J’étais assez timide à 20 ans et sans petite amie attitrée. J’avais 2 ou 3 copains avec qui nous faisions des soirées ciné ou resto ou spectacles et quand ils se sont mariés ou mis en ménage, je me suis retrouvé seul, comme un con.
Cela m’a beaucoup pesé pendant longtemps ; je passais une bonne partie de mon temps libre, en soirée ou le week-end au cinéma porno. A cette époque, il y en avait beaucoup.
J’avais un look plutôt androgyne, ce qui m’a valu parfois, des regards vicieux de « vieux » et des propositions ou des avances de vieux mecs vicelards ;
Un jour, j’ai craqué ; ça me trottait dans la tête depuis quelques temps et j’ai décidé de franchir le pas ; je voulais faire une pipe à un homme plus âgé que moi de préférence.
Je me suis rendu dans un ciné porno et me suis assis au fond de la salle ; à l’autre bout du rang un mec se branlait ; quand il m’a vu il est venu s’asseoir à côté de moi. J’étais à la fois gêné et intéressé ; il m’a pris la main pour que je le branle et là ça m’a fait bander ; j’ai voulu allé plus loin.
Nous sommes allés dans les chiottes du ciné, je me suis mis à genoux devant lui et lui ai baissé pantalon et slip ; j’étais hyper excité de me trouver avec une superbe bite devant mon visage. L’odeur était un peu forte mais envoûtante ; je l’ai pris en bouche et j’ai commencé des va et vient ; c’était doux sur la langue et le goût m’excitait ;
Quand il a éjaculé, il m’a envoyé 6 ou 7 giclées de sperme épais et gluant que j’ai avalé sans hésiter ; l’excitation était si forte que j’ai joui sans me toucher.
En sortant j’étais un peu confus ; excité par ce que je venais de faire mais aussi honteux d’un tel comportement.
Quelques temps après, dans un club de sport j’ai rencontré une fille qui m’a plu tout de suite ;nous nous sommes mis en ménage assez rapidement ; elle aimait chez moi mon côté un peu féminin ; je suis grand, mince, une musculature fine, cheveux longs frisés et peu poilu sur le corps.
Au fil du temps, mon côté féminin s’accentuait ; quand les 1er strings pour homme sont sortis dans les catalogues de vente par correspondance j’ai eu très envie d’essayer ; ma compagne n’était pas contre ; au final il y en a eu ensuite dans des grands magasins de vêtements et il lui arrivait parfois de m’en offrir ; j’adorai ça, au point de ne plus porter autre chose ; finis les slips et caleçons !
Pour faire plus joli, je me rasai les côtés du pubis pour ne pas que ça dépasse et puis un jour, pour lui faire une surprise pour la st valentin, j’ai tout rasé, pubis, verge, testicules et le peu de poils que j’avais sur les jambes et les fesses avec une crème dépilatoire.
Elle a trouvé ça très mignon et nous avons passé une soirée torride ! elle m’a même dit que j’avais un beau petit cul de gonzesse !
Ensuite, j’ai pris l’habitude de m’épiler entièrement ; pour les fesses, j’allai dans un institut d’esthétique, et pour le reste, je me débrouillais seul ou parfois avec son aide.
Sorti de ça, nous étions un couple ordinaire et au bout de 5 ans de vie commune,, l’enthousiasme de nos débuts avait fait place à des relations sexuelles classiques et rituelles, fellations, cunnilingus, …
Pendant toute ces années j’avais acquis quelques « manies ».
J’ai commencé à porter des chaussettes fines, noires que je trouvais élégantes et confortables. Par inadvertance, un jour j’ai mis des mi-bas de ma femme. Trouvant cela très agréable, j’ai continué.
J’en suis arrivé à acheter en cachette des bas, dim up d’abord puis avec porte jarretelles. Le contact sur mes cuisses me procurait de fortes émotions. J’aimais aussi beaucoup porter des tee-shirts en tissu léger, très fins, près du corps et des pantalons fins blanc ou très clairs de manière à ce que l’on voit mon string par transparence.
Puis un string de ma femme s’est égaré dans ma pile de linge. Etait ce un hasard ? toujours est il qu’il m’allait comme un « gant . De plus, j’ai trouvé son contact soyeux et des plus agréable. Petit à petit, ma tenue vestimentaire avait perdue son aspect viril.
Dans un domaine plus intime, et sous prétexte de faire durer l’échange plus longtemps, j’avais pris l’habitude de lui faire un cunnilingus après mon éjaculation en elle, ce qui me faisait rebander aussitôt et me permettait de la reprendre avec vigueur.
Et, pour compenser les risques de panne, on a eu recours à l’emploi d’un gode. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu un jour faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre.
Cette situation a fini par se reproduire régulièrement au point que je la réclamais de plus en plus.
Elle n’a pas hésité longtemps pour me mettre le gode dans le cul.
Elle a commencé alors à me traiter de véritable « pédé » et loin de m’offusquer, ça m’excitait.
Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, homo, passif, soumis.
Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non et, plus ou moins sérieux, j’ai rajouté que cela ne pouvait pas se passer sans elle et qu’elle aurait à choisir l’élu. En plaisantant j’ai même évoqué que mon fantasme était de la voir faire l’amour à un autre ou d’être pris en sandwich entre elle et lui.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un de ses amis que je ne connaissais pas encore. Sans y voir autre chose qu’une rencontre cordiale, j’ai accueilli un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique et plutôt viril.
Pendant que je servais l’ apéritif, j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle. Chemisier noir assez transparent et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts.
Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer alors que je la savais, jusqu’à ce jour, sérieuse. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse.
L’alcool aidant, la discussion devint grivoise, et orientée sur le sexe. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors m’a femme m’a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins en cachette(elle avait trouvé l’appareil photo avec lequel je m’étais pris et dont j’avais oublié de vider la carte mémoire, et comme c’est elle qui range le linge, elle était tombée sur mes dessous féminins) et qu’elle et son ami aimerait bien me voir avec.
Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir. Quand je suis revenu, ils étaient entrain de s’embrasser goulûment, une main avait disparue dans les plis de la robe de ma femme, l’autre dans son chemisier. Subjugué par cette audace, debout devant eux je ne savais plus que faire.
Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection.
S’adressant à ma femme, il lui dit « il a l’air d’aimer ça ; Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma femme me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord pour nous partager et j’en ai très envie. Ramène les verres à la cuisine et viens nous rejoindre dans le lit »
J’étais incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma femme dans cet état et de penser que j’allais « être » dans les bras d’un homme.
En arrivant dans la chambre je les ai trouvés nus enlacés. Quant ils se sont séparés j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma femme, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une magistrale fellation.
Subjugué je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien. Fait comme j’ai fait, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya sur ma tête d’une main et se masturba de l’autre.
Aux bruits environnant j’ai compris qu’ils continuaient de s’embrasser et de se caresser. Puis ma femme s’est levée. Peu après, tout en continuant à sucer cette belle bite, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel lubrifiant. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon cul, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode.
J’ai eu un petit gémissement. « Depuis quand te plains-tu » dit-elle.
Je sentais que le sexe de notre ami devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de ma bouche, et demanda « par qui je commence ? » « Par lui » dit ma femme en me montrant du doigt. « Il en a envie et il aimera ça ».
Cela me fis bander comme un cerf et je me sentais complètement soumis
Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma femme appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma femme, de plus en plus salope, me demandait de me taire en ma traitant de pédé, d’enculé et j’en passe.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé et cela me procura peu à peu un bien être extrême et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse.
De temps en temps, mon amant ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette légère douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma femme, en me faisant un peu souffrir.
Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas y à fond, … » Et ma femme surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur …
Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait. « Retiens toi me dit-elle où il va t’en cuire … Attends que je jouisse »
J’ai à peine eu le temps de me rendre compte qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ».
Après voir repris nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première « Te voilà dépucelé mon chéri, maintenant viens me lécher pour me nettoyer » ce que je fis avec plaisir puis elle m’ordonna de nettoyer la bite de son amant.
Là, j’hésitais un peu, vu qu’il sortait de mon cul, mais elle me claqua les fesses avec v******e en me disant « suces, salope, nettoie le bien » et je pris cette bite en bouche pour la rendre totalement propre. Le goût était un peu fort, mais elle n’était pas sale, hormis quelques traces de sperme un peu brunâtre.
Tu seras dorénavant à mes ordres et s’il t’arrivait de me désobéir, le martinet que je vais acheter te remettras dans le bon chemin »
Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé. Nous avons légèrement réorganisé notre vie et j’ai pris l’habitude de voir son ami, et amant dans notre lit.
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