J’avais commencé tôt ce matin et la matinée avait été épuisante et j’avais été très heureux de voir arriver la relève. J’avais un appartement au quatrième et la vue était dégagée à part les arbres qui me cachaient la rivière.
Je m’apprêtais à m’allonger sur le lit pour un petit somme réparateur quand j’ai entendu un bruit au dehors et je suis allé voir sur le balcon. Là, je ne risquais rien. Les voisins, à droite et à gauche, travaillaient et ils avaient des horaires normaux.
Pourquoi me suis-je mis à bander ? Etait-ce à cause de cette rousse que j’avais croisée dans le bus ? Je m’étais dit que des comme ça, on n’en voit pas souvent mais elle était descendu à l’arrêt suivant et j’avais garde la bite bloquée en travers de mon jean.
Je me suis demandé d’où pouvait venir ce bruit et je me suis penché sur le balcon. Tout était calme. Les pelouses étaient toujours aussi rapées mais c’était l’été et il y avait eu la canicule.
J’ai commencé à me branler. Ça me faisait du bien et je sentais monter ma jouissance et puis j’ai joui et quand je me suis retourné pour rentrer dans la chambre, j’ai vu la voisine. Elle me regardait et elle avait un petit sourire narquois au coin des lèvres.
J’ai mis mes mains devant ma bite et j’ai demandé pardon à la femme avant de rentrer. Je me sentais con. Qu’est-ce qu’elle foutait là au milieu de l’après-midi ? Je me suis lavé la bite et je me suis allongé sur le lit et je me suis endormi.
Quand je me suis réveillé, j’ai repensé au spectacle que j’avais donné à ma voisine et j’ai redouté qu’elle en parle à quelqu’un ou qu’elle porte plainte. Je n’avais pas besoin de ça. Je me suis habillé et je suis allé sur le balcon. Elle était là, allongée dans un transat et… complètement nue. Elle devait dormir mais elle a ouvert les yeux et elle a savouré ma surprise puis elle m’a salué par un « vous voudriez que je me masturbe ? »
J’étais incapable de lui répondre et elle a ajouté qu’elle plaisante avant de se lever de son transat et quand elle s’est penché, ses seins qui étaient étalés sur son buste auparavant, on pris leur envolée pour devenir de superbes obus.
– Vous vous rasez, lui ai-je balbutié ?
Elle devait le faire parce que ses poils commençaient à repousser. Elle n’a rien répondu puis elle a disparu dans son appartement. Elle a fini par fermer ses volets et je me suis préparé à dîner. Le lendemain, j’étais de repos. Je n’ai revu la voisine que le dimanche. J’allais me promener et elle rentrait de la messe parce qu’elle avait un missel à la main et une robe noire pleine de dentelle.
Je lui ai fait un sourire. Elle m’a demandé où je vais.
– Je ne sais pas ! Près du canal.
Elle m’a répondu qu’elle vient avec moi si je peux l’attendre. Je lui ai dit que le chemin est humide mais elle a insisté pour venir et nous sommes partis nous promener. Elle avait mis un jean et un top orange. Je n’arrêtais pas de la regarder et je me suis dit qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
Nous avons longé le canal puis après le pont, la femme m’a dit qu’un peu plus loin, sous les arbres, il y a une cabane. Je savais bien.
– J’ai la clé, m’a dit la femme !
Elle m’a expliqué que son mari était garde forestier et qu’il a disparu en lui laissant son attirail. Je l’ai suivie. Elle a ouvert la porte. Dedans, il y avait une paillasse. Je lui ai demandé si elle vient souvent. Pour toute réponse, elle m’a souri puis elle m’a mis la main aux couilles.
– Vous n’allez pas faire le difficile, a ajouté la femme ?
Elle a retiré son jean et j’ai voulu qu’elle retire son top. Ça ne semblait pas la gêner et j’ai pu lui caresser les seins pendant qu’elle me sortait la bite puis elle s’est agenouillée pour me sucer puis je l’ai sautée sur la paillasse, devant, derrière et après nous être essuyés, nous nous sommes séparés et je me suis dit que si ça se trouve, elle m’a filé une maladie mais un mois après, mes tests étaient négatifs. Maintenant…
– Je vous ai eu, m’a dit la voisine ! Je ne fais pas ça avec tout le monde ! D’habitude, je préfère initier les jeunes filles, mais un coup de bite de temps en temps, ça ne fait pas de mal.
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