Mon premier roman a un succès inespéré et la vente, peu de temps après sa publication, des droits pour l’adaptation au cinéma me rapporte énormément d’argent. Je décide de quitter mon emploi pour me consacrer à l’écriture. Très rapidement je trouve une maison à faire rénover dans un endroit sauvage et retiré. Je fais de suite appel à un architecte pour les travaux, l’aménagement et le mobilier.
Je découvre enfin mon havre de paix. L’entrée donne directement dans la pièce principale. En son centre une belle cheminée ronde avec un foyer au niveau du sol et une grande hotte en inox, sur le côté droit un immense « canapé fait de gros blocs de mousse dense avec de chaque côté un treillis de barres de fer forgé allant du sol au plafond. Sur la gauche un petit coin cuisine ouvert sur la véranda avec pour l’instant juste une grande table deux bancs et deux tabourets en bois. La vue sur ce que l’on appelle un chaos est magnifique. Aucunes traces de la présence de l’homme. Un escalier montre dans une grande pièce toute blanche à l’étage, par la suite j’y ferais certainement aménager deux chambres. Une petite porte discrète sous l’escalier ouvre sur une salle de bain toute en longueur, c’est très sobre, du carrelage blanc et gris une grande douche à l’italienne sans porte, un immense miroir sur le mur opposé.
Je dépose mes affaires installe mon ordinateur sur la table dans la véranda, vérifie que ma connexion internet fonctionne et me mets de suite à écrire.
Cela fait 3 heures que je n’ai quitté mon clavier, je vais manger un petit morceau et descendre passer un petit bonjour à mes plus proches voisins à 500 mètres en contrebas. C’est un couple d’agriculteur d’une bonne trentaine d’année, Christophe est un grand gaillard aux cheveux longs cachés sous son bonnet, Sandrine une toute petite brune rondelette aux joues roses, toujours très souriante et extrêmement bavarde, je la soupçonne d’être très coquine. C’est plutôt rassurant pour moi de les savoir là, ils sont très sympathiques et toujours prêt à rendre service. Sandrine m’offre un café, on papote un peu puis je remonte, accompagnée par leur gros bouvier des Flandres.
Ma première soirée seule dans la maison, je vais la passer à écrire assise en tailleur, nue, près de la cheminée.
Ce matin j’ai rendez- vous avec Rosy, je me lève tôt car j’ai deux heures de route. Je vais la récupérer à la gare.
Après être allées récupérer ma commande, avoir fait quelques courses, nous rentrons à la maison. Rosy profite du paysage une main posée sur ma cuisse. La route est sinueuse et ne nous laisse pas vraiment l’occasion de se laisser aller à des caresses plus coquines. Nous arrivons enfin, il est 15 heures, le ciel est bas, la maison dans les brumes de fin d’hiver. Rosy dépose son sac.
« Vas-y ! visite, je vais raviver le feu, que l’on puisse se mettre à notre aise » lui dis-je en souriant.
Je remets du bois et fais repartir le feu avec le soufflet. Rosy a rapidement fait le tour de la maison, elle est maintenant dans la véranda en train d’admirer le paysage embrumé.
« C’est beau ! Il reste encore de la neige par endroit «
« Oui ! Normalement ça doit se découvrir en fin d’après-midi, tu verras, c’est un paysage étonnant «
« Tu veux un café ? »
« Oui s’il te plait »
Je prépare deux cafés, vais la rejoindre dans la véranda, pose les tasses sur la table et me colle à son dos tout en posant mes mains sur ses hanches par-dessous son pull. Je la caresse, d’abord le ventre puis les seins par-dessus son soutien- gorge. Je déboutonne son pantalon pour y glisser une main. A travers sa culotte je sens sa toison et devine du bout des doigts le début de sa fente. Elle me retient en attrapant mon poignet.
« Le café va refroidir ! »
Elle se retourne et m’embrasse langoureusement en me caressant le bas du dos.
Nous buvons notre café assises face à face sur les tabourets. J’ai une folle envie d’elle. Elle pose sa tasse vide sur la table, prend le tabouret et va s’installer devant la cheminée.
« Je vais passer quelque chose de plus confortable, j’arrive »
Dans la salle de bain je me dévêtis et enfile une petite robe légère.
Je retourne dans la grande pièce.
« Tu devrais faire comme moi «
Elle fouille dans son sac, en retire une nuisette noire, quitte tous ses vêtements me tend la nuisette.
« Tu viens m’aider «
Elle est belle comme cela nue, ses yeux pétillant et son petit sourire coquin.
Bien qu’elle n’ait pas besoin de moi pour enfiler sa petite tenue, je vais l’aider. J’ai deviné qu’elle cherche à me faire languir d’elle, je vais moi aussi jouer.
« Cela te va très bien, tu es magnifiquement sexy ! Bon, je vais me remettre au travail ! » Je m’éloigne et vais m’assoir devant mon ordinateur.
« Tu te moques de moi ? »
« Ben non ! Pourquoi tu dis ça ? »
Elle vient derrière moi et prends mes seins entre ses mains tout en m’embrassant dans le cou.
« Attends je dois travailler un peu »
« Bon, je te laisse travailler » me dit-elle d’un air boudeur et va s’assoir en tailleur devant la cheminée. Je tape quelques lignes, son attitude m’amuse.
« Bon je vais me faire plaisir seule puisque tu es occupée »
Je ne réponds pas, la regarde du coin de l’œil. Elle a remonté une jambe et promène sa main entre ses cuisses, tout en gémissant de façon exagérée.
Je suis prête à craquer et à la rejoindre, lorsque mon portable sonne. C’est Sandrine. Elle me prévient qu’avec Christophe, ils viennent me livrer le bois que je leurs ai commandé. Je ne dis rien à Rosy, je vais dans la salle de bain passer une tenue plus appropriée et j’attends.
« Ellen, il y a quelqu’un à la porte »
« Ben ! Ouvre »
Elle arrive dans la salle de bain.
« Ça va pas, je suis pratiquement nue ! «
« Ok ! Je vais aller ouvrir «
« Attends je récupère mes affaires »
Rosy att**** ses vêtements restés au sol et retourne dans la salle de bain.
« Bonjour Sandrine » Elle me fait la bise en se mettant sur la pointe des pieds. Christophe décharge le bois pour le ranger dans l’appentis sur le côté.
« Je vais vous aider »
« Non, laisse ! Christophe va s’en charger. J’ai ramené les billots que tu voulais, pour faire des tabourets je crois ! Tu veux bien m’aider ils sont assez lourds «
Nous transportons à l’intérieur les trois morceaux de troncs d’arbre écorcés.
Rosy sort de la salle de bain en jogging.
« Bonjour moi c’est Sandrine, la voisine ….. »
« Enchantée ! Rosy, une amie d’Ellen »
« Vous voulez boire quelque chose ? »
« Non, merci, il nous reste encore du travail, mais passez boire l’apéro vers 19 heures si vous voulez «
» Je te promets rien, on verra «
Je raccompagne Sandrine.
« Je suis certainement indiscrète, mais vous êtes amies comment ? »
« Pourquoi cette question »
Sandrine sort de sa poche, la petite culotte de Rosy.
« C’était dans l’entrée » me dit-elle tout sourire.
« A toute à l’heure, soyez sympas, venez, on ne voit pas grand monde ici , tu sais ! »
Il est déjà 18 heures, nous avons passé un long moment à nous câliner sur le canapé, de tendres baisers et de douces caresses.
Je suis heureuse de retrouver Rosy !
J’ai convaincu Rosy de venir avec moi boire un verre chez Christophe et Sandrine. Après une douche ensemble, nous nous habillons chaudement et descendons à pieds les 500 mètres qui nous séparent de la ferme.
Arrivées à hauteur de l’entrée de la grange dans laquelle ils stockent le foin et la paille , j’ entends des bruits « bizarres » .
« Tu étends ? «
« Non «
« Viens on va voir »
On s’approche sans faire de bruit, et là surprise, Sandrine est nue, pliée en avant les mains posées contre une vielle mangeoire alors que Christophe, pantalons sur les bottes, chemise ouverte, la prends en levrette. Aux mouvements amples du bassin que fait le jeune homme, on devienne aisément la taille de son membre. Les fesses de Sandrine sont rondes, fermes, ses seins suivent le mouvement de son corps sans balloter, ses cuisses sont courtes mais musclées. Elle accompagne les mouvements de son amant pour profiter de son sexe sur toute sa longueur. Christophe ; les jambes pliées pour être à la hauteur du cul de sa belle accélère la cadence. C’est ce moment que je choisi pour lancer un
« Il y a quelqu’un ? «
Sous l’effet de la surprise le jeune homme se retire brusquement, son sexe vient claquer sur son ventre et au même instant une puissante giclée de sa semence jaillit, et vient arroser les poils de son torse. Totalement hébété, il nous regarde sans pouvoir maitriser son éjaculation. Il tente bien de cacher son sexe, mais celui-ci est incontrôlable et continu de déverser son sperme abondamment entre ses doigts. Cela va très vite, mais j’ai comme l’impression de voir la scène au ralenti.
Il remonte son pantalon les mains dégoulinantes, il se contorsionne pour rentrer son imposant pénis raide comme du bois. Puis se sauve sans rien dire en passant sur le coté.
Sandrine est debout de face son large pubis est recouvert de poils courts, imperturbable, elle nous sourit.
« Tu n’as pas froid ? »
« Ha ! Si je me rhabille ! Venez on va à la maison ! Je pense qu’on ne verrait pas Christophe , il va faire son timide « .
Nous passons un bon moment toutes les trois à gouter à plusieurs breuvages maison accompagnés de charcuterie et de fromages de la ferme.
Vers 21 heures un peu fatiguée, je dis à Rosy « on va peut-être rentrer, j’ai un coup de barre ». Sur le chemin du retour Rosy me serre contre elle en me tenant par la taille, j’ai un peu trop bu, je ne suis pas habituée. Un fois passées la porte d’entrée, je la prends dans mes bras et l’embrasse fougueusement. Je retrouve le gout sucré de sa salive, la douceur de ses lèvres, la chaleur humide de sa bouche, de sa langue. Mon bas ventre me picote.
J’ai envie d’elle.
Je fais tomber son manteau puis le mien. Nos bouches se séparent juste le temps d’enlever nos pulls. Tout en continuant à nous embrasser nous nous déshabillons mutuellement. Elle me ratt**** alors que j’allais tomber en me prenant les pieds dans mon pantalon. Je la pousse sur le canapé elle se laisse tomber en arrière et sans ménagement je plonge ma tête entre ses cuisses. J’embrasse son sexe tout en tournant ma langue comme si c’était sa bouche.
« Doucement Ellen ! Attends …… »
Mais je ne l’écoute pas. Je suis avide de son intimité et je la dévore littéralement.
Elle me repousse gentiment « Attends Ellen « me dit t’elle en me souriant « Attends, je dois aller aux toilettes, cela fait bien une heure que je me retiens ».
Je regarde son joli cul blanc se mouvoir alors qu’elle se dirige prestement vers la salle de bain.
La voilà qui revient.
« Ah ! Ça va mieux, je vais nous faire un petit café, tu veux ? «.
« D’accord, mais fais vite «
Je la regarde s’affairer dans la cuisine, nue à l’exception de ses grosses chaussettes, elle est belle !
Nous buvons notre café en nous regardant dans les yeux, puis elle prend les tasses vides et les pose sur le plan de travail, vient s’allonger sur le dos à mes côtés ,les bras au-dessus d’elle , les jambes écartées et relevées.
« Tu en étais ou ? »
Je reprends ma position entre ses cuisses et viens déposer de petits bisous sur ces lèvres entre-ouvertes. Ma langue parcoure sa fente, chacune de ses petites lèvres saillantes. Avec deux doigts, je les écarte pour voir l’entrée de son vagin suinter de cyprine. Je l’aspire bruyamment. Elle gémit doucement. Je passe ma main sous ses fesses, la pénètre de mon pouce. Du bout de la langue je cherche son clito, tourne autour puis l’aspire du bout des lèvres. Ses gémissements se font plus audibles, plus longs, plus fréquents. Je continue comme cela, alternant caresses de la langue et aspirations, pendant que mon pouce tourne à l’intérieur de son vagin. Par moment il se contracte légèrement. Je pose mon autre main sur son ventre et accélère mes mouvements de la langue. Elle se cambre et se caresse les seins, tout en gémissant de façon presque continue. Soudain elle prend ma tête entre ses mains, soulève le bassin en prenant appui sur ses pieds ,son vagin se contracte enserrant mon doigt . Elle jouit.
Je suis contre elle , ma tête posée sur le coté entre ses seins , le battement de son cœur comme une berceuse ralentit et se fait plus discret. je m’endors.
A SUIVRE
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