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Séjour chez une putain

Séjour chez une putain



Je ne mesure pas assez le caractère souple de l’hospitalité. Je révère comme beaucoup la noblesse du terme et son concept. J’en ai pu éprouver un jour avec quelque honte le sens relatif et assez ambigu. Pour aller vite j’eus un jour à descendre dans le Sud. J’avais un séminaire près d’Avignon. Paul, mon meilleur ami et avec lequel je conversais par le net souvent, était établi là-bas depuis. Le Lubéron l’avait converti. Il m’en louait les charmes et n’avait de cesse à que je cédas à ses pressants appels. Pour le coup j’acceptais.

J’avais vu une photo de son épouse. Il la disait jolie ce que laissait transparaître la pellicule. Cependant je me suis toujours défié d’une photo. Rien ne remplace le réel. Aussi ne fus-je pas peu impressionné du charme envoûtant de la personne. Elle était davantage sensuelle que jolie. Pour parler vulgaire, elle était garce et bandante. Je fus un peu surpris que mon ami ne s’en formalisa pas. A sa place j’eus été méfiant et jaloux. En effet cette femme dans son regard voulait du premier coup vous subjuguer.

Ajoutons à cela une mise et une démarche chaloupée qui signalait l’allumeuse qu’on drague dans mon pays hâtivement et sans scrupule. Je n’avais pas perçu qu’un séjour annoncé banal put receler de pernicieux dangers. La tentation me guettait. Je devrais me garder de croquer la pomme que cette Eve me tendrait. Le premier matin après que j’eus fini mes mouvements de gym dans le jardin je pus échanger avec le voisin à côté. Celui-ci goûtait peu que j’eus sur le dos un maillot du PSG. Il m’en signala le caractère provocant ici.

N’étais-je pas sur les terres de l’OM ? Je convins avec lui de la légèreté de ma mise . Je ne m’étais pas volontairement affublé de ce vêtement. Il vit ma sincérité. Je l’assurais en riant que j’allais enfouir au profond de la valise ce maillot maudit . Nous en vînmes à sympathiser. Il était retraité et avait bossé dans ma branche. Je lui confirmais que Paul était un ami de longue date. Puis nous en vînmes je ne sais pourquoi à évoquer la dame de celui-ci. Le voisin malicieux me fit rapidement convenir qu’elle était séduisante. Il ajouta : « Bandante ! »

Puis les propos devinrent lestes. Il me dit de but en blanc que j’aurais du mal à ne pas céder aux avances de la gueuse. D’un air entendu ce petit homme chauve ridicule avec son ventre me fit entendre qu’il avait obtenu les faveurs de la dame. J’éprouvais à présent du malaise à l’entendre. Je décidais que le sot se vantait. Tout mâle est hâbleur sur ce genre de sujet. Il n’en voulut pas moins entrer dans les détails de l’exploit. La garce certains étés faisait du nu sur sa pelouse. Ainsi s’était-il un jour invité.

Paul était des fois absent de longs jours. La garce alors en profitait et se faisait att****r par nombre de types. Il n’avait jusqu’alors osé franchir le pas. Ce jour-là sa dame était partie avec sa fille pour une journée sur Marseille. Il l’avait longuement arrosé et maté par-dessus la haie. La garce n’avait eu cure de se mettre un morceau de tissu pour cacher ses fesses et sa chatte. Bref après s’être autorisé d’un banal bref et baratin, il avait passé la limite du jardin et était venu près du transat finir la conversation.

Il me laissa deviner le reste. Curieusement j’en vins à penser qu’il ne mentait pas. Ses yeux brillaient. On eût qu’il avait emporté une bataille d’Austerlitz. Poursuivant son conte comme en un rêve, il me dit qu’il n’avait rien fait. Elle avait seule pris la tête des opérations. Il me dit qu’elle suçait avec un talent comparable aux prostituées de Marseille. Avides de sexe, ils s’étaient épuisés une longue heure. Endurant et baiseur patenté il n’en avait pas moins rendu les armes. Elle avait vidé ses couilles. Il était rentré sur les rotules.

Il me dit d’un air soudain triste et grave : « Elle vous mangera aussi ! ». Je n’eus de pensée que pour Paul. Dans quelle galère était-il ! Savait-il la corruption et la lubricité de sa femme. Il devait être la risée des lieux alentour. Si un imbécile avait pu, d’autres avaient du faire de même. En effet dans les commerces et les restaurants autour j’avais saisi des regards et des sourires qui ne laissaient planer pas d’équivoque. Il y avait de la connivence avec des mâles qui devaient être ses amants. Seul Paul ne voyait rien.

Je crus sottement devoir prendre parti et intervenir. Un ami était danger. Je devais lui ouvrir les yeux. J’oubliais sottement le conseil de ne jamais réveiller un somnambule. Rien de tel pour qu’il tombât du toit. Paul à cet égard était émerveillé et encore amoureux. Je compris assez vite que j’allais tuer cet homme. Je n’en étais pas moins surpris qu’il n’y eût encore une âme charitable ou perfide pour calomnier sa femme. Les médisants sont de partout. Là-dessus il me dit un jour qu’on jalousait ici fort sa femme.

Je compris que ce n’était pas mes oignons et que je devais me taire. N’empêche un jour avec un air de reproche tandis que la garce écartait par défi ses cuisses, je lui jetais à la figure un propos sévère : « Vous ne méritez pas Paul ! » Elle eût alors un sourire terrible confinant à une envie de meurtre. Je compris à partir de ce jour qu’elle me voudrait punir. J’en avais trop dit. La suite ne manquerait pas. Dans deux jours, j’arriverais au terme de mon séminaire. Il me tardait de partir. Une après-midi je rentrais trop tôt.

Je croisais le voisin en bout de rue. Il allait à sa partie de tennis. Le soleil tapait. Je lui dis de faire attention et de bien s’alimenter et boire. Il me dit d’un clignement d’œil. « Tu sais l’autre pute, elle bronze à poil dans son jardin. » Je fus sur le point de rebrousser chemin et d’attendre dans un bar le retour de Paul qui devait rentrer plus tard. Puis me reprenant j’avisais que je monterais directement dans ma chambre pour m’allonger sur le lit et dormir. Je n’avais que faire que madame bronzât. Ce n’était pas mon problème.

Je devais cependant traverser le salon lequel qui donnait sur la piscine et ses bords. Je ne pus échapper au spectacle. Le soleil donnait à fond sur son corps nu et bronzé. Une véritable déesse. On eût dit une statue plantée là pour le bonheur du regard. J’en demeurais saisi, pétrifié. Maladroit je choquais une table et fit tomber un verre. Sa tête se tourna. Retirant ses lunettes , elle me devina dans la pénombre. « Tiens c’est toi. Tu tombes bien. Viens ! » Son transat menaçait de se désagréger. Un problème de vis.

Penaud et tâchant de me concentrer sur ladite vis je tâchais de ne pas regarder le reste. Ses belles jambes infinies n’en finissaient pas de rutiler vers l’eau. Mon voisin n’avait pas menti. Pouvait-on résister à ce déluge de feu et de sensualité ? La sueur perlait sur mon front. Je bandais. J’étais triste. Je songeais à Paul que j’allais trahir. La simple réparation effectuée j’aurais du me lever et m’en aller. Au contraire docile je me laissais prendre la main. Nos lèvres se collèrent. Elle était chaude et si odorante.

Je perdis la notion du temps et du risque que Paul put nous surprendre. La garce n’en avait cure. Elle fut bientôt accroupie à me sucer. Je réalisais trop tard qu’on put nous voir et notamment l’autre idiot du fond du jardin. Heureusement il était au tennis. N’empêche elle faisait exprès afin qu’on vit qu’elle suçait un autre que son mari. J’étais fait. Je couchais avec la femme d’un autre qui était mon ami. Elle me branlait à présent avec rare frénésie. D’un ton vulgaire elle jeta: « T’es bien monté mon salaud ! »

Elle m’entraîna dans l’ombre à l’entrée du salon. Empli de rage je la bourrai en levrette. Crinière au vent elle cria : « Encule moi ! » Son cul de toute façon remuait de façon insolente requérant qu’on le punisse et foute à fond. J’avais la queue énorme et j’avais toujours fait attention d’entrer doucement dans le cul d’une partenaire. Cette fois la bite fut avalée. Ce trou semblait familier de ce traitement. Impavide il encaissait l’introduction et chaque coup de boutoir. Elle m’exhortait d’y aller plus fort.

J’éjaculais dedans. Elle m’avait mué en bête. J’étais pris de honte. J’avais cédé à la tentation et roulé dans la fange prophétisée par le voisin. J’étais pire que les autres. Minable pourceau, j’étais entré dans leur cohorte. Cette garce pouvait me compter à son tableau de chasse. Elle avait voulu me donner une leçon et rabattre ma superbe ce à quoi elle était parvenue sans peine. J’eus du mal à regarder en face Paul revenu de bonne humeur. Il perçut mon trouble. Je lui dis que ma journée de séminaire avait été pénible.

Je n’eus pas moins de difficulté à échapper aux regards ironiques de la garce. Elle poussa même la cruauté jusqu’à me faire du pied sous la table en présence du mari. Cette imbécile continuait à pérorer balançant de temps en temps de stupides : « Ma chérie ». Celle-ci jouait la comédie parfaitement. Elle m’y associa ce jour-là. Nous étions tous deux complices du même crime. Elle vint m’embrasser un moment tandis que Paul ramenait un plat dans la cuisine. Elle me souffla : »J’ai envie de ta lourde bite ! »

Le lendemain le séminaire fut écourté. Je me précipitais sachant Paul à nouveau absent et la salope nue au bord de la piscine. Elle m’attendait. Nous roulâmes nus sur le gazon. Je n’avais cure qu’on nous vit. Il n’était pas sûre que le voisin fut au tennis. Peu importe qu’il me vit forniquer avec la chienne. Passablement jaloux elle prit plaisir à me confirmer que ce con la sautait régulièrement. Elle détestait sa femme. Elle n’était pas mécontente de la cocufier. Tout cela me déconcertait. La folie rôdait. Il était temps que je m’enfuis.

Puis vint le dernier jour, le dernier soir. Paul devait m’amener le lendemain au TGV. J’étais heureux de partir et de mettre des centaines de kilomètres entre ce couple et moi. Je retrouverais ma liberté et ma légèreté d’esprit. Je n’en retiendrais pas moins la leçon. L’humilité se gagne à ce prix. Ainsi m’endormis-je content. Peu après minuit le téléphone sonna ce qui ne présageait rien de bon. C’était la maman de Paul aux urgences. Branle bas de combat. Je l’assurais que je prendrais le lendemain un taxi.

Sa femme ne l’en rassura pas moins. Sa place était auprès de sa mère. Mon regard ne put s’empêcher d’admirer les formes de sa femme dans la nuisette transparente. Chacun s’en retourna dans sa chambre, le calme revenu. Je me branlais songeant à elle que j’allais quitter. N’y tenant plus et renonçant à pourvoir m’endormir j’entrais dans sa chambre. Elle dormait du sommeil du juste. Me glissant sous le drap je m’enquis à lui caresser le cul. Elle se tourna. Nos lèvres s’embrasèrent.

Ce fut torride de la nuit au matin. Les saillies se succédant ce fut un homme hagard et aux couilles vides qui prit seul son café dans la cuisine attendant le taxi commandé. La garce ne daigna pas venir me saluer. Elle récupérait benoîtement rêvant peut-être à ses prochains amants. J’eus à peine une pensée émue pour le copain qui venait de m’adresser un sms pour me rassurer quant à la santé de sa mère. Celle-ci rentrerait chez elle demain. Au final j’adoptais le point de vue de ma queue. Celle-ci avait été heureuse de ce séjour.

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