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Luce a ZombieLand – 7

Luce a ZombieLand – 7



Les rondes

Seigneur ! Moi la femme si digne, si prude, me voila transporter, nue, le corps recouvert de faux sperme gluant, par un groupe de filles maquiller en zombie, nues aussi d’ailleurs et qui me tenait a bout de bras comme pour m’amener a un sacrifice rituel tout comme l’héroïne de King Kong. J’étais si épuisé que je ne savais plus si je devais en rire, en pleurer ou juste en profiter. Profiter de la balade dans ce se jeux complètement fous. Mais, je me sentais étrangement bien, comme en pâmoison avec toutes ses mains qui me soutenait et me chatouillait. En tout cas, je n’oublierai jamais cette soirée d’anniversaire des plus étrange pour mes 50 ans, et c’était dans quelques heures ou je les avais déjà. On m’avait fait enlever ma montre en arrivant ici alors je ne savais plus quelle heure il pouvait bien être ni depuis combien de temps j’étais là. Il se passait trop de choses, j’en avais perdu la notion du temps.

On tourna et suivit un autre couloir ou flottait toujours un épais brouillard, j’entendis aussitôt un bruit de cascades très fort qui se rapprocha rapidement. À travers la brume j’aperçus de l’eau qui tombait en abondance du plafond par de grosses grilles en fer recouvertes de mousse verte comme si cette eau provenait du marais que nous avions traversé plutôt. Des qu’on passa en dessous je fermer les yeux trop heureuse de la sentir très chaude et surtout de la sentir m’éclabousser avec assez de force pour me débarrasser de ce qui recouvrait mon corps : du faux sperme gluant et de l’huile orange dont on m’avait aspergé. En même temps cette eau me caressait et m’agaçait en me tombant dessus avec force, une vraie chute. Mes porteuses avaient ralenti un peut, dieux merci. Et comme elle me tenait bras et jambes écarter juste sous cette grille, toute cette eau qui dévalait directement sur moi me donna des petites sensations très agréables à la vulve et au pubis, même aux seins. Mes petits orteils se dressèrent tandis que je me tortillais en geignant. C’était agaçant au possible. Je fermer la bouche quand mon visage fut immerger. Quel bonheur de me sentir laver, enfin, les cheveux surtout. Mais, même si elles avaient ralenti, le passage fut trop rapide. J’aurais bien aimé qu’elles stoppent un peu, mais non. On était déjà repartis vers une mystérieuse destination.

Je cracher de l’eau et du cligné des yeux plusieurs fois avant de pouvoir les garder ouvert puis je vis que cette douche ultra rapide avait suffi à me laver complètement. Je pus voir enfin ma belle peau blanche, immaculée, nettoyer de tout et ma toison ovale redevenue brune, presque noir juste sous mon ventre un peu rond. Mes poils mouiller reluisaient quand on passait sous une lumière blafarde et cette cascade d’eau chaude avait fait se dresser encore plus mes mamelons en plein milieu de mes seins et ils étaient recouverts maintenant d’une grosse chair de poule. Ma poitrine pendait un peu sur mes côtes et ballottait terriblement tellement mon corps était secoué. Deux grosses collines de chair blanche encore pas mal ferme pour mon âge et qui remuait comme s’ils étaient remplis de gélatine. Chacun de mes seins était plus gros que ma tête. Ils avaient fait mon malheur et mon bonheur toute ma vie. Mon malheur parce que, évidemment, on me regardait sans cesse mais aussi mon bonheur car je les aimais mes gros seins. J’aimais les sentir la, lourd, imposant, j’aimais mes les caresser en me masturbant et me les faire prendre par des hommes qui en bavait presque d’envie. J’ai connu des femmes qui détestaient avoir une grosse poitrine mais pas moi. Ils m’embarrassaient parfois c’est vrai, surtout a la plage mais… j’en étais fier de mes grosses boules surtout quant les hommes perdaient la tête quand il les voyait ou les touchait pour la première fois. Mais jamais je n’aurais cru qu’un jour je baladerais à poil dans un parc d’attractions pour adulte et les exposerais autant, à d’autres femmes surtout. C’était enivrant tout ce qui m’arrivait ici, délirant mais surtout incroyable.

Mon corps ruisselant d’eau et toutes ses mains qui me soutenaient me procuraient plus que jamais de douces sensations. Surtout mon sexe entre mes cuisses écarter, cet endroit si intime qui fendait l’air comme une figure de proue a la vue de tous, que je savais ouvert et humide en plus. Je le sentais trop bien. Je sentais même le moindre courant d’air qui effleurait mes grandes lèvres ouvertes, même les petites et même l’entrée de mon vagin. Elles me trimbalaient comme ça, jambes écarter, comme si elles avaient l’intention de m’empaler sur une longue verge. Hummm ! Je me surpris à l’espérer tellement mon vagin aspirait à être pénétré. De plus, deux des mains qui me soutenait les cuisses effleuraient ma vulve, la comprimait légèrement tandis que des pouces me pressaient l’anus sans y pénétrer mais le frottait a chaque pas des zombies, une vraie torture. Ça me démangeait, j’aurais tout donné pour pouvoir me le gratter doucement. C’était agaçant au possible et me faisait me mordiller les lèvres, me tortiller et soupirer, plier et déplier les orteils. Ma respiration saccader faisait sursauter mon ventre et rouler mes gros seins en plus de cette eau qui me ruisselait toujours sur le corps.

Je ressentais la même chose que lorsqu’un homme essayait maladroitement de me faire jouir avec la langue ou les doigts. J’aurais tout donné pour pouvoir me caresser, surtout le clitoris qui pulsait bander dur le pauvre et sortit de sa cachette sans pudeur depuis le passage sous la chute, mais ces maudites mains me tenait prisonnière. Mais nous les femmes, malheureusement, on a l’habitude de passer tout près de l’orgasme sans y parvenir a cause d”amant trop exciter, trop presser, ou de piles a plats. J’essayai quand même de serrer les cuisses pour comprimer mon sexe pour pouvoir atteindre l’orgasme.

Je l’avais déjà fait juste en croisant les jambes et souvent même, comme plusieurs femmes sans doute, mais moi, ce fut à l’adolescence surtout. C’était mon grand secret de jeune fille pudique. Parfois j’y arrivais en classe pencher sur mon pupitre le rouge aux joues, parfois même en souper de famille a la Noël ou au jour de l’an ou je m’ennuyais a mourir. Je fantasmais sur de beaux cousins ou simplement sur les décolleter plongeant de certaine de mes tantes qui, pour la plupart avaient comme moi et ma mère, des poitrines débordantes. Je me sentais un peu honteuse, même vicieuse de regarder comme ça mes tantes en imaginant toutes sortes de choses mais je ne pouvais m’en empêcher tout comme je regardais certaine de mes amies ou d’autre fille que je croisais. C’est a cette époque que je m’étais vaguement rendu compte que j’aimais les deux, homme et femme tout en préférant les hommes, sans savoir ce que voulait dire être bi. L’internet n’existai pas a l’époque et jamais je n’aurais confié ça a qui que ce soit, je me serais fait traiter de lesbienne et j’en serais probablement morte de honte.

Bref, je n’y arrivais pas toujours mais un matin en attendant mon tour au cabinet du dentiste les yeux alourdis de sommeil je l’avais fait discrètement devant tout le monde. La salle d’attente était bondée : des mères surtout avec leurs enfants bruyants, mais aussi un ados, écouteur aux oreilles, qui louchait sans cesse vers mes seins qui soulevait mon manteau d’automne, un vieux bonhomme qui lisait une revue de mode féminine et la réceptionniste. En jupe courte et bas nylon noir j’avais croisé les jambes et les bras et fermé les yeux. J’avais à peine 20 ans et je m’étais fait baiser pas ma saoule cette nuit la dans une voiture par une inconnue rencontrer dans un bar. Une baise rapide et très peu satisfaisante et sans lendemain. Encore un gars qui avait bandé sur ma poitrine avant de remplir une capote en un temps record. Et, en repensant a ça, surtout a sa verge longue et recourber que j’avais sucé longuement, v’là que je m’étais mise a resserré les fesses et les cuisses discrètement en gonflant les gros muscles a l’intérieur de mes cuisses tout en rentrant le bassin pour faire des pressions sur ma vulve sans pouvoir m’en empêcher, a moitié endormie. Et se mouvement faisait a chaque fois comme aspirer mon anus par en dedans ce qui rajoutait a mes délicieuses sensations secrètes. Je répétais ses petits mouvements discrets jusqu’a mouillé, jusqu’a sentir mes mamelons durcir sous mes soutiens-gorge et jusqu’a jouir finalement, pas toujours mais souvent. Je faisais ça innocemment sans avoir l’air de bouger sauf mes orteils dans mes souliers, en essayant de ne pas gémir, de ne pas trop remuer. Mais ce qui m’aidait beaucoup c’était de balancer mon pied, celui de ma jambe au dessus. Bref, pas évident mais faisable et très soulageant. Mais je ne pus m’empêcher cette fois la de trembler tellement l’orgasme de lendemain de veille qui me traversa le bas ventre fut puissant et bon, et la, en pleine jouissance, on m’avait touché le bras. J’avais sursauté en écarquillant les yeux de peur et m’était senti toute électrique, certaine que tout le monde s’en était aperçue mais ce n’était que l’adjointe du dentiste portant un masque penché sur moi qui me disait :

— Faut pas avoir peur ma belle, ça vas aller, c’est a ton tour.

J’avais juste acquiescé du menton perdu dans les limbes du plaisir sans cesser de jouir en décroisant les jambes tandis que les enfants me fixaient les yeux tout ronds. Je devais faire vraiment une drôle de face car j’avais des spasmes vaginaux étant au sommet de l’orgasme. Je m’en mordillais les lèvres pour ne pas gémir. L’assistante me tenait par la main pensant sans doute qu’elle avait besoin de me soutenir parce que j’avais peur. Moi je lui serrais très fort, presque a lui blanchir les doigts tellement le plaisir que je ressentais était puissant, j’en tremblais toujours en avançant pas à pas cuisses serrer comme une idiote. Je devais vraiment donner l’impression d’être terrifié car la réceptionniste qui parlait au téléphone sentit le besoin de me sourire pour m’encourager.

J’avais suivi l’assistante comme une prisonnière que l’on mène a l’abattoir, le coeur battant à toute allure, rouge comme une tomate avec tout le monde qui me regardait en sentant ma petite culotte se mouiller et coller a ma fente. Étrangement, j’avais continué a jouir en essayant de ne pas grimacer jusque sur la chaise des tortures ou la, se maudit orgasme avait fini par s’estomper me laissant amorphe, pantoise et un peut perdue. En ouvrant mon manteau sur l’automatique le dentiste m’avait regarder la poitrine du coin de l’oeil et en salivant sans doute derrière son masque avec sa seringue qui dégouttait tout comme ma vulve. Mes mamelons pointaient, rien pour me faire dérougir. Je m’était dit, en enlevant mon manteau aider par son assistante qu’il avait intérêt a ce concentré sur autre chose que mes boules sinon il était bien capable de me piquer droit dans un oeil ou de m’enlever la mauvaise dent comme au cinéma. Je me vis clairement avec un oeil geler et l’autre qui roulait dans son orbite. Et quand l’assistante avait abaissé le dossier de la chaise et soulevé le repose-pieds, j’avais croisé mes petites jambes à nouveau et je m’étais dit en fermant les yeux tout en ouvrant la bouche ; « Tant qu’à souffrir. » Et j’avais recommencé.

Repenser à tout ça me faisait sourire et me mettait comme en transe tandis que les lumières défilaient inlassablement au-dessus de moi. Mais j’avais l’impression de suffoquer en ravalant ma salive tandis que mes pensées dérivaient. Ce besoin de jouir et tout ce que j’avais vécu ici me donnait l’impression de flotter entre deux eaux, de rêver les yeux mis-clos, quais révulser, en me disant que cet endroit n’existait pas. Mais si c’était bon de se reposer un peut. Autant voir le bon côté des choses. De ne pas avoir à ramper, à grimper ou à marcher dans de la boue ou du liquide épais et visqueux, c’était reposant au possible.

Je m’abandonner a ce délire, que faire d’autre prisonnière comme je l’étais. J’espérerais même avoir droit à un délicieux massage avec toutes ces mains. (WAIS ! Ça, se serait génial et mériter après tout ce que je venais de traverser.) Un lent et délicieux massage érotique où on m’amènerait enfin a l’orgasme comme tout à l’heure quand j’avais joui en me frottant sans pudeur sur cette verge géante. Je réaliser soudain que j’avais déjà presque oublié mes deux guides. Je les imaginais dans une cafétéria, tout près, quelque part, après une douche rapide a discuter de tout et de rien ou a vanter mes gros seins a d’autre employer de cet endroit de dément. Ça me fit rire. Je finis par fermer les yeux pour mieux tout ressentir mais aussi de fatigue tout en savourant cette étrange randonnée peu banale. J’avais l’impression d’être étendu sur le dos d’une chenille géante. Ce n’est pas tout les jours que l’on se fait balader nue par un groupe de femme nue. Ça me donnait un peu l’impression d’être une princesse que des esclaves amenaient au bain comme dans le bon vieux temps de la Grèce antique.

On tourna encore et on descendit des escaliers, cette fois les mains près de mon sexe frottèrent carrément dessus a me l’écraser. Doux Jésus que ça m’agaça surtout secouer comme je l’étais. Ça me coupa même le souffle. Je ne pus m’empêcher de gémir en me tortillant et me mordillant les lèvres si proches de jouir et pas moyen de fermer les cuisses. Puis je fus de nouveau à l’horizontale. Merde ! Un autre couloir sombre tandis que la brume se dissipait peut a peut, encore quelques marches et une porte qui s’ouvre. J’étais étonné de l’immensité des sous-sols de cet étrange parc thématique pour adulte tout en retroussant les orteils à cause de la pression exercer à nouveau sur ma vulve humide parce que l’on descendait encore. Ça me la frottait tellement que je faillis jouir à nouveau, mais sans y parvenir. Ça devenait vraiment frustrant.

Puis je me retrouvé à l’horizontale encore une fois. Il faisait trop noir pour que j’aperçoive le plafond à présent ou les murs. La faible lumière semblait provenir du plancher. Je voulus regarder mais les mains qui me soutenant la tête m’en empêchèrent et il y avait toujours ces bruits ambiants angoissants : grognements, bruit de chaîne qui claque mollement sur quelque chose, râles, etc. Je réaliser que mes porteuses, qui ne semblait pas se fatiguer, marchaient maintenant dans de l’eau pour ensuite monter d’autres marches, car je me retrouver tête en bas, seins dans le visage presque a m’étouffer, avant de me retrouver encore une fois à l’horizontale et on me remit sur mes pieds doucement. Dès qu’elles me lâchèrent je fus déçu de ne plus sentir leurs mains sur moi et je me fis l’impression de peser une tonne tellement j’étais épuisé, comme si je revenais d’un séjour à la station spatiale. Mes pieds dont je ne voyais que les orteils comme d’habitude reposaient sur du ciment et je ne voyais rien devant moi. Je me retourner pour apercevoir mes porteuses qui repartait déjà, descendant un large escalier pour marcher dans de l’eau jusqu’aux cuisses pour devenir à peine des ombres dans cette pièce vraiment sombre éclairer par juste un petit lampion blafard au dessus de ma tête. Elles disparurent et le silence se fit.

Bon, qu’est-ce qui m’attendait encore ? Je croiser a nouveau mes mains sur mes seins par pudeur pour cacher mes mamelons trop dure. J’aurais pu me masturber à présent mais ma gêne revenue m’en empêchait et je me sentais épier. Devant mes deux guides j’étais très a l’aise maintenant, enfin, pas mal disons, mais seule ici… De l’eau ruisselait de mes cheveux sur mes épaules et s’écoulait sur mon corps en me chatouillant, surtout au creux des reins et entre les seins. Mes yeux allaient de gauche à droit surveillant les moindres recoins tout en tournant sur moi même. Mais je ne vis rien et je n’entendais que de l’eau qui s’écoulait quelque part. J’hésitais à m’avancer hors du cercle de lumière comme s’il me protégeait. Mon ventre gargouilla, j’étais affamé et j’avais si soif. Entendre cette eau coulée était une vraie torture. Si on me faisait remplir une petite fiche genre sondage sur ce que j’avais aimé ou pas ici ou si je rencontrais quelqu’un qui me demanderait si j’avais aimé mon expérience, je ne me gênerais pas pour leur dire de nourrir leurs clientes pendant le parcours. Je n’avais eu droit qu’a un peut de vin et rien d’autre depuis le début de cette équipé de fou.

Anxieuse, je scrutais sans arrêt la pénombre autour de moi m’attendant à voir surgir King Kong en personne. Ici, je me disais que tout était possible. J’avais bien eu droit à une bite et une vulve géante. L’eau qui s’écoulait de mon corps avait fini par former une petite mare à mes pieds, je commençais même à sécher en me mordillant les lèvres. J’étais sur le qui-vive, je me sentais prête a hurler ou sauter au plafond comme une conne a la moindre alerte, mais rien. Si mes amis me voyaient, je riais quand elle sursautait et criait en écoutant un bon film d’horreur à la maison. La, elle serait morte de rire de me voir si piteuse a me tenir les seins, les nerfs tendus comme des cordes de violon a scruté les alentours. Puis je ris en me disant qu’elles, elles auraient déjà perdu la voix ici à force de hurler.

Au bout de quelques minutes je commençais sérieusement a me demander si on ne m’avait pas tout bonnement oublié quand soudain, une dizaine de visages tout blancs de zombies apparurent, sortant du noir comme par magie tout au fond, sur le palier où je me trouvais et qui s’approchaient. Mon coeur bondit sous mes seins et, tout en sachant que ce n’était qu’un jeu sexuel, je me sentis tout de même devenir tout électrique. Que des faces blanchâtres au début ce qui me donna la chaire de poule, puis leur corps apparu, se dévoilant peut a peut : Des épaules, des seins énormes, de grosses cuisses… Seigneurs ! Que des rondes, même très rondes et que des femmes d’âge mur, ça se voyait tout de suite. Elles avaient toutes des seins très lourds et énormes qui se balançaient mollement en se frappant appuyer contre leurs gros ventres ronds et toutes ses belles rondeurs leur faisait des mains et pieds de gamines. Bouche entrouverte, je regardais sans y croire toute cette chaire opulente d’une blancheur spectrale qui venait vers moi et qui remuait au moindre mouvement. La plupart mais pas toutes avait des toisons en triangle très fourni sombre pour la plupart mais quelques une virait au gris. D’autre était carrément rasé ou n’avait gardé qu’une ligne étroite. Elles ne semblaient pourtant pas si vieilles que ça. Pas de chaires flétries ou rider. Je leur donnais entre 40 et 60 ans pas plus. De très belles femmes, vraiment. Voir ça me fit déglutir, j’étais un peu embarrassé par ce spectacle. Je n’avais jamais vu d’autres femmes nues avec autant de bustes que moi ou aussi ronde autrement qu’à la télé dans les pornos de mes amants et ça me plaisait beaucoup, même avec leur maquillage de zombie. J’ai toujours trouvé les rondes très belles et là, j’en avais plein les yeux. J’étais très petite comparer a elle, même si j‘avais engraissé et prit du poids depuis l’an passer et malgré mes seins ballons. Je n’étais pas grosses, juste un peut ronde, sauf pour ma poitrine évidemment, mais elles… ouf… Je me sentit même gêner d’être aussi petite comparer a c’est femme la.

Mes doigts s’enfoncèrent dans mes seins en me demandant ce qui m’attendait encore tandis qu’elles m’encerclaient lentement. Je n’ai jamais aimé être le centre d’attention d’un groupe, pourtant je suis enseignante, et la je l’étais et nue en plus et entourer de grosses femmes également nues. C’était encore une fois délirant, j’en avais des palpitations. Ma bouche se remplit se salive tandis que je ne pouvais empêcher mes yeux de regarder leur toison, leurs seins de toute forme et leurs mamelons, petits ou gros et certains tendue et percer. Elles étaient si près maintenant que je n’avais qu’à tendre la main pour les toucher mais je n’osais pas. Je déglutis bruyamment en me demandant ce qu’elles attendaient avec leur visage de zombie impassible. Et qui étaient ces femmes ? Des mères de famille, des femmes seules cherchant absolument un travail ou a arrondir simplement leur fin de mois ? Mais j’étais sûr d’une chose, c’est que tout le monde ici devait être très bien payé pour faire ce qu’on leur demandait de faire alors… j’avais la conscience tranquille. Même si j’avais la même taille que la plupart d’entre elles, je me sentais de plus en plus petite, surtout encercler comme ça. Je m’ennuyais de 1 et de 2 tout à coup.

Et elles se rapprochèrent toute en même temps, bras le long du corps, comme si elles voulaient simplement m’écraser avec leurs grosses poitrines et leurs ventres et pas moyen d’y échapper. Je me donnais l’impression d’être une petite souris entourer de chatte obèse et affamée. Leurs hanches, leurs cuisses, leurs seins se touchaient de plus en plus en s’approchant de moi. Ça me fit frissonner et serrer les fesses et la, une pluie huileuse a et rose nous tomba dessus soudainement, juste le temps de biens nous détremper et elle cessa toute aussi subitement. Décidément ici, ils aimaient arroser les femmes de toute sorte de choses. Encore un gicleur sans doute. Certaine s’accroupirent, d’autres restèrent debout et des dizaines de mains huileuses et glissantes se mirent a sourirent sur moi pour étaler cette huile qui me plaquait encore les cheveux au visage tout comme elle. Je me résigner a lâcher mes seins pour me frotter encore les yeux en sentant tous ses attouchements indiscrets. Ma poitrine n’y échappa pas. J’en frissonner des pieds à la tête. Le massage que j’attends tant, enfin, mais debout. J’aurais préféré être étendu confortablement sur une table, mais bon. C’était mieux que rien. Même que c’était fantastique ! Fantastique d’être le point de mire de toutes ses mains qui me palpait et me massait en douceur. Qui n’en a jamais rêvé. Et, en plus, elles frottaient aussi leurs seins moues contre moi. Hum ! Ça c’était vraiment doux. J’essayai d’en palper mais elles me tenaient les poignets. Tant pis ! Mais je regardais, je me remplissais les yeux de toutes ses belles rondeurs luisantes d’huile coller à moi. C’était si chaud, si douillet et si sensuel toutes ces caresses entre femmes. Et celles à quatre pattes m’offraient une vue fantastique sur leurs beaux gros derrières, leurs fesses bien rondes luisantes d’huile. J’aurais tant aimé pourvoir les touchers, que j’en gémis légèrement de frustrations. Plusieurs d’entre elles avaient de petits tatouages mignons comme tout et à toutes sortes d’endroits mais surtout aux fesses et aux seins

« Pierre, je t’adore mon vieux et je te pardonne pour le reste. Enfin, presque ! »

Je fermer les yeux en frissonnant de nouveau, le moindre recoin de mon corps étai palper, toucher, caresser, même les plus intimes : Fesses, anus, dos, seins, mamelons, cuisses, vulve, chevilles, hanches, pubis, ventre, reins, bras, mains, gorge, visage, et tout en même temps. C’était si apaisant, si fantastique, si délirant que je me sentis devenir toute molle. Lèvres entrouvertes j’aspirais l’air humide à pleins poumons. Parfois ça me chatouillait et je me tortillais, parfois ça m’amenait presque a l’orgasme, alors je grimaçais en geignant. Puis je sentis des lèvres douces et humides et des langues aussi, des petites langues rondes et pointues qui s’agitaient partout sur mon corps glissant sur ma peau y provoquant de grosses chairs de poule.

On me léchait du creux de l’oreille aux orteils comme si j’étais une délicieuse friandise, ça me rendit tout électrique et fit se dresser le petit duvet qui recouvrait ma peau. Ça, en plus de toutes ses mains et de ce que suçaient ces lèvres dodues en agitant la langue faillis me faire défaillir et m’évanouir. Me faire sucer les lobes d’oreilles en même temps que les mamelons en plus du reste m’arrachaient des gémissements de plus en plus aigus tandis que mes yeux se révulsaient comme si j’étais posséder par quelque démon venu du fond des âges. Je ressentais comme un trop-plein de sensation et ça me chatouillait tout partout comme si je venais de m’asseoir sur une fourmilière. Sauf que là, je ne pensais vraiment pas à m’enfuir en criant. Oh que non ! J’espérais juste au contraire que cela dure des heures et des heures.

Des langues recueillaient ce qui gouttait de mon sexe détremper. En le sentant je me surpris a prier pour qu’on me pénètre avec quelque chose, langue ou doigt vu qu’aucune d’entre elles n’avait de gode comme celle que j’avais vue plutôt et je le regrettais. Quand j’avais regarder cette femme dans une salle obscure se faire prendre par une zombie avec un gode en ceinture je m’étais dit que jamais je ne m’abaisserais a me donner en spectacle comme ça ici, mais la… j’en mourrais d’envie. Mon pauvre sexe en pulsait. C’était une pulsion si forte que la tête me tournait. Trop agacer et trop lécher sans doute je me mis a rire tout bas car ça me chatouillait en même temps.

Mes quand mes fesses furent écartées par des doigts boudiner ainsi que mes grandes lèvres vaginal qui furent étiré sans ménagement et que des langues s’agitèrent sur mon sexe et que d’autres glissèrent dans ma raie pour s’arrêter sur mon anus, mon rire s’éteignit subitement. Là, je frémis en me tortillant de plus belle presque les larmes aux yeux m’attendant, espérant enfin être pénétrés profondément par des doigts mouiller de salive. Mais c’est une langue qui entra très profondément dans mon anus pour s’y agiter, tandis qu’une autre explora mon vagin profondément pendant qu’une deuxième agaçait mon clitoris durci mais pas directement. Elle en faisait le tour simplement en pointant la langue tandis que des doigts tournaient dans ma toison. Seigneur Dieux ! C’était affolant toutes ces sensations et surtout d’être prisonnière coincer entre elles me sentant sur le point d’exploser.

Des bouches se refermèrent sur mes doigts, les suçant avidement, je touchais des langues mouillées et des dents, mes tétons si sensibles aussi étaient léchés, sucer et mordiller avec vigueur. D’autres langues me léchaient même les aisselles, derrière les cuisses et les genoux, sous les fesses, même les orteils par terre, la je commencer a geindre et a grimacé comme une sorcière sur le bûcher, s’en était presque trop ! J’avais droit à un traitement royal et je l’appréciais drôlement, mais… Comment revenir à la réalité après ça ? J’en perdais le souffle, ça m’étourdissait. Une chance qu’elle me soutenait en m’écrasant contre elles, ça me donnait l’impression d’être légère comme une plume, de flotter comme dans un bain. Ces langues qui me pénétraient anus et vagin en même temps me faisaient perdre la tête. Elle semblait essayer de se toucher en moi en s’agitant et se relayer ou c’était les même qui sortait et revenait. Chaque fois que je sentais poindre un orgasme, les langues me quittaient comme si elles le devinaient puis revenaient à la charge.. Doux Jésus, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir de toute ma vie. J’en avais des spasmes violents qui me faisaient sursauter et râler. Je n’arrivais presque plus à respirer, j’étouffais de plaisir comme si c’était possible. Mains, bouche et langue sur moi, mon univers ne se résumait plus qu’à ça.

Mon cerveau n’arrivait plus à tout enregistrer, c’était trop mais en même temps si fantastique. Et cette maudite langue agaçant maintenant sans détour mon pauvre clitoris bander dur me fit gémir comme rarement je l’avais fait dans ma vie. Je me tordais entre elles, coincer entre ses formes opulentes, ses rondeurs démesurées, molles, chaudes et glissantes. J’aurais tant aimé les toucher aussi, palper leur peau huileuse qui devait être si douce, embrasser, lécher a mon tour. Je m’en salivais sur le menton sans honte et je n’y pouvais rien. Je salivais tellement que je n’arrivais plus à tout avaler.

Des fluides coulaient maintenant de mon sexe en abondance, ramasser et lécher aussitôt et tout à coup je jouis en criant et arquant les reins, serrant les fesses, mon anus pressant la langue. Ce fut une véritable explosion en moi, un orgasme clitoridien trop longtemps retenu qui me dévasta comme un coup de poing dans le bas ventre. J’écrasai une tête entre mes cuisses, mes orteils se replièrent, mon vagin se remplit de sperme vaginal qui fut expulsé contre un visage… Pas beaucoup mais suffisamment pour que ce soit gênant. J’aspirais l’air à plein poumon, à bout de souffle, le coeur battant à toute allure en déchargeant. Ce qui ne m’arrivait vraiment pas souvent. Les yeux révulser sous mes paupières le temps me sembla s’arrêter. Je n’étais plus que frissons et convulsions, c’était si bon et si libérateur. Et aussitôt l’orgasme évanoui un autre arriva, moins puissant mais il me laissa comme vider de toute substance et j’en sentis un autre. Les langues s’agitèrent en moi encore un moment puis se retirèrent, les mains aussi me laissant pantelante tandis qu’un dernier orgasme s’évanouissait déjà. Je me laisser tomber à genoux toujours encercler, pantelante, tremblant de tous mes membres, plaquant mes mains sur mon sexe détremper et me masturber violemment les yeux fermer pour essayer de jouir a nouveau car je n’étais pas rassasier, j’en voulais encore. J’enfoncai un doigt en moi profondément et l’agiter en faisant des cercles violents sur mon pubis en me disant que cet endroit de malheur avait eu le dessus sur moi. Il avait vaincu ma réserve et ma timidité maladive. J’en étais a me branler sans pudeur devant ces rondes qui restaient la, soit assise sur leurs mollets soit debout a me regarder, ces inconnues qui venaient de me procurer tant de plaisir. Moi je faisais ça ! Mais c’était si bon, si fantastique. Je grimaçais terriblement le bas ventre parcouru de spasmes, en soulevant et rabaissant mon cul comme si je m’empalais sur une belle bite et ça secouait mes seins.

Les yeux fermer, je me masturbais comme je ne l’avais jamais fait devant personne, même pas devant une autre femme et j’étais sur le point de jouir quand soudain, des mains me prirent les poignets pour les écarter lentement mais fermement sans que je puisse les en empêcher. Je lâcher une plainte de frustration en sentant mon doigt détremper sortir de mon vagin et ma main droite retirer de mon pubis. Je gémis en serrant les cuisses… Un dernier soupçon de fierté m’empêcha de les supplier de me laisser finir, tandis qu’on me rabattrait les bras en arrière tout doucement ce qui me força à me pencher vers l’avant, seins pendants.

— Nooooonnnn ! Murmurai-je en planant quelque part au loin, les yeux brumeux et mis-clos.

Quand mes mains furent plaquées contre mes chevilles je dus écarter les genoux pour garder mon équilibre me les égratignant un peut sur le ciment en me disant, « allez s’y, faite moi ce que vous voulez, même les godes, je suis dût et pas a peut près. Mais…

J’eus sous les yeux soudainement un mamelon très foncer et plisser qu’on me glissa entre les lèvres. Automatiquement je le tété goulûment et surprise… Du lait en jaillit par une multitude de petits trous m’éclaboussant toute la bouche. Assoiffé, j’avalai aussitôt le liquide chaud et étonnamment sucrer en suçant plus fort. « Pas étonnant que les enfants aiment tant la tété » me dis-je en réalisant que je buvais du lait de femme a même le sein qu’elle se pressait contre mon nez. Je n’ai jamais eu d’enfant donc mes seins n’ont jamais donné de lait et si ça m’était arrivé, Dieu sait que j’aurais pu sans doute nourrir une classe entière de petits démons avec la poitrine que j’ai. C’était si bon et j’avais si soif… Au bout d’un moment j’avais du vider son sein car elle me donna l’autre et je m’y remis avec ardeur tandis que ça s’écoulait des coins de ma bouche pour me couler sur le menton jusque sur les seins… Peut a peut ma soif se calma et je lâcher le mamelon, rassasier, je roter même très fort. Elle continua à le presser et je dus fermer les yeux car elle m’arrosait le visage. Le lait tiède me chatouillait en s’écoulant sur ma peau. Cette fois, je croyais avoir tout vu ici, et pourtant…

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