Sophie

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Voici le déroulement d’une rencontre torride il y a quelques années (histoire vraie même si les répliques ne sont probablement plus les originales, dans l’ensemble je vais rester fidèle à mes souvenirs, pardonnez les probables fautes d’orthographe et grammaticales, je vais taper tout sans me relire, juste comme cela vient )

J’avais passé une petite annonce sur un site spécialisé : « cherche coquine voyeuse pour rencontre scénarisée en voiture, vous passez à côté de ma voiture, me voyez me caresser, vous jouez la surprise et le dégoût et accélérez le pas mais après une dizaine de mètres, vous vous retournez et me regardez à nouveau, mon regard soutenant le vôtre, vous commencez à vous rapprocher lentement et… la suite en fonction de vous, je ne demande rien mais tout est permis »

Cela faisait près de deux mois que l’annonce avait été postée et mis à part quelques réponses de mecs ou de femmes vénales, aucune ne me permettait d’espérer ce qui allait se produire…

Un mail dans ma boite avec comme intitulé : je suis intéressée
« Bonjour, je m’appelle Sophie, j’ai 39 ans, couleur ébène, petite, plutôt jolie et depuis longtemps intéressée par le voyeurisme sans pour autant être passée à l’acte, votre annonce a attiré mon attention et j’aimerais quelques informations complémentaires, vous indiquez comme région Bruxelles, pourriez vous être un peu plus précis et m’envoyer aussi une photo de vous et de ce que vous me proposer d’observer »

J’étais, à la lecture de ce mail, plutôt excité et stressé ; n’était ce pas trop beau pour être vrai ? A quoi ressemblait elle ? Maintenant que j’étais face à une opportunité, allais je oser passer à l’acte ? Et si c’était une tentative d’arnaque ? Et si … Et si…

Nouveau mail :
« Excuse moi, je te demande une photo mais je n’ai même pas envoyé la mienne, j’espère que je te plais… »

Bien entendu qu’elle me plaisait, elle ne faisait pas tout à fait son âge, 1m60 maximum, environ 50 kilos, la taille fine, les fesses rebondies moulées dans un jean tout ce qu’il y a de plus classique, un pull rose mettant en valeur une poitrine prometteuse, une délicieuse couleur chocolat, une bouche pulpeuse et des yeux laissant deviner une pointe de malice, impossible de ne pas réagir positivement, en plus elle prenait les devants.

Je répondais en envoyant une photo de moi, visage un peu flouté et photo de basse qualité ne permettant pas de zoomer de manière importante sans perte (juste au cas ou, l’arnaque…), et également de mon sexe en érection, gland flouté (un peu d’humour) en lui écrivant que j’espérais que ce qu’elle voyait lui donnerait envie de venir plus près l’observer en direct,

Sa réponse fut positive, avec une nouvelle photo sous laquelle on pouvait lire la légende « aimes tu mes seins ? »
Comment ne pas les aimer, cette couleur chocolat, ce grain de peau, une fermeté naturelle malgré ses presque 40 ans, des tétons arrogants et plutôt appétissants, des aréoles larges et foncées, un délice visuel.

Pour seule réponse elle reçut une photo de mon membre enserré dans ma main, les veines apparentes, le gland brillant tant il était gonflé par l’excitation.
« cette photo répond t’elle à ta question ? »

Réponse de Sophie : « Mmmmmh oui tout à fait, quand et où nous rencontrons nous ? Pour ma part je peux me libérer les mardi après midi »

Après quelques échanges de mails une rencontre fut prévue le mardi suivant à 13h30 dans le Bois de la Cambre de Bruxelles, le long d’une route fréquenté histoire de nous rassurer mutuellement.
En attendant le jour j, nous avons pas mal dialogué par mail et j’ai pu découvrir que le reste de son corps n’avait rien à envier à son visage ou ses seins, elle n’était pas mannequin, pas parfaite, mais suffisamment sexy pour faire naître le désir chez la plupart des hommes.

Le jour était arrivé, j’étais arrivé au lieu de rendez vous 20 bonnes minutes avant et me caressait l’entrejambe discrètement en regardant des vidéos exhib sur ce site. J’avais déjà un bon début d’érection et l’entretenais en attendant Sophie. Mais je ne sortais pas encore mon sexe de mon bermuda histoire de ne pas risquer de me faire surprendre par une personne non prévue, il y avait pas mal de passage de coureurs et voitures.

Mail de Sophie « J’arrive dans deux minutes, c’est quoi ta voiture ? Comment je fais pour te reconnaître ? On commence le scénario tout de suite ? »

« Voiture grise de marque ….., je t’attends et oui si tu es partante on commence de suite »

environ une minute plus tard « je vois la voiture et j’arrive, prépare toi bien »

Je regardais dans le rétro et je la voyais arriver à pied, a environ 50 mètres, elle ressemblait bien aux photos que j’avais reçu, mon sexe se mit immédiatement à palpiter d’excitation dans ma main, elle était habillée de manière plutôt classique, d’après ce que je pouvais voir en la regardant approcher, petites chaussures de sport blanches, jean, manteau en laine grise, écharpe rose (je me disais alors qu’elle devait aimer cette couleur et qu’elle lui allait d’ailleurs plutôt bien), bonnet gris. Vu la saison je trouvais qu’elle était un peu trop habillée mais peut être était elle frileuse.

Elle n’était plus qu’à quelques mètres et elle ralentit un peu son rythme de marche, tout comme ma main ralentissait sur mon membre, montant puis descendant bien jusqu’à la base du membre, écrasant un peu mes testicules lourds au passage, la peau du scrotum, détendue pas la chaleur leur permettant de s’écarter de mon sexe sous la pression de la main.

Mon cœur battait la chamade dans mon thorax, l’excitation était à son comble et mon gland était d’un rouge profond tant il était gorgé de sang. Elle joua le jeu à la perfection, l’expression sur son visage lorsqu’elle simula me surprendre et son expression de femme choquée aurait pu me faire jouir sur place si je n’avais fortement serré la base de mon sexe dans ma main.
Sa main devant sa bouche, ses yeux exorbités, son expression d’écœurement l’espace d’un instant, elle jouait son rôle à merveille. Elle détourna le regard puis accéléra le pas pour continuer sa route, trois mètre, elle se retourna une première fois en me fusillant du regard puis continua, 7 mètres, elle ralenti et se retourna encore en faisant mine de me juger comme pervers (c’est un peu le cas d’ailleurs), encore quelques pas et elle s’arrêtait enfin…

Son regard me fixait, je le soutenais et recommençait à me masturber lentement, mon scénario pervers se déroulant à merveille. Elle commença à avancer en hésitant, regardant derrière elle, puis autour, je baissais lentement la vitre de la voiture, elle s’arrêta à deux mètres de la vitre, son regard cherchant mon sexe, elle se mit sur la pointe des pieds pour mieux voir.

« Si tu veux mieux voir, approche toi, un peu »
ma voix lorsque je sorti ces mots n’aurait pas pu être plus libidineuse

« Vous… devriez avoir honte… sale.. pervers »

« oui, en effet je le suis mais je l’assume, en même temps… vous êtes ici et me regardez alors que vous auriez pu continuer, cela doit donc vous plaire un peu, du moins j’ose l’espérer »

« mgnnnff… je … dois l’avouer. C’est ma première fois et malgré le choc… ça me fait ressentir quelque chose… mais je devrais vous dénoncer à la police »

«Je serais alors en très mauvaise posture en effet, mais je pense que si c’était votre intention, ce serait déjà fait »

Durant ce dialogue ma main n’avait cessé de coulisser sur mon sexe tendu par l’excitation et son regard à elle allait du mien à mon sexe
Après avoir à nouveau regardé autour d’elle pour s’assurer de l’absence de témoin, elle fit un premier pas vers moi, de cette façon elle pouvait voir mon sexe du gland jusqu’au couilles sans devoir se mettre sur la pointe des pieds.
Je baissais alors totalement la vitre

« j’espère que vous allez rester, vous êtes très belle »

« je ne sais pas… quelqu’un pourrait nous voir et je n’ai pas envie d’être surprise, je suis mariée et ne suis pas du genre à … »

un blanc

« …regarder un autre homme se branler devant vous »

« oui »

« si vous montez, ce sera plus discret, mais je ne vous oblige en rien, votre présence seule et votre regard à la fois craintif et malicieux pourraient suffire à me faire jouir »

« … et si je partais ? Vous seriez bien frustré j’en suis sure »

« En effet, que puis je faire pour que vous restiez ? »

« Vous … branler plus vite »

« Vos désirs sont des ordres madame »

« Mmmmmmh, j’aime ces mots »

je commençais alors à me caresser plus rapidement, en massant mes testicules de l’autre main, tout en continuant à proposer à Sophie de monter…

Elle jeta des regards tout autour d’elle puis me regardant en souriant

« j’ai toujours rêvé de faire ça »

elle déboutonna rapidement son manteau et l’ouvrant d’un coup, m’exhiba sa jolie poitrine, sous l’effet de la surprise je ne pu me retenir et gémit en jouissant plusieurs jets qui zébrèrent mon t-shirt noir sous le regard mi amusé mi fasciné de Sophie…

« ho ben c’est malin, moi qui comptait monter dans la voiture… tu vas pouvoir te changer »

A moitié assommé par la jouissance je lui répondis que je n’avais pas du tout prévu que cela arriverait si vite et que je n’avais que ce t-shirt…

Elle réfléchi un instant et me dit en souriant

« tu vas venir chez moi, on va laver ça et j’espère que tu auras repris un peu de vigueur ? »

La situation venait donc de passer du fantasme abouti au rêve éveillé

La suite très bientôt