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Steven le minet à loper

Steven le minet à loper



Le minet m’attendais sagement devant la porte comme je le lui avais demandé. en garant la voiture j’enprofitais pour le mater. De loin, je pouvais voir les petites bosses de ses fesses et sa silouhette fine. « Hum, je sens que je vais me régaler ce soir », me dis-je, en me massant le paquet par reflexe. « Un bon petit cul comme je les aimes, en plus il a l’air mignon ce qui ne gâche rien. » Je sentais mon sexe gonfler à l’intérieur de mon jeans rien qu’en l’apercevant. Je sortis de la voiture, et me dirigeait vers la porte. Je ne lâchais pas ses fesses du regard derreire mes lunettes de soleil; Je finis par arriver derriere lui.
-« Bonjour. Tu dois être Steven c’est ça?
-Bonjour euh oui… c’est moi Steven et vous devez être… le maître » ajouta-t’il à voix basse en baissant à demi les yeux.
Je le toisais de toute ma taille, lentement, méticuleusement, de bas en haut pour prolonger son malaise. Je passais juste à côté de lui en le frolant et mis la clé dans la serrure.
-« Je sens que l’on va bien s’amuser, n’est-ce pas? » ajoutais-je en me retournant. Il balbutia un faible : »oui » en rougissant légèrement. Oui décidément c’était presque trop facile, je sentais son poul s’accélérer, et l’excitation monter en lui en fortes bouffées incontrôlables. Je poussais la porte en me plaçant de côté dans l’embrasure.
-« Entre! » lui dis-je d’une voix ferme.
Il entra sans rien dire et dû passer juste devant moi à me froler. Ma main jaillit brusquement pour venir lui claquer les fesses sur le jeans.
-« Plus vite! »
La fessée soudaine le fît bondir de surprise et il accéléra le pas, ne pouvant s’empêcher de faire rouler son derrière dévoilant ainsi sa nature de soumis. Je fermai la porte et fis tourner le vérou en le lâchant l’entendre claquer. Le mient sursauta. Je ne lui laissai pas le temps de réagir :
-« Allez face contre le mur! Bras et jambes écartées! Il est l’heure de la fouille. »

Le minet s’exécuta sans un mot. Je me rapprochai de lui par derrière, lui donnant un peit coup de pied sur la cheville pour bien lui faire ouvrir les jambes. Je commençai à le fouiller méticuleusement, mes grandes mains passant sur son corps fin. Je lui envoyai une tape derreire la tête.

-« Enlève ta veste de survet! »

Je lui laissai à peine le temps de la dézipper que déjà je l’empoignai et la tira fermenent vers l’arrière pour lui ôter. Il ne portait qu’un débardeur rouge orangé dessous. Sachant que pour réussir une bonne soumission, il ne fallait pas lui laisser le temps de gamberger, je vins aussitôt le plaquer au mur avec mon corps, lui plantant mon paquet gonflé sur la raie. Je sentais la chaleur de son dos contre mon torse et je plaçai ma bouche au niveau de son oreille. Il gémit. Je tendis ma langue en pointe et commençai à lui lécher l’oreille, mon bassin frottant de plus en plus suggestivement contre son petit cul ferme.

-« Alors petite fiotte, tu es venu prendre une leçon de ton maître pas vrai? Hum! Quand j’en aurais fini avec toi tu sera un bon petit esclave docile, je te le garantis. » je lui murmurai ces mots à voix basse directement dans l’oreille. Je sentis des frissons hérisser son corps.
– » Hé bien quoi tu ne dis rien? » lui dis-je ne mordillant le lobe de son oreille droite.
-« Oui Maître, je… je … ferais tout ce qu’il vous plaira »
-« Oui, c’est ce que j’aime entendre! »

Je me décollai de son corps en tendant le bras. Ma main vint se refermer sur ton cou pour l’attirer à moi. Je l’embraissai d’un gros baiser sonore sur ses lèvres à demi closes, et le poussai devant moi par le cou. Les yeux rivés sur ses fesses, je le conduisis jusqu’au salon. Je le plantai au bord de la table basse devant le canapé, et me laissai tomber sur les coussin. Je saisi la bouteille de rhum sur la table et m’en servi un verre. Hum la première gorgée entraîna immédiatement le relâchement de mon corps en laissant un goùt chaud et sucré dans ma bouche. Je relevai la tête vers le minet visiblement mal à l’aise. Je fis un claquement de doigt.

-« Allez baisse ton pantalon, la fiotte! »

L’insulte le fit rougir. Je le fixai intensément des yeux. Il tergiversa un peu en balançant son corps d’un pieds sur l’autre, puis, finalement baissa les yeux et degraffa maladroitement la ceinture de son jeans. Je siroptais le rhum en le faisant lentement tournoyer dans le verre afin d’en capter tous les arômes.

-« Continue baisse ton jeans! Montre moi ce que tu porte dessous! »

Steven tergiversa à nouveau? Je vis sa bouche s’arrondir pour protester et ne lui en laissai pas le temps. Je me redressai brusquement sur le bord du canapé.

-« Quoi tu veux dire quelque chose? Tu veux jouer au rebelle peut-être » lui lâchai-je d’un ton sec. « Obéis, sinon je te promets que tu le sentiras passer » le ménaçai-je.

Il tenta vainement de soutenir mon regard, mais au bout d’une poignée de seconde sa nature de soumis repris le dessus et il baissa les yeux.

-« Baisse ton froc de minet! »

il commença à dégraffer sa braguette comme à taton, faisant sauter les boutons un par un. Je repris position au fond du canapé, le regardant faire. Il finis par ouvrir son jeans, et en ondulant le fit glisser le long de ses cuisses fines faisant apparaître un Jockstrap rose à large ceinture. Parvenu à mi-cuisse, je le stopai de la main.

« Stop! Allez ramène toi par là que je te vois de plus prêt! »

Je le regardai avancer vers moi maladroitement, le jeans emprisonnant ses cuises et gênant le mouvement. Je me redressai, et d’une traite je fini le reste de rhum. Je reposai le verre et d’un geste brusque j’attrappai le jeans et le tirai violement vers moi. Cela le fit trébucher Steven qui me tomba dans les bras. je profitai immédiatement de la situation pour plaquer une main ferme sur ses fesses dénudées par la jockstrap. Il gémit : « huuu ». Ma main libre vint le saisir par les cheveux et le forcer à me faire face lui arrachant un nouveau gémissement.

-« Dis-moi c’est un cri de femelle que j’ai entendu? Pas vrai la fiotte! » Ma main palpait son cul, le bout de mes doigt parcourant le long de sa raie.

-« Oui… Monsieur » balbutia-t’il, à la fois effrayé mais aussi de plus en plus excité par la séance. Je hochai la tête en direction de son pubis :

-« Et ça? Qu’est-ce que c’est?

– C’est un jockstrap monsieur. Vous m’avez demandé de m’habiller sexy, vous vous souvenez? » repondit’il apeuré.

– Et c’est ça que tu appelles sexy, petite pute! Moi j’appelle ça des souvêtements de petite chienne qui veulent se faire enculer par des grosses queues de mâle! Je me trompe?!

– Nooo… non Monsieur », finit’il par articuler lamentablement. Je le coupai aussitôt.

– Maître! Appelle moi Maître, petite salope de merde!

– Oui Maître, ajouta-t’il au bord des larmes.

Je le pris par les épaules et le redressai sans ménagement. Je commençai à passer le dos de la main sur la bosse du jock qui frémit sous la caresse. Je passai deux doigts dans l’élastique le tirant vers moi.

– Alors qu’est-ce que tu caches la dessous ma fiotte?

Puis je lachai l’élastique qui vint claquer sur le ventre de Steven. Il gémit. Je recommençai plusieurs fois, le faisant claquer de plus en plus fort, un sourire cruel aux lèvres.

– Hein petite pute! Qu’est-ce que tu as entre les jambes?

Je jouai ainsi de son humiliation, tout en sentant qu’il commençait à y trouver une certaine forme de jouissance. D’ailleurs le tissus du jockstrap révélait un tâche de plus en plus humide et large juste sous l’elastique. Je frottais le bout de tissus entre le pouce et l’index en redressant la tête pour voir la réaction de Steven.

-Oh mais dites donc, mais c’est qu’elle mouille comme une petite pucelle. Tu es tout excité d’être le jouet d’un mâle pas vrai petite trainée? Steven gloussa sans répondre.

J’attrappai l’elastique et le baissai d’un coup dévoilant un petit sexe dur et dressé. Les boules et le pubis parfaitement lisses.

– Oh mais c’est tout mignon ça?

J’effleurai sa jeune queue chaude du bout des doigts.

– Tu dois pas faire jouir beaucoup de gens avec ça dis moi? M’étonne pas que tu cherche à te faire enculer, tu dois pas jouir beaucoup avec un petite queue comme ça.

Je jouai avec sa queue en me moquant de lui. Je voyais sa poitrine se soulever de plus en plus vite. Je finis de lui enlever son jeans, puis d’un claquement de doigt :

– Allez à genou sur la table basse! Les mains derreire la tête!

Je le poussai par les hanches, et il prit naturellement la postion.

-Dresse toi salope!

Il se redressa, son petit sex tendu, l’elastique du jock à mi cuisse et les mains croisées derreire la tête dans un position de parfaite soumission. Je me relevai et me tins debout debout devant lui.

– Regarde moi esclave!

Il redressa timidement les yeux. Toute trace de volonté avait quitté son corps, j’en profitai pour lui porter les coup de grâce.

– « Tu n’as pas honte petite bite? Tu te prends pour un homme mais tu n’es qu’une petite fiotte! Une femelle! Réponds! »
– Oui Maître j’ai honte, lâcha-t’il dans un sanglot, les yeux humides. Je ne suis pas un homme, je… je mérite l’humiliation…

J’en profitai pour ouvrir mon jeans. J’enfonçai mon pousse sous l’élastique du boxer.

– Ouvre ta bouche de pute! Je vais te montrer ce que c’est qu’une vraie bite d’homme!

Il l’ouvrit timidement. Je le pris par les cheveux.

– Mieux que ça, sale chienne!

Il l’ouvrit en grand cette fois. J’avançais directement sur lui, et appuyant avec le pouce je fis jaillir mon gros sexe dure et lui plantai directement dans la gueule. Il gueula, son cri etouffé par ma bite. Je limai aussitôt sa petite gueule de fiotte.

– Tiens prends ça salope! Bouffe ma bite, petite trainée!

Je lui baisai la bouche en force, mon sexe dure coulissant entre ses lèvres, s’enfonçant de temps en temps dans sa gorge, l’etouffant. Des larmes coulaient du coin de ses yeux. je grognai de plaisir sentir monter le jus dans ma queue. Ses gémissents étouffés m’excitaient de plus en plus.

Au dernier moment je sorti mon sex de sa bouche ouverte et défoncée et lui crachai tout mon sperme chaud au visage. De larges jets de jus chaud et épais giclant sur le visage et dans la bouche grande ouverte.

Steven me regarda larmoyant, le visage souillé et murmura d’une petite voix aigue :

« Merci mon Maître »

[A suivre…]

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