Avec Nadia, nous nous somment connus à la fac de Rabat, elle n’était plus vierge depuis peu et m’a confié le nom de son amant d’un soir qui lui a pris sa virginité, quasiment sans son consentement, lors d’une soirée trop arrosée entre étudiants. Son cerveau étant embrumé par l’alcool, elle s’est laissée faire par ce mec, ainsi que trois autres de ses copines à la suite.
Un garçon avec qui elle n’a plus entretenu de relations, même amicale, mais elle a ajouté qu’elle avait ressenti beaucoup de plaisir et ce, parce que sa verge lui avait comblé la chatte ; autrement dit, il devait être bien pourvu. Cet aveu nous a libérés et a permis que, certains soirs, nous nous confions nos fantasmes les plus fous, apparemment, elle est ouverte à tout, cette histoire m’a beaucoup marqué.
Un soir, nous étions nus, en pleins préliminaires, je lui ai avoué, par bribes, le fantasme qui me tenait le plus à cœur :
– Nadia chérie ….
– Oui mon amour ?
– J’aimerais te voir avec un autre homme …
– Pour quoi faire Adam ?
– Pour baiser pardi !
– Baiser avec un inconnu ? Tu es sérieux ?
– On ne peut pas plus
– Et tu vois ça comment ?
– Cela veut dire que tu ne serais pas contre ?
– Je peux prêter mon corps si tu le désires, mais pas mon cœur, il t’est acquis à jamais.
– Je le vois comme ça mon amour…
– Et …. Ce serait avec qui ?
– Il ne t’est pas inconnu, c’est Bachir
– BACHIR ? Celui qui m’a dépucelée ? Tu es fou !
– Pourquoi pas ?
– J’aurais trop honte de le solliciter…
– Cette fois, ce sera lui notre jouet, tu m’as bien dit qu’il t’avait fait du bien, non ?
– Oui, c’est vrai, j’ai joui en deux minutes
– Grâce à quoi as-tu joui ? Son savoir faire ?
– Grâce à son zob …..J’étais saoule mais je me souviens d’une sorte de grosse peluche qui m’a recouverte et de la grosseur du sexe qui m’a rapidement forcée la vulve encore en sommeil….j’ai cru qu’il allait me déchirer la chatte en même temps que l’hymen, je ne sais pas combien de fois il a dégorgé en quelques minutes, son sperme fuyait de mon vagin tellement j’étais aspergée intérieurement, c’est pour te dire sa réserve !
– C’est bien pour ça que je veux revoir cette scène en réel
– Si je jouis comme une folle sous tes yeux, tu ne seras pas froissé ?
– Je ne peux pas le jurer, mais j’en prends le risque
– Alors ça se fera ici, dans notre petit deux pièces, je serais plus à l’aise, et tu te débrouilles de tout !
– D’accord !!!!
Nous avons fait l’amour, mais je suis certain que sa pensée allait vers ce Bachir quand je la pilonnais de toutes mes forces et qu’un orgasme inhabituel l’a terrassée.
Ne me demandez pas comment j’ai réussi à bredouiller les mots qui ont décidé ce Bachir, effectivement très poilu, à accepter, c’est à peine s’il se souvient de Nadia. Pour lui, c’est juste tirer un coup sans avoir à chercher une bonne poire ! Ceci me rassure pour la suite, car il est plutôt beau gosse, sûr de lui, avec un cou de taureau, la virilité lui sort par tous les pores de la peau, ce doit être une bête de sexe ce mec.
– C’est pour samedi soir chérie…
– Bien…
– Surtout, tu joues bien le jeu de la femme qui ne connaît pas grand-chose en matière de sexe, je veux que ce soit réussi
– Pas de problème, après quelques verres, je jouerais parfaitement l’ingénue effarouchée.
Nadia a revêtue pour l’occasion une robe coure et légère qui moule son corps comme une seconde peau, je n’ai pas le droit de vérifier ce qu’elle porte dessous, en tout cas le soutien-gorge ne fait pas partie de la panoplie car ses tétons ne demandent qu’à percer le tissu. Elle est très nerveuse à l’approche de l’heure fatidique, je ne suis pas sûr que ça lui déplaise autant qu’elle veut le faire croire …
Je reçois Bachir tandis que ma chérie fait une dernière retouche à son maquillage, je le fais asseoir sur le bord du lit et j’en profite pour lui exposer nos désirs en buvant le premier verre de la soirée.
– Comme je t’ai dit, je ne me souviens plus beaucoup de ta femme, je la croiserais dans la rue que je ne la reconnaîtrais pas
– Ça va te revenir lorsqu’elle va entrer, elle est sublime et très sexy, tiens la voilà !
– On papote derrière mon dos, messieurs ?
– Nous parlions de ta beauté chérie
– C’est vrai que tu es ravissante, pardonne-moi pour ce fameux soir, nous étions tous un peu ivres, je te reconnais bien maintenant ! Tu ne m’en veux pas trop ?
– T’en vouloir ? Je suis plus fautive que toi et puis cela m’a permis de découvrir que j’aimais le sexe.
Assise entre nous deux, je pose une main sur son genou, largement découvert. Au lieu de les resserrer, elle en colle contre le mien et l’autre contre celui de Bachir ; de ce fait, ses cuisses s’ouvrent, sa robe remonte.
Sans hésiter, Bachir passe une main entre les cuisses offertes. A voir la robe bouger à l’entre cuisses, il doit chercher à insinuer des doigts dans la culotte. Nadia me fixe afin de lire dans mon regard, soudain sa bouche s’ouvre, elle se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux, j’en conclus qu’il vient d’enfoncer un ou des doigts dans la vulve sûrement mouillée.
Je fais glisser le haut de la robe à large encolure sur les frêles épaules, elle dégage ses bras l’un après l’autre afin de dénuder sa poitrine, puis, elle se laisse tomber sur le lit, je me penche et prends un téton déjà dur entre mes lèvres. Bachir se saisit de l’autre, Nadia nous att**** par le cou afin de nous maintenir sur ses seins, elle ronronne comme une chatte en chaleur
Des clapotis de plus en plus sonores se font entendre, aucun doute sur l’état avancé de son excitation, la petite main de ma femme cherche à déboucler la ceinture du pantalon de Bachir pour dégager la queue prisonnière, je vais enfin savoir à quoi ressemble ce gros zob.
Une sorte de gros ergot poilu dont la forme fait penser à une corne de rhinocéros posée sur son pubis, une arme redoutable, je doute qu’une femme résiste à la jouissance une fois bien emmanchée.
La main de ma femme, agrippée à la queue, parait minuscule. Un coup de rein, tout en souplesse, elle se relève et tire sur les jambières afin de mettre le bas du corps de l’homme nu, puis à genoux, elle se penche sur le membre, avant de l’emboucher. Elle l’examine sous tous les angles, ce doit être la première fois qu’elle le voit réellement, le fameux soir, il n’a fait que lui perforer la chatte sans préliminaires.
Dans la manœuvre, Bachir a du retirer sa main de la culotte. Seul à rester assis, je finis de faire descendre la robe au fond trempé sur ses chevilles et passe à mon tour une main entre ses fesses, le string mouillé est à moitié entré dans la vulve, je reprends la masturbation vaginale tandis qu’elle s’applique à sucer le gland décalotté, la moule se resserre sur mes doigts, elle continue à lâcher sa cyprine gluante.
Soudain l’homme se manifeste en râlant bruyamment, le sperme coule aux commissures des lèvres de ma chérie qui s’évertue à en boire le plus possible, mais il se dégage de l’emprise féminine et quitte ses derniers vêtements. Ce n’est pas un homme, c’est un ours ! Le crin lui recouvre les épaules, le dos et lui bouche même la raie des fesses.
– Adam, retire son slip, je n’en peux plus, je vais la baiser !
– Oui Bachir, n’oublie pas, je veux tout voir !
J’essaie de deviner ses intentions, va-t-elle s’empaler sur son amant ? Dans ce cas, je vais être aux premières loges pour assister à l’intromission de la colonne de chair, mais ce n’est pas ce scénario qui se prépare : il retourne Nadia sur le dos comme une crêpe et, avec ses genoux, l’oblige à s’écarteler.
Comme un athlète qui va faire une série de pompes, en appuis sur ses poings et sur les orteils, il guide son bout tressautant, encore baveux, sur la fissure poisseuse.
– Chéri ? Tu es là ? Il va me baiser, ne m’en veux pas si je crie !
– Du moment que ce n’est pas de douleur …..
– Je vais lui déchirer le vagin à cette petite salope ! Regarde bien Adam, ça va aller vite ….
Le gland écarlate ondule devant la moule entrebâillée, guette le moment où sa queue sera face au trou à bite. Ma chérie se tient des deux mains à la crinière du dos, elle appréhende le choc …
A la vitesse d’un reptile qui se jette sur sa proie, le gros zob vient de disparaître en une seule poussée, ma chérie enserre les reins de son amant avec ses talons au cas où il voudrait se retirer, Bachir hurle de douleur car dix ongles acérés viennent de se planter dans ses omoplates, du sang perle sous les doigts.
– Petite conne, tu me fais mal ! Tu vas me le payer !
– Baise-moi ! Baise-moi devant mon mari cocu !!
Il retire lentement son membre mouillé jusqu’au gland et le replante aussi sèchement dans le calice désormais ouvert, et c’est le pilonnage à la vitesse d’une machine à coudre. Le gros zob défonce littéralement Nadia qui geint dans une mélopée ininterrompue, une crème se forme à la base de la queue et sur les lèvres difformes. Soudain, Bachir interrompt un bref instant sa chevauchée et émet un bref : « ho, ha, ho !!! », un ruissellement épais suinte de la moule. Ma chérie en extase ne peut contrôler un orgasme qui secoue tout son être, et c’est reparti ! Elle s’accroche à son amant comme un coquillage à son rocher. Ballottée d’avant en arrière, les seins tournoyants, en sueur de la tête aux pieds, elle donne des coups de reins comme s’il n’allait pas assez vite, les pubis s’entrechoquent bruyamment.
Je viens moi aussi de décharger au creux de ma main quand Bachir émet une nouvelle fois des symptômes d’éjaculation auxquels sa maîtresse répond par un hurlement caractéristique… et de deux !
Comment a-t-il fait ? Nadia se retrouve à genoux, la tête dans le drap, sans que la bite ne soit sortie du trou qui ressemble à tout sauf à un vagin, on dirait la gueule d’un a****l qui vient de bouffer un yaourt !
Cette fois, elle déguste ! On dit que par derrière, l’homme gagne deux centimètres ! C’est ceux qui la font chavirer dans l’hystérie, elle « aboie » des mots incompréhensibles à consonance pornographique. Le long de ses cuisses, c’est un torrent visqueux. Bachir, les poils du torse collés par la sueur, reste stoïque et martèle la chatte tel un métronome, c’est une vraie machine à baiser, cet homme ! Un gode humain branché sur 220 volts !
Pour la troisième fois, il vient d’expédier une bonne dose de foutre dans le ventre de ma chérie, sans pour cela mettre un terme à la saillie, ma queue me fait si mal que je n’ose plus la toucher. Je deviens jaloux, ma femme fait comme si je n’existais pas, seul le gros zob qui la ramone occupe son esprit. Du coup, je veux qu’il lui fasse mal ….
– Encule-la !
– Tu veux que je lui défonce le cul ?
– Oui !
– Comme tu veux, prends de la sauce entre ses cuisses et tartine-lui le fion !
J’enduis la rondelle qui palpite sous mes doigts, j’en enfonce même deux sans que cela ne la dérange …au moment où je les retire, avant que la cavité ne se referme, Bachir change de trou, Nadia se cabre…
– Enfin ! Je n’attendais que ça !! Bourre-moi le cul, Bachir ! J’adore ton zob, je pense souvent au soir où tu m’as dépucelée ! Déchire mon cul devant ma lopette de mari !
– Je reviendrai te bourriquer salope !
En fait de souffrance, elle jouit sans discontinuer…
Suite à cette soirée, Bachir vient deux fois par semaine, en ma présence ou non, baiser ma femme jusqu’à l’évanouissement.
FIN
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