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Mes chers voisins

Mes chers voisins



Une matinée douce et ensoleillée comme celle-ci, je l’attendais depuis des semaines. Cet hiver qui n’en finissait pas, raccourcissant les journées de leur luminosité autant qu’il apporte son lot d’amertume et de morosité, avait fini par entacher mon moral.
Mais depuis 2 jours, le printemps semble s’installer pour de bon en ce samedi matin. Il est encore tôt mais je suis décidé à profiter au maximum du temps qui m’est généreusement accordé. Je ne souhaite pas perdre une minute de plus dans les bras de Morphée.

D’un bond, me voilà sorti de notre chambre parcourant notre T4 de type haussmannien et je me dirige droit vers la cuisine afin de me préparer un bon café, sans lequel aucune journée ne peut démarrer convenablement. Une petite capsule Ristretto en place et je lance la cafetière. Malgré ma motivation matinale, je suis encore mal réveillé et mon regard s’évade par la fenêtre, dévisageant les quelques piétons déambulant sur le trottoir. Je remarque aussi qu’en face de notre immeuble, un fourgon de location est stationné dans cette petite rue étroite, les portes arrières étant grandes ouvertes. Je ne peux voir son chargement mais les quelques items jonchant le trottoir laissent suggérer que l’appartement à louer au dernier étage, a trouvé preneur. De notre appartement situé au même niveau, nous pouvons voir distinctement l’intérieur s’il n’y a pas de rideaux, le vis à vis étant très proche. C’est l’inconvénient des petites rues parisiennes. Plusieurs cartons sont déjà dans l’appartement et environ plusieurs jeunes trentenaires s’affairent à vider ce camion. Cela n’est surement pas une colocation car cet appartement n’a visiblement qu’une seule chambre.

Profitant de mon planning libre de toute obligation aujourd’hui, et après avoir apprécié mon café, je décide d’aller courir une petite heure pour me décrasser de cette semaine de folie. J’ai 48 ans mais j’ai toujours pris soin de mon corps grâce à une activité physique intense et régulière, ainsi qu‘une alimentation saine et équilibré. En plus de la nécessité d’avoir cette soupape de décompression, l’autre bénéfice de ce rythme de vie est que je parais 7/8 ans de moins et cela plait beaucoup à ma femme qui aime glisser ses mains sur mon corps ferme et tonique. Et ce n’est d’ailleurs pas la seule, mon assistante me fait régulièrement des allusions flatteuses concernant mon physique et elle n’hésite pas à m’aguicher afin de m’attirer dans ses filets. Jusqu’ici, j’ai réussi à garder non sans mal, la distance nécessaire au bon fonctionnement de notre relation professionnelle. Ses charmes et ses formes généreuses feraient tourner la tête de n’importe quel homme normalement constitué. Seule cette appréhension de mettre à mal notre collaboration m’a empêché de la coucher sur mon bureau, pour relever l’une de ses petites robes quotidiennes, écarter son string d’une main et pousser mon chibre au fond de sa petite chatte trempée.

Mes chaussures lacées, je n’oublie pas les clés de mon appartement et descends les marches deux à deux en guise d’échauffement durant les 5 étages qui me séparent de la chaussée. Une fois en bas, je ressers un lacet légèrement distendu, ajuste mes écouteurs et lance la playlist sur mon iphone. Je suis fin prêt pour ma séance de running. Instinctivement, je remarque sur le trottoir opposé une magnifique paire de fesses me faisant face, moulées dans un pantalon en toile très fin. « Aie, pauvre demoiselle », pensais-je. A porter de lourds cartons sans plier les genoux, je ne donne pas cher de ton dos ce soir. J’espère que tu as une gentille moitié qui pourra te prodiguer quelques massages car tu en auras surement bien besoin.

Je trottine ainsi quelques mètres, sans regarder réellement où je mets les pieds, et manque plusieurs fois de peu les poubelles et poteaux disséminés sur le trottoir. Si ma femme me voyait, je serais bon pour une belle crise de jalousie. Mais celle-ci dort encore et j’en profite donc de ce moment pour ces quelques foulées. Je me surprends aussi à sourire instinctivement, agréablement surpris par cette agréable vision matinale. Il n’y a pas à dire, il n’y a rien de plus beau que le corps d’une femme. Dans son cas, bien que je n’ai pas pu voir son visage, elle me semble proche de la trentaine, dans une tranche donc forcément avantageuse pour le physique si l’on compare par exemple avec mon épouse bientôt quinquagénaire comme moi. Mais ces quelques années en plus sont souvent compensées par une plus grande expérience, une meilleure technique et connaissance de son propre corps, de ses zones érogènes et de ses envies.

1h15 plus tard, me voilà de retour dans mon quartier, revenant à mon appartement à faible allure, afin de baisser doucement en intensité. Je réserve toujours une dizaine de minutes en fin de séance pour mes étirements et les quelques potelets qui se trouvent en bas de chez moi, sont parfaits pour cela. Le camion n’est plus là, le déménagement doit être terminé. Je suis curieux de savoir si le beau fessier aperçu tout à l’heure appartient à la locataire de cet appartement. Je l’espère en tout cas, car il m’arrivait très régulièrement de voir les anciens occupants dans leur appartement grâce à la forte proximité, ce qui dans ce cas-ci, serait une véritable aubaine. Je remonte les marches 2 à 2, impatient de découvrir mes nouveaux voisins d’en face. Une fois rentré, je me précipite à la fenêtre pour avoir la réponse à cette question mais quelle ne fut pas ma déception de n’y voir qu’un jeune homme, certes beau, mais étant totalement hétéro, sans aucun intérêt pour moi. Personne d’autre dans le salon, ni dans l’unique chambre de ce petit appartement. J’en connais la configuration et je sais qu’il n’y a pas d’autres pièces, quel dommage ! Mais voilà qu’une porte s’ouvre, et oui, j’avais oublié la salle de bain. Je découvre celle que j’attendais et espérais tant, de face cette fois-ci. Je reconnais sa longue chevelure blonde et raide, et peut enfin découvrir son visage. Aussi bien de dos que de face, cette demoiselle est magnifique. Grande, de belles courbes se laissent deviner dans ses habits amples mais suffisamment fins pour dessiner une belle poitrine, une taille fine, des hanches marquées et des cuisses longilignes. Monsieur est bien chanceux. Ma femme, qui vient de se réveiller, me demande ce que je regarde. Evidemment, je lui mens effrontément et je lui dis que je regarde les éboueurs qui s’affairent dans la rue. Elle n’y trouve rien à redire, étant déjà passé à sa liste de doléances qu’elle aimerait me voir effectuer dans la journée. Mon agenda se remplit donc malgré moi.

Mais avant toute chose, je file sous la douche, toujours perturbé par cette jolie voisine si désirable. Je profite de ce moment d’intimité pour me caresser et stimuler cette bite déjà bien vivace et qui a bien compris qu’une nouvelle venue était la cause de mon imagination débordante de ce matin.

Le weekend passe sans avoir la chance d’apercevoir de nouveau mes jeunes voisins, les rideaux restant tirés ces deux jours. La semaine et son rythme effréné reprennent, ne laissant que peu de répit et temps morts. Je suis médecin généraliste et mes journées peuvent ressembler à un parcours du combattant, mais de plus il m’arrive de faire quelques prolongations en soirée. C’est ce qui m’attend aujourd’hui. Plusieurs rendez-vous sont déjà planifiés, et l’épidémie de grippe n’a pas dit son dernier mot. Les cas se multiplient et je sens que cela sera la majorité de mes patients ce jour. 8h, me voilà à mon cabinet. Anne, mon assistante est déjà là, préparant mon second café de la journée, tel que je l’affectionne. Noir, sans sucre, corsé. De nouveau, elle a encore une nouvelle robe bleue pétrole laissant ses belles et longues jambes découvertes, agrémentée d’un long gilet noir, ainsi qu’une paire de bottes lui donnant un look plutôt relax mais tout de même sexy. Son physique tonique, fin et athlétique y fait beaucoup. Anne plait énormément aux hommes et je sais aussi que nombreux de mes patients n’hésitent pas à venir dans mon cabinet rien que pour le plaisir de la croiser, voire de tenter une drague plus ou moins bienvenue. Elle y est habituée et sait remettre ces messieurs à l’heure place en toute gentillesse, avec humour mais aussi fermeté. Une main de fer dans un gant de velours. J’apprécie beaucoup cette qualité chez elle. Elle sait parfaitement ce qu’elle veut, et en ce moment, sa cible, c’est moi. Le fait que je lui résiste attise encore plus son envie, décuple son imagination pour attirer mon attention et faire grimper ma libido. Je ne compte plus les fois où son crayon tombe malencontreusement par terre et qu’elle doit s’efforcer de le ramasser, jambes tendues, et tout ça devant la porte ouverte de mon bureau. Anne est tellement parfaite professionnellement, elle est mon vrai binôme, nous nous complétons parfaitement, que je ne peux la réprimander pour cela bien qu’ayant démasqué son petit jeu. De plus, je dois bien avouer que cela me plait, même m’émoustille fortement, à tel point que je dois multiplier les séances d’onanisme afin de décharger cette tension accumulée. Il m’est aussi déjà arrivé m’imaginer lui faire l’amour lors d’ébats avec ma femme, chuchotant son prénom pendant nos levrettes sauvages, le claquement de mes couilles contre le cul de mon épouse couvrant ces paroles qui déclencheraient une troisième guerre mondiale si elles étaient entendues par mon officielle.

Mon café à la main, je parcours le planning qui m’attend, semi-rempli pour l’instant. Mais l’enchainement d’appels que j’entends au standard m’annonce que les quelques créneaux libres ne devrait pas le rester très longtemps.
Il est 19h, je suis éreinté mais il me reste une dernière patiente à voir. Anne a déjà quitté le cabinet, et je m’occupe donc d’aller chercher ce dernier rendez-vous. Les yeux sur l’horloge, j’appelle cette dame. « Alix BAZIN ». Un petit « Oui » prononcé d’une voix douce parvient à mes oreilles. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir ma jeune voisine dans ma salle d’attente, souriante, délicate, fraiche. Je rougis et bégaie un semblant de bonjour. Cela ne m’arrive jamais mais elle me trouble. Je me reprends et l’invite à me suivre. Elle me sert la main, plongeant ses grands yeux verts dans les miens. Je ferme la porte, la laisse ouverte, je ne sais plus trop bien. Finalement, je la ferme. Je lui désigne la chaise et elle prend place en se mettant à l’aise. Son chaud manteau d’hiver en moins sur le dos, je peux revoir cette silhouette qui m’avait envouté le premier jour. Je lui demande pourquoi elle vient me voir, et heureusement pour elle, rien de grave. Elle a juste besoin d’un certificat médical pour une inscription en club de sport, ce qui fut réglé en 5 minutes.

Puis, nous venons à discuter du quartier et elle me dit qu’elle vient d’emménager avec son mari à deux rues d’ici, chose que je sais déjà bien entendu mais je feins la surprise. Je lui indique vivre dans la même rue, au numéro 46. Elle sourit et me dit que c’est toujours bien d’avoir un voisin médecin, cela peut toujours servir en cas d’urgence. Je ne sais pas comment le prendre, je soupçonne un sens caché à cette réflexion mais je dois me faire des films. Malgré tout, un regard coquin et malicieux ne la quitte pas. J’ai chaud tout d’un coup. Son certificat en main, nous quittons mon cabinet, j’éteins les lumières et referme la porte à clé. Notre conversation se poursuit naturellement dehors en direction de nos appartements respectifs. Le chemin du retour passe plus vite qu’à l’accoutumée et je profite des trottoirs étroits pour la laisser me devancer, par galanterie mais aussi pour pouvoir admirer cette belle paire de fesses qui se balance devant mes yeux, malgré la pénombre déjà bien installée. Nous voilà arrivés devant la porte de mon immeuble, elle me remercie de ma patience et de l’avoir prise si tardivement, et nous nous souhaitons mutuellement de passer une belle soirée.

De retour chez moi, l’odeur d’un bon repas en préparation m’accueille et j’embrasse tendrement ma femme qui est aux fourneaux. Elle me sourit et me demande comment s’est passé ma journée. Je ne lui indique pas avoir reçu notre belle voisine d’en face mais c’est bien le seul moment de la journée dont j’aime me souvenir. Elle aussi me détaille le déroulé de sa journée, son chef exaspérant, les dossiers qui n’avancent pas, les collègues qui tirent la couverture à eux, bref rien de nouveau apparemment. Je regarde par la fenêtre pour voir si j’aperçois ma nouvelle patiente mais les voilages sont tirés. Dommage. Je peux juste distinguer des silhouettes se promener dans l’appartement.

Il est 23h passé et j’éteins la télé. Mes paupières sont lourdes et ma femme a quant à elle, déjà trouvé refuge sous la couette. Un petit tour à la salle de bain, je me brosse les dents en me dirigeant vers la fenêtre. Tiens, les rideaux des voisins sont désormais ouverts. Je les aperçois d’ailleurs tous les deux sur le canapé, sa tête à elle posée sur l’épaule de Monsieur. Inconsciemment, j’arrête le brossage pendant plusieurs secondes. Soudain, elle se redresse et regarde dehors. Oups, elle m’a vu les observer, c’est certain. Les lumières sont allumées dans mon appartement et la faible distance entre nos deux fenêtres ne laissent pas de place au doute. Dans un mouvement de recul, je m’éloigne de l’encadrement. Chose ridicule, j’ai l’impression d’être un gamin pris la main dans le pot de confiture. Je peux toujours les voir et je distingue un sourire sur son visage. Je souris en retour, la bouche pleine de mousse et la brosse à dents à la main. On a connu mieux pour paraître sexy. Je retourne à la salle de bain finir mon brossage, éteins les quelques lumières restantes et il ne reste plus qu’une dernière petite lampe qui se trouve sur une commode, placée entre les deux fenêtres du salon. Je m’apprête à l’éteindre lors que je remarque qu’en face, la tension est montée d’un cran. Elle est désormais à cheval sur son homme et ils s’embrassant fougueusement. Sa main gauche caresse l’entrejambe de son mari. Celui-ci plonge dans son cou et y multiplie les baisers. Alix tourne sa tête et m’aperçois de nouveau à la fenêtre et redouble d’ardeur. Elle aime être vue et veut que je sois son spectateur ce soir. Je diminue l’intensité de la lampe halogène, me plongeant dans le noir complet, laissant les quelques voyants et autres indicateurs lumineux présents dans l’appartement donner un semblant de lumière. Mais je sais qu’elle peut encore me distinguer derrière la fenêtre et cela doit exciter cette petite exhib. Je jette tout de même un œil à la porte de notre chambre, m’assurant que ma femme ne vienne pas me déranger pendant ce porno live qui va se dérouler sous mes yeux.

Alix enlève son haut à bretelles, dévoilant une belle et ferme poitrine que j’avais deviné lors de sa consultation. C’est vraiment magnifique. Je suis tellement happé par cette vision que j’ai le sentiment d’être à leurs côtés, dans la même pièce que ces deux coquins. C’est terriblement excitant. Seul le son ne me parvient pas, mais au vu de ses expressions faciales, je peux aisément imaginer les gémissements qu’elle laisse échapper. Le rythme s’accélère, telle une chorégraphie les quatre mains multiplient les caresses et autres gestes tendres. Se faisant face, chevauchant toujours conjoint qui lui est assis confortablement sur le canapé, Alix se redresse légèrement lui laissant ainsi la place nécessaire pour pouvoir s’emparer de la bite tendue de son cher et tendre et elle la positionne à l’entrée de son vagin ruisselant. Je perçois le plaisir sur son visage lorsque qu’elle coulisse en s’asseyant sur ce pieu dédié au plaisir. Mademoiselle est très active et remue son bassin d’avant en arrière à une cadence effrénée. Lui apprécie désormais le spectacle, ses deux mains caressant et malaxant les seins de madame, roulant les tentons entre ses doigts, procurant ainsi des ondes de plaisir qu’elle savoure. Toujours à cheval, elle se cambre en arrière posant ses deux mains sur les genoux de son homme. La tête en arrière, sa longue chevelure tombante, et regardant le plafond les yeux mi-clos, il peut désormais exciter son clito avec sa main droite. Cette position semble bien lui convenir car elle la conserve pendant de longues minutes. Je n’en perds pas une miette, ma main s’est glissé dans mon boxer pour en sortir une verge dressée et gorgé de plaisir. Les choses bougent chez mes nouveaux voisins préférés. Il se relève du canapé tout en portant sa maitresse par la taille. Il la dépose sur le sofa, la retourne sans ménagement pour qu’elle soit à quatre pattes sur le canapé. Au vu de sa prises d’initiatives, je comprends que Monsieur souhaite finir par une levrette toujours appréciable. Alix me fait désormais face, sa tête posée contre l’accoudoir mais je note que son regard est dans ma direction. Monsieur est derrière, il appuie sur ses épaules pour qu’elle relève son cul, et lui donne donc la meilleure vision possible. Il plie les jambes pour pouvoir la pénétrer sans difficulté, ce qui est fait en deux secondes. Les coups de butoirs sont violents, elle manque de basculer en avant à chaque percussion et est obligée de s’appuyer fermement sur l’accoudoir. Elle se mord les lèvres de plaisir et semble très excitée. Son regard ne baisse pas une seule seconde, et même si je suis dans le noir, je me sens complètement à découvert. Je ne sais pas si d’autres voisins profitent de ce spectacle mais j’adorerais être à la place de monsieur, qui lui ne regarde qu’une seule chose, le beau petit cul de sa douce. Je ne peux pas le blâmer pour cela. Il lui tient fermement les hanches et la pénètre avec vigueur, lorsque tout à coup, il s’arrête, se crispe, rejetant sa tête en arrière, avant de s’écrouler d’épuisement sur elle. Je viens de voir mon premier film porno muet.

J’entends bouger dans notre chambre alors je m’active et rejoins sans tarder ma femme qui venait de rouvrir les yeux. Je me glisse sous la couette avec la bite encore au garde à vous. Je me colle à elle pour lui faire sentir mon envie pressante. Elle ne se prive pas pour la toucher, agréablement surprise de me voir dans une telle forme ce soir. Cette nuit là, nous avons fait l’amour sauvagement, mon imaginaire étant dopé par le moment de plaisir généreusement partagé par les voisins.

Les semaines passent mais le jeune couple continue de me faire partager ses parties de jambes en l’air, à toute heure du jour ou de la nuit. Je ne sais pas si lui est volontaire à cette exhibition car j’ai surpris plusieurs fois Alix ouvrir leurs rideaux, rituel annonçant leurs ébats. Mais son homme ne semble jamais avoir remarqué ma présence et cela me convient parfaitement. C’est sa femme qui m’intéresse, pas lui.

Je n’ai pas encore eu la chance de recroiser Alix à mon cabinet ou dans la rue mais je songe à récupérer le numéro qu’elle a dû laisser à Anne lors de sa consultation. Nous sommes vendredi, enfin en weekend. Plus les semaines passent et plus je pense aux vacances qui me semblent encore trop lointaines. Avant de rentrer, je passe à la boulangerie pour y acheter un peu de pain. Je règle mon achat lorsque j’entends que l’on m’appelle derrière moi. Je me retourne et la vois enfin, toujours aussi pimpante et souriante. Sans hésitation, Alix me fait deux bises comme si nous étions des amis de longue date. Il est vrai que notre relation, démarrant à simples voisins, puis docteur/patient et enfin voyeur/exhib, est quelque peu particulière. Elle me demande comment je vais et le simple fait de la revoir m’a fait oublier toute fatigue. Je l’attends récupérer son pain et nous rentrons ensemble, discutant de tout et de rien, avant que la conversation ne finisse par dé****r sur leurs parties de sexe dont je suis le témoin privilégié. Elle me dit qu’elle aime beaucoup me distinguer derrière ma fenêtre, que cela l’excite énormément et qu’elle aimerait beaucoup que ce soit ma bite qui la ramone. Je ne peux la quitter des yeux, elle est pleine d’aplomb, de culot, ce qui la rend terriblement sexy. Quelques mètres avant nos domiciles, elle me pousse dans une porte légèrement entrebâillée, qu’elle referme derrière elle. Nous voilà sous le porche d’entrée d’un immeuble. Sans hésitation, elle s’agenouille et avec une dextérité incroyable, déboutonne mon pantalon en quelques secondes. Mon jean baissé jusqu’aux genoux, elle libère ma bite qui est déjà en train de durcir. Alix prend le temps de l’observer, afin de délicatement donner ses premiers coups de langues qui me procurent des frissons de plaisir. C’est divin. J’en rêvais depuis des semaines. Puis ce sont ses lèvres qui engloutissent mon gland, le suçant telle une glace à l’eau. Je suis terriblement dur désormais, et de nouveau elle me fixe de son regard perçant tout en me suçant goulument. Ses mains ne sont pas en reste et branle ma bite avec de délicats aller-retours. Elle me complimente en disant qu’elle trouve ma bite magnifique. Il est vrai que celle-ci est de taille tout à fait honorable, de belle largeur, et surtout toujours extrêmement et rapidement dure. Ses mains caressent et malaxent mes fesses musclées, poussant mon bassin afin de lui faire réaliser quelques gorges profondes. Je libère son visage de ses cheveux longs et les maintient en queue de cheval, donnant mon rythme et de la profondeur à sa pipe. Les bruits de gorge se font de plus en plus forts et elle salive beaucoup, mais elle semble adorer cela, tout comme moi. Je sens que je vais bientôt éjaculer et je la préviens mais cela ne l’arrête pas dans sa besogne. Elle me pompe avidement, sa bouche emprisonnant totalement mon gland qu’elle doit sentir palpiter sur sa langue. Je sens le sperme remonter l’urêtre et dans un long râle de plaisir, j’expulse toute ma semence au fond de sa gorge chaude. Elle ne perd pas une goutte de ce nectar et l’avale avec appétit. Je remonte mon pantalon et nous nous embrassons pour la première fois. Je suis seul ce soir, ma femme étant en déplacement jusqu’à mercredi, je l’invite donc à me rejoindre chez moi, mais elle décline car ils reçoivent un ami à diner. Avant de me quitter, elle me dit de ne pas louper le spectacle de ce soir.

Dans la soirée, je remarque effectivement un autre homme avec eux, dinant et riant. L’ambiance semble au beau fixe et les bouteilles de vin s’enchainent. Leur table à manger est un peu plus distante que leur canapé mais je peux quand même distinguer clairement les détails. Je me demande tout de même pourquoi elle m’a demandé de bien regarder ce soir, j’imagine qu’elle et son époux jouiront d’un bon moment une fois leur ami parti. Mais celui-ci s’éternise, désormais avachi dans le canapé avec le mari, tandis qu’Alix elle se déhanche sensuellement devant eux. Je peux entendre d’ailleurs la musique provenant de l’appartement, et je crois comprendre la nature de la soirée. Les deux hommes ont le sourire, couplé à un regard lubrique. Alix aime être vu, elle seule sait que trois hommes et non deux, la regarde et la désire en ce moment même. Sa tenue est très sexy, une robe fendue laissant apparaître ses longues jambes. Elle semble habitée par la mélodie, trémoussant ses hanches, ses fesses, tandis qu’elle passe ses mains dans sa longue chevelure telle une naïade sortant de l’océan. Elle récupère son verre de vin, en avale une gorgée, puis rejoint son mari sur le canapé l’embrassant à pleine bouche. Leur invité est aux anges, sa tête est proche des fesses d’Alix et il écarte les pans de sa robe pour y découvrir ce qui s’y cache. Pendant qu’elle s’occupe de son conjoint, l’invité glisse une main sous cette robe pour baisser le string qui semble le gêner. Cette pièce de tissu en moins, sa main poursuit son exploration, caressant délicatement une à une les fesses d’Alix, avant de trouver refuge dans sa fente déjà trempée. Alix prend ses deux hommes du soir par la main et les traine dans leur chambre. Mauvais choix, ma visibilité est bien moins bonne que lorsqu’ils sont dans le salon. Une fois sur le lit, je peux seulement voir le haut de leurs corps, et cela m’oblige donc à faire travailler mon imagination plus que je ne l’aurai souhaité. Leurs ébats de cette triplette d’un soir se poursuivront une bonne partie de la nuit.

Lundi matin, après ce weekend mouvementé, je suis impatient d’aller au travail. Je m’y rends très tôt, avant Anne, ce qui ne m’arrive jamais. En effet, je souhaite récupérer le numéro de téléphone d’Alix, et pour cela je consulte les précédents plannings. Une fois le précieux sésame trouvé, je referme le tout, juste à temps avant qu’Anne ne rentre, surprise de me voir au travail si tôt. D’ailleurs, elle n’hésite pas à me le faire remarquer. Mon petit café servi et avant d’accueillir mon premier patient, je texte Alix lui proposant de venir boire un verre à la maison. La journée s’écoule et après avoir consulté mon portable une dizaine de fois, la sonnerie m’annonce enfin un sms. Je laisse ma patiente quelques secondes et consulte le message. Alix ne peut pas ce soir mais elle peut venir demain. C’est réglé, elle viendra donc demain soir à 20h. Il me tarde d’y être.

Le lendemain soir, je quitte le travail relativement tôt, ayant libéré mon planning, créant un peu de suspicion chez mon assistante. Elle sait que ma femme n’est pas là, mais j’ai prétexté une soirée entre mecs pour regarder un match de foot, chose que je ne fais jamais. Mais ce fut l’idée la plus crédible que j’ai réussi à trouver. Quelques courses et un peu de rangement plus tard, me voilà fin prêt à l’accueillir. Je jette un œil par la fenêtre mais elle ne semble pas non plus chez elle. Vers 20h, 4 hommes sont d’ailleurs avec son mari, dans le salon. Eux, ils vont vraiment faire cette soirée foot. 20h15, j’entends sonner à l’interphone, je m’y précipite afin de la faire rentrer dans l’immeuble au plus vite. Quelques secondes d’attente et la voilà, pénétrant dans mon appartement, tout sourire. Deux bises plus tard, je récupère son manteau que j’accroche à une patère. Une nouvelle fois, aucune faute de goût vestimentaire. Elle porte une jupe impeccable, accompagnée d’un chemisier blanc légèrement transparent et de chaussures à talons aiguilles. Je lui propose un verre du meilleur vin rouge que nous ayons en cave. Elle le déguste tout en se baladant dans l’appartement. J’ai bien fermé tous les rideaux pour que nous puissions profiter de notre intimité. La soirée est très agréable, nous conversons sans temps morts, parlant de notre travail, de nos conjoints puis de sexe. Elle écarte légèrement un rideau du salon, me disant qu’elle était curieuse de savoir ce que je pouvais voir réellement d’ici. Je lui réponds que je peux tout voir, il ne me manque que le touché et le son si les fenêtres sont fermées, ce qui pourrait parfois être frustrant.

Elle acquiesce tout en se rapprochant de moi, déclarant vouloir remédier à cette situation. Sans attendre, nos corps s’enlacent avec passion, nos bouches sont attirées l’une par l’autre et nos langues s’entremêlent. C’est un vrai délice et je bande déjà. Je sens son corps ferme sous la paume de mes mains et je repense à cette dernière pipe fantastique. J’en veux encore, j’en veux plus, je veux tout cette fois-ci. Je déboutonne son chemisier et dé-zippe sa jupe, la laissant en lingerie et talons. Ses seins sont gros mais fermes, son ventre est plat et tonique, ses hanches bien dessinées, ses fesses rebondies et musclées, tandis que ses cuisses sont fines. Elle est très excitante et excitée aussi. Elle me déshabille rapidement mais je suis décidé à prendre le contrôle ce soir. Je la couche, sans v******e mais fermement, sur le canapé. Légèrement surprise, elle me sourit. Je m’allonge sur elle et elle m’enlace. J’aime son odeur, un parfum fruité délicat. Sa respiration se fait déjà plus rapide, elle me sert fortement contre elle. Je peux deviner sa forte excitation mais je veux prendre le temps de profiter de ce moment. D’une main, je dégrafe son soutien-gorge qui laisse échapper deux beaux seins ronds et lourds. Je contemple ces deux merveilles pendant que ma main s’occupe désormais de glisser son string à ses pieds. La voilà entièrement nue et le spectacle est magnifique. Je retire tous mes vêtements en quelques secondes, avant de l’embrasser de nouveau. Ma main droite caresse son épaule, glissant délicatement le long de son corps jusqu’à sa cuisse. Elle gémit déjà de plaisir. Nos corps sont aimantés et je désire ardemment la pénétrer. Mais je résiste à la tentation en glissant ma main dans son intimité, pour y découvrir une chatte presque entièrement épilée. Mes doigts caressent cet antre du plaisir et en masse les contours, stimulant son clito déjà bien érigé. Je glisse deux doigts dans sa chatte humide pour y récupérer de la mouille, que j’étale sur le reste de son vagin. Au contact de mes caresses, ses cuisses s’ouvrent de plus en plus, m’invitant à poursuivre ces délicates attentions. Ma bouche embrasse désormais son cou, puis le haut de ses seins, s’attardant longuement sur ses tétons que je lèche et mordille, pendant que mes deux mains enserrent et malaxent sa poitrine. Ma bouche, elle, continue sa descente, embrassant son ventre ferme puis le haut de ses cuisses chaudes. Je la sens frissonner de plaisir, ma langue et mes lèvres s’aventurant de plus en plus près de cette cavité accueillante, qui libère son agréable fragrance vaginale. Me voilà à la porte du paradis, ma langue léchant délicatement ses lèvres de bas en haut. Mes mains sont désormais entre ses cuisses, massant son pubis délicatement ce qui stimule son clito et l’encourage à grossir, me permettant de le sucer et le pomper avec délicatesse. Tout en aspirant son bourgeon doucement, je glisse deux doigts de ma main droite au fond de chatte, les recourbant pour caresser le haut de cette grotte humide. Je poursuis mon cunni en léchant de nouveau le tour de sa chatte, mon pouce titillant son clito simultanément. Ma main gauche, elle, continue de tripoter ses deux seins, l’un après l’autre. Alix aime le traitement subit et arque son dos pour mieux sentir mon visage sur son intimité. De plus, elle ressert ses cuisses fortement, appuyant sur ma tête, empêchant tout échappatoire. J’accélère le rythme de mes coups de langues et de la pénétration de mes doigts. Sa chatte devient de plus en plus trempée et sa mouille coule le long de sa raie avant de finir sur le canapé en cuir. Leur appartement doit être bien insonorisé car je ne l’avais jamais entendu crier auparavant, mais Alix est bruyante, elle aime se manifester et m’encourage à continuer. Ses cris se font de plus en plus forts et rapides. Elle ne sait plus quoi tenir, ses mains cherchant quelque chose à agripper, une boule de désir remontant rapidement laissant présager un orgasme intense. Elle crie, jouit et m’asperge de mouille alors que mes doigts poursuivent leur travail de forage à vitesse grand V, accompagné dans de grands bruits de succion. Quinze secondes plus tard, la tension redescend et je la laisse reprendre sa respiration tranquillement. Mais elle est insatiable et me demande de reprendre ma besogne. De ma position, j’aperçois son joli cul et je veux lécher son petit trou bien luisant de mouille. Mes deux mains à l’arrière de ses genoux, je pousse afin de remonter ses cuisses, m’offrant une vue imprenable sur ses fesses écartées dévoilant son bel anus. J’y plonge ma tête et titille sa rondelle avec ma langue, suscitant des soubresauts de plaisir chez Alix. Elle aime ça et son cul est délicieux, mais je veux désormais m’enfouir en elle.

Ses jambes retombent et je m’immisce entre ses douces cuisses, posant mon gland à l’entrée de son vagin gorgé de sang. Nous nous regardons droit dans les yeux et je pousse mon chibre sans difficulté dans ce gant de velours trempé. Au même moment, nous laissons échapper un râle de plaisir. C’est tellement bon, elle est parfaitement serrée et j’ai d’excellentes sensations. Cette position du missionnaire me permet de contrôler le rythme tout en frottant nos pubis l’un contre l’autre, ce qu’elle affectionne particulièrement. Mais je remarque qu’elle entoure désormais mes hanches avec ses jambes, surélevant ainsi son bassin et profitant mieux de mes profondes pénétrations. Je la soupçonne également de vouloir reprendre le contrôle, chose qui se confirme sans tarder.

Elle me demande de me retirer, je m’exécute. Elle saisit une chaise, qu’elle place devant les rideaux tirés. Je ne vois pas où elle souhaite en venir mais elle me prend par la main et m’invite à m’assoir. Elle fait le tour de l’appartement afin d’éteindre toutes les lumières, laissant seul le clair de lune donner un peu de luminosité dans la pièce. D’un geste sec, elle ouvre les deux pans du rideau, dévoilant la vue sur son salon où son conjoint se trouve toujours avec ses amis. Assis à 1m de ma fenêtre, je les vois de profil, assis sur le canapé. S’ils venaient à tourner la tête à 90 degrés sur la droite et bien regarder dans mon appartement, nul doute qu’ils verraient nos ombres chinoises. Mais cela ne semble pas arrêter Alix, bien au contraire. Elle s’agenouille et empoigne mon double- décimètre qu’elle suce goulument. Sa main droite pelote mes couilles tandis que sa main gauche me branle et que sa bouche pompe mon gland. A intervalles réguliers, elle délaisse celui-ci pour lécher ma longue bite tendue de bas en haut, gobant mes testicules au passage. Je suis au septième ciel, on m’avait rarement sucé comme cela. Alix aime la bite, elle aime le sexe et cela fait toute la différence. Sa belle pipe prodiguée, elle se relève face à moi, m’enjambant totalement et chevauchant mon pieu, ses bras entourant mon cou. Mes mains agrippent ses fesses pour aider ses mouvements de bassin. La chaise grince légèrement mais cela est couvert par le bruit de nos gémissements. Elle se relève, ma bite sortant trempée de son vagin et se retourne. Elle pose ses mains sur mes genoux pour m’écarter les cuisses, et se recule comme si elle allait s’asseoir. Je garde ma bite à la verticale et Alix cherche délicatement l’entrée de son vagin, pour enfin coulisser le long de ma tige. Elle pose ses mains sur le rebord de la fenêtre, m’offrant une vue sur son cul bien rebondi et sur sa chatte en train de se faire limer, et à quelques mêtres en face, les spectateurs du match de foot. Si celui-ci s’avait que je baise sa femme à quelques pas de là, il ne s’extasierait pas devant 22 bonhommes en short courant sur du gazon. Pendant ce temps, je me délecte du corps de son épouse, distribuant quelques fessées bien appuyées sur son postérieur, y laissant quelques rougeurs synonymes de plaisir. Tels deux animaux en rut, nous exprimons notre désir et notre envie de faire jouir l’autre par de multiples grognements. Pouvoir baiser devant son cocu sans être vu la rend encore plus gourmande et je remarque petit trou s’élargir et s’humidifier.

Soudain, un portable sonne dont je ne reconnais pas la mélodie. Instinctivement, je regarde en face et remarque que son mari au téléphone. C’est lui, il l’appelle. Sans stress, elle fouille dans son sac et en ressort un iphone. Elle décroche et parle normalement. J’en veux à cet idiot de nous avoir coupé dans notre élan, mais c’était sans compter sur l’audace d’Alix. Je suis toujours assis, elle revient vers moi le sourire aux lèvres et reprend sa dernière position. Elle lui dit être toujours au bureau, complètement débordée malgré l’heure très tardive, raconte sa journée, tout en agrippant ma bite pour pouvoir s’empaler de nouveau. Leur conversation banale ne la déconcentre pas le moins du monde, poursuivant sa chevauchée endiablée. Je m’efforce de ne pas gémir trop fort tout en observant de l’autre côté de la rue, Monsieur faire les 100 pas dans son appartement, ne se doutant pas des cornes qui lui poussent sur la tête en ce moment même. Alix aime le risque et jouer avec le feu. Elle ne cherche pas du tout à écourter la conversation, d’ailleurs elle veut même pimenter et me faisant comprendre qu’elle souhaite que je lui prenne le cul. Je file dans la chambre, récupérant un tube de lubrifiant bien entamé. Je me rassieds et en verse abondamment sur ma verge, le surplus finissant sur son anus. Dos à moi de nouveau, elle prend son temps pour glisser doucement sur mon sexe, s’y reprenant à plusieurs fois et à chaque fois en glissant un peu plus bas. Ça y’est, la voici au bout, jusqu’à la garde. J’entends son conjoint parler dans le téléphone mais désormais elle peine à répondre une phrase complète. Il semble noter que cela n’est pas normal et il regarde l’écran de son téléphone pour s’assurer que l’appel est toujours en cours et qu’il a du réseau, répétant plusieurs allô successifs. Alix retrouve son souffle et peut ainsi lui répondre, sans pour autant faire de longues phrases, laissant échapper quelques syllabes et cris étouffés. Elle raccroche sans un au-revoir et jette son téléphone dans son sac, l’excitation est trop forte et l’orgasme tout proche. Elle accélère le claquement de son cul sur mes couilles et la cadence de cette sodomie endiablée. De plus en plus vite, de plus en plus fort, nos gémissements bruyants résonnent dans l’appartement, nous sommes prêts à jouir tous les deux. Elle hurle, me demande de lui cracher mon foutre dans son cul bien serré, ce que je m’empresse de faire dans un seul et même cri de jouissance, tandis que nos voisins d’en face, eux, explosent de joie à l’ouverture du score de leur équipe favorite.

C’est la mi-temps pour nous tous. Les footeux ouvrent leur fenêtre pour griller quelques cigarettes, je m’empare alors de ma partenaire et l’amène dans la chambre pour profiter du confort de notre lit king size. Voilà seulement quelques minutes que j’ai joui, mais je suis bien décidé à reprendre nos ébats. Alix a aussi eu le temps de reprendre son souffle et nos corps sont de nouveau enlacés. De ma table de nuit, je sors un foulard que je place sur ses yeux afin de la rendre totalement aveugle et à ma merci. Je la fais s’agenouiller sur le lit pour que je puisse la prendre en levrette.

Mais avant tout, je saisis également un large godemiché que je lui glisse dans la main. Rapidement, elle comprend le petit cadeau que je viens de lui laisser et l’insère profondément en elle, puis démarre doucement les va-et-vient. Accroupi derrière elle, je pousse mon sexe au fond de son cul, remplissant ainsi son deuxième trou ce qui lui procure énormément de plaisir. Je reste ainsi sans bouger plusieurs secondes la laissant limer sa petite chatte avec ce sextoy, avant de ramoner son trou très serré. Alix crie très fort et devient de plus en plus sauvage. Pour maitriser ma monture, je prends sa longue chevelure de ma main gauche, tirant légèrement sa tête en arrière, et accentuant sa cambrure très sexy. Ma main droite saisit l’un de ses seins ballotant pendant que mes coups de bite se font de plus plus en intenses. Je redouble de vigueur la sentant proche d’atteindre son point culminant et moi-même, je ne résisterai pas longtemps à éjaculer une deuxième fois dans son cul. Les « baise-moi plus fort », et autre « encore » m’excitent au plus haut point et je la pilonne fortement jusqu’à la faire jouir, avant moi aussi de cracher toute ma semence au plus profond de son cul. Epuisés, nous nous écroulons l’un sur l’autre, respirant bruyamment tels deux marathoniens venant de passer là ligne d’arrivée. 10 minutes plus tard, j’embrasse Alix qui vient de se rhabiller et sort discrètement de mon appartement pour y rejoindre le sien.

Voilà 6 mois qu’Alix et moi sommes amants et nous partageons tous nos fantasmes et autres secrets intimes. Notre complicité est devenue extrêmement forte et en quelques mois, j’ai le sentiment qu’elle me connaît mieux que ma femme après 20 ans de mariage. Ces parties de jambes en l’air avec une trentenaire me donnent l’impression d’avoir retrouvé une seconde jeunesse. Et elle, trouve chez moi, l’expérience qui lui manque avec une personne de son âge. Nous nous complétons bien et profitons de chaque instant pour s’abandonner l’un à l’autre. Paradoxalement, le risque de se faire découvrir par nos conjoints respectifs ne nous paralyse pas, mais au contraire décuple notre désir et notre excitation. Par exemple, dernier petit plaisir en date. Vivre dans une rue étroite comporte beaucoup d’inconvénients mais en plus de l’avantage de bien voir chez mes voisins, j’ai eu aussi l’idée d’y allier un coté high-tech à notre aventure.

Aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous voir mais je lui ai laissé un cadeau qu’elle est censée utiliser ce soir. Caché derrière mon rideau, je vois distinctement Alix et son mari qui sont attablés. Je vais vérifier si elle a bien suivi mes recommandations et je prends en main une petite télécommande rudimentaire. Je presse le bouton marche, puis sur le , augmentant ainsi l’intensité de l’œuf vibrant qui doit se trouver bien au chaud dans son intimité. Cela fonctionne, car je remarque qu’elle se trémousse déjà sur sa chaise, son conjoint ne semble lui rien entendre ni remarquer. Il est plutôt concentré à regarder le journal télévisé. Petit à petit, j’augmente les vibrations et détecte un léger sourire sur le visage d’Alix. Même d’ici, je peux voir qu’elle rougit de plus en plus, vidant son verre d’eau d’un seul trait. Ses jambes se croisent et se décroisent sans arrêt, comme si elle cherchait une position plus confortable et moins excitante. Je suis presque à l’intensité maximum et la connaissant, elle ne tardera pas à jouir. Ses mains ne tiennent plus sa fourchette, mais le rebord de la table. Elle se lève rapidement, son conjoint n’ayant toujours rien remarqué de notre petit manège et elle se dirige vers le bar de leur cuisine américaine. Dans le dos de son époux, elle saisit une serviette dans laquelle elle mord fortement, alors que l’intensité de l’œuf est à son maximum. Alix plie sur ses jambes, se retenant au plan de travail et s’agite de plus en plus, tentant de contrôler les convulsions synonyme d’orgasme intense. Elle agite sa main, me faisant signe d’arrêter cet objet de plaisir. Plusieurs dizaines de secondes lui sont nécessaires pour reprendre ses esprits. Elle ajuste sa tenue, m’envoie un baiser de la main avant de reprendre son rôle de femme modèle.

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