J’avais vraiment envie de tenter l’expérience parce que je commençais à me lasser de la masturbation. Je me masturbais tous les soirs après m’être couchée et je me servais uniquement de mes doigts.
J’avais souvent l’occasion d’entendre mes amies se vanter de faire l’amour avec leur petit copain et ça commençait à me taper sur les nerfs.
Je n’avais jamais ressenti d’attirance pour le sexe d’en face parce que ceux qui me draguaient étaient soit des connaissances, soit qu’ils ne m’intéressaient pas. Un soir que je sortais des cours de secrétariat, je suis allée boire un verre au bistro en face. Il y avait un type qui me regardait et qui n’était pas trop mal.
Ce type avait l’air pas mal. Bien coiffé, bien rasé, beau costume. Alors que je me dirigeais vers l’arrêt du bus, le type m’a rejointe. Jamais je n’aurais cru que ça pouvait être possible. Il s’est approché de moi :
– Tu me plais ! Combien tu veux pour que je te saute, m’a-t-il proposé ?
Je suis devenue rouge comme une tomate et j’ai bafouillé.
– Quoi ? Je n’ai rien compris ! Qu’est-ce que vous voulez ?
– Cinquante euros, ça suffira, a insisté le type ? Cent ? Plus ?
J’ai rougi encore plus, d’autant plus qu’il m’avait prise par le coude et il a ajouté qu’il a un studio pas très loin et je n’ai pas pu faire autrement que de le suivre. Dans l’ascenseur, le type m’a demandé s’il y a longtemps que je tapine et je n’ai pas su quoi lui répondre.
– J’aime bien les femmes avec de beaux nichons, a encore ajouté le type ! Est-ce que tu es rasée ?
Je l’étais un peu quand même. Enfin, je m’étais le maillot pour aller passer un week-end à la mer. Le type a ouvert la porte du studio et il m’a poussée dedans puis il m’a donné l’argent et il m’a dit de me déshabiller pendant qu’il retirait ses vêtements.
J’avais l’impression d’être dans un film où tout se déroulait malgré moi. Je n’avais plus aucune volonté. Le type m’a tripoté la poitrine puis il m’a poussée en arrière sur le lit et il m’a écartée les cuisses avant de s’enfoncer. J’avais brièvement pu voir son truc pendre entre ses deux jambes.
Il a fait ce qu’il avait à faire mais avant de conclure, il m’a retournée et il m’a prise en levrette. Tous ces termes que j’avais souvent entendus prenaient alors un sens. Il a fini par se retirer et i a frotté sa bite sur mes fesses avant d’éjaculer sur mon dos puis il m’a dit d’aller me laver et de me rhabiller. Quand je suis sortie de la salle de bains, il m’a raccompagnée à l’arrêt du bus et il m’a dit qu’il est de passage et il a disparu au coin de la rue.
J’ai plongé la main dans ma poche et j’ai senti les billets au bout de mes doigts et j’ai réalisé que pour la première fois que j’avais fait l’amour, je l’avais fait en putain.
Le lendemain, quand j’ai retrouvé mes collègues, je les écoutées parler de leurs cochonneries. Plusieurs avaient un petit copain dans la classe et j’aurais voulu leur dire que ça me dégoûtait quand ils se tripotaient et qu’ils se roulaient des pelles. Ce soir-là, quand je suis rentré, le concierge m’a demandé de lui payer le loyer et c’eset comme ça que l’argent que j’avais gagné dans le studio est passé de sa poche à sa poche.
Pendant au moins une année j’ai continué à me masturber puis ma sœur et mon frère ont décidé de se marier. Ils fréquentaient depuis longtemps mais je ne connaissais pas leur partenaire. Je ne sais pas pourquoi ou plutôt si, j’ai senti que je ne voulais plus être seule et lors du mariage de ma sœur, je me suis laissée draguer par un des invités et ça a beaucoup plu à ma sœur qui m’en a même parlé.
Je sortais avec ce type et j’étais même décidée à coucher, ce qui n’a pas tardé à arriver. Le comble est que mon amant était prévenant. Il n’arrêtait pas de me demander la permission de me toucher et de m’embrasser mais la première chose qu’il m’a demandée c’est de lui faire une pipe dans sa voiture et je me suis exécutée mais il a joui dans un mouchoir. La fois suivante, ça s’est passé chez lui. Il m’avait invitée à dîner et c’était vraiment appétissant mais à la fin du repas, il m’a demandé si je veux faire l’amour avec lui.
Je ne pouvais pas refuser et nous avons fait l’amour mais malgré toutes ses attentions, il n’est pas arrivé à me faire avoir du plaisir. Toutes les deux minutes, il s’arrêtait pour me demander pourquoi ça ne me plaît pas et je lui répondais que ça me plaît vraiment. J’ai fini par lui demander si, des fois, il ne se trompait pas de trou. Je savais bien que c’était vulgaire de parler comme ça mai les autres filles parlaient comme ça de leur sexe.
Finalement, après m’avoir demandé si je ne risque pas d’être enceinte, mon ami a joui au fond de mon vagin. Après, il m’a dit que ça serait bien si je prenais la pilule ou si je pouvais me servir d’un diaphragme.
Il a fini par se lasser de la femme sans orgasme et je me suis mise avec un copain à lui et ça a été la même chose, sauf que ce dernier m’a dit que ça ne le gênera pas si je me masturbe pendant qu’il me prend et c’est ce que j’ai fait même si la synchronisation n’était pas toujours là.
Je suis passée dans plusieurs mains et tout ce que je retiens, c’est que les hommes paient facilement le service qu’on leur rend quand on leur demande gentiment. Au bout de plusieurs années, j’ai décidé d’abandonner la bite pour faire la gouine.
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