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Sylvie, ma belle-sœur(6)

Sylvie, ma belle-sœur(6)



Ni une, ni deux on lui enlève ses menottes. Elle est désormais libre comme l’air. Son corps est couvert du sperme de l’oncle Georges et elle a toujours le gode dans le cul. Georges me pose alors une question :
• Tu m’as dit que tu avais des accessoires.
• Oui j’en ai plein dans cette mallette que j’utilise avec Sophie, sa sœur. Tu veux les voir ?
• Oui je dois reprendre des forces et en attendant j’aimerais m’amuser avec le corps de Sylvie.
• Tu peux tout lui faire, elle ne dira rien. Y’a que son cul qui m’appartient exclusivement. N’est-ce pas Sylvie ?
• Oui, mon oncle tu peux tout me faire si Bernard le dit.
J’étale alors sur la table de la chambre tout un lot de produits divers et variés : des godes de différentes tailles et de différentes formes, des boules de geishas, des plugs, des pinces et des étaux à seins, des pinces à clito, une pompe à vide et même un fouet que je n’ai jamais utilisé n’en ayant jamais eu l’occasion. Peut-être un jour avec Sylvie mais dans un endroit plus discret pour qu’elle puisse crier à loisir.
• Alors qu’est-ce qui vous ferait plaisir d’utiliser en premier sur elle ?
Son regard de vieux pervers s’anime alors et je vois Sylvie, malgré son accord, blêmir car elle ne sait pas à quelle sauce elle va être mangée vu les outils que j’ai déballés devant ses yeux.
• Je trouve qu’elle a de très beaux seins qui demandent à être un peu travaillés.
• Je pense que c’est une excellente idée. Compressées dans des étaux avec des pinces sur les tétons par exemple je pense qu’on doit arriver à la faire jouir rapidement vu sa soumission. Elle a déjà un gode vibrant dans le cul on pourrait en plus la pénétrer doublement dans la chatte avec cette grosse queue qui imite parfaitement le sexe d’un noir. Ca la préparera pour votre gros sexe dès que vous serez en forme à nouveau.
• Allons-y ! J’ai hâte de voir ses réactions.
• Laissez-moi faire oncle Georges j’ai l’expérience et je sais arrêter quand il faut.
Sylvie n’en mène pas large car on va lui faire découvrir d’autres dépravations. Pour être plus à l’aise, je lui demande de se mettre en travers du lit, la tête pendante hors de celui-ci.
Je prends dans la mallette un premier étau à seins. Cet instrument est constitué de deux barrettes métalliques, recouvertes de plastique pour ne pas blesser, dans lesquelles sont enfilées deux tiges filetées terminées par des écrous à oreille qui assureront le serrage. Je desserre les vis au maximum, je fais glisser le sein droit de Sylvie entre les deux barrettes et j’enfonce l’outil en profondeur jusqu’à obtenir une certaine résistance montrant que je suis au maximum du possible. Je fais de même pour le sein gauche. Je demande à Georges de me rejoindre pour commencer à serrer les vis de concert afin que les deux seins soient comprimés en même temps. Il en profite pour passer son sexe sur le visage de Sylvie. Nous commençons le serrage régulier des écrous à oreille. Les seins de Sylvie bleuissent légèrement et ressemblent à des ballons de baudruche mal gonflé. Je décide d’arrêter là car Sylvie dit qu’elle a mal et je ne veux pas abuser pour cette première séance. Je prends des pinces à seins que j’installe sur chacun de ses tétons que j’ai au préalable étirés. A chaque pose, Sylvie pousse un cri de douleur, puis gémit en permanence une fois habituée.
Je vais tâter son sexe, il est trempé. Elle commence à jouir. J’en fais part à l’oncle Georges et lui dit qu’il peut lui enfoncer le gros dildo dans la chatte. Elle est prête. Il a beaucoup de mal pour le faire entrer car elle est très étroite et celui qui est situé dans son anus ne facilite pas l’intromission. Il force, elle crie, mais au fur et à mesure il gagne du terrain et arrive à le faire entrer jusqu’à la garde. C’est fou comme le vagin d’une femme peut être élastique… Le visage de Sylvie est couvert de sueur.
• Je crois qu’elle est maintenant apte à recevoir mon gros sexe.
• Je crois aussi. Tu en penses quoi Sylvie ?
• …
J’enclenche la télécommande et les deux godes se mettent à vibrer au maximum. Sylvie est agitée par des soubresauts qui annoncent une jouissance proche.
• Allez oncle Georges, profitez en elle est en bonne position pour lui faire une « gorge profonde ». Jouissez dans sa bouche elle n’attend que ça !
Oncle Georges bande comme un âne et lui enfourne son énorme sexe dans la gorge. Il atteint son larynx alors qu’il reste au moins dix centimètres au dehors. Sylvie s’étouffe, il ressort un peu pour la laisser respirer et tire sur les deux pinces serrés sur ses tétons. Sylvie crie mais c’est de bonheur car elle est à deux doigts de l’orgasme sous l’action combinée des deux godemichets, de la bite dans sa bouche et de l’étirement de ses seins. C’est ce moment que choisit Georges pour expulser sa semence en enfonçant son sexe carrément dans le larynx de Sylvie qui sous ce dernier assaut est agitée par une jouissance qu’elle n’avait jamais eu jusqu’à présent. C’est ce qu’elle m’avouera plus tard. Elle étouffe mais il a l’élégance de se retirer un peu pour la laisser respirer. Elle en profite pour tout avaler.
• Tu as aimé ?
• Oncle Georges est un vieux vicieux mais j’ai adoré tout ce qu’il m’a fait. Je suis une salope et il m’a traitée comme telle. Il est moche, sale, dépravé mais j’ai apprécié toutes les cochonneries qu’il m’a fait faire et les sévices qu’il m’a fait subir, plus particulièrement le travail que vous avez effectué sur mes seins.
• Tu veux qu’il te défonce avec sa matraque ?
• Oui.
• Alors je sens que tu vas déguster car il est en forme pour son âge et tu n’es pas prête de l’oublier !
Je la débarrasse de tous les accessoires y compris le gode dans son cul et la laisse se réinstaller normalement sur le lit.
Quelques minutes de repos pour elle le temps qu’oncle Georges reprenne de la vigueur. Il s’allonge auprès d’elle sur le côté et commence à lui caresser les seins.
• Hum ils sont bien gros et bien fermes comme je les aime. Tes tétons sont durs et je vais te faire jouir uniquement en les étirant et en les pressant. Tu vas voir comme c’est bon.
• Oh oui tonton, continue comme ça ! C’est trop bon ! Encore ! Encore ! Ouiiiii je jouis !!!!
• Allez ! Embrasse-moi pour me remercier !
Il se penche sur elle et approche sa bouche à l’haleine empuantie pour lui rouler une pelle. Sylvie détourne la tête mais il la lui maintient fermement et force ses lèvres pour faire entrer sa langue. Sylvie abdique et répond à son baiser.
• On sent le goût de mon sperme dans ta bouche. J’espère que tu as apprécié ?
• …
• Bon passons aux choses sérieuses ! Suce-moi pour me faire bander à nouveau !
Sylvie se penche sur lui et entame, pour le plus grand bonheur d’oncle Georges, une fellation divine. Elle lui lèche les bourses, la raie du cul, remonte le long de sa tige qui durcit de plus en plus vu le traitement qu’elle lui fait subir, avale son gland énorme. Il est désormais raide comme un passe-lacet !
Oncle Georges la fait basculer, lui relève les jambes qu’il écarte au maximum, se met au-dessus d’elle et frotte sa bite contre son clitoris. Puis, s’aidant de sa main il commence son introduction. Sylvie souffle, elle a peur, mais finalement se détend. La lente progression continue. Il se retire un peu, puis rentre à nouveau un peu plus loin gagnant du terrain à chaque poussée. Il est dur comme du bois mais après dix minutes d’efforts constants il crie :
• Ça y est tu as tout avalé ! Tu me sens au fond de ta matrice ?
• Oh oui vous me remplissez bien ! Je ne pensais pas pouvoir absorber un tel engin.
• Ce n’est pas fini ! Que la fête commence !
Oncle Georges commence alors un pilonnage en règle de la pauvre Sylvie. Après quelques allers et retours rapides qui la font déjà crier, Il fait sortir entièrement sa bite et la replonge brutalement au fond de son vagin. Ca déclenche un premier orgasme de sa nièce. Mais il ne s’arrête pas là. Pendant plus d’une demi-heure il continue ce processus brutal sans baisser le rythme. Il prend son temps et profite de Sylvie qui bave de bonheur, crie qu’elle n’en peut plus mais qu’elle en veut encore, hurle son plaisir…
Il décide alors de changer de position et de la prendre en levrette. Il empoigne ses seins, se lève à moitié et reprend son travail. Sylvie n’en peut plus et s’écroule à plat ventre sur le lit, il continue et ne débande pas. Il ne veut pas finir, il maitrise son éjaculation. Il ressort son sexe puis s’allonge sur le dos et lui jette un ordre :
• Viens t’empaler sur ma bite !
Sylvie s’exécute, se met à cheval sur lui, puis fait pénétrer à nouveau l’énorme matraque dans sa chatte.
• Allez ! Fais toi jouir toute seule rien qu’en contactant ton vagin.
Elle entame le travail demandé, ne tarde pas à jouir une énième fois et s’écroule sur la poitrine de son oncle qui n’a toujours pas fini…
Celui-ci me fait signe alors et m’indique avec son index le cul de Sylvie. J’ai compris ! Il sait que son anus m’appartient et veut qu’on pratique une double pénétration sur elle.
Je ne me fais pas prier une seule seconde car depuis le début de la séance avec son oncle je n’ai pas pu me libérer de mon envie de la baiser. J’ai le sexe en feu. C’est à mon tour de jouir !
Je me mets sur le lit, pose mon gland sur la rondelle de Sylvie qui crie qu’elle ne veut pas, et d’un seul coup d’un seul je l’encule profondément. Elle a maintenant deux sexes en elle et c’est son premier sandwich. De concert, nous alternons les entrées et sorties de son anus et de son con, les deux à la fois, puis l’un, puis l’autre. Sylvie gémit, dit que c’est trop bon, qu’elle n’aurait jamais voulu rater ça. Nous sommes inépuisables. Nous accélérons le rythme et, sans nous concerter, nous poussons tous les trois un ultime rugissement qui s’achève pour Sylvie par un flot de mouille qui s’écoule de sa chatte et pour nous par des éjaculations successives dans son fondement et son vagin.
Nous sortons d’elle et elle vient nous nettoyer à tour de rôle.
La séance est terminée. Nous sommes tous épuisés et oncle Georges est heureux d’avoir baisé sa nièce. Il va faire des économies pour pouvoir continuer ce genre de rencontres. Il a d’autres idées pour Sylvie.
Je ramène Sylvie chez ses parents et je lui dis que je suis fier d’elle et que je lui prépare d’autres expériences.
Elle m’embrasse goulûment et me dis :
• Je suis à toi quoi que tu me fasses faire !

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