L’idée de me faire traire comme une vache laitière cheminait depuis un moment dans l’esprit tordu d’Alain. Alors qu’il m’embroche en levrette en me malaxant les seins, il lui vient à l’esprit d’appeler nos amis et de leur donner rendez-vous avec Katia et Sofia dans une ferme du coin.
Mais pour l’instant, je me donnais complètement à mon plaisir de me faire tirer par mon homme. Alain accélère la cadence, en me disant à l’oreille :
« T’es de plus en plus salope ma chérie. T’es accro à la bite hein ? T’aime te faire bourrer comme une grosse vache ? Tu vas voir on va te traite comme une bonne laitière Normande ! »
Il donne des coups de rein pour s’enfoncer encore plus profond en continuant comme une litanie de me dire :
« T’es bonne que pour te faire enfiler, pomper des mecs ! »
Le salop me bourre de plus en plus sauvagement à grands coups de mandrin, me défonçant et me prenant de plus en plus profondément. Lorsque l’orgasme m’emporte, Alain ne pouvant plus se retenir, me retourne et se met à gicler à longs traits épais dans ma bouche. Je déglutis.
Remis tout les deux de notre jouissance,il me lance :
« Allé ! En voiture ! »
« je vais m’habiller avant chéri ! »
« Non ! T’es très bien comme ça ! Où on va t’aura pas besoin de fringues. »
Une petite heure plus tard, nous voilà dans une ferme. Alain me met un licol au cou et m’entraîne vers l’étable où nous attendent, Christian, Christophe, Seb, David et Guillaume.
Katia et Sofia sont déjà attachées nues les mamelles pendantes. Christian l’accueille chaleureusement en lui disant :
« On attendait que toi pour commencer. Nos femelles sont déjà prête. »
Les autres disent :
« On va voir entre les trois laquelle est la meilleur laitière ! »
J’angoisse en regardant mes copine et Guillaume se charge de m’installer aux côtés des autre filles.
Seb dit en substance :
« On va avoir du lait pour le petit-déj ; demain matin. »
Christophe propose même hilare :
« D’ailleurs avec leurs grosses mamelles, on pourrait les traire tous les jours ! »
« Oui mais il faudrait faire attention à leurs nourritures dans ce cas pour avoir le meilleur lait possible. »
« C’est vrai ça, tu as raison Christian. Je nourrirais la mienne au sperme ! »
Nous voilà toutes les trois dans cette salle de traite, à quatre pattes au milieux des bovins et on nous place les suceuse sur les mamelons. La machine se met en route et commence à pomper nos seins dans un drôle de bruit de succion. La pression de la pompe est douloureuse et je grimace. Nos mamelles alourdies par les suceurs pendent en se ballottant au rythme de la machine. Nous geignons mais restons dociles.
Au bout de dix minutes de ce calvaire, Guillaume lance :
« Ça y est leurs pis sont vides. Seb, Christophe, vous venez me donner un coup de main pour enlever les suceur des femelles ? »
David constate :
« Voyons qu’elle est celle qui est la plus rentable. Mais dis donc Alain ta vache donne bien et Sofia n’est pas mal non plus. Quand à Katia, il va falloir qu’elle fasse plus d’effort pour les prochaines fois ! Mais bon on a presque un litre de lait. »
Alain lance en rigolant :
« C’est normal, je la trait tous les jours ! »
Guillaume nous détache. Nos seins sont rouge et douloureux.
David, ironique dit à mon mari :
« On va rapporter du produit 100% du terroir et certifié bio ! »
Excités comme des porcs, les mecs nous prennent en levrette et se font sucer en attendant leur tour. Je trouve que David me pistonne plus brutalement qu’à l’habitude en me donnant de grande claques sur les fesses. En levant les yeux vers mon mari qui se fait pomper par Katia, il lui dit :
« Décidément ta femelle est bien la meilleure ! »
« Fais-toi plaisir ! Elle est faite pour ça ! »
Guillaume, qui au moment encule Sofia qui couine comme la dernière des pute, sort de son cul pour venir vers moi en disant à Alain :
« Je vais lui donner sa première ration de sperme. »
Secoué par celui qui me baise, j’ouvre docilement la bouche pour recueillir Guillaume. J’entreprends un pompage en règle de son chibre. Il ne tarde pas à venir et éjacule dans ma bouche. J’avale le tout en bonne chienne et lui nettoie même sa hampe. A ce moment David arc bouté au fond de mon con se lâche à son tour.
Alain lui reproche :
« Merde t’aurais pu au moins lui remplir l’estomac ! »
Christophe lance :
« Ça y est tout le monde est satisfait, on va pouvoiry aller et ramener nos trois salopes ! »
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