Je vais vous parler d’une expérience réelle que j’ai eue dans un club gay de la capitale au mois de janvier dernier. Ayant des penchants forts à la soumission, souvent travestie pour être transformée en bouche à queue pour mes amants exigeants, j’ai décidé de me soumettre de façon totale et devenir une simple bouche à sperme. Je me rends donc dans cet établissement parisien un samedi après-midi, cet établissement est plutôt fréquenté par des hommes mûrs, voire très mûrs. J’aime beaucoup m’occuper du sexe de vieux pervers à gros ventre, poilus, en manque de sexe, dont les bites ont du mal à bander – ce qui m’oblige à activer encore plus ma langue et mes lèvres.
Je sonne à l’entrée, et après avoir payé l’entrée, je me dirige vers les vestiaires. Je me déshabille entièrement, devant un papy qui apprécie visiblement le spectacle. Il faut dire que je porte une petite culotte rose en dentelle que j’ai prise à ma femme (qui ignore bien entendu mes penchants de pute soumise).
Une fois nu, je me dirige vers les douches et je lave parfaitement, en écartant de façon ostentatoire mes fesses, afin de bien savonner mon petit cul. Quelques instants passés au sauna, puis dans le jacuzzi, me permettent de frôler quelques cuisses, de caresser une ou deux queues toutes molles. Après m’être séché, je déambule dans le sauna, ma serviette sur les épaules, afin que tous les mecs présents puissent admirer ma petite queue bien rasée.
Après une demi-heure de promenade, pas d’occasions particulières pour prendre en bouche une bite ou lécher une paire de couilles poilues. Je décide donc de passer à la vitesse supérieure. Je remonte à l’étage et ouvre la porte de mon vestiaire. Je sors une cage de chasteté, ainsi qu’une cagoule où seul un trou est ouvert au niveau de la bouche. Cette cagoule rend complètement aveugle, et la seule ouverture est juste assez grande pour l’entrée d’un sexe de mâle. Pour compléter le tout, un joli collier de chienne en cuir rouge, assorti d’un anneau métallique. Je prends ces trois ustensiles et je me rends dans une cabine où je verrouille la porte à clé. Mon cœur commence à s’emballer : le désir de soumission monte, en même temps que l’inquiétude d’être mis au vu de tous à la merci de n’importe quel pervers.
Je mets le collier autour de mon cou, ajusté afin de laisser un peu de jeu entre la courroie et le cou, pour qu’une main puisse se glisser entre. J’insère la cage de chasteté sur mon petit pénis, avec un peu de difficulté, ma queue commençant à gonfler sous le feu de l’excitation et de l’attente. Je positionne le cadenas métallique et je verrouille la cage : ma bite est désormais prisonnière et commence à remplir la cage en plexiglas, provoquant une douleur exquise au niveau de mon sexe.
Je ne peux plus me retenir : j’enfile la cagoule, l’ajuste pour que le trou soit juste au niveau de ma bouche. Je suis complètement aveuglé, je ne perçois qu’avec peine la lumière tamisée. Un moment d’hésitation, puis je me lance : je déverrouille la porte, sans pour autant l’ouvrir. A tâtons, je m’allonge sur le matelas de la cabine, à plat dos, la queue bien visible, les bras le long du corps en signe de total abandon. Mon cœur commence à s’accélérer, mes oreilles, bien que recouvertes par la cagoule, perçoivent de façon aiguë tous les bruits du sauna, comme amplifiés par la privation de ma vue. Cinq bonnes minutes se passent, aucun signe d’ouverture de la porte. Je suis de plus en plus excité, presqu’en panique. Tout à coup, les sons s’amplifient dans la cabine : la porte vient de s’ouvrir. Je me raidis, ma bite repart à l’érection, me donnant une douleur dans le bas-ventre. Je suis complètement en panique, mais je ne bouge pas. Je sens un attouchement sur ma cage de chasteté, je gémis, plus de peur et de surprise que de douleur. La pression de la main s’accentue, je gémis de plaisir et commence à haleter. Puis plus rien. Je pense que l’intrus s’est éclipsé. De nouveau l’attente après la poussée d’adrénaline. La porte à dû rester ouverte, le niveau sonore est plus élevé et j’entends les conversations dans le couloir à côté. Encore une dizaine de minutes passent, enfin je crois, l’angoisse qui me tenaille me donnant une idée complètement fausse du temps qui passe.
Tout à coup, sans prévenir, je sens que l’on verrouille la porte. Quelques instants se passent et je ressens une vive douleur aux testicules : l’inconnu qui vient de rentrer vient de me donner un coup de la paume sur mon sexe. Je crie un peu.
« Ta gueule, petite pute, ouvre ta bouche !!! »
Je m’exécute. Je sens une bite qui se frotte à mes lèvres. Le sexe me remplit tout doucement la bouche. Le mec commence à s’activer dans ma gorge, par petits coups répétés. Sa queue est un peu molle, pas très grosse, mais commence à durcir et enfler sous les efforts de succion que je lui prodigue. Le rythme s’accélère, progressivement…
« Tu aimes ça, sac à bite, tu aimes ma queue, tu l’aimes, hein, ma pute… »
Ma bouche étant pleine et bien pleine, je ne peux pas vraiment répondre. Il retire son sexe et me fais lécher les couilles, que je sens très poilues. Ma langue passe de sa hampe à son gland, puis revient vers ses couilles. Je l’entends gémir, sa respiration s’accélère, ses propos deviennent hachés.
« tu vas recevoir mon jus, salope ! »
Il n’a pas le temps d’aller plus loin. Je sens le goût âcre de son jus sur ma langue, et mon visage mouillé de sperme à travers le lycra de la cagoule.
Tout de suite après, j’entends le verrou de la porte qui s’ouvre, me laissant seul, mon visage barbouillé de foutre gluant, la langue pleine de sperme que j’avale avec délectation. La tension retombe, je suis tout excité, mais mon sexe encagé ne peut pas grossir ni jouir.
Après cette première expérience, et encore désireux de connaître d’autres humiliations, je choisi de prolonger la séance en me remettant dans la position allongée sur le dos. Bien sûr, je me garde bien de nettoyer les traces de sperme sur mon visage encagoulé.
J’entends un homme qui se rapproche, une main caresse mes jambes et remonte vers mon sexe. Puis, plus rien. Cinq bonnes minutes passent. Et la même situation se renouvelle : fermeture de la porte, cliquetis du verrou et soudainement douleur au téton droit cette fois-ci.
« C’était donc vrai : un de mes amis avec qui je visite le sauna m’a dit qu’il y avait un soumis dans cette cabine. Ça tombe bien, j’aime bien m’occuper d’un mec à mes ordres ! »
La voix est ferme, autoritaire, mais posée, inspirant – autant que faire se peut dans ma situation d’aveugle – une certaine confiance.
Je réponds « Comme vous voulez, je suis à votre disposition. »
Une douleur me traverse l’autre téton, cruellement pincé et tordu. Je m’agite en gémissant sur le matelas.
« Tu dois m’appeler Maître ! »
La leçon est vite apprise :
« Oui Maître !, A vos ordres Maître »
« Debout, salope ! »
Je m’exécute, un peu angoissé par ce qui m’attend.
« Je sais être très sévère, très dur avec mes soumis, mais afin de bien contrôler ta domination, je te propose de prononcer un mot qui me demandera de stopper, il s’agit du mot « stop », mais n’en abuse pas trop, je pourrais me lasser et tu en paiera les conséquences. Bien compris, esclave ? »
« Oui Maître !, je suis à votre disposition ! »
La séance commence : Travail des seins, pincement des tétons, étirement et torsion alternée des seins droit et gauche. Je pousse un cri de douleur, tout de suite sanctionné par une tape sur le sexe, La cage de chasteté heurte mes couilles toutes gonflées, m’arrachant un gémissement.
« Allonge toi maintenant, la tête penchée en arrière et ouvre grand ta bouche de salope, »
Je m’allonge, ouvre grand la bouche, Il positionne sa bite au bord de mes lèvre et commence à l’enfourner, petit à petit, je crois que ça va ne jamais s’arrêter. J’ai le fond de la gorge heurté par le gland de mon Maître qui m’encourage :
« Desserre bien les mâchoires, et active ta langue autour de mon gland, oui comme ça beau petit trou à bite… j’aime beaucoup »
Malgré ses encouragements je ne peux me retenir de suffoquer et d’essayer de me dégager de son étreinte. Mais il me maintient parfaitement la tête et je ne peux pas me dégager. Au bout d’un moment interminable, il relâche son emprise. Je me mets à tousser et à baver, ma morve sort de mon nez et macule ma cagoule. Je me sens vraiment réduite à une vulgaire chienne à queue.
Mon Maître décide de me laisse souffler.
« Un petit conseil, tu as intérêt à faire des progrès, si tu ne veux pas en payer le prix. Allez, remets toi en position et lèche moi les testicules ! »
Ils sont poilus, bien gonflés, et je les suce avec délectation. Puis il remet doucement sa bite dans ma gorge. De plus en plus profond.
3Très bien, petite salope, je vois que tu deviens une spécialiste de la gorge profonde ! Continues et ne bouge pas ! Pour te récompenser, je vais en même temps te travailler les seins, et tu as intérêt à ne pas me faire mal à la bite, sinon je serai terrible ! »
Il prendre du bout de ses doigts mes deux tétons simultanément et commence à les malaxer, puis à les étirer, de plus en plus fort et violemment. Par peur des représailles, malgré la douleur, je me garde bien de lui faire mal à la queue, je prolonge la gorge profonde à m’étouffer. Il tire de plus en plus fort sur mes seins. Ce petit jeu a duré une bonne vingtaine de minutes. Il en a profité pour me travailler avec beaucoup de soins et de talent le bout de mes seins, déjà rougis de ses torsions, de tirer sur ma cage de chasteté et sur mes testicules. Après un long moment, il retire enfin sa bite de ma bouche et m’ordonne de me mettre debout.
« Debout, salope, et les mains sur la tête. Tu es un bon petit esclave, bien obéissant et bien soumis, j’aime ! Tu es une belle salope, j’ai passé un très bon moment avec toi, et toi, tu as aimé ?
Oui Maître, et je vous remercie de vos égards.
– Allez, on fait une pause : je t’offre à boire au bar du sauna. Enlève ta cagoule afin que je vois à quoi tu ressemble. »
La séance est finie, je suis perclus de douleurs, ma queue est congestionnée, mes seins ultra sensibles. J’enlève ma cagoule, et je découvre mon tortionnaire : un bel homme d’une bonne soixantaine d’année, aux cheveux gris, plutôt très bien conservé.
« Allez, on monte à l’étage. Par contre, tu gardes ta cage de chasteté et ton collier de chienne, afin que chacun puisse voir que tu es ma petite chose. »
Je prends ma cagoule et ma serviette, il me pousse à l’extérieur de la cabine et je me retrouve sous le regard goguenard de tous les mecs présents au sauna. Je dois être rouge de confusion, mais cela m’excite au plus au point. Nous nous asseyons tranquillement au bar, ma queue est bien visible par tout le monde, petite chose enfermée dans une cage de plexiglas. Nous avons papoté pendant de longs moments ensuite. Dommage il retournait en province le lendemain…
Ajouter un commentaire