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-Trois Sœurs.

-Trois Sœurs.



Cette histoire n’est écrite qu’avec des personnages totalement non-consentant. Les scènes qui y sont décrites ne sont que purement imaginaire. Toute ressemblance avec des faits réels ne serait que fortuite. L’histoire est basé sur l’i****te, puis sur le viol, pour les chapitres suivant, si vous n’aimez pas le genre, passez votre chemin, sans être devin, je sais que vous n’aimerez pas cette histoire. Alors autant faire simple, allez dans un autre thème d’histoire plus à votre goût, vous y trouverez des textes fort bien écrit, qui eux vous plairont. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que mon texte vous plaise.

– Allez, papa dit oui!

– Mais Romane, je ne peux pas, je ne vais pas laisser la villa à ta sœur et toi pendant trois jours pour que vous fassiez la fête!

Je m’appelle Paul, j’ai quarante ans. Je suis veuf et papa célibataire de trois adorable jeune fille. Anne, vingt ans, la rousse de la famille. Je suis brun, ma femme était blonde, Anne tient de l’arrière grand-mère de ma défunte femme. Anne est une jeune fille très prude, très sage et très timide. Je ne lui connais pas de petit ami, ni d’amis tout court, que ce soit fille ou garçon. Elle passe son temps libre avec ses sœurs, quand elles sont à la maison, et moi. D’ailleurs, même si depuis trois ans, c’est très souvent, Anne ne sort qu’avec ses deux sœurs et Lindsay la meilleure amie de ma seconde fille. Anne est en deuxième années de médecine, elle étudie beaucoup et ne sort donc jamais seule.

Ses deux sœurs sont complètement à l’opposée d’Anne. Romane dix-huit ans, et Roxane dix-sept ans sont exubérantes et fêtardes. Je ne leurs connais pas de petits amis non plus, mais des tas d’amis, filles ou garçons. Elles sortent beaucoup, mais je ne dis rien, elles rentrent à l’heure imposée, seul le fait qu’elles entraînent Anne me gêne. Mais toutes deux suivent les traces de leur sœur aînées au niveau des bonnes notes. Dans deux semaines Roxane et Romane fêteront leurs anniversaires. Elles sont née le même jour, le dix juillet, à un an d’écart. Le sujet de discussion est d’ailleurs en rapport avec ça. Les deux veulent que je leur laissent la maison pour trois jours. Afin qu’elles organisent une méga-fête pour leur dix-huit et dix-neuf ans. J’ai confiance en mes filles, je sais qu’il n’y aura pas de dérapages, mais je ne peux accepter.

Je regarde donc mes deux dernières.

– Et moi, je vais dormir où? Et Anne?

Je pourrais aller à l’hôtel, j’ai pas mal d’argent. A la mort de leurs mère, j’étais soldat. J’ai démissionné pour ouvrir une société de courtage en bourse. J’ai gagné beaucoup, beaucoup d’argent, j’en ai fais gagner trente fois plus à mes clients. Mais surtout j’ai vendu ma société pour énormément d’argent. Je suis à l’abri, ma famille et moi pour plusieurs générations. Non, ce qui me retient ce n’est pas l’argent. C’est simplement qu’ayant tout consacré à mes filles, sans elles je n’ai rien. Je ne suis rien. J’ai peur d’en être séparé, même pour seulement trois jours.

Là, je comprends que Anne, mon aînée, a tout préparée pour aider ses sœurs.

– Ne t’en fais pas papa, tu ne seras pas seul. Il y a un concert des « Frères Jazzy » le vendredi soir. Ensuite j’ai réservée une villa rien que pour nous deux, pour trois jours. Avec des activités connexe près du lieu isolé où elle se trouve. Comme des massages, un spa et pleins d’autres surprises.

– Quoi?

Je n’en reviens pas, Anne est donc dans le plan. Mon aînée ne perd pas le nord.

– Tu as très bien compris papa. Roxane et Romane sont des jeunes filles que tu as très bien élevée. Tu peux leurs faire confiance. Je sais que tu as peur de les laisser seul trois jours, mais pour une fois lâche-toi un peu et profite!

Je n’en reviens pas que ce soit Anne qui me dise cela. Mais c’est exact, depuis la mort de leur mère, je n’ai eus aucune relation amoureuse à part avec ma main. Il y a bien sur eus aussi, pas mal de relations sexuelles, mais sans lendemain. Pas que je n’en ai pas eus l’occasion, mais mes enfants et ma boîte ont pris tout mon temps, je n’ai eus aucune place pour construire quoique ce soit d’autres. Mais Anne à raison, puis je ne serais pas seul, elle sera là.

– D’accord.

– Voyons papa, tu les connais, tu peux leurs faire confiance… Quoi?

Là, je vois que son laïus est préparé depuis longtemps. Anne ne s’attendait pas à ce que je cède aussi rapidement.

-Tu as bien compris, j’ai dit d’accord. Je vous fais vraiment confiance à toutes les trois…

J’ai regardé à ce moment, Roxane et Romane droit dans les yeux.

– J’espère simplement que vous ne me décevrez pas. Et Lindsay sera autant responsable que vous, je sais pertinemment qu’elle aussi est dans le coup.

En mon fort intérieur, je sais que je le saurais dans moins de deux semaines.

Le temps passe vite. On est déjà le vendredi dix-sept heures. On part avec Anne pour la villa qu’elle a réservée. On a trois heures de routes. J’embrasse mes deux dernières, puis-je leur redonne mes recommandation. Anne me tire par le bras vers la voiture en rigolant. Je suis assez proche de mes filles, aussi l’on discute de tout et de rien pendant tout le voyage. Quand on arrive je me gare dans l’allée de la villa. C’est une grande bâtisse de deux étages, avec piscine. On auras chacun notre chambre. On a mis exactement deux heures trente pour arriver. Sachant qu’il n’y a aucun radar, j’ai dépassé la limitation allègrement. On choisit chacun sa chambre, puis on va se doucher, on a une heure pour se laver et se préparer. On part ensuite au concert, il a lieu dans une salle qui fait aussi bar et boîte de nuit avec plusieurs pistes. On pourra ainsi également boire avant et après le concert, ainsi que danser.

Quand je sors de la douche, je m’habille directement. Je mets un jeans et une chemise blanche, simple mais classe. Anne descend vingt minutes plus tard, je suis époustouflé. Ma fille a coiffée ses longs cheveux roux en queue de cheval. Elle a mis du noir sous les yeux, rendant encore plus magnifique son regard aux yeux verts. Du rouge à lèvre rouge vif détonne avec la blancheur de sa peau, rendant ses lèvres encore plus pulpeuse. Elle a mis une petite robe noire, moulante et décolletée, m’offrant une vue plongeante sur ses seins de belles tailles. Sa robe, très courte moule son cul que je devine ferme, mettant en évidence, ses jambes blanche comme de la porcelaine. La cambrure naturelle de ses reins, augmentant encore la magnificence de son fessier parfait. Je n’ai jamais vue mon enfant habillée aussi sexy. Anne n’aurait pas été ma fille, je l’aurais baisée sur le champs.

– Pourquoi tu me regardes comme cela, papa?

– Tu es magnifique, éblouissante ma puce.

Anne rougit et ne répond rien. Comme d’habitude, elle ne sait pas gérer les compliments. Mon compliment a quand même eut un effet sur Anne. Il l’a rendue joyeuse, elle n’a pas arrêtée de parler durant tout le trajet. A peine arriver, c’est Anne qui a insister pour que l’on prenne d’abord un verre au bar, elle m’a dit que ce soir c’est elle qui invite. Mes filles on de l’argent, je donne mille euros à chacune des plus jeunes chaque mois, et deux mille à Anne. Cette disproportion s’explique par les études que suit Anne. A son âge les deux autres auront pareil. Cela peut vous paraître beaucoup, mais je pourrais donner dix fois plus chaque mois à chacune d’elle, sans que cela n’entame mon gros pécule. On a une demi-heure devant nous. J’ai accepté, ma fille m’a poussé pour que je boive autre chose qu’un coca. J’ai donc pris un whisky-coca, tandis que Anne à pris un cocktail en demandant au barman d’être généreux sur l’alcool, joli pourboire à l’appui. Tandis que je ne suis qu’à la moitié de ma boisson, Anne en a déjà repris un autre. Je lui souris.

– Je ne savais pas que tu buvais autant!

– Ne t’en fais pas papa, je ne bois presque jamais, mais c’est tellement rare que l’on soit de sortie que tout les deux. La dernière fois je devais avoir dix ans. Alors il faut bien fêter cela!

– Fête ma fille, ce soir c’est ta soirée, tu es la capitaine.

– J’ai ta parole papa?

– Tu l’as.

Je n’aurais pas dut lui dire cela, surtout qu’elle sait que je ne reviens jamais sur ma parole. Elle est repartie chercher deux verres, un pour elle et un pour moi. Cette fois, le whisky-coca est plus alcoolisé. Je ne dis rien. On prend nos verres et on monte au balcon pour voir la première partie. C’est un quartet sympa sans être extraordinaire. Anne en profite pour aller chercher deux nouveaux verres. On est redescendu pour le concert des « Frères Jazzy ». C’est moi qui ai fais aimer le jazz à ma fille. Ce fut vraiment excellent, un concert de haute volée.

Une fois finis, retour au bar pour une nouvelle tournée. Anne me prévient qu’ensuite on va danser. La boîte compte plusieurs pistes : Disco, Rock, Slow, Zouk et techno. Pour commencer Anne me guide par la main vers la piste Disco. Cela fais longtemps que je n’ai pas danser, mais je constate avec plaisir que je n’ai pas trop perdu. Je constate avec surprise que ma fille à vraiment le rythme et le mouvement dans la peau. On fait souvent des pauses pour boire un verre. Je dois avoir au moins deux grammes et Anne un gramme de plus. Sans aucun gestes salaces, je fais tourner et danser Anne dans mes bras. Mes mains parcourant chaque endroits accessible de son corps. J’apprécie la douceur et la fermeté de ses muscles, de sa peau. Son petit ami aura vraiment de la chance, je ne dis pas cela parce que c’est ma fille, mais Anne est vraiment la femme parfaite. Canon, superbement bien foutue, sympa, souriante, gentille et droite. Sans oublier prude et timide comme je vous l’ais dis plus tôt. Ma fille danse en faisant glisser ses mains sur mon cul, mon dos, se frottant contre moi. Comme une fille voulant une relation sexuelle. Mais je sais que c’est les danses que nous pratiquons qui veulent ça.

Je réponds à sa façon de danser, comme si je répondais aux avances d’une femme qui me veut. En profitant pour peloter son corps parfait, faisant rire ma fille. Tout les autres danseurs pensent que je suis l’amant de Anne. Ils doivent tout m’envier pour être avec cette fille angélique au corps atomique. Après un énième verre, Anne et moi avons changé de pistes, pour aller danser du zouk. A la deuxième chanson, ma fille colle son bassin contre le mien. C’est à dire ses fesses contre mon sexe. Anne fait onduler son bassin, me faisant bander en frottant son cul contre moi. Je change donc de moi-même de position. Je ne sais pas comment elle fait, mais je me retrouve à danser avec ma fille, une jambe entre ses cuisses. L’alcool aidant, une de mes mains à empalmer le sein gros et ferme de ma fille. Elle ne porte pas de soutiff, et mon geste n’entraîne aucune réaction de rejet de sa part, au contraire, elle se frotte encore plus à ma cuisse. C’est moi qui enlève ma main, après lui avoir peloté le sein de longues secondes, en reprenant mes esprits. Je ne sais pas ce qui me gêne le plus, d’avoir attouché ma fille, ou que cela lui ai vraiment plut. Je me dis qu’il est temps que l’on s’en aille.

Je colle ma bouche à l’oreille de ma fille.

– Il faut que l’on partent!

– De la piste ou de la boîte de nuit?

– Des deux!

– Non, pas encore, viens on danse encore un peu ici. Tu m’as donné ta parole!

Je suis coincé, elle le sait. On retourne boire un verre, puis on reviens sur la piste. Je lui parle de nouveau à l’oreille.

– Va te trouver un jeune garçon de ton âge!

– Non, je veux danser avec toi.

– Comme tu veux.

Je me mets à danser, seul, les bras en l’air. Anne danse un peu seule, puis elle revient se coller à moi. De dos, se trémoussant, frottant ses fesses fermes contre mon sexe, ne se privant pas d’imiter des mouvements à connotations sexuelle. Anne ne peut pas ne pas sentir mon sexe dur contre ses fesses. Elle se retourna vivement, cette fois c’est elle qui me chuchota à l’oreille.

– Tu as raison, rentrons, on continuera de danser à la maison.

– OK. C’est toi la capitaine ce soir.

J’étais content, ce sera différent à la villa. Anne me prit par la taille, elle att**** une de mes mains qu’elle plaque d’elle même contre ses fesses.

– Je tiendrais mieux l’équilibre comme cela!

Mon esprit est encore plus embrumer par l’alcool, je laisse ma main sur son magnifique cul. Avec ce que j’ai bu, je ne me sens pas de conduire. On prends un taxi, j’en prendrais un autre le lendemain pour retourner chercher ma voiture.

Une fois à la maison, Anne se précipite vers le bar, elle sert deux whisky-coca. Je prends le mien que je déguste, tandis que ma fille vide le sien d’un trait. Puis elle s’en ressert aussitôt un autre. Elle titube un peu, mais je constate qu’elle tient bien l’alcool. Beaucoup mieux que moi. Je ne le saurais que plus tard, mais si elle est bien saoul, Anne à pris un médoc qui diminue les effets alcooliques d’un verre. Ma fille se dirige alors vers la chaîne hi-fi du salon. Elle farfouille dans les cd, avant d’en choisir un. Anne à mis de nouveau du Zouk. De nouveau l’on danse, tandis que ma fille se frotte à moi. Je la repousse un peu quand c’est trop hot, mais sans grande conviction. Après tout, ingénue comme ma fille l’est, elle ne doit même pas se rendre compte de ce qu’elle fait.

Puis au bout d’un moment, elle va resservir deux verres. Elle me tend une pilule.

– Tiens, avale papa, c’est pour contrer les effets de l’alcool, tu ne seras pas malade demain.

– Ça marche?

– Oui, je pense.

J’avale son truc. Anne s’approche de la chaîne hi-fi, elle change de musique. Cette fois c’est beaucoup plus langoureux, un genre de Barry White. Anne se colle à moi, quand un slow résonne. Comme je ne sais pas comment mettre mes mains, c’est ma fille qui le fait pour moi. Elle plaque mes deux mains sur ses fesses, tandis que remontant sa robe, elle glisse une de mes jambes entre ses cuisses, venant plaquer son bassin contre ma cuisse. Je ne la vois pas, mais je sens le satiné de sa culotte contre ma peau. De la façon dont elle m’a placée, ma main gauche la maintient bien plaquée contre moi, ma fille l’a mise bien plaquée entre ses fesses. Par réflexe, je lui masse la raie. Ma fille ondule en rythme, complètement abandonnée, je fais de même, fermant les yeux, complètement abandonné à Anne. Elle défait sa queue de cheval, détachant ses longs cheveux roux. Ma fille att**** ma main droite, et le pose sur son sein, que j’enferme doucement dans ma main. Il est si ferme, si gros. Je m’enhardis, lui caressant son téton à travers le fin tissu de sa robe. J’ai rouvert les yeux, je vois son visage magnifique, souriant, heureux. Je sens son téton poindre sous ma caresse. Anne me laisse faire, ma main gauche monte et descend sur son cul, s’insinuant de plus en plus dans le sillon de ses fesses. Je lui saisit alors la taille de mes deux main, descendant le longs de ses hanches, puis de ses cuisses, jusque au dessous de la robe, tandis que mon enfant danse de plus en plus lascivement, les bras au-dessus de la tête. Je danse comme ça, mais Anne descend ses mains, les posent sur les miennes, les faisant remonter, mais cette fois sous sa robe. Me faisant lui att****r une fesse nue dans chacune de mes mains. Je ne sais pas comment elle fait, mais ma fille se met à califourchon sur ma cuisse, les pieds pratiquement décollés du sol. Puis elle décolle ses pieds de terre, en prenant appui sur mes épaules. Sollicitant sa chatte encore recouverte du tissu de sa culotte, qui devint son seul point d’appui. Anne se frotte en gémissant, je ne suis plus conscient de rien, je prends comme excuse que je ne dirige rien.

Anne se redresse, elle pose doucement ses mains sur mon torse, puis me fait reculer. Jusque à ce que je me retrouve assis sur le canapé. Elle s’agenouille entre mes cuisses. Elle commence à défaire ma braguette.

– Anne, ce n’est pas bien, je suis ton père, tu es ma fille.

– Pas ce soir.

Mon esprit est embrumé par l’alcool, mon sexe bande dur. Anne me répond.

– Pas ce soir papa, ce soir je ne suis pas ta fille, je suis ta pute!

Tout en me parlant, elle entreprend de défaire les boutons de ma braguette. Je pourrais retenir ses mains, mais je n’en fais rien.

– Arrête, ce n’est pas bien!

Mon pantalon est au sol, Anne baisse mon caleçon, faisant sortir mon sexe, une belle bête de vingt centimètres pour six de diamètre.

– Papa, ta bouche dit que ce n’est pas bien, mais ton sexe dis le contraire!

Je n’ai pas le temps de répondre, que sa bouche se pose sur mon sexe, en avalant le gland. Je pourrais repousser sa tête, mais je n’en fais rien, j’ai trop envie de sexe pour cela. Après avoir pris en bouche le tiers de mon engin, Anne referme doucement ses lèvres pulpeuse autour. Je sens aussitôt sa langue titiller mon gland. J’en gémis de plaisir. Elle fixe son regard dans le mien et commence sa fellation. Je sais que c’est ma fille, je sais que c’est de l’i****te, je sais que c’est mal, mais je ne peux résister. Puis bien que bourré, nous sommes tout deux des adultes consentants. A part la dimension morale choquante, nous ne faisons rien de mal.

Je comprends que ma petite Anne est une experte en fellation. Elle ne serait pas en train de me sucer d’une si belle manière, je serais tombé des nues. Cette petite pute m’a bien cachée sa vie. Je l’imaginais solitaire, sans amis, sans petit ami. Je la croyais prude, sage, trop sage, et je découvre qu’elle suce les bites divinement bien. Puis quand elle fait monter et descendre sa bouche le long de mon chibre, tout cela me sort de la tête. Sans effort, elle fait rentrer mon engin conséquent dans sa gorge. Me faisant la meilleure gorge profonde de ma vie. Depuis tant d’années, j’avais oublié combien le sexe est bon quand la partenaire compte. Serait-ce avec son propre enfant. Je la laisse mener la danse, nos regards ne se quitte pas. Sa langue va vite autour de mon pieu, sa nez heurte à grande vitesse mon ventre. A chaque fois qu’elle me fais rentrer dans sa gorge. Cela ne fais pas cinq minutes que la fellation à commencer, que je sens le plaisir monter de mes reins.

– Je vais jouir!

Sans que j’ai besoin de la maintenir, elle fait rentrer mon pieu encore une fois dans sa gorge. Mon premier jet jaillit, elle remonte lentement sa tête, ses yeux ne me regardent plus, Anne fixe mon ventre. Chacune de mes éjaculation surgit un peu plus haut que la précédente, tant et si bien que mon cinquième jet, s’écrase sur sa langue. De nouveau elle me fixe dans les yeux. Anne avale tout, tout en me gardant en bouche. Puis de nouveau elle caresse mon pieu encore dur de sa langue, en enlevant toute trace de sperme.

Quand elle sort mon sexe de sa bouche, elle me regarde en souriant.

– Tu es encore dur, attends!

Elle se lève d’un bond, va chercher un truc dans son sac. Je n’ai pas eus le temps de dire quoique ce soit. De toutes les façons je n’ai pas envie de parler, je ne veux pas briser ce moment magique. Anne revient vers moi, elle me tend une gélule.

– C’est quoi?

– Un truc qui va nous permettre de nous amuser toute la nuit.

Je ne répond pas, j’ouvre la bouche, elle y met le médoc que j’avale. Anne saisit alors le bas de sa robe, qu’elle fait passer par dessus sa tête, avant de la faire tomber au sol. Ma fille n’a pas de soutien-gorge. Elle à une paire de gros seins en poire, tout blanc, avec de larges aréoles roses claires, et de long tétons. Ils défient toutes les lois de l’apesanteur en tenant droit tout seul. Ma fille se retourne, son cul, bien bombé, mince, aux fesses fermes, et aux reins cambrés est tout simplement parfait. Je vois des marques sur son corps, beaucoup, mais dans mon excitation je n’y prête pas attention. Elle a un petit string rose. Anne me refait face.

– Alors?

– Alors quoi?

– Comment tu trouves mon corps?

– Tu es parfaites!

De nouveau Anne rougit. Elle fait descendre son string. Dévoilant un bas-ventre pratiquement glabre, simplement orné d’un mince fil de poils roux. Anne s’approche de moi, elle appuie ses mains sur mes cuisses. Ma fille colle ses lèvres au miennes. Je sens sa langue contre ma bouche, je l’ouvre, sa langue rentre dans ma cavité buccale, elle me roule la plus parfaite des pelles. Puis son baiser cesse aussi rapidement qu’il est venu. Anne s’agenouille de nouveau, je bande toujours. Elle retire de mes pieds chaussures et chaussettes. Puis elle enlève de mes chevilles mon pantalon, mon caleçon. Je me laisse faire, c’est plus facile pour moi, je suis innocent, c’est Anne qui fait tout.

Je vois que son entrecuisse est trempée de cyprine. Anne m’enlève ma chemise. Je suis toujours assis sur le canapé, bite dressée. Elle grimpe sur moi, ses cuisses de chaque côté de mon corps, son bassin surélevé par rapport à mon braquemart. Elle redescend dessus. Ses lèves vaginales entre en contact avec ma bite dur comme jamais. Mon gland rentre en elle. Je sens une résistance.

– Tu es vierge?

– Chut…

– Mais, je…

Je ne peux finir ma phrase, de nouveau ma fille m’embrasse à pleine bouche, me coupant la parole. Je vais la dépuceler, je vais faire d’elle une femme, c’est maintenant inéluctable. Je la saisis aux hanches, une nouvelle fois nos regards se crochent. Je la tire vers le bas, tandis que ma fille donne une poussée dans le même sens. Son visage se crispe, puis fais une grimace de douleur, tandis qu’un cri sort de sa gorge. Anne est descendu de quelques centimètres sur mon engin, je suis au tiers en elle. De mince filet de son sang virginal coulent sur ma bite. Ma fille, mon enfant, mon bébé est maintenant une femme, une adulte, une dépucelée. Anne se remet à descendre sur mon pieu, jusque à s’empaler en entier, cette fois c’est un gémissement de plaisir qui sort de sa gorge. Son ventre est trempée de cyprine, tandis que ma bite est serrée comme jamais elle n’a été serrée. Même ma femme, avec qui j’ai fais l’amour pour la première fois alors que l’on avaient tout deux quinze ans et que l’on étaient vierge n’était pas aussi serrée. Ma fille prends mes joues entre ses mains, elle approche ses lèvres des miennes et m’embrasse de nouveau. Sa langue rentre dans ma bouche, nos salives se mélangent. Anne ondule alors du bassin, me faisant un bien fou. Mon enfant cesse sa pelle, elle se met alors à monter et descendre sur mon pieu. Elle ne ressort qu’un quart de ma queue, avant de se réempaler en entier dessus. Je la laisse faire, c’est sa première baise, je lui en montrerais plus ensuite. D’un coup, Anne se met à gémir, puis elle pousse un cri. Un orgasme violent vient de la happer, moi je sens son vagin palpiter de plaisir contre mon zgègue.

Anne reste immobile quelques instant sur moi, reprenant sa respiration. Puis elle reprend ses mouvements, me murmurant à l’oreille.

– Vas-y, jouis en moi, c’est ton tour mon amour.

Je ne sais pas si Anne est consciente de ce qu’elle vient de dire, elle ne m’a pas appeler papa, mais mon amour. Mais tout à mon plaisir, je ne prête pas plus d’attention que cela à ses dires. Je ne lui demande pas non plus si elle prend la pilule, si le fait de jouir dans son ventre risque de l’imprégner. La seule chose qui occupe mon esprit, c’est de me libérer en me vidant dans le ventre de ma maîtresse. Je la saisit aux hanches, cette fois c’est moi qui guide le rythme de ses montées-et-descentes. Au bout de cinq minutes, Anne gémit de nouveau de plaisir, son vagin pulse encore contre mon pieu. Quand je la tire vers moi, m’enfonçant au maximum en elle, mon sperme jaillit dans le corps de ma fille. Je crie mon orgasme, un plaisir comme je n’en ai jamais connu. A vingt ans, Anne reçoit son premier sperme dans le ventre. J’éjacule un flot de semence, comme jamais je n’ai éjaculé. Quand ma jouissance frappe sa matrice, Anne hurle son orgasme, hurlements de plaisirs qui se joignent au mien. Couverte de transpiration, Anne s’écroule sur moi. Nous reprenons nos souffles en se bécotant. Je suis toujours en elle, ma fille se lève, se retirant de mon sexe. Je suis encore dur. Je vois mon sperme, rosée par le sang de sa virginité perdue, lui inonder l’intèrieur des cuisses. Ma fille va prendre son sac à main, puis reviens vers moi. Elle me prend par la main, me fait me lever.

– Viens, on va faire ça dans un lit.

Je ne dis rien, je me laisse simplement entraîner. Je mate son cul, il est superbe, magnifique, parfait. Ferme, doux, sans la moindre trace de graisse. Le seul reproche que l’on pourrait faire à l’arrière-train de ma fille, c’est qu’il est un peu large, mais ce serais vraiment pour chipoter.

On monte à l’étage, elle ouvre la première porte. C’est bien une chambre. La pièce est immense, avec un grand lit, un bureau. Il y a un grand miroir au-dessus de la tête de lit. Anne me tire vers le lit, me fait m’asseoir dessus. Elle pose son sac puis écarte mes cuisses, s’agenouille entre elle. Je pense qu’elle va me prendre en bouche, il n’en ai rien, elle emprisonne mon pieu entre ses deux gros seins. Ma fille serre sa poitrine entre ses mains, faisant à ma bite un fourreau bien confortable. Puis elle commence à faire monter-et-descendre mon engin entre ses seins. Anne baisse la tête, tire la langue, léchant mon gland à chaque fois qu’il réapparaît entre ses deux merveilleux globes. Je découvre avec ahurissement, qu’elle est aussi experte en branlette espagnole. Anne est d’une douceur infini, quand je commence à soupirer, elle cesse sa branlette mammaire. Elle prend mon sexe à pleine main, le met face à son visage, tout en me branlant. Je gémit quand je jouit, lançant quatre jets drus qui vont s’écraser contre son visage. Sur ses yeux, son nez, ses cheveux. Quand j’ai fini d’éjaculer, Anne me regarde de nouveau dans les yeux, elle ramasse avec ses doigts le sperme qui ornement son visage, puis le porte à sa bouche.

Je la regarde émerveillé, elle me fait me lever, elle prend mon engin en main.

– Encore dur!

Ma fille se couche sur le lit, cuisses écartées, je vois son sexe ouvert, tout rose.

– Viens!

Je ne me fais pas prier, j’ai encore envie. Je ne le sais pas encore, mais le dernier médoc qu’elle m’a donné est une pilule sexe-dur, avec ça je vais bander et éjaculer toute la nuit. Je me couche sur elle, mon gland pénètre immédiatement sa vulve. Je rentre lentement dans son corps, faisant gémir Anne de plaisir tout le long. Dès que j’ai mis mon pieu en entier dans le ventre de mon enfant, je me mets à aller-et-venir en elle, à un rythme lent, mais soutenu. Anne donne fais bouger son ventre.

– Papa, défonce-moi!

J’obéis à l’ordre de mon aînée, que je viens de dépucelée à vingt-et-un ans. Je me mets à la défoncer, je la baise plus rapidement, plus puissamment. Les gémissements de Anne deviennent des petits cris de plaisirs. Ma fille m’excite vraiment, je suis tellement serré dans son vagin si étroit. Je la baise comme si elle était une femme habituée à prendre des coups de bites. Les contractions de son vagin, et ses cris de plaisirs me font savoir que je suis sur la bonne voie. Anne n’est pas loin de l’orgasme. J’accélère encore ma vitesse, lui caressant les tétons. Je lui lèche l’oreille, à ce qui déclenche un véritable hurlement de plaisir de la part de ma fille. Son orgasme est tellement fort, sa chatte se contracte tellement, que moi aussi j’atteins l’orgasme. Je cris en éjaculant torrentiellement dans sa matrice. Nos cris de plaisir se mélange alors.

Quand je me retire, je suis toujours et encore dur, pourtant cela fais plus d’une heure que nous faisons l’amour. Ces pilules sexe-dur sont vraiment merveilleuse. Je regarde ma fille, je veux encore la prendre.

– Mets-toi à quatre pattes.

– Tout ce que tu veux mon amour.

Anne s’exécute. Je m’agenouille derrière elle. Mon sperme coule de sa chatte ouverte. Je la saisit aux hanches, je la pénètre directement, déclenchant un long feulement de plaisir de la part de ma fille. Jamais je ne l’ai prise aussi profondément, je constate qu’elle aime ça. Ma fille est vraiment faîtes pour le sexe.

– Baise-moi comme une putain! Je veux que ce soit violent!

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je me mets à la défoncer comme un fou. Je regarde dans le miroir, ma fille y regarde aussi. Nos regards se croisent, s’accrochent. Le visage de ma fille est déformée par le plaisir, des petits cris de plaisir intense sortent en rafale de sa bouche. Rapidement un premier orgasme la traverse, serrant de nouveau son vagin palpitant et pulsant autour de mon pénis. Je continue à la prendre, ses seins bougent en tout sens. Je glisse une main sous nos corps, tout en la prenant, j’arrive à trouver son clito, que je caresse du bout de mes doigts. Je lui arrache immédiatement un nouveau hurlement de plaisir, un nouvel orgasme puissant la traverse. Moi, je ne m’arrête pas, je continue à aller-et-venir dans sa chatte trempée de mouille. Jamais je n’ai eus autant de bonheur à coucher avec une femme. Même pas avec la mère de mes filles. Je suis hors du temps, je suis au paradis. Anne et moi ne sommes plus que deux sexes emplis de jouissance. Nous ne sommes plus père et fille, seulement deux sexes. Je me fiche une nouvelle fois en elle, mon gland pénétrant son utérus. Quand mon sperme gicle dedans, Anne cabre, le corps secouée de spasme de bonheur, hurlant comme une folle. Sa jouissance est tellement puissante, que pendant quelques secondes, ma fille perd connaissance.

Je suis écroulée sur elle, Anne ayant perdu l’équilibre pendant son court évanouissement, m’éjectant de son corps. Mon sexe, toujours artificiellement dur, se retrouvant contre l’intèrieur de ses cuisses.

– Anne! Ça va?

Ma fille à immédiatement rouvert les yeux.

– Oui, mon papa d’amour, je ne savais pas que l’on pouvais jouir autant.

Je me suis retourné sur le dos. Anne qui a la tête tournée de l’autre côté, lance sa main à l’aveugle vers moi. Elle tâtonne sur mon ventre, puis descend, trouvant ma bite toujours droite.

– Tu bandes encore?

– Oui.

– Tu m’encules?

– Quoi? Tu l’as…

Anne me coupe la parole.

– Chut, encules-moi, c’est tout. A sec, sans vaseline…

Je ne dis rien, j’adore sodomiser mes amantes. Ma femme m’offrait d’ailleurs souvent cet orifice. Anne se remet à quatre pattes, puis elle pose sa tête, le haut de son torse et ses épaules sur l’oreiller. Elle à le cul en buse. Ses deux mains se posent sur ses fesses blanches, elle les écartent, m’offrant son anus. Je ne me fais pas prier, je passe mon gland contre son vagin, me lubrifiant sommairement avec sa mouille et son sperme. Je pose le bout de ma bite contre son anus, et je commence à forcer. Rapidement, son trou du cul s’ouvre. Ma fille n’est plus vierge de cet orifice. Elle a dut connaître pas mal de sodomie pour m’accepter aussi facilement.

Néanmoins, Anne gémit de douleur tout le long de l’intromission de mon pieu dans son conduit anal. Elle le contracte beaucoup trop, le rendant trop serrée. Mais c’est tellement délicieux, que je ne dis rien. Je regarde dans la glace, la grimace de douleur qui orne le beau visage de ma fille. Elle ne pleure pas, ne crie pas, la douleur reste donc supportable. Dans le cas contraire, je me serrais arrêté. Je rentre progressivement en elle, lentement. Peu à peu sa grimace disparaît de son visage. Quand mon ventre touche ses fesses, je m’immobilise, plongé en entier dans ses entrailles.

– Pourquoi tu t’arrêtes, papa?

– J’attends que ton anus s’habitue à mon sexe. Ce sera meilleur pour toi comme ça.

– Ah, on ne m’a jamais enculée comme cela.

Je ne relève pas, mais j’ai donc raison, Anne n’était pas vierge de sa petite porte arrière quand je l’ai sodomisée.

– Décontracte-toi.

Je sens que ma fille se relâche un peu. J’attends deux ou trois minutes avant de commencer à l’enculer réellement. Je la sodomise alors lentement, avec douceur, avec amour. Me retirant peu à peu, d’un tiers, de son anus, avant de me réempaler tout aussi lentement. Accélérant dans un premier temps, la vitesse de ma sodomie. Anne se met alors à haleter de plaisir. Je retire alors à chaque fois de plus en plus de mon braquemart, avant de me réintroduire en entier entre ses fesses.

Ma fille feule maintenant de plaisir, appréciant la sodomie délicieusement tendre que je lui prodigue. Je l’encule ainsi, pendant une grosse demi-heure. Quand mon sperme jaillit dans ses reins, ma fille hurle de plaisir, elle vient de connaître son premier orgasme anal. On reste soudés ensemble, je m’écroule sur son dos.

– Papa, tu peux encore une fois?

– Oui, je bande toujours, j’ai encore au moins une cartouche.

Anne se laisse tomber à plat ventre, jambe serrées. Je mate son cul bien bombé. Du sperme s’en échappe. Un sperme blanc. Je mate ma bite, elle n’a aucune souillure. Ma fille s’était donc préparée à ce que je la sodomise en se faisant un lavement anal.

– Encules-moi encore. Et cette fois ne prends pas de gants, je veux que tu me massacres de ta bite!

À ses mots, je me demande si ma fille n’est pas un peu maso. Mais peu importe, je vais lui donner ce qu’elle veut. Je me laisse tomber en elle, mon engin pénétrant son anus encore ouvert d’un seul coup.

En me sentant dans son corps, Anne contracte de nouveau son conduit anal à fond. Elle pose ses mains contre ses fesses, les serrant alors au maximum. Cette fois, elle est vraiment étroite, mon pieu en elle en est presque douloureux tellement c’est étroit. Je pose ma bouche contre son oreille.

– C’est drôlement serrée.

– Comme cela tu auras l’impression d’enculer une pucelle du cul, et pas une putain habituée à la sodomie.

Je vais pour lui répondre, mais je me retiens, il faudra que je lui parles de cela. Mais pas maintenant, seulement le moment venu. Anne me tire de mes pensées.

– Allez, mon papa d’amour, défonce-moi le cul.

Quand ma fille de vingt ans, me dit cela de sa voix la plus suave possible, je ne peux résister. J’entreprends alors de lui offrir ce qu’elle veut. Je me retire de ses reins, ne lui laissant alors que la moitié de mon gland en elle. On dirais que je fais de la lévitation sur son corps. Je me laisse alors retomber d’un seul coup dans son rectum, écartant ses chairs tendre, faisant le vide sous mon passage. Anne crie de douleur, mais je continue, je répète l’opération. Au bout de deux ou trois fois, ses cris se transforme, d’abord en gémissements de plaisirs, puis en véritable hurlement de jouissance. Je la défonce comme un soudard, y allant plus fort au rythme de ses cris presque orgasmique. D’ailleurs durant cette sodomie, Anne aura deux nouveaux orgasmes anaux. Mais quand mon sperme jaillit en elle, son hurlement est incroyable, un orgasme fulgurant la foudroie. Une fois de plus je reste immobile, couché sur ma fille, ma bite planté dans son anus.

Je me retire, je roule sur le dos, le sexe à demi mou. Anne s’agenouille, elle me regarde dans les yeux.

-Je crois qu’il faut te nettoyer.

Elle rit de mon regard emplit d’incompréhension. Elle se penche vers mon sexe, ouvre la bouche et l’avale. Ma fille me nettoie la bite avec sa bouche, sa langue. Anne ira au bout de sa fellation, ne s’arrêtant qu’après que j’ai éjaculé sur sa langue. Elle donnera ensuite deux ou trois nouveau coup de langue. Quand mon pieu enfin mou sort de sa cavité buccale, il est reluisant de propreté. Cinq minutes plus tard, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Repus de sexe. Il est trois heures du matin, nous avons fais l’amour plus de quatre heures.

Quand je me réveille le lendemain matin, j’ai un gros mal de crâne. Mes oreilles bourdonnent. J’ai du mal à me rappeler où je suis, ce qu’il c’est passé. Quand je me retourne vers le corps dans mes bras, je m’aperçois que je n’ai pas rêvé, j’ai bien fais l’amour avec Anne, ma propre fille. Un intense sentiment de honte et de dégoût m’envahit. Mais aussi un souvenir de jouissance intense qui fais presque de nouveau dresser ma bite. J’ai aussi envie de faire pipi. Je repousse délicatement le corps endormie de mon enfant. Je me lève, je vais uriné. Quand je reviens, Anne est sur le dos. Elle me sourit, je me recouche. On se met sur le côté, yeux dans les yeux.

– Anne, on a fais quoi?

– L’amour, papa.

– Mais tu es ma fille, je suis ton père…

– Pourtant cela t’as plut…

– Mais c’est mal, c’était fantastique, mais il ne faut plus que cela se reproduise.

Anne tend juste le bras, prenant mon sexe dans sa main. Aussitôt, ma bite se redresse, devient dur.

– Ta bouche dit encore non, ta bite, elle dit encore oui. On fais quoi?

J’hésite, mais l’envie de ma fille, mon amour pour elle autant filial que amoureux l’emporte. Pour tout réponse, je lui roule une pelle, je me couche sur elle. Ma main se porte vers son vagin, qui se trempe rapidement. Alors je la pénètre, la faisant gémir de plaisir tout le long de ma pénétration.

Après lui avoir donné deux orgasme et jouit dans son corps, je tiens ma fille dans mes bras. On s’embrasse tendrement.

– Au fait Anne, comment ça se fait que tu sois restée vierge alors que tu fais des fellations et que tu te laisse sodomiser?

Bizarrement je la sens se crisper.

– Papa, ça te dérange si on en parle plus tard?

– Non, c’est d’accord. On en parle quand?

Elle réfléchit quelques secondes.

– Lundi matin, en rentrant.

– D’accord ma puce.

– OK, on va déjeuner?

On a passer le samedi à faire l’amour, dans toutes les positions, dans tout les orifices de ma fille. J’ai jouis des dizaines de fois grâce au pilules, Anne à eus des dizaines d’orgasmes. On est juste sortis pour aller au restaurant le midi et le soir. Tout les regards ont été braqués sur nous. Envieux envers moi, pour le fait qu’un quadra se tape une jeune femme aussi parfaite. Libidineux envers Anne, pour ses tenues vraiment sexy.

Le dimanche Anne à reçu un SMS des proprio de la villa. Ils lui proposent de garder la maison une semaine de plus, jusque au lundi matin suivant. Les prochains locataires ayant annulé leurs semaine de vacances. Ils lui ont offert cinquante pour cent de réduction. Après en avoir discuté, on a accepté. Anne à répondu au propriétaires, tandis que je prévenais Romane et Roxane. On a encore fais l’amour tout le dimanche, et une bonne partie de la nuit. Je n’ai pas compté le nombre de mes éjaculations, pas plus que les orgasmes de Anne.

Le lundi matin, après notre réveil, et après avoir fais l’amour deux fois, vaginalement et analement, on est encore dans les bras l’un de l’autre. Ma fille se redresse sur un coude, me regardant dans les yeux.

– Papa, on continuera une fois rentré?

– Oui, il faudra être discret pour que tes sœurs ne se doutes de rien. Je ne pourrais plus me passer de ton corps, de toi, de ton amour.

Anne est heureuse de ma réponse, au bord des larmes de joie.

– Bon, on ne rentre pas, mais on est lundi matin, tu m’explique pourquoi tu as juste gardé ta virginité vaginal, alors que tu es tant experte de tes autres orifices? Photos http://cuon.io/scPKAU

Anne se renfrogne, elle baisse les yeux, fuit mon regard.

– Tu vas me prendre pour une putain…

– Jamais de la vie. On est amants, mais tu es ma fille. Je te connais par cœur, jamais je ne penserais cela de toi.

– Juré?

– Juré.

– D’accord.

Je ne le sais pas encore, mais ce que Anne va me raconter, va m’emplir de haine et de colère.

Anne se met à pleurer, je ne connais pas son secret, mais il doit-être lourd à porter pour la mettre dans cet état. Je la prends dans mes bras, je la serre tendrement contre moi.

– Vas-y ma puce, dis-moi tout.

Anne ferme les yeux, restant dans mes bras.

– On me force. On me force à sucer des bites, beaucoup, souvent. Pour la sodomie c’est pire… On me viole papa, on me viole depuis deux ans…

Je reste abasourdie.

– Quoi? Qui?

– Je ne sais pas, des clients…

– Tu te prostitues?

– Non, on me prostitues.

– Qui te force à cela?

Anne hésite quelques secondes. La tension règne pendant que j’attends que ma fille, qui est maintenant ma maîtresse, mon amour me dévoile l’enfer qu’elle vie et que je n’ai pas deviné.

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