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Donna

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Étrange, aujourd’hui, j’ai repensé à une aventure que j’ai vécue il y a bien des années à l’époque où j’étais encore un hétéro actif.

Retour dans le passé : C’était une belle soirée d’automne sur la côte basque, la température était encore douce malgré l’heure avancée. Partant du principe qu’il est préférable de chasser seul pour ne pas avoir à partager le gibier, j’avais trouvé une excuse quelconque pour fausser compagnie aux amis avec qui j’avais passé le début de soirée, bien décidé à trouver l’âme sœur de cette nuit. Un petit tour dans les boites de nuit me semblait opportun et propice à une éventuelle rencontre… Je file donc sur Biarritz.

Était-ce la chance ? Sur mon trajet, une jeune femme semblait faire du stop ! Ne l’ayant aperçu qu’au dernier moment, je m’empressais de faire demi-tour pour revenir ensuite m’arrêter à sa hauteur. Que ne fut pas ma surprise ne découvrant qu’il s’agissait en réalité d’un jeune travesti ! Pourtant, poussé par mes démons, j’acceptais de lui ouvrir la porte et de le laisser monter. Il n’allait pas bien loin de toutes manières.

Avec une gestuelle très féminine, il s’installait à côté de moi. Son jean moulait ses formes qu’une taille de guêpe mettait en valeur. J’avoue avoir pensé secrètement qu’elle était mignonne et attirante, troublé de l’effet que pouvait me faire le « petit PD » qu’il était en réalité.

Une chanson de Donna Summer couvrait le bruit du moteur, j’adorais ses chansons. J’entendis fredonner mon passager qui avoua lui aussi être fan de l’artiste et connaitre toutes ses œuvres. Il se mit alors à reprendre tout haut son tour de chant en me demandant si j’aimais. Éhonté, je répondis dans l’affirmative.

Il chantait, dos à la porte, ses genoux au contact de ma main posée sur le levier de vitesse (ou peut-être l’inverse), son regard rivé sur moi, ravi de me faire plaisir. Étonnement, ma main droite glissa du pommeau en marquant quelques pauses stratégiques et glissait maintenant sur sa cuisse. Gracieusement effrontée, je la sentais s’ouvrir à l’appel de l’érotisme de la situation. Je m’enhardissais alors pour lui proposer maladroitement d’aller un peu plus loin, sur une falaise à l’époque facile d’accès. Il accepta en souriant. Sa posa sa main sur la mienne. C’était étrange, je me sentais attiré par lui et pensais en même temps à ma copine de l’époque. Bizarrement, deux êtres de sexe opposé me mettaient dans le même état.

L’accès de l’endroit était à l’époque encore facile : En contrebas d’une petite route de promenade, une petite bande d’herbe parsemée de buissons surplombant l’océan. J’arrêtais la voiture sur le côté… L’habitacle n’était plus alors éclairé que par la faible lueur de la lune et ponctué régulièrement par les rayons du Phare. Les quelques rares voitures passant sur cette route nous ont vite convaincus de sortir afin de trouver un endroit plus « tranquille » ; enjambant le reste de clôture supposée interdire l’accès, nous sommes alors descendus entre les buissons éparses pour nous installer sur une petite bande d’herbe surplombant l’océan. La température était clémente, la vue paradisiaque…
Quand il vint se blottir contre moi en posant ses bras autour de mon cou et poser sa tête sur mon épaule, c’est presque naturellement que je le pris par la taille ! Nous nous sommes alors allongés dans l’herbe, côte à côte. Mus par une indescriptible pulsion, je m’enhardis alors et passais mes mains sous son polo. Le velours de sa peau sous mes doigts me donnait la chair de poule ! Son souffle chaud dans mon cou me transportait. Je le sentais se tendre sous mes caresses. Il m’embrassa… Une première pour moi et pourtant je n’ai pas refusé son baiser. Nos langues se mêlaient alors dans un ballet sensuel. Je sentis bien vite son étreinte se relâcher quand il entreprit à son tour de me caresser. Mon corps se tendait au contact de sa main descendue bien plus bas qu’il n’est raisonnable. Une érection trahissait mon état apparemment calme. Rassuré, il entreprit de me libérer en dégrafant mon ceinturon pour descendre doucement la fermeture éclair de ma braguette. Je profitais alors qu’il s’affairait sur mon vit à travers le tissu de mon slip de le déshabiller. Quittant sa bouche, je le couvrais de baisers, glissant le long de son cou tendu à sa poitrine. Une petite pause pour jouer avec ses tétons et mes lèvres parcourent son ventre si doux. Mes mains lui tiennent les fesses, les relèvent… Et enfin je le débarrasse de son pantalon que je lui retire savamment d’un pied que j’ai remonté entre ses cuisses et glisse vers le bas. Il est nu !

Mes lèvres avaient suivi les courbes fines de son ventre pour se fixer entre ses cuisses. Son petit sexe dressé devant moi s’offrait à elles. J’ai bien du mal à comprendre pourquoi j’ai osé le prendre en bouche pourtant c’est très naturellement que j’ai entrepris de le sucer… Et d’apprécier. Je pompais le petit bout de chair tendu en m’appliquant, presqu’amoureusement. Une fellation interrompue quelques fois quand je décidai de lécher sa bite. Il gémissait doucement, ses mains crispées sur mes épaules ou sur ma tête pour venir finalement à la rencontre de bouche qui l’avalait. Il allait et venait discrètement dans ce chaud fourreau, gigotant sous les soubresauts qui l’animaient.
Finalement il me repoussait en silence pour se redresser et à son tour me baisser le pantalon et enfin mon slip. Mon sexe n’était plus qu’une bite raide et dans l’attente d’une attention. Je bandais comme un dingue ! Une main experte s’affairait à me rendre plus fébrile encore quand il vint me rendre à son tour la pipe que je lui avais faite. C’était divin. Après quelques minutes de cette « punition » je le baisais littéralement par la bouche étouffant ses petits cris au fond de sa gorge.

Toutefois, l’endroit n’était pas vraiment propice à un éventuel accouplement. La voiture garée plus haut pouvait trahir notre présence et nous pouvions avoir la visite d’opportuns. C’est ainsi que nous nous rajustions d’un commun accord pour trouver un endroit moins risqué. Il me tenait la main en remontant vers la route comme l’aurait fait n’importe quel couple. Passé devant moi pour le dernier passage plus étroit en contrebas de cette dernière, je le voyais onduler et tortiller du cul comme une vraie femelle ! De retour dans la voiture, il s’installa à mon côté et posait sa tête sur ma cuisse, une main entre mes jambes pour reprendre ses caresses et éviter probablement que je ne me ravise.

Nous avons dû parcourir une dizaine de kilomètres avant de trouver un parking de bord de mer vidé de ses occupants du jour. C’est face à la mer, dans la pénombre, que nous avons repris nos jeux. Câlins ciblés, attouchements que la « Morale » réprouve en guise de préliminaires, allongés sur les sièges mis en couchette. Il a envie de plus et me le fait bien comprendre ! Mais après quelques tentatives avortées par l’inconfort de l’endroit, malgré nos efforts de contorsionnistes, nous décidons de passer sur la banquette arrière en avançant les sièges de devant.

Agenouillé, son petit cul dénudé et bien relevé, il s’offre ! Je devine un sourire sur son visage angevin tourné vers moi. Je suis excité à la vue de ces fesses qui se tendent vers moi dans la lumière blafarde et que je caresse nerveusement. Je le prends par la taille pour l’entrainer vers moi, laissant glisser ma bite entre ses formes charnues. Agréable moment de ressentir la chaleur de sa rondelle sur mon gland que je fais glisser entre sa raie. Sa respiration se fait plus rapide, il balbutie en m’enjoignant de le pénétrer. Un peu de salive… Le trou n’oppose que peu de résistance lorsque ma queue commence à rentrer. Son anneau se sert sur ma hampe tandis que mon gland se perd dans le tréfonds de son intimité. J’adore ce que je ressent alors ! Il se cambre en gémissant doucement. Le spectacle de ce cul de tapette avalant ma bite m’électrise. Agrippé à ses hanches, je le bourre comme je le ferais avec ma copine. Parfois doucement, d’autrefois bestialement, toujours profondément. Je sais bien que c’est un mec que j’encule mais pourtant j’apprécie vraiment. C’est une petite salope que je saute ! Je le lime, il se tortille en se branlant. Mes cuisses claquent sur ses fesses lui arrachant de petits cris de plaisir. Sa tête posée sur le siège vient frapper la porte sous mes coups quand sa main passée entre ses cuisses vient me malaxer les couilles. Je sens la jouissance monter en moi et le préviens. Il ondule plus encore en me suppliant de continuer. Je me crispe sur sa taille en le tirant vers moi pour mieux l’empaler quand je suis littéralement foudroyé. Je décharge mon jus, planté dans ses entrailles. Chaque contraction me transporte.

Sa respiration se fait lourde. Il accélère sa branlette pour finalement jouir en couinant… Tant pis pour le siège ! Finalement, il se relâche, semblant épuisé. Je suis si bien dans ce cul accueillant et chaud. Dans un baroud d’honneur, j’entreprends quelques allers-retours dans ce fourreau de chair trempé pour enfin sortir avec toutefois quelques regrets.

Il nous faudra quelques minutes pour reprendre nos esprits. Il me regarde par-dessus son épaule, souriant, comme comblé. Il ondule encore quelques fois des fesses doucement, paraissant souhaiter reprendre notre accouplement… Comme une femme amoureuse !

Je me suis redressé, regardant ce cul que je viens d’explorer que le peu de lumière semble éclairer. Mais le retour à la réalité, presque brutal, m’impose de mettre fin à l’aventure. Comme un mâle qui vient de copuler et qui ensuite, se retire après avoir obtenu ce qu’il cherchait, je lui explique dans un mensonge maladroit que je dois rentrer. Il n’est pas dupe mais semble accepter. Je me rhabille dans la voiture pour sortir. En ouvrant la porte, il est exposé toujours les fesses levées mais fini par sortir à regret et se revêtir sur le parking.

Nous reprenons place à l’avant, sa main posée sur ma cuisse. Je le raccompagne finalement jusqu’à la boite de nuit qui était sa première destination. Arrivé sur place, il me remerciera encore d’un baiser que je ne refuserai pas malgré les quelques nuitards présents, sort et s’éloigne dans un démarche très sensuelle. Il se retourne quand je redémarre et m’envoie un petit baiser de la main.

Je ne le reverrai jamais… Parfois, je pense encore à lui…

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