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Ma Biographie

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Depuis que j’étais devenue une femme, je n’avais eu de cesse de me faire déflorer mais je ne trouvais pas de garçon assez bien pour moi. Je n’arrêtais pas de me masturber si bien que ma mère s’en était inquiétée mais comme nous vivions seules toutes les deux parce que mon père nous avait quittées quand j’étais très jeune, elle n’insistait pas vraiment.
De temps en temps, ma mère ramenait un amant à la maison et elle s’enfermait dans sa chambre avec lui. Je les entendais faire l’amour et gémir et je me masturbais derrière la porte de leur chambre. J’avais pris l’habitude de me masturber avec mes doigts, debout et je préférais ça à le faire allonger dans mon lit. Je me masturbais aussi dans la salle de bains.
J’avais honte de faire ça et si je me donnais des orgasmes, ce n’était pas vraiment ce qu’on pouvait appeler du plaisir. En fait, j’assumais mes besoins naturels. J’aimais aussi ouvrir les jambes et me regarder uriner sur le siège des toilettes. C’était à la fois mystérieux et magnifique à la fois.
Un soir que j’étais seule à la maison, un homme que j’avais déjà vu avec ma mère a sonné à notre porte. J’ai ouvert. Je lui ai dit que ma mère n’était pas là mais il m’a demandé si je n’en ai pas envie, si je ne veux pas qu’il m’apprenne l’amour. Il a ajouté que je ne vais pas continuer à faire ça avec mes doigts et que j’ai besoin de devenir une vraie femme.
Ce soir-là, j’ai vraiment été impressionnée par ce que cet homme me proposait, d’autant plus qu’il m’a sorti sa bite. Je n’avais jamais imaginé qu’un pénis puisse être aussi long et aussi gros. L’ami de ma mère m’a dit que je peux le toucher et je l’ai touché, avec appréhension et ça m’avait l’air aussi dur que du bois. Le type m’a demandé de m’amuser. J’avais entendu tant de chose au sujet de ça au collège que j’ai fini par demander si je peux sucer.
Je me suis agenouillée et j’ai pris le pénis dans la bouche et le sperme a tout de suite envahi ma bouche. L’ami de ma mère m’a dit qu’il est désolé parce que je l’ai trop excité puis il a voulu que j’avale la semence. Ça avait un goût amer mais je l’ai senti descendre dans ma gorge avec plaisir. Ma mère a téléphoné qu’elle sera encore plus en retard que ce qu’elle m’avait dit. J’ai raccroché.
Son ami m’a demandé si je veux continuer. Je n’avais rien d’autre à faire. L’ami de ma mère m’a demandé si je peux lui montrer comment je suis faite et je me suis déshabillée. Je détestais les soutiens-gorges et je n’en portais jamais quand j’étais à la maison, ce qui faisait que mes seins tombaient de plus en plus. Je jouais avec et parfois je tournais le torse à toute vitesse pour entendre mes seins claquer sur mon torse.
– Tu es belle, m’a encore dit l’ami de ma mère, tout en me caressant la poitrine et, tous les deux, ça a été à qui s’amuserait le plus avec ma poitrine.
J’étais loin de penser à ma mère. Je me suis allongé sur la table de la cuisine et le monsieur m’a écarté les jambes pour mieux m’observer et il m’a dit que je serais plus jolie si j’épilais tous mes poils puis il a mis son pénis dans mon vagin et il s’est amusé un moment avant de me demander si je veux essayer avec mon anus.
Je croyais qu’il n’y avait que les hommes qui faisaient ça. Il a enfoncé son pénis dans mon anus. Je devais être assez souple de ce côté-là parce que ça ne me faisait pas mal.
Il me forçait à replier mes cuisses le long de mon corps. A un moment, il m’a dit que j’aurais du succès si je faisais putain. Je n’ai pas relevé. Il avait l’air si excité. Je n’ai pas senti qu’il éjaculait dans mon anus mais c’était fait. Alors, il m’a demandé si je voudrais qu’on recommence et j’ai dit oui.

Quand je me suis retrouvée seule, j’ai repensé à ma mère. Quelque chose s’écoulait le long de mes jambes et je n’imaginais pas que c’était du sperme. Je me suis lavée. Ma mère est rentrée. Elle m’a demandé si elle n’a pas été trop longue, si ça s’était passé bien puis elle a ajouté qu’elle a dîné avec sans doute celui qui deviendrait mon beau-père mais ça ne s’est pas fait.
J’attendais que mon amant revienne mais le jour où il revenu, je l’ai vu arriver par la fenêtre et je me suis précipitée pour ouvrir la porte d’entrée et au moment où il entrait dans notre maison, ma mère a surgi et elle me l’a pris et ils se sont enfermés dans la chambre.
J’étais vraiment déçue et je suis retournée dans ma chambre et pour la première fois, je me suis aperçue qu’au pied de mon lit, les montants se terminaient en une sorte de gland et je me suis résolue à m’empaler dessus. Ça m’a été facile de m’empaler, mais une fois dessus, je n’ai plus arrêté de glisser. Je me hissais et je retombais dessus et petit à petit, j’ai eu un orgasme.
Quelques temps après, je suis allée au sex-shop qui venait de s’ouvrir pas très loin du lycée. J’y suis entrée. La vendeuse m’a demandé si j’ai dix-huit ans. Je n’avais que ma carte de lycée avec ma photo mais pas d’âge. La femme m’a toisée et elle m’a laissée entrer puis elle m’a accompagnée jusqu’à ce que je me décide pour un objet sexuel. Il y avait des godemiché magnifiques, de toutes les formes et de toutes les couleurs. L’un d’eux m’attirait et la femme m’a dit que si je l’achète, elle m’offre un plug anal. Je ne savais pas ce que c’était et elle m’a expliqué et je suis rentré chez moi et je n’ai eu de cesse de porter le plug dans mon anus pour marcher et je suis même allée au cours avec.
– Ma parole, tu as un manche à balais dans le cul, m’a dit un des élèves !
Je le détestais, celui-là et je lui ai répondu qu’il ne croit pas si bien dire et il m’a baisée dans les cabinets de toilette du lycée. Ça a été le premier d’une longue série et je suis devenue le coup rapide et c’est comme ça qu’on m’a appelée.

Après le lycée, je suis allée à la fac. Avec ma mère, nous n’avions pas beaucoup d’argent et le moyen le plus facile pour subsister pour les étudiantes, était de se prostituer. Certaines faisaient des passes de temps en temps mais je n’avais pas vraiment d’argent et j’ai cherché à rendre plus régulières mes rentrées, si bien que je suis rentrée dans un réseau. C’était la première fois que j’avais un téléphone mais il ne servait qu’à m’appeler pour me donner un rendez-vous.
Au début, je faisais une ou deux passes dans la semaine puis j’ai réussi à en faire une par jour, puis deux ou trois certains jours. Je sortais de chez un amant pour aller chez un autre et ainsi de suite. Je faisais tout ce qu’ils voulaient.
Un jour, un de mes clients m’a donné plus d’argent pour que je me fasse un tatouage. Je n’avais jamais pensé à ça. Quand je l’ai revu, il m’a montré un dessin et il m’a dit que ça serait bien sur mon avant-bras. Il m’a donné encore plus d’argent et je suis allée me faire tatouer le bras. Le tatouage fait tout le tour de mon bras. D’un côté, cela représente une Licorne et de l’autre un Pégase et je trouve que c’est très joli. En tout cas, ça fait toujours de l’effet même si ça me fait passer pour une vraie putain ou pour une lesbienne, m’a dit un jour un autre client.
Je me traînais en classe mais j’arrivais quand même à suivre. Un jour, je me suis amusée à compter combien j’avais fait de clients. J’avais plus de mille passes pour le tiers de clients. Un de mes autres clients m’a payé un autre tatouage, cette fois sur les seins et j’ai eu du mal à supporter la douleur mais c’est plutôt réussi. Un autre a voulu que j’ai son prénom tatoué sur mon dos mais j’ai refusé et je n’ai plus fait de tatouages.

Deux ans plus tard, à la fin de mes études, j’allais commencer à travailler quand je suis tombée malade et le sort a voulu que j’épouse le docteur qui m’a soigné à l’hôpital. Il était très amoureux de moi. Je l’aimais bien. Il savait se débrouiller pour le sexe mais notre union n’a pas duré et nous avons divorcé au bout de quatre ans. Ce qui est le plus amusant, est que j’ai fait l’amour la première fois avec une femme. C’était ma belle-soeur. Elle venait me voir chez moi et on n’avait pas tardé à faire l’amour puis elle m’a fait connu d’autres lesbiennes et je n’ai plus pensé à mon mari.
Depuis, c’est selon mon humeur et les occasions. Je voyage beaucoup pour mon travail et je déteste passer la nuit seule dans ma chambre d’hôtel. Alors, ceux ou celles qui savent ce qu’ils veulent n’hésite jamais à me proposer. Parfois, je me fais offrir des cadeaux. Parfois, je fais ça gratuitement. Depuis quelques années, je sillonne le sud-est de la France. Alors, si ça vous dit… Demandez Natalie.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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