LU SUR LE NET
Pendant mes études universitaires je logeais dans un immeuble où une certaine forme de misère régnait. La plupart des habitants étaient des ouvriers ou des chômeurs.
J’avais pour voisins de palier un couple d’une cinquantaine d’années. Lui était ouvrier et travaillait en équipe, elle apparemment, restait au foyer toute la journée. A part les salutations de politesse aucun lien ne se créait entre nous, la différence d’âge et de milieu sans doute.
J’avais remarqué depuis un certain moment que ma voisine qui se prénommait Nadine recevait en l’absence de son mari un homme que je ne connaissais pas. Il n’y avait aucun doute sur la relation qui existait entre ces deux là et, je décidais de profiter de la situation.
Il faut dire qu’en cette période j’étais célibataire et en grand manque de sexe.
De plus Nadine n’était pas laide malgré ces 50 ans. Elle avait conservé un corps agréable à regarder avec notamment une poitrine opulente et un cul bien large (chose que j’apprécie).
Pour réussir dans mon entreprise, je lui adressais une lettre anonyme, en lui indiquant que son mari ne serait pas heureux de connaître sa liaison adultère et; que j’avais réussi à prendre quelques photos (c’était complètement faux). Pour finir je lui demandais de venir me rejoindre dans une cave qui restait ouverte pour 22h30. Le premier soir elle n’est pas venue peut être voulait-elle me tester. Le lendemain je recommençais en lui indiquant que c’était sa dernière chance.
Vers 22h15 je descendais à la cave, impatient de savoir si mon scénario allait fonctionner. C’était pour moi aussi la dernière chance. En fait je n’avais pas beaucoup d’arguments pour la faire chanter. Il faisait très sombre dans cet endroit. Du coup je ne pourrais être vu mais je ne pourrais pas voir non plus. Je commençais à douter de la venue de Nadine, quand tout à coup dans l’obscurité, j’aperçus sa silhouette.
– » Que me voulez-vous ? Je n’ai pas d’argent »
– » Il va falloir me payer quand même ! »
Dans un sanglot je l’entends marmonner :
– » Je vous en supplie ! Laissez-moi tranquille « .
Un peu déboussolé par sa supplication, n’étant pas du genre méchant, j’hésitais puis l’excitation reprenant ses droits je continuais :
– » Approches-toi ! »
D’un pas hésitant, elle avançait pour venir à quelques centimètres de moi je pouvais sentir son parfum vanillé. Heureusement, l’obscurité au fond de la cave, l’empêchait de me reconnaître. Puis sans un mot, je lui retirais un par un les boutons de son chemisier, elle eut un mouvement de recul, que j’arrêtais net, en lui prenant ses deux bras :
– « Tu n’as pas le choix ! »
Elle baissa la tête vaincue. Je recommençais son déshabillage, en lui retirant entièrement son chemisier et son soutien-gorge. Je lui caressais maintenant ses seins lourds, à pleines mains, lui pinçant de temps en temps ses tétons. Malgré les râles plaintifs de Nadine, j’accentuais cette caresse. Son comportement semblait se modifier au fur et à mesure. Son corps allait maintenant à l’encontre de mes mains, mais je voulais lui faire comprendre, que c’était moi qui menais la danse. J’appuyais donc sur ses épaules pour l’obliger à s’accroupir, elle comprit mon désir :
– » Je ne veux pas faire ça »
– « Suces-moi et tais-toi ! »
J’avais dit cette phrase sur un ton si sec, qu’elle ne sut quoi répondre. Elle baissa mon survêtement et mon slip et commença une timide masturbation :
– » Suces-moi je t’ai dit ! »
Et pour renforcer mon ordre, je lui attrapais sa tête, guidant sa bouche vers mon sexe bandé. Elle avala ainsi ma verge dans toute sa longueur. Grâce à mes coups de reins; je lui baisais littéralement sa bouche jusqu’au fond de sa gorge. Sentant mon éjaculation proche je stoppais :
– « Lèches-moi les couilles maintenant ! »
Elle s’exécuta sans rechigner cette fois; puis reprit la fellation jusqu’à mon explosion. Elle eut un haut le cœur mais avala presque toute ma semence. Après quelques instants je repris mes esprits :
– « Demain tu recevras une nouvelle lettre avec mes nouvelles instructions ! »
– » Non c’est fini maintenant, j’ai payé ! »
– « Tu feras ce que je te dirais sinon… ton mari apprendra que sa femme est une putain ! Maintenant tu attends cinq minutes après mon départ et tu rentres chez toi « .
Je me dépêchais de revenir dans mon appartement pour observer par l’œilleton le retour de Nadine. Elle avait suivi mes ordres et je la vis rentrer chez elle, l’air dépité, les larmes aux yeux. Toute la nuit je réfléchis à un nouveau scénario et le lendemain matin, j’écrivais cette lettre :
» Ce soir à 22h30, tu ne fermeras pas la porte de ton appartement à clé, tu m’attendras assise sur ton canapé les yeux bandés. Tu porteras juste tes plus beaux dessous et des bas noirs.
A ce soir ma petite Salope. »
Le soir j’attendais le départ de son mari et glissais cette fameuse lettre sous sa porte. Je l’imaginai découvrant le papier et, prise de panique à la lecture de mes ordres. Est-ce qu’elle allait obéir ? Je me posais cette question et c’est un peu hésitant que je sortais de chez moi, pour me présenter à l’heure prévue sur le seuil de son appartement.
J’avais la peur au ventre mais le jeu en valait la chandelle. Je me décidais enfin à pénétrer chez elle. La porte était ouverte et lorsque j’atteignis le salon je la trouvais comme convenu, assise sur son canapé un foulard noué autour des yeux, juste vêtue de dessous noirs en dentelles contrastant érotiquement avec sa peau blanche, ses jambes étaient gainées de bas noirs comme je lui avais ordonné.
Son visage était marqué par la peur.
Le spectacle était magnifique, j’avais envie de lui sauter dessus mais je voulais aussi jouer avec elle. Sa poitrine gonflait au rythme de sa respiration accélérée par son angoisse.
Elle ne m’avait toujours pas entendu arriver :
– « Bonjour Nadine ! » Elle sursauta.
– » Tu es belle habillée comme une pute ce soir ! Si ton mari te voyait ! »
Elle ne disait rien, attendant avec une certaine peur la suite des événements. Je voulais réaliser tous mes fantasmes je commençais par le premier :
– » T’es-tu déjà masturbée Nadine ? »
– » Non jamais ! »
– » Bon, il y a un commencement à tout ! »
– » Mais je ne sais pas ! »
– » Ne t’inquiètes pas je vais te guider.
– Sors déjà tes deux gros nichons de leurs bonnets et masses-les ! «
J’étais un peu surpris moi-même par mon langage, mais sans aucune hésitation, elle s’exécuta maladroitement au début, puis plus habilement ensuite.
Je l’encourageais de la voix et rapidement, ses seins se dressèrent. J’avais devant moi une femme de cinquante avec des seins magnifiques se caressant sous mes ordres. Je prenais vraiment mon pied, mon sexe se dressait à m’en faire mal :
– » Ils sont vraiment magnifiques tes seins !
Descends maintenant une de tes mains et caresses-toi la chatte »
Cette fois elle sembla hésiter, mais elle finit par m’obéir, glissant sa main droite le long de son corps.
J’en profitais pour me déshabiller. J’avais fière allure avec mon sexe bandé.
Elle se caressait maintenant par-dessus son slip. Sa respiration s’accélérait, son souffle devenant plus audible. Elle commençait à apprécier la Salope!!! .
Je m’approchais et lui ôtais son slip lentement. Le frôlement de mes doigts sur sa peau douce hérissait ses poils. Elle cambrait un peu plus son corps en avant, se caressant à présent plus intensément, jouant de temps en temps avec on clitoris.
– » Maintenant entre deux doigts dans ta chatte et masturbes-toi. Continues de jouer avec tes seins »
Elle était soumise. Ecartant un peu plus ses cuisses, elle introduisit dans un râle de plaisir, son majeur et son index dans son vagin déjà bien humide. Commençant ensuite de légers va et vient alternés avec des plus rapides, son orgasme était proche. Elle ondulait de plus en plus son gros cul en gémissant. Moi aussi je me masturbais tout près d’elle.
Elle devait le sentir et sa masturbation devenait rapide :
– » T’aimes ça grosse pute ! Dis-le que tu aimes ça ! »
– » Oh oui j’aime ça ! Hum c’est bon ! Je vais jouir ! »
En effet dans les secondes qui suivirent; elle jouit en criant son plaisir. Un flux abondant de jus sortant de son con, j’éjaculais peu de temps après sur sa poitrine criant moi aussi mon plaisir.
– » Etales bien mon sperme sur tes nichons ! »
Retrouvant mes esprits, j’allais dans la cuisine afin de me trouver à boire. Je ne lui proposais rien. Pourtant elle semblait avoir chaud,
Je m’installais en face d’elle pour la contempler. Des gouttes de sueurs perlaient sur son visage.
Par pudeur elle avait resserré ses jambes, elle semblait frissonner :
– » Pourquoi trompes-tu ton mari ? » Surprise elle hésita puis :
– » Il ne me fait plus l’amour »
– » Et ton amant te soulage ! »
– » C’est mieux mais… ça ne me suffit plus » j’étais toujours assis en face d’elle en train de boire un soda
– » T’es une vraie Salope alors ! » Elle ne répondait pas :
– » Réponds à ma question ! » Elle rougit un peu :
– » Je commence à découvrir que j’aime ça ! J’aime être dominée par un homme ! »
– » Et ce n’est pas fini »
Tout en disant cela, je m’approchais d’elle, en lui demandant de me sucer pour bander à nouveau.
Cette fois elle n’hésita pas.
Commençant une fellation devenue experte, elle me pompait à fond crachant même par moment sur mon gland.
J’en profitais pour défaire complètement son soutien gorge et lui demandait de se masturber à nouveau. Après quelques minutes de ce traitement, me sentant proche d’un nouvel orgasme, je sortais mon sexe de sa bouche et m’agenouillais pour lui lécher sa chatte, m’amusant avec son clitoris, passant ma langue entre ses lèvres, puis introduisant le bout de ma langue dans son vagin. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle jouisse à nouveau, encore plus intensément que la première fois. J’introduisis un doigt dans sa chatte et le lui fis lécher pour qu’elle goûte sa mouille. Elle devenait de plus en plus Salope :
– » Laisse-moi retirer mon bandeau pour que je puisse voir ta bite »
– » Non ! C’est moi qui décide ! « .
Je la positionnais ensuite à quatre pattes pour la prendre en levrette. Je la pénétrais sans aucune difficulté et après quelques va et vient, à ma grande surprise elle eut un nouvel orgasme. Voulant aller encore plus loin dans mes fantasmes je lui caressais l’entrée de son trou du cul introduisant ensuite un doigt puis deux :
– » Je vais t’enculer petite pute »
– » Non ça je ne veux pas, ça va me faire mal ! » Je lui assenais une grande claque sur les fesses
– » Tais-toi ! Et ne bouge pas je reviens »
Elle sanglotait de peur et de douleur, j’allai dans la cuisine pour prendre du beurre, de retour dans le salon je la retrouvais toujours dans la même positon la tête entre les mains et le cul en l’air, je déposais un peu de matière grasse sur son anus que j’étalais à l’aide de mes doigts pour préparer le passage, puis j’en mettais un peu sur mon sexe pour le lubrifier, quelle drôle de sensation ! Je me positionnais maintenant derrière Nadine et plaçais mon gland à l’entrée de son tunnel pour pousser ensuite progressivement toute ma verge. Elle hurlait de douleur, je restais ainsi quelques instants bien au fond attendant qu’elle se calme puis je commençai à la bourrer, c’était ma première sodomie aussi et mon plaisir était intense. Je tenais Nadine par les hanches et je pouvais voir son gros cul bouger dans tous les sens, Nadine criait son bonheur maintenant se masturbant la chatte avec une de ses mains comme une vraie Salope me demandant de jouir en elle j’obéissais à présent hurlant mon plaisir…
Elle eut, elle aussi un orgasme violent, s’écroulant sur le sol. Après quelques minutes je reprenais à nouveau mes esprits et pour la première fois embrassais Nadine, elle acceptait ce baiser enroulant même sa langue avec la mienne telle une collégienne.
– » Laisse-moi voir ton visage. Je veux que tu deviennes mon amant, tu m’as tellement fait jouir ! »
J’hésitais un peu.
Même si je ne risquais pas grand chose, je trouvais que la situation ne manquait pas de piquant. Seulement le fait qu’elle me connaisse simplifierait aussi les choses.
Après quelques instants je me plaçais derrière elle pour lui retirer son bandeau.
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