C’est bien entendu une fiction pure
Lorsque j’ai été capturée par les services de renseignements, je savais que j’étais perdue. Pendant le briefing avant la mission, ils m’avaient dit qu’il n’y avait aucune chance pour que notre pays reconnaisse mes activités. Personne ne savait que j’étais là. Personne ne s’en souciait.Pour m’humilier, ils m’avaient mis nue et j’étais enchaînée au mur.
Je savais qu’ils allaient essayer de me faire avouer par tous les moyens. Nue, fatiguée de leurs questions répétitives, je croupissais dans cette cellule depuis plusieurs jours. Il venaient de jour comme de nuit pour m’interroger. Je manquais de sommeil et ne savais plus trop où j’en étais. Cette nuit là, ils étaient venus me chercher avec un nouveau tortionnaire.
« Chienne de terroriste on t’jure que tu vas parler salope ! Tu vas avoir le droit au traitement spécial pour les putes de ton genre ! »
Il m’avait injecté quelque chose dans le bras et je suis tombée dans une sorte de torpeur, toujours vaguement consciente mais incapable de réagir à tout ce qu’il se passait autour de moi. J’étais attachée sur une table, allongée sur le dos, les jambes largement écartées, totalement offerte et vulnérable, incapable de bouger.
Ils s’en sont pris à mes seins et à mon sexe, soumettant mon vagin à des traitements que je n’avais jamais enduré jusqu’ici. Ma formation m’avait préparée à gérer la douleur mais pas à ces traitement sadiques. Ils m’ont électrocutée, giflée, humiliée, frappée, violée avec les objets les plus improbables. C’était insupportable, c’était sans fin, ils n’abusaient plus seulement de mon corps, mais il violaient mon esprit … Après un certain temps, et avant de perdre connaissance, sans m’en rendre compte, j’ai donné tous les détails de l’opération …
Maintenant qu’ils avaient eu ce qu’ils voulaient, j’étais confinée dans cette cellule glauque, simplement dérangée par les gardiens qui venaient régulièrement abuser de moi.
Au bout de quelques semaines de ce traitement, je prenais curieusement presque une sorte de plaisir à me faire abuser ainsi. Même, je ne cachais plus mon son attirance pour les rapports sexuels sous la contrainte. J’appris aussi plus tard que les vidéos de mes torture et divers humiliations étaient largement diffusées sur la toile.
Même si j’avais pris l’habitude d’être maltraitée, Je pris peur le jour où, lors d’une visite d’un de leurs grand chef, on me mis un sac de jute sur la tête et on me bloquât les bras. J’entendis alors des homme prononcer des paroles qui me firent frissonner de peur :
« Vous pouvez tester la marchandise ! On l’a bien travaillé et elle se soumet à tout ! Une vrai chienne ! »
Des grosses mains malaxèrent sans vergogne ma poitrine et d’autres fouillaient ma chatte et mon cul.
Prestement retournée, je me retrouvais les fesses à la merci de mes bourreaux. Leurs mains s’abattirent fortement sur mes rondeurs. Je tentais de me débattre et leurs criais d’arrêter mais en vain. Je ne pouvais que subir cette copieuse fessée.
« Puisque tu veux jouer les effarouchées, on va donc employer les grands moyens pour te faire plier salope ! »
Prestement il me portèrent dans un hangar comme un sac de pomme de terre que l’on jette sur l’épaule. Ils m’enfermèrent alors dans une cage. Je me retrouvais ainsi enfermée, agenouillée, dans cette cage avec la tête et les fesses dehors. Ils attrapèrent un palan et firent monter la cage d’un mètre au dessus du sol. Ils rigolaient tous de voir leur proie se balancer, traumatisée et tremblante.
Leurs chef s’approchât de moi.
« Chienne d’incroyante, tu veux partir ? Mais j’te rappelle que nous avons conclu un accord avec ton gouvernement. Et il nous laisse faire de toi ce que l’on veut. On va te faire vivre de gré ou de force des expériences dont tu t’souviendra salope ! Tu peux, crier, hurler si tu veux. T’es notre chose. Tu vas déguster crois-moi ! J’ai invité du monde, tu seras notre pute. Une salope d’incroyante qui va se faire troncher de force. Ton corps ne sera que douleur ! »
Soudain, je disjonctais par la peur et leurs criais des flots d’insultes.
« Tu veux gueuler on va t’en donner la raison putain ! »
Pour me punir, il me plaçât des pinces sur mes seins et tirât dessus me faisant hurler de douleur.
« Tu vas réfléchir à deux fois avant de nous insulter chienne ! »
Je mesurais de plus en plus l’étendue de ma déchéance et du piège dans lequel mon gouvernement m’avait jeté. Dans son champ de vision apparût soudain un black avec un gourdin de chair à la main. Il se plaçât derrière moi et je sentis son gourdin contre mes fesses. Le black prit la commande du palan pour me faire monter un peu. Le gros gland fouillât un instant entre mes lèvres intimes à la recherche de la faille dans laquelle il va s’engouffrer sans pitié. Après quelques mouvements doux, dans mon vagin qui mouillait malgré moi, il entreprit un martèlement sauvage qui m’arrachât des cris de douleurs. Lors de ce coït viril, les pinces posées sur mes seins se balancaient et me faisaient un mal de chien.
Tout en me bourrant rudement, il lui dit :
« Toi t’as du mal parler au patron. Ce genre de chose, il peut très vite te faire regretter d’être née si tu lui parles mal. »
Lorsqu’il se lâchât en moi, ils se retirât en me donnant une grande claque sur la fesse avant de quitter les lieux. J’avais la chatte qui dégoulinait de sperme. Je me demandais combien de mecs viendraient s’offrir mon corps. Le Chef sortit à son tour sa grosse queue.
« J’vais lui baiser la bouche à cette pute ! »
Il Me forçât la bouche sans peine et se mit à la baiser dans une sorte de chevauchée fantastique qui m’étouffait. A la recherche de son plaisir physique, il accélère et ralenti en fonction de sa montée de sève jusqu’au moment où, ni tenant plus, il s’abandonnât à la jouissance innondant ma gorge et m’obligeant à avaler.
La chose faite, il se retirât et me laissât là, suspendue. Il revint quelques minutes plus tard avec plusieurs mecs.
« Nous avons de bien agréables projets pour toi ! »
« Je vous en prie laissez moi tranquille ! Je suis épuisée !!! »
« Un salope de ton espèce ne mérite que d’être violée et abusée ! Tu n’a rien à réclamer ! »
En guise de tourments, ils se mirent à me flageller tout le corps. Mes sppliques, ne faisaient qu’augmenter leurs plaisir. Ils voulaient me rendre folle. Je poussais des cris de peur dont ils n’avaient que faire. Tout est enregistré par des caméras. Une demi-heure plus tard, ils estimèrent qu’il était temps d’arrêter pour ne pas trop m’abîmer et me laisser consciente.
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Après un moment de répits, Ils me sortirent de ma cage et en un rien de temps, je suis devenue leur chienne. Un sexe se mit à me labourer la chatte aussitôt suivi d’une bite dans ma bouche le comble une autre qui m’éclatait le cul. Ce fut la curé pour moi. Ils me prirent mainte et mainte fois en me tournant, dans tous les sens en me soulevant, en maintenant mes jambes écartées. Entre leurs mains je compris le sens réel d’être un « pantin de chair ». Mon corps et ma bouche leur appartenaient, ils en faisaient ce qu’ils voulaient, je ne pouvais pas y échapper. Je suçais les verges tendues comme un échappatoire aux très fortes sensations de mon intimité chahutée.
Soudain, ils me soulevèrent pour me porter jusqu’à la table où ils m’entravèrent sur le dos jambes écartées. Ainsi attachée, je ne pouvais leur être plus offerte. Là, le Chef, est entré dans le jeu. Après deux mouvements dans ma chatte, il s’est attaqué à ma petite rosette dilatée par les autres sodomie, pendant qu’un autre chahutait mon clitoris comme un malade. Mes neurones déconnectés, j’essayais de me détacher de mon corps et à mon grand drame, je m’apercevais que ce corps jouissait des ces outrages. Pénétrée par tous les trous, les seins pincés, tripotés, je perdais la tête. Je voulais à la fois que les choses se calment et en même temps j’avais envie de plus, c’est inexplicable et indescriptible.
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Prise de partout par tous les hommes, je devenais vraiment folle. Ils me prenaient comme des forcenés. Leurs seuls buts, se servir de mon corps comme d’un vide couilles.. Je criais et malgré moi j’avais joui à n’en plus pouvoir. Je n’en voulais plus, j’avais ma dose mais en même temps quand un autre prenait la place devant ou derrière je redevenais une chienne. Il se libéraient sur moi et en moi à tour de rôle. Je n’étais qu’une loque humaine recouverte de sperme. Leur jeu terminé, ils m’avait remis en cellule après m’avoir lavé au jet d’eau.
Leurs rires complices, leur attitude dégradante m’ont accompagnée dans mon retour sur terre, celles qui ont vécu des gangs bangs doivent comprendre le sens de mes mots.
Je ne sais pas si j’arriverais à m’évader. C’est salop maintenant m’attachaient plus en plus souvent pour me baiser ou me fouetter. Vais-je devenir une vraie soumise sexuelle, leur jouet, leur chienne ?
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