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Quand Margot devient chienne 13

Quand Margot devient chienne 13



De mieux en mieux.

Le dimanche, on a fait la grasse matinée. Il faut dire que la veille on était sorti avec des amis. On s’était fait un bon resto et on avait fini dans un piano-bar à écluser quelques rhums arrangés des plus savoureux. Les derniers jours de « pose » qu’avait subis Margot semblaient avoir eu un effet positif sur sa libido. Je la trouvais de plus en plus amoureuse d’une part, mais surtout, durant toute la soirée, déjà au resto, elle collait sa cuisse contre la mienne, elle me tenait le genou, voire même s’égarait vers ma braguette se sachant dissimulée par la nappe, avec de petits sourires en coin. Et dans le piano-bar, pareil. En plus on était dans un coin canapé un peu plus sombre et elle s’était pelotonnée sur moi. L’alcool aidant, l’ambiance, notre situation abritée, bref elle avait le feu au cul et tentait de me le faire comprendre.
Après avoir prétexté un gros coup de fatigue, nous quittions nos amis pour rentrer à la maison. Alors là, je vous dis pas ! Heureusement qu’on avait pas beaucoup de kilomètres à faire, sinon nous aurions dû nous arrêter en route. Cette cochonne avait sorti ma queue de mon pantalon et m’a branlé tout le long du voyage. Elle avait sorti aussi ses nichons et me les mettait sous le nez en me demandant si ça m’excitait. Ils sont pas beaux mes seins, hein ? Me demandait-elle. T’as envie de me les sucer, hein ? Et ma chatte, tu vas me la bouffer, hein, dis, t’en as envie de ma p’tite foufounette ? Comme elle est grosse ta queue mon chéri ! Tu veux que je te suce ? Tu vas me la mettre dans le ventre, hein ? Tu vas bien me bourrer dis ?
Je n’avais même pas le temps de répondre. D’abord j’étais concentré sur la route. Malgré l’heure tardive, à Paris ça circule toujours et puis, concentré il faut le dire vite. Quand vous conduisez et qu’une main vous tire sur l’élastique, la concentration est toute relative. Mais bon, tant bien que mal, on a fini par arriver à la maison sans que j’éjacule sur mon volant. En montant les escaliers sur les pas de ma cochonne de femme, j’en profitais pour lui foutre la main au cul. Putain !!! Elle n’avait pas mis de culotte la salope ! Si ça se trouve nos amis s’en sont aperçu. Merde alors, je n’en revenais pas. Qu’elle le fasse chez nous, OK, mais là, en sortie avec des amis, ça me la coupait.
– Dis donc, je ne rêve pas, t’as le cul à l’air ?
– Ben oui pourquoi ?
– Comment ça pourquoi ? On n’est pas dans l’intimité que je sache. Que tu le fasses entre nous c’est une chose mais là, quand même….
– Oh chéri ! Ce n’est rien, personne n’a rien vu et je me sens tellement plus à l’aise. Tu ne dis rien quand on fait du naturisme alors qu’on voit tout et là tu me fais un fromage !
– Ben c’est que quand on fait du naturisme tout le monde est à poil.
– Oui, et ben moi je suis à poil quand on fait du naturisme tous les deux, je suis à poil quand je pose pour « BHV », alors j’ai plus l’habitude de m’habiller, excuses-moi.
– Ah d’accord ! Alors dorénavant tu seras toujours la chatte à l’air ?
– Pourquoi pas ? Cela te dérange vraiment ?
– Je suppose que je devrai m’y faire.
– Et bien voilà, tu vois quand tu veux…
Je crois que j’ai bien joué le coup sur cette affaire. J’étais plutôt content de moi. Elle pensait que c’est elle qui m’imposait cette situation et que je l’acceptais. Cela dit, la garce y prenait goût. « BHV » connaissait son affaire manifestement. Je connaissais tous les détails sur ses journées de « pose » et Margot ne m’en soufflait pas un mot. Elle me racontait ses journées sans problème. Tout allait bien. Elle s’était habituée à garder la pose sans trop souffrir. Parfois il lui faisait prendre des poses un peu osées, mais rien de bien méchant disait-elle. Bref tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Je n’insistais donc pas et profitais de l’occasion pour lui insérer un doigt dans la chatte tout en finissant de monter les escaliers.
– Mais tu es toute mouillée ma salope !
J’utilisais à dessein ce mot afin de voir sa réaction. Jusqu’à maintenant je n’avais jamais traité ma femme de salope même dans nos ébats amoureux. Mais vu ce qu’elle a fait tous ces derniers jours, je crois que j’aurai dû le faire plus tôt.
– Ben oui, c’est toi qui m’excite à me caresser les fesses, coquin !
Et voilà le travail ! Même pas offusquée. Même pas un reproche d’avoir utilisé ce mot qu’elle n’a jamais entendu de ma bouche envers elle. Décidément elle a bien changée la Margot !
Je suis rentré dans l’appartement derrière elle et alors qu’elle avait à peine posé son sac dans l’entrée, j’ai soulevé sa robe jusqu’à ses hanches et me suis collé à elle afin qu’elle sente l’érection qu’elle avait fait naître dans mon pantalon.
– Ben dis donc, on dirait que tu as une raideur disgracieuse. Il faudrait que tu me fasses voir ça, je vais te soigner mon chéri !
– Oui mon amour, tu as raison, je crois que c’est grave.
Là, elle s’est retournée et m’a complètement déshabillé en quelques secondes. Alors qu’elle m’aidait à retirer mon pantalon et mon caleçon de mes chevilles, elle me prit la bite en bouche sans attendre. Elle m’enfourna en entier quasiment d’un coup. Certes, je n’ai pas une queue monstrueuse mais tout de même ! Les cours de « BHV » sont efficaces. J’avais légèrement écarté les jambes pour être plus stable et Margot en profita pour passer une main et jouer avec ma rondelle. Je bandais encore plus. De son autre main elle me tripotait les couilles comme elle sait si bien le faire et de temps à autre, levait les yeux vers moi. Sentant le plaisir monter, je la prenais aux épaules pour la faire remonter à mon niveau. Je lui prenais la bouche et lui roulais une pelle d’anthologie. En même temps j’avais une main sur un nichon et l’autre qui écartait les fesses essayant d’y aventurer un doigt fureteur. Finalement, excité comme un étalon qui voit une jument de l’autre côté de la clôture, je la retournais et l’obligeais à se mettre à quatre pattes sur le tapis de l’entrée. Je me mettais moi-même à genoux derrière elle et l’empalais d’un seul coup jusqu’au fond de sa chatte trempée. Après quelques allers et retours je sentais de nouveau le plaisir arriver au grand galop, normal pour un étalon me direz-vous. Je faisais mon maximum pour ne pas éclater de suite lorsque Margot, l’air de rien, me dit, la respiration légèrement haletante :
– Chéri, tu veux bien m’enculer ?
Putain ! J’ai faillis débander. Je n’en revenais pas. Pour un peu je lui aurais posé des questions sur ce désir soudain. Et puis je me suis quand même rapidement ressaisi, je lui ai demandé si elle était sur, si elle n’avait pas peur d’avoir mal, etc … Je ne pouvais pas trop m’étendre de peur de faire une gaffe et de devoir m’expliquer. Mais elle me répond tout simplement qu’elle avait envie d’essayer. Tu parles ! Quelle salope ! Je savais ce qu’elle avait déjà pris dans le fion et elle, elle vient me dire qu’elle veut « essayer ». Ben ma foi, allons-y. J’ai donc encore limé deux, trois fois histoire de reprendre une érection correcte. Elle m’avait quand même un peu coupé les pattes. Et la bite enduite de son jus je me positionnais à l’entrée de son œillet brunâtre. Elle, tout naturellement, elle posa son front sur le tapis pour conserver sa position et de ses deux mains, écarta ses fesses. Ben nom de dieu ! Elle aime ça cette chienne. Du coup, son cul s’est ouvert un peu et j’ai introduit mon gland aussitôt avalé. Je restais immobile afin de la laisser s’habituer à l’objet, mais c’est elle qui a reculé sur ma queue pour se l’enfoncer à fond. Pas d’un coup d’accord, mais doucement sans discontinuer. Une fois que mes couilles ont tapé sa chatte je l’ai saisi aux hanches et là bordel, je lui ai bourré son cul de grosse salope qu’elle devenait à vitesse grand V. J’étais comme fou. D’abord parce que c’était la première fois que je l’enculais. Ensuite parce que je savais ce qu’elle avait déjà pris dans le cul et de quelle taille. Et puis tout simplement parce que de voir ma bite lui rentrer dans le fion m’excitait au plus haut point.
Malheureusement cela n’a pas duré autant que je le souhaitais. C’était tellement fort que j’ai joui rapidement en crachant mon foutre par longs jets dans son boyau. Mais putain que c’était bon ! Ce petit trou du cul serré, quel bonheur ! J’espère qu’elle me laissera encore faire, c’est trop bon.
Et là, ce dimanche matin, en me réveillant, je pense encore à ça. Margot dort encore à côté de moi, une jambe en dehors du lit, la moitié du corps découvert. Elle est quand même belle, merde ! Une belle salope oui ! Bon du calme, c’est pas ce que tu voulais, alors. Oui, oui c’est vrai, je veux même plus, alors on se calme et on prend sur soi. Je vais pisser mais en revenant, c’est plus fort que moi, j’y repense encore et ça me fait bander. Je retourne au lit, Margot est maintenant sur le ventre, la tête perdue dans l’oreiller et le drap sous les fesses. Inutile de vous dire que je ne peux pas résister à l’appel de la forêt. Quand l’odeur d’une belle biche me chatouille les naseaux, je fonce. Alors je tire le drap complètement, je saisis les chevilles de la dormeuse et les écarte . Je me mets à genoux entre ses cuisses. De mes pouces j’écarte les deux lobes fessiers et je plonge mon nez au milieu, la langue en avant. Hardi les gars !!! Bouffez-moi tout ça !!!
Évidemment elle s’est instantanément réveillée, mais dormait-elle encore vraiment ? Et elle s’est cambrée autant que sa position le lui permettait.
– Oh oui chéri, vas-y, bouffes-moi la chatte !!
Que vouliez-vous que je fasse ? Et ben oui, je lui ai bouffée ! Mes deux pouces lui ouvraient le trou du cul et ma langue léchait son clito alors que mon nez écartait ses grandes lèvres. Putain, d’un coup elle s’est mise à mouiller, impressionnant ! J’ai relevé la tête pour voir un peu, incroyable comment ça coulait. J’ai approché ma main, mis un doigt dans sa moule baveuse, puis deux, puis un troisième. Elle s’est alors relevée sur les coude afin de se cambrer à fond et elle m’a demandé d’enfoncer toute ma main. Là encore, j’ai demandé si elle était sure mais elle m’a répondu oui, oui, vas-y, mets-la moi. J’ai donc tenté de resserrer mes doigts pour que ce soit moins gros et en tournant, petit à petit, j’ai fini par mettre ma main dans son vagin jusqu’au poignet. La encore, grande première pour moi. Pour elle non, mais moi, j’étais soufflé. Je faisais quelques vas et viens qui la faisaient gémir et de mon autre main, je forçais son trou de balle avec deux doigts. Elle s’est mise à gueuler que c’était bon, que je ne devais pas arrêter, qu’elle allait jouir et des « oui, oui » comme s’il en pleuvait. Après un instant une nouvelle fontaine a jaillit alors qu’elle braillait sa jouissance. J’ai retiré ma main et mes doigts de là où ils étaient, me suis avancé en attrapant ses hanches et profitant du distributeur de lubrifiant, j’enduisais ma queue et l’enfonçais d’un coup dans son trou du cul à peine refermé.

Le lundi matin, elle est repartie, le sourire aux lèvres, toute guillerette dans sa petite robe à bretelles, sans soutien-gorge ni culotte, elle avait soulevé sa robe pour me faire voir, impatiente de retrouver « BHV », Karim et Romain et découvrir de quelle manière ils allaient s’occuper d’elle cette fois-ci.
A suivre….

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