Samedi dernier, avec trois amis à moi : Marc, Luc et Thomas, nous décidons d’aller dans une boite pour adultes célibataires… Une première pour nous.
Timides au début devant un tel spectacle, nous nous asseyons sur une table dans un coin de la salle. Je me caressais secretement sous la table et je sentais le plaisir monter à voir tous ces corps nus s’entremeller. Contrairement à mes amis, je n’avais d’yeux que pour les mecs, principalement deux beaux étalons contre un pillier du bar.
Je me retire afin de rejoindre les toilettes et jouir tranquillement. Je rentre donc, les portes des toilettes sont alternées roses et bleues… (Jusque là c’est sans intéret me direz vous… pas tout à fait) je rentre dans le premier « toilette » a porte rose. Je sort ma bite, me retourne… cette pièce est vide, il n’y a pas de toilette. Les deux trous situés sur chaque murs des parois me font comprendre de quoi il s’agit… Je m’apprete à sortir discretement, mais j’entend du bruit : quelqu’un entre. Il se place dans les toilettes à cotés de moi (oui, les portes bleues correspondaient à de vrais toilettes…) Au moment ou il ferme sa porte je vais pour sortir quand son braquemard viens me barrer la route. Que faire ? Aprés tout je me suis trompé, c’est de ma faute, mais je ne vais pas le priver de son petit plaisir. J’empoigne donc le bel engin et le suce goulument. Cela semble être vraiment bon car le jus de cet homme se retrouve vite dans ma bouche (et aussi sur le col de ma chemise… zut). Il ramasse son sexe et sort. Je sorts à mon tour après m’être débarbouiller. Je rejoins mes amis.
Marc me dit « Sympa ces toilettes ? t’y est resté longtemps… Avoues tu t’es branlé.
-Non du tout, une grosse envie juste, je lui réponds.
-Toute façon y’a pas besoin de se branler ici, dit Thomas, les chiottes sont alternés pour homme et femme et y’a des gloryhole de partout, j’en viens et y’a une salope à la bouche experte qui m’a fait jouir plus vite que jamais ».
Je comprends vite que la salope en question c’était moi.
Plus tard dans la soirée, je relève le col de ma chemise pour faire « beau gosse » Thomas me fait remarquer qu’elle est tachée, il frotte la tache et… C’était son sperme qui n’avait pas encore séché. Il me demande de lui expliquer comment j’avais du foutre plein le col, je ne pouvais plus reculer. Je lui explique donc que c’est moi qui l’ai sucé plus tôt. Surpris il me dit « T’es gay ?
-Non, juste curieux, j’aime les nouvelles expériences
-Et, euh, c’est bien avec un autre mec ? me demanda-t-il alors que nous n’étions plus que deux à table.
-Oui, répondis-je gêné, très bien même.
-Prouve moi que c’était toi tout à l’heure
-Comment ?
Il sort sa bite et dit :
-Suce la.
Elle paraissait encore plus grosse que tout à l’heure, il bandait comme un taureau et j’en avais l’eau à la bouche. Je m’éxécutait donc, et il ne tardit pas a re-jouir dans ma bouche. Marc et Luc qui avaient trouvés chacun une copine d’un soir sont revenus à la table à ce moment. J’étais démasqué, moi, l’homme qui me masturbait dans les vestiaires après les match de foot, celui qui allait à la salle de gym sans se muscler, celui qui regardait le sexe des autres dans les pissotières pour « comparer la taille »…
Plus que ma bisexualité, ce qui les dérangeait était que je ne leur avait pas avoué.Marc et Luc se sont donc attablés plus loin. Thomas semblait lui plutot intrigué et curieux, il se mit donc à me caresser. Mon sexe durcissait bien vite, j’ai cru que les boutons de mon jean allaient sauté si je ne l’ouvrait pas. Tandis que nous nous branlions mutuellement, les deux hommes qui se faisaient du bien contre le pillier du bar plus tôt, sont venus s’asseoir avec nous. Ils étaient nus, le corps musclé tout en sueur… L’un d’eux, nommé Abdel dit : »Et bien vous deux, vous êtes timides ? Lâchez vous, ici personne ne vous jugera.
-C’est la première fois pour moi, répond Thomas.
-On saura prendre le temps », dit Jérémy, le second étalon.
Je me déshabille rapidement et me jette avec gourmandise sur la bite de Jérémy, Thomas ne tardent pas a faire de même avec celle d’Abdel tandis que les deux hommes s’embrassaient langoureusement. Moi et Thomas échangeons nos partenaires, ce qui m’arrangeait bien : en effet le sexe que j’avait maintenant entre les lèvres était bien plus gros. Thomas était un peu moins effrayé par l’empleure de la tâche, bien que terrifié à l’idée de se faire sodomiser. Nos partenaires se sont à leur tour mis à nous sucer, puis nous ont préparer au plaisir de la chair. Thomas était tout émoustillé à chaque phallange de doigt que lui mettait Jérémy entre les fesses. Après quelques instant les doigts sont remplacés par les belles bites de nos nouveaux amis. La sensation est extra, les vas-et-viens sont rapides. Mon plaisir est accentué par l’expression sur le visage de Thomas : à la fois une petite douleur et un plaisir intense. Après de longue minutes nous changeons de position, Abdel est allongé et moi je suis assis sur son chibre et je l’embrasse pour le remercier de tant de plaisirs. Jérémy viens discretement par derrière, ils sont deux entre mes fesses, mon anus est étiré comme jamais, la sensation de douleur laisse rapidement place à un plaisir non dissimulé qui me fait jouir à grosse gouttes sur le torse d’Abdel. Thomas me donne alors son sexe à sucer, a peine en bouche il me gicle à la figure. Les deux autre me jouissent dans l’anus et Thomas lèche le fluide qui s’en échappe, car il est tellement écarté qu’il ne peut pas le retenir. J’en voudrait encore… La barman annonce la fermeture de la boîte dans quelques minutes, juste le temps de se rhabiller et nous rentrons chacun chez nous, mais avec une forte pensée pour les autres…
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