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Samia – 19 Jeux d’eau

Samia – 19  Jeux d’eau



Je me plais bien ici… On va rester, mais je ne veux plus rien avoir à faire avec la bande des « Flots bleus » ! Ce soir, on va dans un bon restaurant et demain, on avisera. Depuis mon arrivée, j’ai envie d’un loup grillé au fenouil. Maintenant, je peux me le payer. Pour Julien, ce sera des raviolis ou une pizza, ça lui apprendra à sucer la bite des hommes sans que je lui en donne l’ordre. Moi, injuste ? Bah… oui.
Première chose, je ne suis plus fraîche du tout ! On s’arrête le long de la plage, de l’autre côté du village. On va se laver dans la mer… L’eau froide me fait toujours le même effet : je fais pipi ! Toutes les femmes font ça dès qu’elles ont les fesses dans l’eau froide.
Je suis fatiguée mais j’ai envie de me changer les idées. On marche le long de la mer sur la bande de sable dur que les vagues viennent lécher. Pour une fois, j’ai envie de donner une explication à Julien :
— Ton cul est à moi, je déciderai quand il faudra te dépuceler.
— Oui Samia.
— Tu as aimé le sucer ce mec ?
— Euh…
— Réponds !
— J’aurais préféré lécher celui qui t’a pénétrée…
Voilà… ça, c’est normal !
Je sens les regards des hommes sur moi. J’aime ça. Quand je suis bien sèche, on laisse les vélos attachés et on part dans le village. Je sais qu’il y a un très bon restaurant un peu plus loin. Je vais lire la carte. Un couple s’apprête à entrer dans le restaurant. Lui a l’air d’un Lord anglais : grand, mince, une cinquantaine, d’années, une belle chevelure poivre et sel et une moustache assortie. Il a un bermuda et un polo. Elle a la quarantaine, plutôt forte, rousse et séduisante. Elle est vêtue de voiles transparents. Le Lord me dit :
— Je vous conseille le loup grillé, c’est un délice.
Oh putain, j’en veux un ! Je prends la tête de la petite marchande d’allumettes qui attend vainement un client et il neige, en plus. Je réponds :
— Je n’en ai jamais mangé et hélas, c’est au-dessus de nos moyens.
Je lui montre ma main et j’ajoute :
— Regardez, je me suis brûlé la main quand toutes mes allumettes ont pris feu.
Il reste un moment interloqué et puis il éclate de rire. Quand il est calmé, il me dit :
— J’ai compris : tu es dans le conte d’Andersen « La petite marchande d’allumettes »… Tu t’appelles comment ?
— Samia et mon frère, Julien.
— Vous êtes en vacances ?
— Oui, mais on travaille aussi, je suis serveuse et mon frère vend des glaces.
Il regarde mon tatouage et demande :
— Tu es danseuse ?
— On est des Roms !
Là, je l’intéresse ! Il flashe sur les filles roms ? Il me dit :
— Je vous invite tous les deux. Pour nos amis, tu dis comme moi.
La femme ressort du restaurant et lui dit :
— Tu viens, Jibi ?
Jibi ? Alors, soit il s’appelle Jean-Baptiste, soit c’est un amateur de whisky. Sans doute les deux ! Il répond :
— Quel hasard, c’est la petite manucure qui s’occupe de moi chez le coiffeur ! Elle est en vacances avec son frère. Je les ai invités à manger avec nous.
— Les Dupont-Jourlieu vont être surpris de manger avec ta manucure.
Jibi se met à rire, il est cool ! Je m’adresse à la femme :
— On ne veut pas s’imposer, d’autant plus qu’on a pas de vêtements.
Elle me sourit et répond :
— C’est parce que nos amis sont un peu snobs. Pas de problème pour la nudité, on est dans le village naturiste. La nudité te va très bien.
C’est gentil… On entre. Jibi me présente à leurs amis :
— Samia, artiste ongulaire (!) et Julien, son petit frère. Nos amis Léopold et Marie Catherine.
Artiste ongulaire, il est farce, Jibi ! Mais, bon, ça a l’air de convenir aux Dupont-Jourlieu, qui ont l’air d’avoir pas mal picolé. Une jolie serveuse apporte des chaises et ajoute des couverts pour Julien et moi. Elle nous donne aussi des serviettes… pour nous asseoir dessus ! Jibi me dit :
— Je te recommande la poutine, ce sont des alevins de poisson – un délice ! – et ensuite le loup.
— D’accord.
Je salive… On parle un peu, j’explique à quel point c’est valorisant de transformer des ongles en œuvres d’art. Je bois du Sauternes pour la première fois, j’adore ça ! Julien me regarde avec son air suppliant habituel. Je fais un signe de tête, qui signifie « tu peux, exceptionnellement ». Oui, je suis trop bonne avec lui…
La poutine et le loup, j’adore… Je ne parle pas beaucoup, trop occupée à manger et boire.
Comme dessert, il y a un chariot de dessert. Je me goinfre de moelleux au chocolat, avec glace vanille, crème fraîche et coulis de framboise. Sous mes nichons, je vois mon ventre gonfler. Je participe d’autant moins à la conversation que les hommes parlent de l’indice Dow Jones, que je connais très mal, et les femmes d’un nouveau beau professeur de yoga.
Le repas se termine. Les Dupont-Machin prennent congé. On sort et je remercie chaleureusement Jibi : j’ai enfin goûté au loup ! Version poisson, bien sûr. Il me demande :
— Vous venez jouer avec nous ?
Jouer ou plutôt baiser ? Eh oh ! Il est pas marqué « pute » sur mes fesses ! Il ajoute :
— Pour 1000 francs (un peu moins de 200 euros).
— D’accord.
En fait, je crois qu’il est écrit pute sur mes fesses !
On se dirige vers leur hôtel et Cynthia, la femme de Jibi, me prend par la taille en disant :
— Vous êtes charmants tous les deux.
Ah, c’est gentil. Leur hôtel est tout prêt et il est vraiment classe. Le personnel est habillé, je continue à trouver particulièrement excitant d’être nue au milieu de gens habillés. Ils occupent une belle chambre au dernier étage avec une grande terrasse et « vue mer ». Bon, il faut gagner nos 1000 francs… Je dois avouer que suite à l’après-midi au cours de laquelle, je suis passée un court moment du côté obscur, je n’ai plus du tout envie de lécher une chatte ! Jibi nous dit :
— Un peu de champagne, les enfants ?
— Oui, volontiers.
Ce soir, j’ai laissé Julien boire de l’alcool, mais c’est exceptionnel. À partir de demain, régime sec pour lui. Je dis à Jibi :
— Je passe à la salle de bain…
— Non, attends. Tu vois, ma femme et moi, nous sommes des adeptes de l’urinothérapie, donc j’aimerais que tu nous pisses dans la bouche.
Urinothérapie, ça existe, ça ? Je crois plutôt que ce sont des gros vicelards comme tous les gens de la haute société. Jibi et Cynthia qui sont si classe, genre châtelains, polo club, Rotary et autres truc de riches, il faut leur pisser dessus ? Ça me plaît ! Ça compensera mon attitude avec Kriss, je dois oublier ça ! Allez, pfff : oublié !!
Et comment qu’on va leur pisser dessus ! Si on peut faire plaisir tout en se soulageant et en gagnant du fric : c’est le pied. Oui, je suis moins « classe » qu’eux.
Cynthia me dit :
— Voilà ce qu’on aimerait, tu pisses dans la bouche de Jibi et puis dans la mienne. Ensuite ton frère fait la même chose.
— Vous voulez que mon frère participe ? C’est que….
— Combien Jibi t’a-t-il proposé ?
— Mille francs.
— Mille francs de plus avec ton frère, ça va ?
Le prix de la pisse augmente ! On a du fric dans nos vessies !
— D’accord, mais il ne faut pas traîner, ça presse.
— Viens sur la terrasse, ma chérie.
Voilà que je suis devenue sa chérie, est-ce grâce à ma vessie ? On va sur la terrasse, ils se déshabillent et se couchent l’un à côté de l’autre. Jibi m’explique :
— Tu pisses dans ma bouche, mais tu t’arrêtes avant que ce soit fini et tu termines dans la bouche de ma femme.
Je vous donne un truc : si vous avez envie de jouer « douche dorée » ou « champagne tiède » en étant allongé sur le sol, votre partenaire doit tourner le dos à vos pieds pour que le jet arrive bien dans votre bouche. Si votre femme a un patron un peu vicieux, elle doit être au courant. Oui, j’adore parler des femmes de mes lecteurs, mais je vous ferais remarquer que je ne parle ni de leurs mères, ni de leurs sœurs, ni de leurs filles, ni de…
— SAMIA ! Continue !
Oui, oui… Je me place au-dessus de la belle tête aristocratique de Jibi et je m’accroupis de façon à avoir la chatte au-dessus de sa bouche. De la main droite, j’écarte mes grandes lèvres et je pousse. Putain ! Ça m’excite de faire ça. Je pousse et je fais d’abord quelques gouttes, qu’il avale goulûment. Et puis mon jet jaillit vraiment, dru, jaune, et il avale. Comme il doit fermer la bouche pour déglutir, il a de la pisse plein le visage et les cheveux. Cynthia qui est à genoux, me dit :
— Ne m’oublie pas !
Merde, c’est vrai. Je change de pot de chambre ! Je veux dire de bouche et je vais vite l’abreuver. Elle aime ! Je pousse et, bon, ça arrive à toutes les filles, même si elles sont des princesses, je pète un peu. Quand j’ai presque fini, elle me lèche la chatte, elle est assoiffée !
Ça m’a vraiment excitée, leur petit jeu. Deux gadjos qui boivent ma pisse, quel pied ! Je vais faire un article pour « La voix des Roms » et « Tous les chemins mènent aux Roms ». J’imagine le chemin parcouru par le Sauternes et le champagne : ma bouche, mon estomac, mes reins, ma vessie, mon urètre, mon méat et puis leurs bouches.
Je me relève, eux se mettent à genoux. Ils sont là, bouche ouverte comme deux gargouilles de Notre Dame. Si, si, il y a des gargouilles qui ont vraiment l’air d’attendre la pisse d’Esmeralda ! Ou peut-être la pluie…
Esmeralda est d’ailleurs une gitane, comme moi.
À Julien, maintenant. D’accord, il a un tout petit robinet, mais il doit sûrement pisser, lui aussi. Je lui donne une claque sur les fesses en disant :
— Allez, pousse !
Il pousse un petit cri et fait un bond en avant, manquant de peu de mettre sa petite bite dans l’œil de Jibi. Quelle moule ! Oui, mais bon, on ne va y passer des heures, alors aux grands maux les grands remèdes, je lui fais :
— Psssssiiiiiiiii…
Aah ! Un jet de Sauternes devenu urine vient glouglouter dans la bouche de Jibi puis de Cynthia. Ils avalent le plus possible, les goulus !
En résumé, on a bu du Sauternes et du champagne, qui a ensuite été recyclé en pissant dans leurs bouches. La suite est logique, enfin presque, puisque Cynthia nous demande :
— Vous voulez qu’on vous fasse jouir, les enfants ?
Je pourrais discuter pour essayer d’avoir plus, mais je ne suis pas ce genre de fille. Enfin, surtout quand je suis excitée. Et puis, c’est offert de bon cœur ! Julien et moi, on se couche sur les lits de plage et le couple nous lèche. C’est-à-dire, Cynthia me lèche et Jibi suce le petit sexe de Jibi. Son sperme va faire « plouf » dans l’estomac du Lord.
Cynthia lèche très bien ce qui ne m’étonne pas vu ses tendances. Elle me fait jouir et puis elle lèche soigneusement le plan de travail. Julien jouit dans la bouche de Jibi. On dort là….

Fin de la première partie.

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