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Le concert

Le concert



Il faisait très chaud dans la salle hier soir.
Le public était venu en masse dans cet ancien temple du fétichisme parisien reconverti en club
rock underground.
Nous partagions l’affiche avec d’autres groupes, tous aussi intéressants les uns que les autres.
Mais la tête d’affiche, c’était nous.
La foule était venu voir ce fameux duo électrique, au charme vénéneux et mystique, dont tout le Paris underground parlait ces temps-ci, et pour cause, vu qu’on fêtait la sortie du nouvel album.

Oui, il faisait une chaleur d’enfer, nos chemises collaient à nos torses, la sueur gouttait sur mon
manche et mon acolyte retrouvait son souffle avec peine. Mais l’énergie était là, la magie et le
danger aussi. La foule se pressait à l’avant-scène, et parmi elle, juste devant moi, une
mystérieuse femme brune, parée d’un long manteau de cuir dans la fournaise. Ses longs
cheveux oscillaient doucement au rythme pourtant effréné de nos compositions. Elle ne me
quittait pas du regard. Pourtant, ce sont plutôt les chanteurs qui subjuguent les femmes, et le
mien n’est pas en reste, avec sa voix chaude et grave, et son charisme a****l.
Mais non, la plantureuse brune n’avait d’yeux que pour moi.

J’ai même cru apercevoir dans ses yeux une lueur sauvage accompagnée d’un sourire
carnassier lorsque, entre deux morceaux, elle me tendit un briquet pour allumer ma rituelle
clope en scène. Elle avait de belles mains fines, gantées de résilles. Absolument troublantes.
Mais je failli rater l’intro du titre suivant, lorsque, dans un mouvement sensuellement
outrancier, elle écarta les pans de son long manteau. Elle me découvrit un corps entièrement
gainé de nylon, que les lumières derrière moi éclairaient divinement. Un corps taillé pour
l’amour, un cou gracile, une poitrine généreuse, une taille fine et, pour le peu que j’en aperçu,
des hanches confortables.
Ses seins tendaient le tissu à l’extrême, comme si ils avaient voulu se jeter sur moi, pour
m’étouffer de leur somptueux volume.
Elle se rajusta aussitôt, et je devinais un petit rire taquin sur ses lèvres pulpeuses.
Je n’avais qu’une seule envie à présent, c’était de la faire venir backstage, après le set.
Sauf que je n’ai pas eu à faire quoique ce soit, puisqu’elle était munie d’un pass all-access, que
je vis plus tard pendre entre ses deux tétons atomiques, lorsqu’elle se planta devant moi, alors
que je sortais des toilettes de la loge, prêt à retrouver les intimes du groupe pour partager une fraiche boisson houblonnée bien méritée.

Sans un mot, elle me repoussa dans l’étroit réduit, agrippa ma ceinture, me tira vers elle pour
me sucer la langue avidement. Mon sang ne fit qu’un tour, ma queue aussi, et me voilà
l’agrippant par les cheveux pour la faire se mettre à genoux sur le couvercle des toilettes, face
au miroir disposé au-dessus. Et je compris enfin l’emplacement curieux de ce miroir, dans
lequel je me matais pourtant quand je venais pisser ici, lors d’anciens concerts. Il allait me
permettre de scruter le visage de la brune inconnue, qui, dans une position outrageusement
sexuelle, m’offrait son dos à contempler.
D’un geste précis, j’écartais les pans de son manteau sur son dos cambré, m’offrant ainsi la
magnifique vue de son cul tendu vers moi, superbement mis en valeur par le nylon qui le
couvrait. Une large ceinture de cuir, à peine serrée autour de sa taille de guêpe, dessinait la
courbe de ses hanches de façon indécente.
De ma main libre, j’exhibais mon sexe déjà fier et puissant, et me mis à le promener sur ces
fesses offertes.
La sensation du tissu frottant sur mon gland me rendit fou d’envie, me faisant bander
durement, à la limite de la douleur. Je continuais pourtant à glisser ma queue sur ce cul que je
voulais maintenant tout à moi et à ma fureur sexuelle.
N’y tenant plus, je m’accroupis, et d’un coup de dents, je fis un trou dans le nylon juste entre
ses fesses.

Elle écarta ses cuisses dans un râle de chienne accomplie et le tissu se déchira tout le long de sa raie. J’attrapais ses fesses à pleines mains, les écartant vigoureusement pour voir son petit trou, cible de ma langue pleine de salive.
Elle gémit adorablement, et dans un petit cri, elle me dit: « Prends-moi, Rocker! Prends-moi
toute! ».
A ses paroles, j’appliquais ma queue contre son orifice élastique dégoulinant de salive, et d’un
grand coup de rein, forçait l’étroit passage.
Elle réprima un hurlement de douleur, tout en me fixant dans le miroir avec des yeux qui me
donnaient l’autorisation de la baiser ainsi, violemment, comme une chienne lubrique et
affamée de tourmentes anales.
J’enfonçais ma queue plus profond, et ma belle longueur cogna au fond de son ventre, lui
arrachant un râle admiratif. Je me mis à la besogner follement, pendant qu’elle m’encourageait
de paroles obscènes et crues.
« Baise-moi bien mon sauvage, mon cul est à toi, je suis toute à toi, Nylone est ta chienne, Nylone est ta salope, vas-y Rocker, défonce-moi! »
Dilatant son cul avec force et application, à grands coups de boutoir de mon bélier de chair,
mes mains emprisonnant sa taille, je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Et je voulais la
finir en beauté.

L’agrippant de nouveau par les cheveux, et me dégageant de son orifice largement ouvert, je
la fis se mettre à genou face à moi. Elle écarta son manteau d’elle-même, me dévoilant ses melons arrogants, et ouvrit sa bouche avec de grands yeux rieurs. Je déchargeais sans retenue
tout mon foutre sur sa petite gueule d’amour et dans sa bouche accueillante. Elle subit la
déferlante avec les yeux grands ouverts, puis elle laissa mon jus chaud et gluant déborder de
ses lèvres, pour le laisser tomber à grosses gouttes sur la voluptueuse matière élastique qui
ceignait ses gros seins. Ainsi maculée de foutre, de son visage à ses tétons, elle était
magnifique de souillure, comme si tout ce sperme répandu sur elle avait révélé sa beauté
fatale. Une belle salope, qui venait de s’offrir à moi avec classe et luxure.
Elle se releva avec prestance, ses beaux cheveux flottant sur ses épaules de cuir, attrapa un
bout de papier toilette pour essuyer son visage. Et, en me fixant droit dans les yeux, elle
referma son manteau sur sa poitrine dégoulinante, comme si elle emportait un secret ou plutôt
un liquide précieux. Elle murmura:  » A plus tard, beau mâle, je reviendrai  » et s’échappa des
lieux comme un vent léger.
Je restais là, interdit et songeur, sans avoir prononcé un seul mot, un sourire aux lèvres, avant de reprendre mes esprits, ranger paisiblement ma queue radicalement essorée et d’aller retrouver l’assistance privilégiée dans la pièce à côté.

Je suis encore troublé par cet épisode délicieusement lubrique et cette femme somptueuse. Et
rien que de repenser à cette soirée, je sens déjà mon manche frétiller et ma tête s’enfiévrer.
Nylone…

R. Lloyd
27/10/2015

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