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Fruits mûrs 1. A 70 ans, Monique découvre la sodom

Fruits mûrs 1. A 70 ans, Monique découvre la sodom



-Raconte-moi encore, tu me fais mouiller…tu as baisé ta voisine, ici même…Monique aux gros seins…
Marlène me branle doucement. C’est mon amante complice, qui veut toujours entendre des anecdotes de plus en plus crues, quand elle vient dans ma garçonnière pour se faire baiser. Son corps fluet se love contre moi comme une anguille. J’aime ses traits fins, sa rousseur automnale
-Oui, Monique, je l’ai prise sur ce lit il n’y a pas longtemps. Cela fait des années qu’elle n’a plus fait l’amour.
-Tu m’as dit qu’elle 70 ans?
-A peu près. Mes voisins l’ont vu entrer…une petite dame, ni belle ni laide, un visage rond et sympathique, mais tout de même avenant et féminin, des cheveux gris très courts, et surtout de très gros seins…Pendant que je lui montais dessus, j’entendais des conversations dans le jardin. La fenêtre était entr’ouverte, les rideaux tirés. Personne ne soupçonnait que la gentille petite mamie était en train de se tenir les cuisses bien écartées, les mains sur les genoux, pendant qu’un homme trente ans plus jeune qu’elle lui labourait le vagin avec de grands et longs coups de bites, méthodiques et concentrés.
Marlène a un frisson. Elle est attirée par les femmes, et fantasme sur le fait de téter de bons gros nichons. Un soir, dans une boîte échangiste, elle s’est mise à lécher une jeune femme en couple. La femme gémissait, et disait à son mari: « elle est tellement douce…oh, quelle langue »…Dans les bordels, elle aime soupeser les seins des putes pendant que je les enfile.
– Raconte moi, halète Marlène en s’enfonçant lentement un doigt dans le vagin. Elle était bonne, la chatte de Monique?
– Parfois toute serrée, très sèche. Une fois, il m’a fallu un quart d’heure de patience et une érection de marteau-piqueur pour enfoncer ma queue, millimètre par millimètre, gagnant du terrain depuis l’entrée de son buisson de poils gris. C’était un vrai labeur. Monique attendait la progression, la cuisses bien écartées. La lubrification laborieuse me donner une impression de forcer un cul serré. Après bien des efforts, je l’ai pénétrée jusqu’aux couilles. Elle s’est alors mise à mouiller en poussant des cris de jouissance que je devais contenir en l’embrassant. Sa langue me fouillait la bouche avec rage. Elle tentait d’aspirer la mienne, si heureuse de se faire combler par un membre vigoureux, ce qu’elle n’ait pas connu depuis tant d’années, puisque son mari était beaucoup plus âgé qu’elle.
Disant cela, j’embrasse Marlène, dont la langue est au contraire d’une finesse affolante, comme une caresse fondante dans ma bouche.
-Personne n’a de langue aussi douce que la tienne, lui dis-je.
-Monique ne t’a pas sucé?
-Si, bien sûr, mais sans y mettre toute cette subtilité, cette gourmandise qui me fait frémir dans tes lèvres. Par contre, elle me donnait de bons gros coups de langue bien jouissifs sur le trou du cul. Quand elle m’avait bien raidi avec ses feuilles de roses, j’étais bien raide pour l’enfiler vigoureusement.
Marlène se branle maintenant plus vigoureusement, les yeux fermés.
-Au bout d’un instant de ce limage intensif, sa chatte relativement élargie lorsqu’elle mouillait bien ne me procurait plus tellement de sensations. Je me retirais, m’allongeais sur le dos. Elle ne se faisait pas prier pour me relécher le cul pendant que je m’astiquais. Lorsque je voulais vraiment jouir en elle, je lui demandais de se coucher sur le ventre. Alors, rebondissant sur ses fesses bien pleines, je pensais que ma tige était bien entourée dans ces rondeurs, et cette vision faisait monter mon sperme, d’autant plus que, dans cette position, son vagin me caressait plus délicieusement.
-Et toi, tu la léchais?
-Pas si souvent… Je me souviens d’une des premières fois où nous avons couché ensemble. Je n’aimais pas trop fourrer mon museau dans ces poils gris et peu avenants. Après quelques réticences de Monique, et avec mille précautions, j’ai disposé un ligne sous ses fesses, et me mis à lui raser la touffe. D’abord les grandes lèvres, qui une fois dépouillées de cette fourrure peu appétissante, m’apparurent comme de succulents quartiers de fruits, que je pris dans ma bouche. Tu ne te rends pas compte à quel point elle était étonnée de jouir autant, et comme elle criait fort. C’était pour elle d’une douceur extrême. Après une telle abstinence, un jeune homme se concentre sur son sexe, le rase, le suce. Elle se sent dégustée, offerte, salope…Et mes petits coups de langue sur la perle du clito… Ses « hoooo,hoooo » doucement plaintifs, prolongés comme des brames, me donnaient des décharges dans les bourses tandis que je prodiguais à cette gentille vieille dame un cunnilingus inespéré. Ensuite, voir ma queue s’enfoncer dans cette fente déplumée, ses gros seins tressauter à chaque mouvement…
-C’est trop bon, souffle Marlène. Raconte-moi tout sur Brigitte.
-Cela sera trop long, il y aurai tellement à dire.
-Je vais écrire un message à mon mari pour lui dire que je rentre plus tard.

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