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Soumis à ma belle-mère (13)

Soumis à ma belle-mère (13)



Un an de relation amoureuse

Je réalise que cela fait un an que nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre, ma belle-mère bientôt âgée de 72 ans et moi. Nous avons 15 ans d’écart. Cette aventure hors norme me fait fondre à chaque fois que j’y pense. Quelle chance d’avoir osé la prendre dans mes bras un jour où elle était un peu fragile – ce qui lui était exceptionnel.

Je me souviens que j’avais commencé à la regarder comme une femme et non plus comme une belle-mère bien classique plusieurs mois avant que je ne l’enlace pour la 1ère fois. C’était durant des étés, à la plage ou bien dans son petit jardin sur l’arrière de sa maison où elle paraissait en maillot une pièce noir couvrant et tout à fait sage. Mais j’avais vu sa belle silhouette de femme mûre, restée fine et menue, des jambes fermes et bronzées, un ventre plat et des petits seins. La comparant avec sa fille, mon ex-femme, qui avait pris du poids, j’avais eu un regard admiratif.

C’est à ce moment-là que la petite graine du désir avait germé dans mon pauvre cerveau de mâle qui ne désirait plus la fille de cette femme mûre – sa mère – et pour qui je commençais à éprouver une admiration pour son corps, son visage et sa maturité. Je commençais à jouer avec un tabou, une sorte d’i****te : je cherchais progressivement à séduire ma belle-mère sans intention particulière, vouloir lui plaire sans imaginer qu’une relation intime puisse jamais exister.

Petit à petit, mon opinion sur elle s’était transformée. D’une femme un peu revèche, conventionnelle et marquant ses distances, je m’étais mis à apprécier sa force de caractère et son physique de femme encore séduisante. J’en étais tombé progressivement amoureux, m’étonnant moi-même de la tempête intime qui m’avait emportée. Avant que notre relation ne démarre, je pensais déjà souvent à elle, et il m’arrivait même de me masturber en me remémorant ce qu’elle me laissait apercevoir d’elle : ses vêtements, la forme de ses seins, sa bouche fine et fragile, ses chaussures, sa peau ridée, ses bras, ses hanches entourant un ventre plat… . Notre relation était bien tabou : était-ce aussi cela qui nous avait ennivré ? Jamais je n’aurais pu imaginer l’ampleur et la force dévastatrice mais exaltante de nos sentiments.

Belle-maman « marque » son esclave

Un an s’était passé. Je réalisais que tout mon désir lui avait été dédié. Je n’avais pas joui une seule fois sans elle, sans son accord ou sans lui dire. Je lui avais confié toute ma sexualité et elle s’était découverte comme amante sensuelle avide de plaisir.

Hors les nombreuses vidéos salaces que Béatrice avait enregistrées de moi lui démontrant mon désir d’elle, une nouvelle preuve de mon amour venait de se concrétiser.

Elle m’avait demandé de me tatouer quelques mots sur les fesses. Après de bonnes discussions, nous nous étions finalement accordés sur un message sans ambiguité qui désormais était lisible sur mes deux fesses. Ma fesse de gauche indiquait en lettres anglaises
« Esclave amoureux fou… » et celle de droite « …de Béatrice P….(son nom de femme mariée) ».

Nous étions allés ensemble chez le tatoueur qui n’avait pas commenté la promesse d’amour qu’il devait marquer. Pendant qu’il opérait, Béatrice s’était penché vers moi et nous nous étions embrassés longuement sur la bouche. Ainsi, je ne pouvais plus lui échapper pour tenter une aventure nouvelle, sachant qu’aucune femme ne pourrait accepter une telle marque sur le corps de son amant, et surtout si elle savait la relation familiale qui nous unissait. N’importe qui nous pendrait pour des pervers absolus, et cela se comprenait bien.

Ma belle-mère me surprend puis me choque

De retour chez moi, Béatrice qui me remerciait d’avoir accepter cette promesse indélébile me dit qu’elle voulait me faire un cadeau.

– Jean, je sais que tu as un fantasme depuis longtemps et pour te remercier et pour que nous nous appartenions encore plus, je vais te faire plaisir. Tu sais que je n’aime pas cela, mais je veux te montrer combien je suis heureuse avec toi.
– Merci belle-maman, vous m’intriguez. J’aime les surprises surtout venant de vous, et je suis curieux. De quoi s’agit-il ?

Béatrice me demanda de me déshabiller, elle fit de même. Elle était devant moi, debout et toute nue, portant ses lunettes et ses petits bijoux. Elle tordit un peu la bouche, sur le bord de s’esclaffer, prenant mes mains dans les siennes, puis m’entraina dans la salle de bain.

– Vas-y allonge-toi dans le bas de la douche.

Je compris tout de suite. Elle m’avait déjà pissé sur le corps, mais là c’était différent. Elle avait perdu son sourire, et en silence trouva une position accroupie afin que son entrejambe soit au-dessus de mon visage. Elle prit mes cheveux de ses mains et me regardait. Mes mains caressaient ses fesses par en-dessous.

Un long silence, puis elle se mit à uriner par longs jets sur mon visage. C’était chaud et odorant. Les yeux me piquaient et ma libido était fouettée comme jamais. Nous nous regardions lorsque j’ouvris la bouche. Elle fit de même de surprise puis se pinça les lèvres tandis que son urine remplissait ma bouche. Puis ce fut la 1ère gorgée de sa pisse chaude que j’avalais dans un bruit de déglutissement que je ne cherchais pas à cacher. Je lui dis que je l’aimais à la folie. Puis je continuai de boire toute la pisse qu’elle voulut bien me donner ce jour-là. C’était fou : ma belle-mère avait osé pisser sur son gendre et lui laissait boire son champagne. Boire la pisse de ma belle-mère éait un double tabou.

Après une douche rapide, nous fîmes l’amour tendrement avec beaucoup d’affection.

– Jean, je voudrais te demander si tu serais d’accord pour que je m’installe ici.

– Oui belle-maman, vous y êtes déjà, vous venez quand vous voulez.

– Tu n’as pas compris. Je voudrais m’installer plus, vivre plus avec toi. Tu me rends si heureuse. Je suis amoureuse comme jamais, tu sais ce que ça veut dire ? Je veux quitter mon mari, il ne m’amuse plus du tout. Pourquoi ne pourrions-nous pas vivre ensemble ?

– Mais tout le monde le saurait alors, c’est impossible.

– Je sais, j’y ai bien réfléchi. Je suis prête à officialiser notre liaison. Je ne veux plus me cacher. Tu n’aimes plus ma fille depuis longtemps, j’en ai assez de mon mari. Vivons ensemble, on sera heureux.

Le ciel venait de me tomber sur la tête. Je réalisais soudain l’ampleur de notre passion et entrevoyais encore à peine les conséquences évidentes de la demande de ma belle-mère. J’étais glacé, mais cherchais à ne pas le montrer. Nous discutâmes longtemps.

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