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Mon désir pour ma mère (4)

Mon désir pour ma mère (4)



J’allais faire des courses alimentaires avec ma mère, pas de gaieté de coeur, mais parce qu’il fallait le faire. Juste avant de partir, on avait mis une machine à laver le linge à tourner. Et je la surpris dans la salle de bain à passer mon pantalon de pyjama taché de sperme encore frais sous le robinet et à frotter. Elle faisait cela pour qu’il ne reste pas de tache, mais cette vision de ma mère lavant mon pantalon m’excita profondemment.
Comme midi approchait, on s’était arretés dans une brasserie, et j’ai pris un steack tartare, et ma mère une grande assiette de salade. Et nous sommes rentrés à la maison vers 14 heures. Nous avons tout rangé ensemble. On avait beaucoup discuté musique pendant le repas, et durant le retour, on avait décidé de se rendre à un concert ensemble. Ma mère me demandait si je avais ce qu’il y avait au cinema en ce moment. Elle m’avait acheté quelques bricoles pour mon anniversaire, elle ne pouvait pas faire trop de dépense, et je le savais. Elle en était désolée, elle me disait qu’elle souhaitait pouvoir m’offrir plus. Je lui répondais que ce que je souhaitais n’était pas materiel. Comme souvent dans ces cas, elle faignait de ne pas comprendre, ou d’avoir mal entendu. En tout cas, elle ne donnait pas suite.
– On fonctionne comme un couple, fis-je remarqué à ma mère, alors que je rangeais les sacs de course.
– Oui, un peu, fit-elle.
Elle prit un roman qu’elle s’était acheté et fit quelques pas vers sa chambre.
– Ca te dérange si je vais me reposer et lire un peu sur mon lit ?
Je haussais les épaules. Ma mère me regarda, fit quelques pas vers moi, et vint m’embrasser sur la joue.
– Maman, je peux te poser une question ?
Ma mère me considera d’un oeil interrogateur. Elle répondit :
– Et bien vas y.
– Tu vas aller te masturber ?
Le visage de ma mère se ferma, et elle devint blème, puis rouge écarlate. Elle fit quelques pas en arrière.
– Je vais lire mon livre, plutot…
– Maman… Je voudrais juste savoir si tu te masturbes parfois…
– Non, franchement, je ne parle pas de ça avec toi. Je ne fais jamais.
Quelle menteuse. En ce moment, elle se masturbait presque un soir sur deux (alors qu’au début de mon voyeurisme, elle le faisait de façon très épisodique).
– Parce que moi, je vais me masturber maintenant.
– Grand bien t’en fasse, fit ma mère en s’éloignant.
– Je vais penser à toi maman.
– Non… non, je ne comprends pas… Vraiment pas… C’est… C’est trop pour moi…
Ma mère fit volte face, et alla à pas rapides vers sa chambre. Elle ferma la porte derrière elle, et j’entendis la clé tourner dans la serrure.
Je pris mon smartphone pour regarder ce qui se passait dans sa chambre. Elle s’était allongée sur son lit, et ne bougeait pas. Elle resta presque une demi heure sans bouger, à pleurer je pense. Puis, elle retira son pantalon, et se glissa sous le drap de son lit. Elle prit son livre, qu’elle feuilleta un peu. Puis elle le posa, le laissant ouvert, un peu en dessous de sa poitrine. Elle regardait dans le vague, songeuse.
Je decidais de lui envoyer un SMS.
– Je t’aime. Excuse moi d’avoir été direct tout à l’heure. J’espere que tu ne m’en veux pas.
Elle me répondit rapidement.
– C’est oublié. excuse moi de ne pas pouvoir t’offrir plus pour ton anniversaire.
Je marquais une certaine pose. Je regardais que ma mère surveillait son téléphone regulierement, attendant une réponse. Je lui envoyais finalement :
– Je suis en train de me branler pour toi.
Ma mère prit son téléphone quand la sonnerie retentit. Elle lut sans montrer la moindre expression. Elle posa son téléphone, et reprit son livre. J’attendis un peu. Environ un quart d’heure. Puis elle reposa son livre, sur sa table de chevet, et prit ma photo qu’elle avait dans un cadre. Allongée, elle plongea sa main entre ses cuisses (sous le drap, je ne voyais pas grand chose, mis à part le mouvement de sa main). Elle devait se carresser à travers sa culotte, car la main semblait libre. Au bout d’un petit moment, elle écarta les cuisses, le drap glissa ,et je pus voir qu’elle avait écarté sa culotte sur le coté. Sa main s’agitait sur sa chatte, passant dans sa toison, et s’activait avec insistance sur le petit bourgeon au dessus de ses lèvres. Elle y allait vite, tout en regardant de temps en temps ma photo.
Je décidais de lui envoyer un nouveau SMS.
– Je vais bientôt jouir.
Le téléphone de ma mère sonna. Elle se masturbait fort. Elle jeta un oeil, et voyant qu’il venait de moi, elle s’arrêta, et s’adossa un peu, pour le lire. Elle garda le téléphone un moment à la main. Je ne sais pas si elle hésitait à me répondre ou pas. Puis, elle le reposa, et ramena sa main vers sa chatte. Elle retira sa culotte completement, et écarta les cuisses. Elle fit glisser trois doigts dans sa fente, qui disparurent bien au fond, et se doigta rapidement. Son autre main glissa vers son clitoris, et elle se le masturba. Les hanches de ma mère ondulaient. D’un coup, elle explosa, son corps se contorsiona, et son visage fit de petites grimaces de plaisir et de jouissance. Elle sortit ses doigts trempés de sa chatte, et s’allongea completement, en écartant les bras.
Elle ne sortit de sa chambre que vers 17h. Elle avait fait la sieste, et moi aussi.
– C’est bon, ça va mieux ? me dit-elle.
Je la regardais faisant mine de ne pas comprendre. Je n’aimais pas qu’elle tourne autour du pot. Elle passait d’un stade lointaint et fuyant, à un stade complice. Je n’aimais pas ça ; c’était ambigue.
Pour être clair avec vous, je ne m’étais pas masturbé. Je n’avais fait que le faire croire à ma mère. Et au final, c’est elle qui s’est carressée.
– Tu sais, continua ma mère, j’aimerai que tu ne m’envoies plus de texto comme ça. Je ne veux pas être au courant de ce genre de chose.
– Ce soir, tu as reservé dans quel restaurant ?
Ma mère fit la moue, puis répondit :
– En fait, j’ai commandé un gateau à la patisserie, en bas de la rue. Ils sont bons. C’est un peu délicat de payer un restaurant en ce moment, même pour ton anniversaire.
– On ira le prendre. Mais bon, je ne t’avais pas donné tout mon argent de poche, j’en avais gardé, et j’ai reservé dans ce restaurant au bord de la plage où tu aimais bien aller avec papa.
– Vraiment ? fit ma mère, surprise.
– Oui, j’avais envi de marquer le coup, j’ai 19 ans quand même. Et j’ai envi de te faire plaisir, que l’on passe une bonne soirée ensemble.
– Tu es sur ?
– Oui, et j’y pense depuis un moment. D’ailleurs, je t’ai acheté quelques produits chez Body Shop, tu les trouveras à la salle de bain, pour que tu prennes bien soin de toi. Je vais te laisser te préparer tranquillement, et moi je vais sortir chercher le gateau.
– Oh c’est adorable. Je… Je vais prendre un bain en attendant.
– Je t’ai pris des sels de bain justement, tu verras. Et des cremes pour le corps. Je sais que tu aimes bien la vanille.
– Merci mon cheri, il ne fallait pas…
– Tu pourras mettre ta robe noire ce soir ? J’adore le décolleté que ça te fait… D’ailleurs, si tu pouvais ne pas mettre de soutien-gorge ?
– Heu… Je ne pense pas…
Je pris un air faché et déçu.
– Tu peux pas faire autre chose que me dire non à tout ?
Enervé, je sortais en claquant la porte. Je descendais de l’immeuble et me retrouvait dans la rue. Comme un con, je n’avais pas pris de manteau et il faisait froid. Je descendis la rue d’un pas rapide. Dans la boulangerie, il y avait tout un tas de vieux qui demandaient une demi baguette de pain, qui parlaient de la pluie et du beau temps, de politique. Je pris le gateau en répondant à peine au joyeux anniversaire de la vendeuse, et je remontais la rue à pas rapides.
Je rentrais dans l’appartement, ce petit appartement que je partageais avec ma mère depuis quelques mois. Je nous trouvais misérables. J’avais envi de vivre des choses plus palpitantes. Je posais le gateau sur la table du coin cuisine, et j’ouvrais la porte de la salle de bain. Ma mère était dans la baignoire, en train de vider l’eau du bain, et se passait la douche sur le corps. Ses seins genereux tombaient un peu, mais elle était vraiment attirante et désirable. Elle avait un tout petit peu de ventre, mais cela renforçait ses courbes feminines. Et je voyais parfaitement le haut des poils de sa chatte (sa fente étant cachée car elle avait les cuisses serrées).
– Tu veux quoi ? fit ma mère en se cachant les seins. Tu as récupéré le gateau ?
– Je veux te regarder te préparer. Et ne me dit pas non, c’est mon cadeau d’anniversaire.
Ma mère souffla, puis hocha la tête. Elle marmonna quelque chose que je ne compris pas.
Elle continua de se rincer, passa la douche dans ses cheveux, levant ses bras. Je regardais ses seins sur lesquels l’eau ruisselait. Puis elle se leva, et passa rapidement le jet entre ses cuisses.
– C’est tout ? attends maman lave toi bien. Fais comme si tu étais seule.
Je pris son gel de savon intime, et le dirigea vers sa main. Je fis signe de vouloir en verser, et elle tendit sa paume vers moi. J’en versais un peu. Elle ramena sa main à sa chatte, et commença à frotter. Ses poils bruns devinrent rapidement couverts de mousse. Puis elle passa à nouveau le jet. Elle rinça bien ses jambes, puis éteignit l’eau.
Elle sortit de la baignoire. En écartant les jambes, je pus voir distinctement la fente de sa chatte, bien large. Je fus prit d’une erection. Ma mère attrappa une serviette, et commença à se secher. Mes yeux allaient sur ses fesses, ses seins, ses hanches, et bien evidemment sur sa chatte quand elle me faisait face. Je pense que c’est ce qui la derangeait le plus, car dès qu’elle fut à peu pres séche, elle attrappa une petite culotte noire, un peu transparente, qu’elle enfila.
De mon coté, je sortais les cosmétiques que j’avais acheté à Body Shop. Ma mère se coiffait rapidement les cheveux en arrière, pour se les démeler. J’attendis qu’elle eut fini, et je lui tendis un lait pour le corps, à la vanille. Elle le prit, délicatement s’en versa dans la paume de la main, et commença à s’en étaler doucement sur le haut du corps, et descendit doucement sur ses seins. L’odeur était ennivrante. Ca me rappellait les odeurs quand elle se préparait, quand j’étais plus jeune, avant de sortir avec mon père. Je me rapprochais d’elle et la saisit par la taille. Elle restait face au miroir, ne se tourna pas vers moi. Restant sur son coté, je posais mon autre main sur son sein droit, et me mit à la carresser l’aréole. J’appuyais ensuite dessus pour saisir le sein à pleine main et commencer à le malaxer.
– Cette odeur maman… Tu m’excites en culotte comme ça…
Ma mère ne dit rien et ferma les yeux.
– Tu m’aimes à ce point ? murmura t-elle.
– Fais voir ta chatte.
– Tu l’as vu à l’instant.
– Oui, mais j’ai envi que tu me la montres. C’est different.
Ma mère ferma les yeux, tandis que je me mis à lui lécher son sein. D’une main, elle attrappa sa culotte, et l’écarta sur le coté. Je la regardais dans le miroir, se tenant la culotte, afin de me montrer sa chatte toute brune et poilue.
– Tu es tellement belle…
Je sortis ma queue de mon pantalon et me branlait contre le flan de ma mère. Elle ne me regarda pas directement, mais observait ce que je faisais par le miroir. Je me branlais fort, ma queue contre sa peau.
– Tu n’as pas envi d’un homme ?
Je continuais de lui mordiller le bout de son sein. Doucement, je passais sur l’autre. Et ma main qui l’enlassait alla doucement vers sa chatte. Je sentis le contact des poils fournis de sa chatte contre mes doigts. Elle marmonna en sentant ce contact et jeta un oeil à ma main pour verifier. Je touchais à présent sa fente. J’avais mes doigts sur les levres de sa chatte. Je me branlais et sentais que j’allais rapidement jouir.
– S’il te plait, fit ma mère, stop.
– Laisse moi profiter de ce moment maman, s’il te plait… S’il te plait.
Ma mère, qui était depuis le début face au miroir, se tourna doucement vers moi. Elle me fit face. J’avais ma main posée à plat sur sa chatte. Elle me regardait avec une certaine crainte dans les yeux. Une peur de se tromper, de faire quelque chose de mal. Elle passa sa main sur ma joue, et la carressa. Je compris que je pouvais la carresser à mon tour. Mes doigts commencèrent à tourner doucement sur sa chatte, qui devint vite mouillée. Ma mère descendit sa main, la glissa sur mon épaule. Elle me regarda me branler fort. Mes doigts s’agitaient sur son clitoris tout aussi vite. Elle poussa un petit soupir de plaisir. Ce n’était pas un orgasme, loin de là, mais ce premier plaisir, libéra l’éjaculation en moi. Ma queue cracha trois longs jets de sperme sur ma mère, arrosant son ventre.
– Oh cheri , fit elle en voyant que je jouissais. Elle s’approcha de moi, et me prit dans ses bras.
Doucement, je retirais mes mains de sa chatte, et je l’enlassais à mon tour.
– Maman, merci… Ca m’a fait tellement du bien… Que tu me fasses un peu plus confiance…
Ma mère ne dit rien. on resta un moment l’un contre l’autre. Puis elle recula un peu, s’essuya le ventre avec une serviette, et remis sa culotte bien en place.
– C’est d’accord pour ce soir. Je ne mettrai pas de soutien gorge.
– Tu sais que ça va m’exciter pendant toute la soirée…
– Il va falloir te tenir bien. Je suis ta mère.

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