailler. Ne te cache pas, je te regarderai par la caméra».

J’applique sa consigne et les premiers matins sont extrèmement difficiles. Mon érection matinale est stoppée nette, et cela me réveille très tôt. Cela me fait mal au pénis ainsi qu’aux testicules. Je consulte les sites spécialisés pour savoir si il y a des conséquences de cette abstinence forcée sur la santé. Ayant chosi une CB 6000S, cette cage est bien petite et mon gland douloureux qui cherche à s’en échapper sans aucune chance est souvent endolori. De temps à autre, je secoue la cage pour oublier la douleur et me donner un vague plaisir, comme une forme édulcorée de masturbation. Je le fais sans me cacher dans ma chambre, prenant le risque que ma Maitresse Béatrice ne me voie par la caméra dont elle a le contrôle. Mais j’assume. Je lui fais part de mes douleurs dans mes messages, sans parvenir à infléchir son exigence. Au moins, j’ai une clé et je retire mon pénis de sa cage au moment d’enfiler mon costume. Un bonheur d’aller travailler ! Cela dit, mon désir croît rapidement, et j’écris des flots de mots doux à ma belle-mère chérie. Je suis totalement amoureux d’elle.

Enfin, un jour où nous retrouvons chez elle, nous faisons l’amour. Je porte la cage sur son instruction. Il y a 10 jours depuis que je n’ai pas joui.
Nous nous dénudons, elle constate le port de la cage dans sa grande culotte que je porte ce jour-là. Elle me fait allonger puis s’assoit sur mon visage. J’ai mal mais c’est divin. Je me repais de sa chatte et de son anus poilu. Béatrice me pince les tétons méchament et joue avec ma cage. J’ai mal mais c’est bon. Enfin, c’est la minute de libération. Ma verge se gonfle aussitôt que je retire la cage.

Ma belle-mère s’allonge sur le lit et nous faisons l’amour comme au premier jour, fous de désir. J’aime son haleine, ses odeurs, ses plis, sa chair molle, sa bouche, ses seins tremblants, sa chatte largement ouverte, son cul de vieille salope. Elle a déjà joui sous ma langue. Je hurle de plaisir, avec des étoiles qui explosent dans mon cerveau quand je jouis enfin dans sa chatte de vieille femelle vénérée. Je suis épuisé d’attente, de douleurs, de manque de sommeil et d’orgasme enfin.

Soumis « à tout faire »

Tous les mois, ma belle-mère adorée va chez le coiffeur (elle a une charmante coiffeuse attitrée dans ce salon). Elle aime être impeccable, cheveux bien coupés et couleur en place. Désormais, quand elle prend RV, je suis son chauffeur et son accompagnateur. Comme elle y va en pleine semaine, je dois lui consacrer environ 3 heures sur mon temps de travail entre le temps de transport et l’attente. Je le fais de bonne grâce.

Cette semaine, alors que nous nous asseyions dans son salon préféré, elle me demande, d’une voix aigue, peu forte mais que les autres clientes entendent :
« Jean, voudrais-tu aller faire les courses au lieu de rester planté, là.
Oui, bien sur, Béatrice, de quoi avez-vous besoin ?
Prends cette liste et passe aussi chez Monoprix pour me rapporter une pochette de culottes coton, blanches ou noires, comme tu voudras. Tu sais ? celles qui enveloppent bien, les plus hautes ».

Comme à chaque fois qu’elle joue de ce genre d’instruction, je ne sais plus où me mettre et je fais des efforts surhumains pour ne pas rougir. Je vois toutes les femmes du salon me dévisager. C’est hyper génant car on voit que cette femme plus âgée demande quelque chose de très personnel à un homme ayant la cinquantaine, grand et élégant. Situation improbable et chargée d’émotions. Je ne sais pas comment elle fait pour continuer la conversation courante sans sourciller ensuite. J’obtempère dignement.

Une fois revenu pour récupérer ma belle-mère chez la coiffeuse, elle me demande de lui montrer mes achats et exhibe le pack de culottes coton.
« Oui c’est bien cela. Merci Jean, on en a pour 20′ encore, attends-moi à côté STP ».
Plus tard, je règle la coupe et les soins de ma belle-mère et je la ramène chez elle.

Béatrice exige mes mots de passe

Lorsque je suis dans ma chambre, je sais que ma belle-mère peut à tout instant me voir et m’entendre par la caméra qui y est installée. Comme cela ne m’est pas interdit en général, il m’arrive de regarder des pornos, ou de collectionner des photos. J’ai le droit de me caresser, mais surtout pas de jouir ! Et je respecte cela complètement.

Il y a peu, ma Maîtresse vénérée me dicte une demande très particulière.

«  Jean, je voudrais que tu me donnes la clé de ton apprtement. Etant ta Maitresse, tu ne dois rien me cacher, et je voudrais pouvoir inspecter ta chambre à tout moment, en l’absence de ta femme bien sûr.
Oui, mais vous allez donc regarder toutes mes affaires personnelles de femme ? Cela me gène un peu, mais je suis d’accord bien sur. Il faudra que vous laissiez tout en place afin qu’Anne (c’est ma femme) ne remarque en aucun cas que vous soyez passée.
Bien, mon chéri, j’ai une 2ème requète mainenant. Veux-tu par avance l’accepter ?
Oui, Maitresse adorée, je ferais n’importe quoi pour vous.
Bon, et bien, tu vas me donner tous tes mots de passe. Je veux pouvoir accéder à tous tes moyens de communication, tous les sites sur lesquels tu as un mot de passe. ».

Je reste sidéré, tentant d’imaginer tout ce que mon amante va savoir d’intime ou de personnel en notre absence et sans préavis. C’est bien simple, je deviens complètement nu à son regard aiguisé. Elle verra tout : les comptes, mes photos pornos, ce que je regarde, mes habits féminins, mes gadgets, tout. Je comprends que ce n’est pas pour me censurer mais juste pour TOUT savoir.
Dans un vertige, j’accepte.

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