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Lumière et Obscurité (2)

Lumière et Obscurité (2)



Andrée – Tu vas voir…Il est vigoureux…
Danièle – T’es sûre qu’il va vouloir…
Andrée – Certaine…Quand il n’est pas avec moi…Il est avec ma nièce au sous-sol…Et elle ne s’en plaint pas…Çà je peux te l’assurer…Tu devrais les entendre…Un beau petit mâle bien athlétique…Sa tige n’est pas très longue par contre… Mais bien proportionnée…
Danièle – Alors…Ok…Je passerai ce soir…

Mettant fin à la conversation téléphonie. Andrée cognant à ma porte quelques instants plus tard. Pour converser un peu…

Andrée – Alors…Tu te sens d’attaque pour ce soir…
Moi – Oui…Ma chère Andrée…
Andrée – Tu l’as déjà fait avec un foulard sur les yeux…
Moi – Non…Jamais…
Andrée – Alors…On le feras de cette façon ce soir…Passe me voir vers 21 heures…Si tu le veux bien…

Après avoir bu quelques verres en sa compagnie. Je me déshabille alors au salon à sa demande en ne gardant que mon sous vêtement bleu marin. Andrée toute belle portant une belle robe blanche japonaise avec des motifs de fleurs rouges. Ravissante elle sentait aussi incroyablement bon. Apposant un foulard sur mes yeux pour ainsi m’aveugler. Je sentais quelques minutes plus tard la présence d’une autre personne dans la pièce. La madame s’approchant tout doucement pour ce coller un peu. Portant une chemise à manche courte et une petite culotte. Visiblement une vieille dame car elle avait les seins mous et tombant avec leurs pointes bien dressées. À peu près de ma grandeur. Mince mais avec le corps flasque. Caressant et embrassant tout doucement mes lèvres et mon torse debout. Je pouvais sentir son odeur forte de femme en chaleur se propager dans tout l’endroit. Venant s’adresser tout bas à mon oreille d’une brève affirmation…

Danièle – J’ai 68 ans…Et je suis visiblement en manque de sexe…

Caressant ma tige dressée de sa main. Dirigeant ma main droite vers sa chatte poilue totalement trempée. Enlevant sa chemise pour me faire goûter à un de ses seins. Abaissant mon sous-vêtement vers le sol. Elle faisait à présent aller sa bouche sur ma hampe bien droite. Faisant perdurer la fellation pendant 5 ou 6 minutes. Andrée m’avait prévenue un peu avant. Qu’elle allait prendre quelques clichés de l’interaction avec son appareil photo. Sans flash pour ne pas trop nous déranger sous une lumière tamisée…

Danièle – Allons à la chambre…J’ai envie de faire l’amour…

Main dans la main pour ensuite nous diriger vers le lieu d’accouplement. Andrée nous suivant tout près voulant participer visuellement à l’assouvissement. Assis sur le rebord du lit pendant que Danièle s’empalait sur ma tige dressée. Ses cuisses bien ouvertes avec ses genoux sur les couvertures. Les deux mains appuyées sur le robuste bureau de bois devant les bras tendus. Très active et super émotive durant l’interaction. Elle trémoussait son bassin comme une vrai chatte en chaleur. Je pouvais déjà entendre les bruits de sa vulve mouillée s’exprimer dans la pièce. Danièle y allant aussi de quelques vocalises durant l’interaction…

Danièle – Aaaahhhhh…Aaaahhhh….Vient prendre mes seins…Aaaahhhh…Aaaaaahhhh…

Caressant sa poitrine de ma main droite puis son clitoris de ma main gauche. La madame qui était d’une chaleur corporelle fort intense. Remarquant qu’Andrée semblait se déshabiller tout près. J’étais à présent dans la position de levrette avec Danièle dans le lit. Entrain de fourrer la dame de façon très rude et intense. Notant qu’elle avait particulièrement la vulve serrée pour son âge. Des bruits de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Elle jouissant en s’agrippant fortement de la couverture du lit. Quelques jets de cyprine coulant vers l’intérieur de ses cuisses. Éjaculant dans son antre chaud en saccade. Réalisant mon illustre inconnue complètement exténuée. Son fessier toujours à demi cambré dans les airs. Et son corps humide complètement affalé sur le lit…

Andrée – Garde ton foulard sur les yeux…Vas prendre une douche…Je vais te guider…

Revenu à la chambre pour me faire chevaucher par Andrée. Le matelas du lit vibrant d’une cadence soutenue. Danièle toujours présente qui nous regardait la chemise entrouverte. Le corps souillé assis dans un fauteuil avec un café à la main. Habitué de faire l’amour ensemble tous les deux. Disons qu’on pouvaient le faire pendant quinze ou vingt minutes sans vraiment trop s’épuiser. Habituellement deux fois. Pénétrant farouchement ma logeuse sur le bureau. Son lourd fessier humidifiant la surface de bois. Toujours aussi chaude. Elle m’avait demandée de venir dans sa bouche aussitôt le moment venu. Ce que je fit dans les instants suivants.

Au lendemain matin. Me réveillant au côté d’Andrée…

Andrée – Voilà les clichés d’hier…
Moi – Ah…On ne voit jamais son visage…Elle a un nom la dame…
Andrée – Je ne peux pas te le dire pour l’instant…Tu dois juste le découvrir par toi-même…
Moi – Ah…Bon…Si c’est comme çà…Son odeur de vieille était particulièrement délicieuse en passant…Dommage que ma langue n’est pu goûter son antre chaud…
Andrée – Peut-être la prochaine fois…Qui sait…

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