Nous étions au mois de mai ce mois où la nature se réveille enfin, où le soleil devient plus chaud et plus lumineux, où les filles, heureuses d’abandonnées enfin leurs vêtements d’hiver, optent pour des tenues légères qui pour le plus grand bonheur des hommes, laissent apparaître, soit le début d’une gorge blanche, soit un mollet nerveux ou par intermittence une cuisse fuselée.
En ce samedi matin, profitant de ce début de Week-end j’avais décidé de m’occuper à diverses tâches dans l’appartement, tandis que Martine ma femme se préparait pour ce rendre à son rendez-vous chez le coiffeur, comme elle le faisait une fois par mois. Soudain la sonnerie de la porte d’entrée résonnant subitement nous fit sursauter tous les deux. Plus véloce que moi mon épouse s’empressa d’aller ouvrir. Tout en continuant mes retouches de peinture je tendais une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin.
— Michèle ! Quel hasard ?
Michèle était notre voisine de pallier avec laquelle nous avions vite sympathisé. C’était une femme d’une quarantaine d’année, tout en rondeur sans pourtant être vraiment grosse : ce que l’on pouvait appeler une femme bien en chair. Une femme qui aurait pu servir de modèle au peintre Rubens, qui aimait les femmes dodues. Elle possédait un visage rond d’une extrême délicatesse, que sa coiffure mi-longue atténuait quelque peu la rotondité. Ce qui m’avait immédiatement frappé chez elle dès que je l’avais rencontré, c’était l’air terriblement sensuel qui se dégageait de toute sa personne. Ses yeux noisette légèrement étirés et pétillant de malice, son nez aux narines palpitantes et ses lèvres gonflées, gourmandes, lui donnaient un air terriblement sensuel que son sourire engageant ne faisait que renforcer. Ses corsages aux manches courtes dénudaient ses bras potelés mais qui paraissaient malgré tout assez fermes ; ce qui laissait pressentir des cuisses de même nature, grasses, solides et musclées. Ce type de cuisses qui lorsqu’elles vous enserrent les reins dans une étreinte amoureuse doivent vous immobiliser si fermement qu’il vous est impossible de vous retirer du ventre dans lequel vous vous seriez fourvoyé… Ces mêmes corsages, au décolleté toujours affriolant, laissaient deviner une poitrine opulente, massive et dont on devinait que leur propriétaire était fière de montrer ; une poitrine aux seins abondants, entre lesquels il m’arrivait de rêver d’y faire glisser mon membre gonflé. Comme beaucoup d’hommes j’avais toujours été attiré par les femmes aux lourdes poitrines, même si celle que j’avais épousée était le contraire de mes fantasmes…
Les jupes toujours assez courtes, dont se vêtait Michèle, se plaquaient sur ses hanches larges et forts arrondies, les dessinant avec précision et accentuant à l’extrême les courbes d’une croupe épanouie. Une croupe à l’image de sa poitrine, opulente et charnue. Michèle était ce genre de femme que tout homme rêve de posséder une fois dans son lit, mais que très peu désire épouser. Il m’arrivait souvent d’envier son mari, un homme plus petit qu’elle d’une bonne tête, aussi mince qu’elle était enveloppée. Le genre de couple à la Dubout. Que de fois, nous nous étions imaginé en plaisantant, Martine et moi, cet homme malingre, prisonnier des fortes cuisses de son épouse, lors de leurs rapports sexuels.
Cependant, dans l’entrée le dialogue continuait :
— Je m’excuse de vous déranger, s’exprimait Michèle. Je dois aller passer des examens au laboratoire, et comme mon mari a du ce rendre chez sa mère, je voulais savoir si tu pouvais me garder Patrick… Je ne peux l’amener avec moi au labo.
— Mais bien sur, accepta Martine, qui ne savait jamais refuser quoi que ce soit… Je dois aller chez le coiffeur, mais ça ne fait rien, Salvatore le gardera.
— Ça ne va pas l’embêter ? S’inquiéta Michèle. Mais je n’en ai que pour une demi-heure tout au plus.
Et c’est ainsi que je me retrouvais, sans que l’on m’ait demandé mon avis, promu « nounou » d’un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Prenant cependant mon nouveau rôle au sérieux, je songeais qu’il fallait à tout prix trouver une occupation au garçonnet. Pensant, que comme tout garçon de son âge, Patrick trouverait le temps moins long si je le laissais jouer sur mon ordinateur situé dans une pièce voisine transformée en bureau, je le lui proposais :
— Tu veux jouer sur l’ordinateur ? Lui demandais-je, certain qu’il n’allait sûrement pas refuser pareille offre.
— Oh oui ! S’exclama le gamin, retrouvant soudain son sourire.
Rassuré sur la suite de l’attente, j’installais donc le garçon devant l’ordinateur sur lequel je chargeais un jeu, et afin de le surveiller, j’abandonnais mes travaux pour rester prés de lui, à lire une revue informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystick afin d’abattre le maximum d’Aliens qui envahissaient l’écran et ne souciait ni de moi, ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa « guerre des étoiles ».
C’est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs Lasers, que je devinais la sonnerie de la porte d’entrée. Posant ma revue, je m’empressais d’aller ouvrir à la mère de mon tueur de monstres, ravi qu’elle vienne me libérer de ma garde.
— Ca y est, me voilà, me sourit Michèle quelque peu essoufflée. Je me suis dépêchée. J’espère que Patrick ne vous a pas trop embêté.
— Nullement, lui rétorquais-je, le regard attiré malgré moi par sa forte poitrine qui se soulevait rapidement au rythme de sa respiration saccadée… Il s’éclate devant l’ordinateur. Venez voir !
Précédant ma sensuelle voisine, je la conduisis jusqu’au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs.
— Patrick, je suis revenue. Viens, il faut rentrer maintenant, lança Michèle à son fils. Tu as suffisamment embêté monsieur Louvin.
— Oh non ! Pas tout de suite protesta le garçonnet qui continua à se démener sur son fauteuil sans se préoccuper du retour de sa mère.
— Vous avez bien deux minutes, lançais-je à l’intention de Michèle qui s’étant approché de son fils se tenait derrière lui et regardait curieuse ce qui se passait sur l’écran du moniteur.
Placé comme je l’étais, dans le dos de la femme, je ne pus m’empêcher de poser mon regard sur la partie la plus charnue de son anatomie : cette croupe charnue dans laquelle je rêvais d’y enfoncer mes doigts et qui me faisait tant fantasmer le soir au fond de mon lit, aux cotés de mon épouse endormie. La légère jupe qui la recouvrait se plaquait sur les rondeurs jumelles, dessinant avec une précision extrême les masses épanouies des fesses tendues. Ce spectacle terriblement érotique eut le don d’exciter ma libido. Fixant avec désir ces rotondités dignes des statues de Maillol, j’essayais de deviner à quoi pouvait ressembler ce vaste derrière une fois dénudé. Autant Martine ma femme possédait un corps mince, souple, presque un corps d’adolescente, dont j’étais follement amoureux, autant je me trouvais attiré par celui, charnu et abondant de notre voisine. Sa poitrine qui m’avait l’air plus qu’opulente, contrastait énormément avec les petits seins menus de mon épouse.
Penchée sur le dossier du siège sur laquelle son fils se démenait, Michèle prise par le jeu se mit à encourager son rejeton, l’aidant de la voix à combattre les méchants dragons :
— Attention ! Là, à droite, à droite… Attention en voilà encore un ! Là !
Stimulée par la bataille auquel se livrait son fils, la femme trépignait sur place, agitant inconsciemment ses hanches rebondies en tous sens, m’offrant sans le savoir l’affolante vision de sa vaste croupe tanguant de droite à gauche dans une danse des plus excitante pour mes sens en éveil. Furieusement excité par le spectacle terriblement érotique que m’offrait ma corpulente voisine, j’éprouvais une envie soudaine d’empoigner ces hanches plantureuses qui ondulaient d’une manière follement suggestive à quelques centimètres de moi pour les pétrir, les presser, les malaxer…
Certaines paroles de ma femme, au sujet de Michèle me revinrent alors en mémoire. D’après ce qui se racontait, cette dernière n’aurait pas été un modèle de fidélité vis-à-vis de son mari, certaines mauvaises langues lui prêtaient de nombreuses aventures extraconjugales. Or si ces différentes rumeurs m’encourageaient à oser un attouchement précis, la crainte que tout ce que l’on pouvait raconter au sujet de cette femme aux formes plantureuses ne soit faux et que cette dernière ne prenne mal mes attouchements indécents me retenaient encore. Mais le ballet bouleversant de ce derrière rebondi à quelques centimètres de moi finit par me faire rejeter toute prudence. M’approchant timidement de la femme qui s’agitait sans vergogne devant moi, j’osais refermer avec émoi mes deux mains autour de ses hanches généreuses, percevant aussitôt sous le léger tissu de la robe, la fermeté et la robustesse de celles-ci. Alors que je m’attendais inquiet à ce que, outrée par mon audace, Michèle me repousse, j’éprouvais un intense plaisir en constatant que cette dernière, non seulement ne tentait pas de se soustraire à mon attouchement effronté, mais qu’au contraire elle l’acceptait en s’immobilisant soudainement, le cul tendu dans ma direction, comme dans l’attente d’un contact plus précis de ma part.
Grisé par la docilité avec laquelle la femme avait accepté mon étreinte, je pressais alors fiévreusement mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, éprouvant un indicible plaisir à sentir ce corps charnu s’offrir ainsi à mes attouchements. Exalté par cette situation à laquelle j’étais loin de m’attendre quelques instants auparavant, même si je l’avais vivement désirée, je m’acharnais à pétrir fiévreusement les hanches et les fesses charnues, de ma sensuelle voisine, les malaxant avec fébrilité, éprouvant un intense plaisir sensuel. Mais à presser à pleines mains les appas généreux de la femme soudain immobilisée, attentive à s’offrir à mes attouchements avides, ne tarda pas à faire naître au bas de mon ventre une érection phénoménale. Ma virilité, toujours prête à s’émouvoir, doubla de volume en s’allongeant, déformant le devant de mon pantalon par une bosse des plus disgracieuse.
La verge durcie par un subit afflux de sang, gonflée au maximum, un désir pervers me prit de révéler à ma sensuelle voisine l’état dans lequel ses généreux appas me mettaient. Rassuré sur la suite des événements par la passivité complice de la femme accoudée au dossier du fauteuil sur lequel son fils s’éclatait, je m’avançais légèrement afin de coller contre sa vaste croupe évasée ma verge orgueilleusement bandée. Remuant doucement des hanches, je frottais vicieusement l’énorme bosse que faisait mon membre dilaté contre le vaste derrière féminin, cherchant à faire coulisser mon pieu charnel dilaté dans la longue raie séparant les énormes fesses que je pinçais avec émotion.
Dans un petit gémissement qui passa inaperçu aux oreilles de son fils trop occupé à trucider les « Aliens » qui envahissait le moniteur, Michèle s’appuya plus confortablement au dossier du fauteuil sur lequel son gamin était installé. Ainsi installée elle formait un écran aux regards curieux qu’aurait pu jeter le garçonnet.
Alors prise d’une frénésie soudaine, la femme lança sa large croupe en arrière, cherchant avec une impudeur certaine le contact avec mon bas-ventre. Complètement rassuré alors sur l’adhésion de ma sensuelle voisine, comprenant que tout ce que l’on racontait sur ses mœurs devait être fondé, je n’hésitais plus à empoigner fermement ses hanches, crochetant mes doigts dans ses chairs fermes et potelées, que je pressais avec une ivresse sensuelle. Sachant que nous serions tranquilles pendant environ deux heures ; le temps pour ma femme de se faire coiffer, je pris tout mon temps pour m’enivrer de ces hanches rebondies qui oscillaient sensuellement sous mes doigts. Je les triturais à pleines mains, tout en frottant avec volupté ma verge gonflée contre les fesses opulentes.
A sentir la raideur de mon membre viril contre sa large croupe, Michèle ne pouvait ignorer la force de mon désir. A un moment elle tourna la tête vers moi et avec un sourire complice elle glissa vicieusement sa main droite entre nos deux corps accolés. Sans avoir à chercher, elle trouva immédiatement ma virilité, tant celle-ci gonflait le devant de mon pantalon. Dans un long frisson de volupté, je sentis ses doigts se refermer sur l’énorme protubérance qui déformait ma braguette, pour la presser avec autant de fièvre que j’en mettais de mon coté à lui pétrir les hanches. Malgré l’épaisseur du tissu de mon pantalon, Michèle entreprit de me branler habilement à l’aide de ses doigts refermés en pince autour de ma verge gonflée. Alors un étrange dialogue s’instaura entre nous par l’intermédiaire de son fils.
— Oh le gros là ! S’exclama-t-elle à l’intention de Patrick en lui désignant un monstre sur l’écran du monitor, alors que sa main pressait plus fortement ma virilité, comme pour en apprécier le volume… Qu’est-ce qu’il est gros !
Sous la sensuelle masturbation que la perverse voisine me dispensait, tout en l’accompagnant de commentaires qu’elle déguisait en conseils à son fils, j’éprouvais une furieuse envie de sentir la main féminine autour de mon membre viril gonflé, de sentir les doigts coulisser le long de ma verge tendue à l’extrême. Rejetant alors toute prudence, mais me sachant à peu prés tranquille pour encore une heure et demie, je m’empressais de faire glisser le zip de la fermeture éclair de ma braguette. Comprenant aux mouvements de ma main à quelle activité je me livrais, Michèle cessa sa caresse afin de me laisser œuvrer à ma guise. Mais dès que l’ouverture fut pratiquée dans mon pantalon, elle se dépêcha d’y introduire la main, repoussant sans ménagement les tissus qui freinaient son exploration. D’un geste vif elle plongea ses doigts dans mon slip que je m’étais empressé de baisser pour lui faciliter sa quête érotique. Saisissant alors ma virilité libérée, elle entreprit de me branler d’une main extrêmement douce et terriblement experte. Ivre de luxure, je tendis mon bas-ventre en avant, offrant avec ravissement mon dard vibrant à la main féminine qui l’avait empoigné. Avec une douceur divine, Michèle me branla savamment, décalottant largement mon gland cramoisi, repoussant le plus loin possible la peau mobile du méat, afin de presser mon gland prodigieusement gonflé contre sa paume.
Les deux mains crochetées dans les opulentes fesses qui continuaient à se mouvoir en un ballet lascif et terriblement émouvant, je m’abandonnais avec plaisir à la sensuelle masturbation dont j’étais l’objet. Le doux frôlement des doigts le long de ma colonne de chair me procurait une indicible béatitude, tout en m’excitant follement. Jamais mon épouse ne m’avait branlé avec une telle science. Il est vrai que d’après ce que l’on disait d’elle, notre sensuelle voisine devait avoir une expérience des hommes et de leurs désirs, bien supérieur à ceux de ma femme.
Mais bientôt l’envie de contempler enfin cette croupe épanouie m’envahit. Saisissant alors la robe qui me cachait ce vaste derrière féminin auquel je rêvais souvent, lors de mes rapports amoureux avec Martine, je la retroussais largement, jusqu’à la hauteur de la taille. Aussitôt, sans cesser les souples mouvements de sa main le long de ma verge dressée, Michèle se cambra toute, tendant son large postérieur dans ma direction, m’offrant l’affolante vision de sa croupe généreuse sanglée dans une culotte de nylon blanche, constellée de petites fleurs roses. La coquine lingerie, du fait de la position de sa propriétaire se plaquait si étroitement sur les formidables rondeurs tendues, qu’elle laissait deviner par transparence la longue raie séparant les fesses potelées. Je demeurais saisi d’ébahissement devant ce merveilleux derrière, vaste et charnu, et qui avait tant excité ma libido.
M’assurant une dernière fois que Patrick toujours occupé à détruire ses « Aliens » ne risquait pas de découvrir ce que je m’apprêtais à faire subir à sa mère, si l’idée lui était venue de vouloir regarder derrière lui, je saisis l’élastique de la coquine culotte fleurie et repoussais cette dernière sur les larges cuisses, découvrant avec ivresse le merveilleux postérieur de ma sensuelle voisine. Certainement aussi excitée que moi, celle-ci me laissa la déculotter, m’aidant même à faire glisser sa lingerie le long de sa croupe en remuant doucement ses hanches rebondies. Le merveilleux cul féminin m’apparut alors dans toute sa splendeur, vaste, énorme, opulent, profondément fendu en son milieu par une longue faille mystérieuse et combien troublante. Pris d’une passion passionnée je me laissais tomber à genoux face à cette gigantesque croupe à la peau blanche et veloutée. Crochetant mes doigts dans les opulentes hémisphères à la chair extrêmement ferme je les écartais largement l’une de l’autre afin de découvrir l’affolante rosace brune de l’anus plissé. Aussi ému qu’un adolescent lors de sa première découverte sexuelle, je collais ma bouche à cet orifice anal délicatement froncé pour le fouiller d’une langue agile. J’explorais avec délectation l’intérieur des profondeurs mystérieuses de ce derrière féminin, léchant avec gourmandise ce conduit de chairs agréablement assouplies. Tout en explorant le cul féminin qui se tendait effrontément au devant de ma bouche, je m’imaginais Michèle penchée sur son fils et faisant d’énormes efforts afin de ne pas trahir le plaisir qu’elle éprouvait. Je l’entendis cependant conseiller son rejeton d’une voix sourde.
— Oui, c’est bien mon chéri… Continue encore comme ça !
En fait les recommandations qu’elle apportait à Patrick m’étaient surtout destinées, me faisant comprendre ainsi combien elle appréciait mon baiser anal et m’encourageant à continuer. Lui maintenant les fesses largement écartées, je vrillais ma langue dans son cul palpitant, tachant d’atteindre les profondeurs de cet abysse mystérieux, léchant délicatement les contours sensibles. Je me régalais de voir devant mes yeux la chair brune frémir doucement sous mon baiser particulier. Puis désirant varier mes attouchements afin d’affoler un peu plus ma victime, j’abandonnais son orifice anal palpitant et prêt à d’autres pénétrations plus consistantes, pour glisser insidieusement ma bouche en direction de son sexe velu. Michèle était pourvu d’une pilosité si abondante que je dus m’aider de mes doigts pour écarter l’épaisse fourrure luxuriante, d’un noir de geai, afin de dénicher la longue faille sexuelle d’où s’échappait une véritable source brûlante à la forte odeur épicée.
Grisé par les effluves capiteux qui s’élevaient de la chatte aux lèvres écarlates, j’enfonçais ma langue entre les longues babines sexuelles, l’introduisant avec félicité à l’intérieur des chairs gorgées de suc tiède au goût âcre. Longuement, avec délectation, je léchais cette sève qui émanait des profondeurs du vagin en fusion, m’enivrant de ce nectar fortement parfumé. Malgré les efforts qu’elle fournissait pour rester stoïque, Michèle, sous mes coups de langue qui lui fouillaient profondément la vulve, ne put s’empêcher d’agiter langoureusement sa large sa croupe, frottant furieusement sa fente ruisselante contre mon visage ; m’engluant le nez et le menton de ses sécrétions vaginales. Vu l’abondance des liqueurs amoureuses qui m’aspergeaient le bas du visage, je jugeais alors que ma volcanique complice avait atteint un degré d’excitation maximum, et que vu l’état de son sexe liquoreux, j’allais enfin pouvoir assumer mes fantasmes érotiques. Pouvoir enfin m’enfoncer par derrière dans ce corps aux rondeurs épanouies, afin de m’enivrer de la vision de cette croupe dodue si souvent convoitée, tout en fouillant de mon membre viril ce vagin liquéfié.
Abandonnant alors la chatte dégoulinante d’un jus de plus en plus abondant, je me redressais pour me placer face à l’énorme derrière qui continuait à s’agiter d’avant en arrière, dans un mouvement de coït terriblement érotique. Saisissant ma verge de la main droite je la dirigeais entre les cuisses charnues de ma compagne, plaçant mon gland gonflé entre les grandes lèvres sexuelles gorgées de désir.
— Oui chéri, lança aussitôt Michèle à son fils. Défonce-le ! … N’ait pas peur. Tu peux y aller.
Sachant que ces encouragements m’étaient destinés, je lançais mon bas-ventre en avant, enfonçant entièrement ma verge gonflée dans la vulve accueillante. J’eus l’impression de m’enfoncer dans un brasier, tant la femme était chaude.
— Voilà, c’est bien, continua Michèle, en s’adressant toujours à son fils. Continue maintenant… Ne t’arrête pas !… Défonce-les !…
Puisqu’elle le réclamait avec tant d’insistance, je me devais d’exaucer ses désirs. Crochetant mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, le regard fixé sur sa magnifique croupe qui se tendait désespérément vers moi, j’imprimais un lent mouvement de va-et-vient à mon bas-ventre, faisant ainsi coulisser avec volupté la totalité de mon membre viril dans le fourreau incandescent de ma complice. Malgré la grosseur de ma queue, qui sans être d’une taille phénoménale possédait quand même une dimension raisonnable, je me trouvais au large dans ce corridor vaginal juteux et malgré l’intense désir qui m’habitait, le plaisir fut long à se propager de mon bas-ventre à ma virilité. Recherchant désespérément l’orgasme qui viendrait me libérer momentanément de mes fantasmes, j’accélérais alors mes coups de boutoir, me démenant de plus en plus fougueusement, frappant durement les fesses tendues de mon bas-ventre. Les chocs violents de mon ventre contre la croupe ferme claquèrent dans le silence de la pièce, sans que le gamin rivé devant son monitor ne s’en inquiète heureusement. Ma verge tendue coulissait avec parfaite fluidité dans la vulve transformée en un véritable cloaque bouillonnant. Michèle mouillait prodigieusement, sa chatte ruisselait littéralement, comme si soudain une vanne tapie au fond de son vagin venait de s’ouvrir et déversait son trop plein de liquide organique en un flot torride.
— Oui, c’est bon, lança-t-elle à l’oreille de son fils, toujours passionné par sa destructions d’Aliens. Continue encore !
Cependant, malgré l’ampleur de la vulve dans laquelle j’agitais mon membre viril gonflé, je sentis le plaisir monter petit à petit dans mon bas-ventre. Fixant la large croupe qui avait pris une couleur rosée sous les coups répétés que mon ventre lui assénait, je m’acharnais à pistonner le vagin accueillant d’où s’élevait un bruit de clapotis terriblement excitant. Une fois le processus lancé, tout se passa alors rapidement. Une onde voluptueuse, vertigineuse, incontrôlable me submergea, me tétanisant de la tête aux pieds. Dans la chatte incandescente ma verge tressauta brusquement, explosant dans un véritable feu d’artifice. Les doigts furieusement plantés dans les hanches rebondies de ma sensuelle partenaire, je me mordais les lèvres pour ne pas laisser échapper le grognement de plaisir que je sentais prêt à jaillir de ma gorge. Secouée de spasmes réguliers, ma queue cracha sa semence au plus secret du vagin dilaté, lâchant de longues salves de sperme, telle une mitrailleuse tirant ses coups lors d’un combat.
Je ne sais combien de temps je restais ainsi, prostré, profondément fiché dans les entrailles de ma volcanique voisine. Ce furent les cris de triomphe de Patrick qui venait lui aussi d’atteindre la victoire finale qui me tirèrent de ma léthargie voluptueuse. Délicatement je retirais ma verge quelque peu ramollie de la vulve débordante, puis apercevant la culotte aux fleurs roses de ma complice à nos pieds, je la ramassais afin d’essuyer les taches blanchâtres qui souillaient mon membre déliquescent. Comme je réintroduisais ma verge ramollie dans mon slip, Michèle se redressa, sa robe retomba sur ses cuisses aussi larges que des colonnes, me cachant son fessier généreux et terriblement sensuel.
— Allez Patrick, maintenant que tu as terminé, il faut y aller, papa ne va tarder à rentrer et tu vas l’entendre rouspéter si le dîner n’est pas prêt.
Tout heureux d’avoir détruit tous les Aliens, le garçon sauta de son siège et se dirigea vers la porte. S’assurant que son fils ne pouvait ni nous voir, ni nous entendre, Michèle s’approcha de moi pour plaquer ses lèvres aux miennes dans un baiser rapide et furtif, mais plein de sensualité, tandis que sa main droite empoignait mon membre à travers mon pantalon.
— Quel pied j’ai pris, me souffla-t-elle. Il y a longtemps que je ne m’étais envoyée en l’air de cette manière…
Saisissant ma nouvelle amante par la taille je la plaquais contre moi, la maintenant solidement par les fesses.
— Moi aussi, j’ai énormément jouis, lui confessais-je.
— J’ai sentis, me murmura Michèle en m’embrassant légèrement les lèvres, j’en ai plein les cuisses, ça dégouline de partout… Rends-moi ma culotte que je m’essuie…
Je lui tendis sa lingerie intime que j’avais gardée à la main. S’en saisissant, elle la porta vivement entre ses cuisses pour s’essuyer hâtivement la chatte.
— Tu en avais une sacré réserve, me murmura-t-elle dans un sourire… Qu’est-ce que tu m’as mis !…
Après un dernier baiser, je la raccompagnais jusqu’à la porte en lui caressant sensuellement les fesses.
— On recommencera ? Me demanda-t-elle avant de me quitter. J’aimerais bien recommencer, plus tranquillement… Tu voudrais ?
— Quand tu voudras, acquiesçais-je ravi.
— Tant mieux. Bon j’y vais avant que mon mari ne rentre pour avoir le temps de faire un brin de toilette, je sens que j’en ai plein les cuisses.
M’abandonnant sur un dernier baiser furtif, Michèle regagna son appartement à la porte duquel son fils l’attendait. Je la regardais s’éloigner avec émotion, en songeant déjà au moment où je la retrouverais pour faire l’amour dans des conditions plus sereines
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