Cette période va de début 2010 à fin 2013 et marque presque la fin de mes débordements sexuels hors mariage.
Voulant m’occuper un peu je travaille à temps partiel dans différentes sociétés pour deux entreprises différentes.
Il arrive fréquemment que je sorte pour me promener ou pour le travail après avoir mis dans mon sexe un gode équipé de ceintures que mon mari a bricolé pour qu’il tienne en place quand je me déplace et même quand je suis assise dans le métro ou le bus.
Cela fait monter les envies dans mon ventre et m’excite beaucoup surtout quand je marche.
Quand je le retire ma chatte celle-ci est très gluante et mouillée.
Souvent quand je suis seule à la maison, en plus de me masturber le clitoris et de me doigter la chatte et l’anus, j’utilise des godes dans mon vagin et mon cul pour passer mes envies de sexe.
En fin d’après-midi, deux fois par semaine je travaille dans des bureaux d’un service public situé dans une ville de l’agglomération Lilloise.
Les employés ont déjà un certain âge, certains certainement attirés par mon air de salope, me font des propositions et à les croire leurs épouses sont allergiques à la fellation.
Il faut dire que je les encourage par mes paroles et mon attitude à être plus entreprenants avec moi mais malgré leur envie ils ont du mal à se décoincer ce sont des hommes à principes.
Un jour un certain Christian m’invite à boire un verre dans un bar, je m’habille sexy pour lui plaire.
Il me parle de fellation et moi je déballe tout ce que je peux lui faire d’autre. Il est mal à l’aise et ne s’attarde pas.
Un dimanche mon mari est absent, j’ai rendez-vous avec Christian, je monte dans sa voiture et nous allons dans un parc, une fois garés il caresse ma figure et mes seins et me demande de lui faire une fellation.
J’accepte, il déboutonne son pantalon et en extrait sa petite queue.
Je me penche sur lui et après l’avoir un peu léchée je la prend dans ma bouche et commence des mouvements de va-et-vient, mon nez vient sans peine cogner contre son pubis. Très rapidement il se raidit et éjacule dans ma bouche. J’ouvre la portière et recrache le sperme.
Je veux qu’il pénètre ma chatte mais par peur d’être surpris il refuse et rajuste son pantalon.
Deux jours plus tard il est seul dans les bureaux au premier étage, mon travail terminé je viens à côté de lui et le caresse partout bien décidée à avoir ce que je veux.
Il se lève de sa chaise, baisse son pantalon et son caleçon. Accroupie je caresse sa queue et ses testicules puis ma bouche avale son petit membre et je lui fais une fellation avec de aller-retour rapides de mes lèvres sur son membre qui secoué par des soubresauts ne tarde pas à arroser ma gorge, je vais recracher le sperme dans un lavabo.
Revenue près de lui je le masturbe pour qu’il bande de nouveau correctement, j’enlève mon pantalon et ma culotte, je me courbe en lui tournant le dos tout en m’appuyant sur son bureau. Il introduit son pénis dans ma chatte et me prend en levrette. je sens très peu les va-et-vient de sa petite queue dans mon ventre, après avoir oeuvré pendant un petit moment il se retire et va éjaculer dans le lavabo.
Des jours passent, les bureaux sont vides seul reste Arnaud avec qui j’ai déjà discuté plusieurs fois mais sans plus.
Il vient me voir et dit:
<< j'ai un peu de temps, on est seuls, ça te dirait qu'on passe un bon moment ensemble>>.
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Il baisse son pantalon et son slip pendant que j’enlève mon caleçon et ma culotte.
Il est très bien monté, Je caresse son gros pénis puis lui tournant le dos je m’appuie contre le mur et je me penche en écartant les jambes.
Positionné derrière moi il présente sa verge à l’entrée de ma chatte et en me tenant par les hanches fait coulisser son membre jusqu’au fond de ma grotte puis commence à remuer me procurant du plaisir pendant les va-et-vient en forçant le passage et de la douleur quand il tape au fond. Après m’avoir défoncée un petit moment sa queue gonfle encore et son membre agité par des soubresauts il éjacule envoyant de grosse giclées de sperme au fond de mon vagin.
Il s’essuie et se rhabille pendant que je remets ma culotte et mon caleçon.
Avant de partir il me dit qu’il faudra que l’on recommence et que ça lui a plu.
J’ai compris que dans ce service je suis cataloguée par les hommes de « grosse salope » ce qui est du à la façon dont je les regarde et à mes attitudes.
Le matin de 5 à 8 heures je travaille dans les bureaux d’entrepôts dans une petite ville proche de la frontière avec la Belgique.
Didier un chauffeur qui n’est pas mal physiquement me paie souvent un café et je vois bien que c’est un homme à femmes ce qui m’amène à le draguer.
Il n’est pas insensible et me dit un jour:
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Le lendemain dans les vestiaires je me change: maillot, mini jupe, bas à jarretières et pas de dessous. j’enfile une gabardine pour cacher ma tenue.
Il m’attend devant son camion et m’aide à monter côté passager puis démarre et va se garer dans un chemin quelques kilomètres plus loin.
Il tire les rideaux et s’approche de moi, nous échangeons de longs baisers ou nos langues se mêlent pendant que chacun caresse le corps de l’autre par dessus les vêtements.
Il va s’asseoir sur la couchette, j’enlève ma gabardine et le rejoins.
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Je déboutonne son pantalon et le fais descendre vers ses pieds en même temps que son caleçon, il soulève ses fesses puis ses jambes et ses habits se retrouvent sur le siège avant.
Un beau pénis est fièrement dressé, à genoux je le caresse puis l’embrasse, le lèche et enfin le mets dans ma bouche dans laquelle je l’enfonce. Je pratique une fellation avec des mouvements tels que sa verge sors presque de ma bouche puis je l’engloutis de nouveau et mon nez va jusqu’à toucher son pubis.
Il porte sa main à ma chatte et avant de la caresser s’écrie:
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Au bout de quelques minutes son corps se tend et il éjacule dans ma bouche, son sperme a un bon goût je l’avale.
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Il bande toujours. Je me mets à genoux sur lui, mes jambes de chaque côté de son corps et j’introduis sa verge dans ma chatte. j’effectue des mouvements verticaux, son membre vient taper le fond de ma grotte, il remue en même que moi en s’agrippant à mes seins. Après un moment les soubresauts de sa queue accompagnent l’éjaculation quand il arrose mon ventre.
Je m’essuie. Sa queue a perdu de sa superbe je la masturbe puis commence une fellation jusqu’à ce qu’elle retrouve des dimensions correctes. Descendus de la couchette il me prend en levrette pendant que je triture ses bourses. Il défonce ma chatte un bon moment avant d’éjaculer encore dans mon vagin.
je sors une culotte de mon sac et me rhabille pendant qu’il en fait de même.
Le rendez-vous suivant je viens sans soutien-gorge mais avec un string que à sa demande je garde les deux fois quand il me pénètre puis éjacule dans ma chatte (en dehors de la fellation ou il se soulage dans ma bouche).
Il éjaculera quatre fois lors de notre troisième rencontre (une fellation,deux fois moi à genoux sur lui et une fois en levrette après que j’aie sucé son pénis pour le remettre en forme).
Je ferais encore cinq fois l’amour avec lui toujours dans son camion avant qu’il ne soit muté ailleurs.
Deux soirs par semaine je travaille dans une école située près d’un beau parc très fréquenté.
J’y viens en bus ou en tramway puis je traverse le parc pour accéder à l’école et quand j’en sors il est tard et beaucoup de voitures traversent le parc coupé en deux par une rue.
Je marche, une auto s’arrête à ma hauteur:
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L’homme m’invite à monter dans son véhicule puis se gare dans un endroit sombre. Il me donne des billets puis sort son pénis, je lui fais une fellation en m’appliquant pour qu’elle ne dure pas longtemps et rapidement son sperme coule dans ma bouche, je le recrache par la portière. Il me ramène vers l’arrêt de bus.
Suite à ça je mets des préservatifs dans mon sac. Ils servent car régulièrement je suis accostée par des automobilistes qui me réclament une pipe que je leur fais bien volontiers une fois qu’ils m’ont payée.
Un homme âgé vient régulièrement, il ne bande pas mais me récompense pour que je lui caresse et tripote son sexe mou et flasque pendant une dizaine de minutes.
Soudainement les rondes de police se font nombreuses dans ce parc à cause de la drogue qui y circule de plus en plus alors j’ai calmé le jeu.
Pour mes différentes activités un manager me supervise et rapidement j’ai une relation sexuelle avec lui.
Un jour il m’emmène dans sa voiture voir une société ou je devais commencer à travailler pour la première fois dans Lille, en route il me parle et pose sa main sur une de mes cuisses ce qui me surprend. Il me regarde et me dit:
<<ça ne te dérange pas>>.
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<<ça faisait un moment que je voulais te draguer, on pourrait peut être se voir pour passer un bon moment ensemble>>.
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Quelques jours passent et il vient me chercher à mon travail pour m’emmener sur le site suivant. En chemin il stoppe dans un chemin près d’une ferme isolée.
Nous nous embrassons, caressons puis il sort son sexe, je lui fais une fellation et rapidement il éjacule dans ma bouche, je recrache le sperme par la portière.
Il sort, fait le tour de l’auto puis ouvre ma portière.
Je me mets à genoux sur le siège après avoir retiré mon pantalon et ma culotte.
Il se positionne derrière moi et me pénètre en levrette, sa queue fait des aller-retour dans mon intimité pendant un petit moment puis ses doigts se crispent sur mes cuisses pendant que son membre s’agite et qu’il déverse sa semence dans mon vagin.
Nous nous essuyons et rhabillons puis la voiture redémarre.
Nous recommençons plusieurs fois toujours au même endroit.
Mais il a été malheureusement licencié, pour geste déplacé sur une femme handicapée (accusation vraie ou fausse ???).
Un nouveau manager le remplace et me drague ouvertement sans perdre de temps, avant toute chose je décide de le tester.
Il me propose un rendez-vous, je lui dis que je suis d’accord s’il me trouve des heures de travail en plus.
Il doit me proposer quelque chose mais il quitte la société trop rapidement licencié pour incompétence.
Déçue je décide de draguer Eddy le manager qui le remplace, ça ne peut qu’être bon pour mon travail.
Un jour qu’il me véhicule d’une société à une autre je lui fais du rentre dedans puis je pose ma main sur sa cuisse que je caresse un peu. Une bosse sur son pantalon au niveau de son sexe m’indique que cela le fait bander.
Il est décontenancé mais ne dit pas non à une relation intime.
Quand je le revois à nouveau il me véhicule encore et me dit qu’il n’a pas beaucoup de temps mais qu’on peut s’arrêter quelque part. Je donne mon accord et je déboutonne son pantalon, sors son pénis qui bande bien, je lui fais une fellation, il éjacule dans ma bouche et j’ouvre la portière pour recracher le sperme.
Je veux continuer mais il est pressé et remet de l’ordre dans ses vêtements. Il me complimente disant que je suce très bien.
La fois d’après sous ma gabardine je suis vêtue d’une mini jupe, un maillot et des bas. en montant dans sa voiture je retire ma gabardine puis caresse sa cuisse. Rapidement une bosse se forme et grandit sur son pantalon.
Il se gare dans un chemin et me demande si je suis prête à lui faire une bonne pipe, il déboutonne son pantalon le baisse et sort sa queue. Je me penche sur lui et après avoir bien léché le pénis je le prends dans ma bouche et je lui administre une fellation sérieuse et appuyée afin de le satisfaire, il gémit et je sens son membre se dilater dans ma bouche qui est ensuite envahie par des jets de sperme que je recrache par la portière.
Je caresse et masturbe sa queue afin qu’il ne remonte pas son pantalon.
Il sort du véhicule et ouvre ma portière, je me mets à genoux sur le siège et après m’avoir un peu caressé la chatte il me dit:
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Il introduit sa verge dans ma grotte puis il fait des mouvements de va-et-vient jusqu’au moment ou je sens un peu de sperme couler dans mon intimité, il se retire et finit d’éjaculer dans l’herbe.
Ensuite lors de nos ébats c’est toujours le même rituel sauf qu’à ma demande il éjacule dans mon vagin quand il y introduit sa verge.
Plusieurs fois en allant au siège de la société qui m’emploie quand j’en sors il me rejoint dans la rue et m’emmène chez lui ou nous buvons un café puis je lui fais une pipe, ce qu’il adore, et ensuite, lui sur moi ou moi sur lui, sa verge pilonne mon vagin jusqu’à l’arroser de son sperme. Nos ébats se passent dans la chambre d’amis (pas dans le lit conjugal, il dit que ce ne serait pas bien) ou sur le canapé et nos étreintes ne durent jamais bien longtemps car il n’éjacule jamais plus de deux fois.
Il me dit que je suce très bien et que je suis une sacrée putain.
C’est chez lui que j’aurais un de mes derniers rapports sexuels hors mariage.
La conclusion qui s’impose à moi est que ces dernières années dans mes rapports sexuels je ne prends pas mon pied, mes partenaires ne cherchent pas à m’amener au plaisir ni à faire durer les rapports et le sexe pendant le travail avec des hommes pressés ce n’est pas l’idéal.
De nouveau un déménagement, je change de région pour aller profiter de l’air iodé au bord de l’océan.
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