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KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 9

KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 9



Une chaise révolutionnaire
Le 4×4 pénétra dans le domaine après 10 heures de route à vitesse soutenue. Les quatre vacanciers furent accueillis par Babette, la nouvelle soubrette de Maîtresse Aurore. Les deux esclaves déchargèrent les valises et les déposèrent dans le hall d’entrée.
« Sweet Pussy et N°1, repos dès maintenant jusqu’à lundi matin car Maître Tumba arrive avec son esclave Lola. Il paraît qu’il a un fauteuil révolutionnaire qu’il a en démonstration et il veut me faire profiter de celui-ci. Vous serez donc les premières à l’essayer ! »
« Oui Maîtresse. » Fit N°1. Sweet Pussy montra son désappointement par une moue.
« Qu’y a-t-il Sweet Pussy ? L’arrivée de Maître Tumba te déplaît ? »
« Non Maîtresse, mais il est brutal voire sadique. »
« Je lui en toucherai deux mots…Nous verrons bien comment Maître Tumba prendra ta remarque. Lui qui ne tarit pas d’éloge sur toi. Je pense qu’il sera grandement déçu d’apprendre qu’il est un Maître brutal voir sadique !!! Allez au lit ! Je t’ai assez entendu pour aujourd’hui !»
Sweet Pussy et N°1 se rendirent dans leur chambre suivie de Maîtresse Aurore. Lorsqu’elles s’installèrent dans le lit, Maîtresse Aurore leur mit un collier chacun.
« Repos les deux esclaves. Et pas de papouille et autre attouchement, compris ! »
« Oui Maîtresse. » Firent à la cantonade les deux esclaves.
Lundi arriva. Sweet Pussy et N°1, après un petit déjeuner plus que léger, se douchèrent et se maquillèrent. Vers 11h00, Maîtresse Aurore vint personnellement réaliser les lavements, puis posa aux poignets, chevilles et au cou des colliers métalliques chromés plus épais qu’à l’accoutumée avec un ergot sur chaque collier.
« Voilà, vous êtes parées pour recevoir Maître Tumba. Maintenant, dans la salle de jeux, et vous attendez en position d’inspection. »
Les deux esclaves marchèrent en direction de la salle de jeux sous le cliquetis des anneaux des colliers au rythme de leur pas. Elles virent Lola qui était déjà en position d’inspection au milieu de la pièce, parée de la même manière qu’elles. Elles virent aussi trois trônes métalliques disposés en cercle. Elles marchèrent jusqu’à Lola qui avait les mains sur la nuque, elle bombait ses seins siliconés. Sweet Pussy et N°1 s’installèrent en position d’inspection à côté de Lola. Les trois esclaves se regardaient par moment attendant qu’un ordre leur soit donné. Le bruit des talons aiguilles de Maîtresse Aurore frappant les dalles de marbre vint rompre le silence pesant dans la pièce.
Maîtresse Aurore accompagnée de Maître Tumba entrèrent dans la pièce et se positionnèrent au centre du cercle formé par les trois esclaves. Maîtresse Aurore portait un body en latex noir avec des bonnets repose seins. Des gants opéra couvraient jusqu’au coude ses bras. Des cuissardes noires aux talons vertigineux gainaient ses jambes jusqu’à mi-cuisse. Dans sa main, une cravache battait la mesure suivant le rythme de la musique baroque qui se fit entendre à leur arrivée. Maître Tumba, quant à lui, portait un costume noir trois pièces.
«Esclave, mettez-vous chacune devant une des chaises métalliques en avançant à quatre pattes comme des chiennes que vous êtes ! »
Les trois esclaves se positionnèrent devant une chaise et attendirent le prochain ordre.
« En position d’inspection maintenant, à genoux et mains sur la nuque. »
Les esclaves obtempérèrent. Sweet Pussy vit alors deux plugs qui pointaient vers le ciel et qui, dans quelques instants, combleraient son cul et sa chatte.
« Léchez les plugs, puis empalez vos chattes et vos culs !»
Les trois esclaves avancèrent vers leur chaise respective et, s’appuyant sur l’assise métallique, léchèrent les deux plugs métalliques et les humidifièrent abondamment. N°1 fut la première à onduler du cul pour faire pénétrer le plug.
Sweet Pussy positionna ses fesses au-dessus du plug et s’empala dans un râle. Lola fut la dernière à être comblée par les plugs. Elle eut quelques difficultés à faire pénétrer les plugs dans ses orifices, même si Maître Tumba l’avait entraînée.
Maîtresse Aurore se chargea d’attacher les colliers que portaient les trois esclaves à leurs chevilles, poignets et cou aux chaises. Elle commença par N°1. Maîtresse Aurore posa sa main sur le poignet droit de N°1 et positionna celui-ci au-dessus d’un trou usiné dans le métal. Elle appuya sur le bracelet et un « clic» se fit entendre. N°1 essaya de bouger son poignet mais le bracelet ne bougea pas. Maîtresse Aurore fixa le poignet gauche et les deux chevilles de la même manière. A chaque fois un « clic » indiquait que le bracelet était bien fixé. Puis Maîtresse Aurore prit entre ses mains le collier et le fit pivoter pour que l’ergot se retrouve sur la nuque de N°1. Maîtresse Aurore appuya le collier contre l’armature de la chaise et un clic se fit de nouveau entendre. Maître Tumba donna délicatement des demi-anneaux à Maîtresse Aurore qui les fixa sur les autres moitiés faisant partie de la chaise métallique. Les bras, les cuisses, la taille furent ainsi encerclés pour que N°1 ne puissent plus bouger. Maître Tumba amena alors un cerclage métallique fait de deux parties qu’il vint positionner lui-même autour des seins de N°1. De diamètre plus petit que celui de la base de ses seins, N°1 grimaça lorsque ce cerclage fut refermé et vint comprimer ses énormes seins. Le cerclage métallique fut fixé sur le bâti de la chaise pour bloquer le buste de N°1 sur la chaise.
Sweet Pussy et Lola furent fixées de la même manière sur leur chaise.
Maître Tumba prit alors un rondin de bois qu’il fixa au sol au centre des chaises. Il prit un crochet et tira sur le fil du moulinet. Maître Tumba attacha le crochet au piercing du sein droit de Lola. Il répéta l’opération 5 fois et toutes les esclaves eurent les piercings de leurs seins tendus par des crochets. Maîtresse Aurore alla chercher trois masques et les passa sur les têtes de ses esclaves. Elle y ajouta un bandeau sur les yeux qu’elle attacha aux ceinturons du masque, les esclaves furent aveuglées. Elle passa ensuite un écarteur de bouche à chaque esclave. Maître Tumba, quant à lui, prit des coupelles qu’il passa au travers du fil métallique. Chaque coupelle fut garnie d’une bougie qu’il alluma. La flamme de chaque bougie traversait l’anneau métallique des piercings aux seins.
Des gémissements ne tardèrent pas à se faire entendre. La première esclave à gémir fut Lola. Ses piercings n’étant pas encore assez épais, le métal fut plus vite chaud. Puis ce fut Sweet Pussy qui commença à souffler fortement, de la salive coulait abondamment de sa bouche en soufflant fortement. N°1 se mit aussi à gémir. La flamme des bougies noircissait les anneaux. Les gémissements des trois esclaves se transformèrent en cris. Puis les cris se transformèrent en hurlements.
Maître Tumba ôta alors le bandeau aveuglant de Lola qui après quelques clignements des yeux pour s’habituer à la lumière, cria d’effroi lorsqu’elle vit les deux bougies qui chauffaient les anneaux de ses seins.
Maîtresse Aurore rendit la vue à Sweet Pussy qui eut le même cri de stupeur en voyant les deux bougies qui chauffaient ses anneaux. Elle ferma les yeux et se crispa sur sa chaise pour endurer la souffrance des flammes. N°1 retrouva la vue à son tour et cria aussi à travers son écarteur de bouche. Les trois esclaves sentaient leurs tétons chauffés par les anneaux. Toutes les trois criaient de concert.
Quelques minutes plus tard, Maîtresse Aurore soufflait sur les bougies et doucement les plaintes ne se firent plus entendre. La Maîtresse ôta toutes les bougies et les crochets qui maintenaient tendus les anneaux.
« Maintenant, nous allons apprécier les bienfaits de la technologie. » Dit Maître Tumba.
Il appuya sur le bouton d’une télécommande et la chaise de Sweet Pussy bascula doucement vers l’avant. Elle pivota sur deux axes montés sur l’assise de la chaise. Sweet Pussy sentit tout le poids de son corps appuyé sur l’armature métallique contraignant ses énormes seins. Son corps prisonniers des sangles et des bracelets aux pieds et aux poignets ne bougea pas. Maîtresse Aurore et Maître Tumba passèrent derrière la chaise métallique qui montrait maintenant le cul plugué de Sweet Pussy. Sweet Pussy ne voyait plus que le sol de la salle de jeu.
« Belle vue, n’est-ce pas Maîtresse Aurore ? » Dit Maître Tumba avec un sourire narquois.
« Le mécanisme de la chaise permet d’avoir accès au cul et au sexe de l’esclave. Voyez la base du plug qui comble le cul de Sweet Pussy. »
« Alors Sweet Pussy, il paraît que je suis un Maître brutal et sadique. » Dit Maître Tumba au creux de l’oreille de Sweet Pussy.
Sweet Pussy ne put que grommeler des mots inaudibles avec sa bouche ouverte par l’écarteur d’où couler sans discontinuer un filet de salive.
« Je vais te montrer comment on punit une esclave qui insulte un Maître et tu seras aussi responsable des souffrances de tes deux comparses. Mais d’abord je vais m’occuper de toi. »
Maître Tumba appuya sur sa télécommande et un mécanisme se mit en marche. Quatre tiges filetées fixées au cerclage à la base du plug métallique tournèrent et la base du plug se sépara en quatre parties égales.
On entendit Sweet Pussy gémir doucement…
« Regardez Maîtresse Aurore. Grâce à ce mécanisme, le plug métallique formé de quatre parties s’écarte. Et donc dilate le cul de cette chienne. »
« Très ingénieux comme système ! » S’exclama Maîtresse Aurore.
Maître Tumba maintenait toujours son doigt appuyé sur le bouton de sa télécommande. Le plug grandissait en diamètre dans le cul de Sweet pussy et Maîtresse Aurore et Maître Tumba voyaient apparaitre les sphincters entre les parties métalliques du plug. Sweet Pussy, quant à elle, gémissait de plus belle pendant que son cul se dilatait. Maître Tumba cessa d’appuyer sur sa télécommande. Il toucha délicatement l’anus dilaté de Sweet Pussy. Sweet Pussy sentit un doigt sur ses chairs et soupira lentement. Maître Tumba appuya de nouveau sur sa télécommande et les petits moteurs se remirent en route. Sweet Pussy cria de surprise quand le plug reprit son travail d’écartement. Mais son cri devint vite un hurlement. Maître Tumba stoppa les moteurs du plug métallique.
Sweet Pussy soufflait lourdement.
« Maintenant Maîtresse Aurore, nous allons faire chanter cette pute qui me traite de Maître brutal. »
Maître Tumba prit la valisette qui se trouvait sur une tablette et l’ouvrit. Il en sortit quelques blisters. Il en ouvrit un et sortit l’aiguille qu’il contenait. Il approcha l’aiguille du cul de Sweet Pussy et la plaça sur la partie visible de son anus. Maître Tumba piqua son sphincter et l’aiguille traversa celui-ci en biais. Sweet Pussy poussa un cri lors du passage de l’aiguille. Une seconde aiguille entra dans les chairs de l’esclave qui poussa de nouveau un cri. Les aiguilles se succédèrent dans l’anus de Sweet Pussy pour former une corolle. Maître Tumba poussa les aiguilles pour que les pointes se rejoignent. Elle criait et soufflait. L’épais filet de salive qui coulait reliait la bouche de Sweet Pussy au sol. Maître Tumba appuya sur sa télécommande et la chaise reprit doucement sa position initiale. Les yeux de Sweet Pussy revirent les murs de pierre de la salle. Maître Tumba prit en main une cravache et se positionna sur le côté de l’esclave.
Sweet Pussy hurla quand la cravache s’abattit sur son sein droit comprimé par le carcan métallique. Son sein gauche reçut un coup aussi fort. Maître Tumba laissa tomber les seins de Sweet Pussy et passa sous la chaise. Il prit des crochets incorporés au socle de la chaise, tira sur ceux-ci et les attacha aux lèvres de son sexe. Les petites lèvres furent tendues au maximum par la traction des câbles fixés aux crochets. Maître Tumba en profita pour doigter Sweet Pussy qui, après quelques allers et venues rapides dans son vagin jouit dans un râle de plaisir et éclaboussa la main de Maître Tumba.
« Toujours aussi spectaculaire cette esclave lorsqu’elle jouit. Impressionnant cette jouissance ! »
Maître Tumba reprit quelques aiguilles et piqua les lèvres tendues de Sweet Pussy. A chaque aiguille, Sweet Pussy poussait un cri. Les deux autres esclaves fermaient les yeux en voyant chaque aiguille transpercer la peau de Sweet Pussy.
Lorsque les lèvres de son sexe furent bien équipées, Maître Tumba se leva et reprit sa cravache.
« Pitchié Maîtrche. » Grommela Sweet Pussy alors que sa salive coulait toujours de sa bouche en un filet continu jusqu’au sol.
Maître Tumba n’eut aucun égard pour Sweet Pussy et abattit sa cravache sur le sein droit de Sweet Pussy qui hurla sous la v******e du coup. Du sang apparut de la trace violacée laissé par la cravache. Le sein gauche reçut un coup aussi violent. Maître Tumba déposa sa cravache sur la tablette et reprit en main deux blisters. Ceux-ci étaient assez longs. Maître Tumba se mit devant Sweet Pussy. Il ouvrit un blister et en sortit une aiguille longue et plus épaisse que celles plantées dans les lèvres de son sexe et dans son cul. Maître Tumba tenait entre son pouce et son index la base de l’aiguille et en regardant Sweet Pussy dans les yeux pointa l’aiguille sur son téton gauche. Le corps de Sweet Pussy se mit à trembler, son visage se crispa, elle ferma les yeux.
« Ouvre tes yeux putain ! » Cria le Maître.
Sweet Pussy ouvrit les yeux. Maître Tumba piqua le téton qui se déroba sous la pression de l’aiguille puis fut transpercé par l’aiguille lorsque la peau ne put plus s’étirer. Un cri bestial sortit alors de la bouche écartelée de Sweet Pussy. L’aiguille pénétra le téton et glissa sous la pression des doigts du Maître jusqu’à ce qu’elle soit entrée à mi-longueur. Sweet Pussy cria encore quelques secondes après le passage de l’aiguille. Le Maître, lui, tenait déjà la seconde aiguille qu’il faisait rouler entre ses doigts. Des larmes coulaient sur les joues de Sweet Pussy et elle cria aussi fort lorsque l’aiguille lui pénétra le téton droit.
Maîtresse Aurore ôta l’anneau qui lui écartait la mâchoire et détacha le masque que portait Sweet Pussy. Son visage était couvert de sueur. Maître Tumba prit alors un collier équipé de deux rangées de clou et de deux chaînes accrochées par des anneaux. Maître Tumba ôta un à un les clous qu’il déposa sur la table. Il ne resta plus que la bande latex trouée et les deux chaînes. Il plaça alors le collier sur le haut du front de Sweet Pussy comme si c’était un diadème. Il prit un feutre et pointa dans les trous du collier et pointa aussi au niveau des anneaux des chaînes. N°1 regardait ce que faisait Maître Tumba et s’interrogeait, tout comme Sweet Pussy. Maître Tumba regarda Maîtresse Aurore qui acquiesça d’un geste de la tête. Un homme pénétra alors par la porte d’entrée de la pièce. Il posa la mallette qu’il tenait à la main sur la table qui se trouvait à côté de Sweet Pussy. Il fit un baise-main respectueux à Maîtresse Aurore et serra la main de Maître Tumba et se présenta devant Sweet Pussy. Lorsque Sweet Pussy vit que l’homme était le pierceur de Maîtresse Aurore, son corps se tétanisa sur la chaise. Elle poussa un cri et elle se mit à pleurer.
« Pitié Maître, pas les piercings. »
« Contente de me revoir petite pute ! » Dit le pierceur avec un sourire sadique.
Maître Tumba reprit l’anneau de bouche et le refixa entre les dents de Sweet Pussy qui, de nouveau, ne pouvait plus que grommelait son mécontentement.
Le pierceur sortit une pince de sa mallette et retira les 3 piercings du front de Sweet Pussy. Il prit alors un élargisseur, pinça la peau du front et passa l’élargisseur dans le premier piercing. Puis il prit un anneau plus épais et poussa l’anneau avec l’élargisseur. Maître Tumba avait décidé de lui stretcher, avec le consentement de Maîtresse Aurore, les piercings du front. Les piercings du front avaient maintenant 2 mm d’épaisseur. A chaque stretch, Sweet Pussy inspirait profondément et soufflait une fois l’anneau posé. Puis le pierceur prit un stylo et pointa deux fois juste au-dessus du bridge que Sweet Pussy avait déjà et une fois en dessous. Il prit une pince et prit la peau entre les mâchoires de celle-ci. Il piqua alors la peau et passa le premier barbel. Il répéta l’opération une seconde fois. Sweet Pussy pleurait abondamment. Le pierceur piqua une troisième fois et mit un anneau genre fer à cheval sur l’arête du nez. Puis Il prit un punch de biopsie et piqua le haut du crâne de Sweet Pussy sur la première marque laissée au travers du collier. Sweet Pussy ne pipait mot mais des larmes coulait sur son visage car elle voyait son reflet dans le miroir posé sur le mur et voyait donc son front avec un premier microdermal et plusieurs marques de feutres.
Le pierceur officia méticuleusement pour poser les microdermals sur le crâne de Sweet Pussy. Il posa pour finir un anneau en bout de ligne pour accrocher les deux chaînes du collier. Sweet Pussy ressemblait à une reine du moyen âge portant un diadème, un peu spécial.
Ces nouveaux piercings la défiguraient encore un peu plus.
Le pierceur déposa sa pince dans sa mallette.
« Les pointes de deux centimètres ne pourront être posées que dans 6 semaines environ afin d’éviter un rejet qui laisserait de vilaines cicatrices.
Maître Tumba et Maîtresse Aurore firent un signe de la tête pour signifier leur approbation.
Sweet Pussy était éreintée de sa séance de piercing et la sueur coulait de son front. Maîtresse Aurore desserra l’anneau et Sweet Pussy put de nouveau fermer la bouche. Maître Tumba ouvrit un tiroir et prit un couteau de boucher. Il fit face à Sweet Pussy les mains dans le dos, cachant ainsi son couteau des yeux de Sweet Pussy. D’un geste brusque mais calculé, Maître Tumba prit de sa main droite le téton de son sein droit, le tirant vers lui et de sa main gauche mit la pointe du couteau sous le sein droit de l’esclave. Sweet Pussy écarquilla les yeux à la vue de la lame.
« Tu préfères que je t’ouvre les seins et t’enlève tes implants ou que ton bras droit soit tatoué ? »
« Pitié Maître, pas ça ! » dit Sweet Pussy toute affolée.
« Les seins ou le tatouage ! » hurla-t-il.
« Tatouage Maître ! Tatouage Maître ! » fit Sweet Pussy en pleurant.
« C’est bien ce que je pensais. N’importe quel supplice mais pas touche aux seins. Alors ok, ton bras droit sera tatoué ! »
« Voilà, Sweet Pussy. Satisfaite de la brutalité d’un Maître ? La prochaine fois, tu sauras tenir ta langue ! Et j’ai été très gentil avec toi car j’avais demandé à Maîtresse Aurore de te mettre des anneaux sur ton crâne jusqu’à la nuque pour que tu ressembles un peu à la femme vampire mais ta Maîtresse a refusé. Et Maintenant, à vous deux. Vous allez recevoir le même traitement et vous pourrez dire : Merci Sweet Pussy. »
Sweet Pussy avait donc maintenant trois bridges, un anneau sur le nez et un diadème sur le crâne mais avait échappé aux multiples piercings sur le crâne…
Maître Tumba s’avança vers N°1 la cravache à la main.
« Tu sais ce qui t’attend salope ? »
« Oui Maître. » Dit N°1 résignée.
Maître Tumba avança vers N°1 le rire aux lèvres :
« Tu as vu ce que j’ai fait à Sweet Pussy ? Par quoi veux-tu commencer ? »
« Les piercings Maître. »
« Ok ! »
Maître Tumba ôta le masque en latex du visage de N°1, prit son feutre et pointa sur le nez de N°1…5 minutes plus tard, N°1 portaient les mêmes piercings que Sweet Pussy sur le nez. Puis il fit basculer la chaise et appuya sur sa télécommande pour écarter les mâchoires du plug. Pendant ce temps, Maîtresse Aurore s’occupait de Sweet Pussy. Elle lui retirait une par une les aiguilles plantées dans les lèvres de son sexe puis celles dans son anus. Sweet Pussy poussait un cri à chaque aiguille retirée de ses chairs.
Lola, quant à elle, était cramponnée à sa chaise et ne cessait de répéter « Non Maître, pas ça » à chaque étape de la séance qui se déroulait devant elle. Lorsque Maître Tumba en eut terminé avec N°1, il s’avança vers Lola qui, voyant que son tour était arrivé, gesticulait comme un ver coupé par la bêche d’un jardinier et hurlait en suppliant de l’épargner. Mais rien n’y fit car Maître Tumba, dans un cérémonial réglé comme sur du papier à musique, implanta les piercings sur le nez de Lola. Celle-ci n’ayant pas encore d’anneau sur le front, elle fut piercée sur toute la longueur du crâne, car Lola, contrairement à Sweet Pussy et à N°1, était l’esclave de Maître Tumba. Patiemment, le pierceur pierça avec délicatesse le crâne rasé de Lola. De la base du front à la nuque, il pierça 38 fois Lola. Elle était exténuée et il dut faire une pause car Lola allait s’évanouir au bout d’une heure de ce traitement. Lola pleurait toutes les larmes de son corps car Maîtresse Aurore avait placé un grand miroir pour que Lola puisse observer et contempler ce que son Maître faisait. Piercing après piercing, son crâne était équipé d’anneaux.
Lorsque Maître Tumba en eut terminé avec Lola, les trois esclaves furent libérées de leur chaise. Elles eurent toutes les peines à se défaire du plug qui leur bouchait le cul car les aiguilles avaient fragilisé leurs sphincters.
« Demain repos toute la journée ! » Dit Maîtresse Aurore.
« Merci, Maîtresse. » Dirent les esclaves en cœur mais timidement.
« Repos avant que Maître Tumba vous soumette une seconde fois! »
Les esclaves furent emmenées dans une chambre. C’était la première fois qu’elles se retrouvaient à trois pour dormir. Maîtresse Aurore attacha leur collier à la tête de lit. Sweet Pussy et N°1 s’allongèrent de suite sur le lit. Lola voulut s’allonger aussi mais lorsqu’elle posa sa tête sur l’oreiller, la douleur de ses piercings se fit sentir dans son crâne.
« Mets-toi sur le côté Lola. Il va falloir t’habituer à dormir sur le côté, du moins le temps de la cicatrisation. » Dit N°1 en l’embrassant sur la bouche comme pour la soulager de son chagrin.
« Tu n’as pas encore tes piercings à la place des sourcils. Ton Maître ne va pas tarder à te les poser. »
« Oui, je sais. Mais qu’entendait Maîtresse Aurore par un nouvel équipement ? »
« Je ne sais pas. »
Sweet Pussy, quant à elle, ne disait rien. Elle voyait l’arrière du crâne de Lola et les piercings alignés parfaitement. Elle osa les effleurer de ses doigts, mais Lola gémit lorsque Sweet Pussy les toucha. Après quelques minutes, N°1 se leva et prit le tube de crème posé sur la table de nuit et commença à en mettre sur ses lèvres et sur son anus pour soulager la douleur des piqûres d’aiguilles.
« Vous feriez bien de faire comme moi pour atténuer la douleur et surtout pour vous soigner rapidement. »
« Mets-en sur moi. » Dit Sweet Pussy d’une voix suave et aguichante.
« Ok mais il faut se reposer ! Pas d’attouchements coquins ! »
N°1 badigeonna de crème apaisante les lèvres intimes et l’anus de Sweet Pussy. Elle fit de même avec Lola. N°1 rangea le tube de crème et éteignit la lumière. Il ne fallut pas longtemps avant que les trois esclaves ne s’endorment, éprouvées par la séance SM de Maître Tumba. Lola se réveilla plusieurs fois car, en se tournant, la douleur des piercings la rappela à l’ordre. La journée passa assez vite entre le petit-déjeuner, le repas du midi avec les autres esclaves qui dévisageaient Lola et son crâne équipé de piercings et les films SM que les trois esclaves durent regarder. Elles furent surprises de voir le film de leur séance SM de la veille. Voir les aiguilles pénétrer leurs anus et leurs lèvres intimes les incita à passer leur main sur leur sexe et anus par réflexe pour se soulager de la douleur lancinante de leur chair. Maîtresse Aurore leur fit prendre le souper à part pour les préparer à la séance du lendemain.
Nouvelle séance SM
Maîtresse Aurore et Maître Tumba entrèrent dans la chambre à 09h00.
« Debout les esclaves ! A la douche et lavement de vos culs. » Dit Maître Tumba pendant que la Maîtresse déverrouillait leur collier.
Les trois esclaves entrèrent dans la douche commune. Elles se savonnèrent mutuellement et une par une allèrent aux toilettes pour exécuter leur lavement. Les deux esclaves qui se lavaient rirent ensemble des gargouillis venant des toilettes. Après une demi-heure, toutes trois étaient prêtes.
Maîtresse Aurore les emmena dans la salle de jeux. Les chaises spéciales du Maître avaient disparu. Des panneaux de bois étaient disposés devant les murs de pierres. Maître Tumba prit Sweet Pussy et l’amena devant un des panneaux.
« Monte sur cette estrade et dos au mur. »
Sweet Pussy s’exécuta et plaqua son corps contre le platelage bois. Maître Tumba en profita pour lui malaxer les seins et tirer sur ses anneaux. Sa main descendit aussi vers son sexe et il enfonça sans ménagement ses doigts sans son vagin. Il sortit ses doigts du sexe dans un bruit de succion. Il prit quelques bracelets, une visseuse et quelques vis auto foreuses qu’il déposa sur l’estrade en y montant. Il prit le bras droit de Sweet Pussy qu’il plaqua au-dessus de sa tête en angle. Maître Tumba prit un bracelet et sa visseuse. Il plaça le bracelet au poignet de l’esclave et vissa celui-ci sur le bois. Il fit la même opération avec son bras gauche. Maître Tumba posa un bracelet autour de son cou qu’il fixa également sur le panneau de bois. Il descendit de l’estrade pour observer ses fixations. Maître Tumba retira l’estrade de dessous les pieds de Sweet Pussy. Le poids de son corps se fit sentir dans ses bras et son cou. Maître Tumba fixa alors les jambes de l’esclave par les chevilles en les écartant pour que ses membres fassent un « X ». Il fixa alors sur le platelage bois, juste sous son sexe, une sybian machine équipée d’un plug à picots. Maître Tumba prit délicatement les lèvres intimes de Sweet Pussy pour les épingler par les anneaux sur les côtés de la machine.
Maître Tumba demanda à Lola de venir s’allonger sous Sweet Pussy. Il lui fixa les bras au sol et lui tira les jambes pour que son visage soit pile sous la sybian machine. Il fixa sur sa bouche un tuba se terminant par un entonnoir transparent, entonnoir que Maître Tumba fixa sous la machine par deux cordes. Il déclencha la sybian machine et on entendit un bruit de vibration. Sweet Pussy criait sous le rythme des vibrations. Il ne fallut pas attendre longtemps avant que Sweet Pussy ne jouisse comme une fontaine. Sa jouissance coulait sur le cuir noir de la machine et goutta dans l’entonnoir. Lola vit alors un liquide descendre du tuyau qui allait dans sa bouche. Elle avala le mélange de cyprine et d’urine qui déferlait du sexe de Sweet Pussy pendant que Maître Tumba pénétrait violemment son sexe avec ses doigts. Lola criait au travers du tuba. Pendant ce temps, Maîtresse Aurore avait posé des bracelets métalliques aux poignets et chevilles de N°1 et lui avait ordonné de se mettre à quatre pattes au sol. Elle fixa ses poignets et ses chevilles au sol. Maîtresse Aurore amena une fucking machine et vint la placer devant le cul de N°1. Maîtresse Aurore prit un tube de gel et enduisit le plug de bonne taille qui était fixé au bout du piston de la machine. Puis elle avança de nouveau la machine pour que le plug pointe juste sur l’anus de N°1. Après un petit réglage de hauteur, Maîtresse Aurore enfonça d’un seul coup le plug dans le cul de l’esclave qui cria sous l’intromission. Maîtresse Aurore appuya sur l’interrupteur de la machine qui commença alors à pistonner régulièrement N°1. Maîtresse Aurore tourna alors le potentiomètre de la commande. La machine accéléra alors le rythme de ses allers et venues dans le fondement de l’esclave. N°1 sentait le plug cogner dans ses intestins comme si il allait lui perforer le ventre. Ses fesses et son ventre bougeaient au rythme de la machine. Maître Tumba délaissa Lola pour venir s’occuper de N°1. Il prit un martinet et commença à frapper légèrement les fesses de N°1 qui ne devaient pas bouger pour ne pas être blessée par le pilonnement de la machine. Maître Tumba dégrafa son pantalon et présenta sa queue à N°1 qui l’emboucha et commença à le sucer.
N°1 mit fit montre d’une telle ardeur à sucer le sexe de Maître Tumba, qu’il ne lui fallut que quelques minutes pour gicler dans sa bouche. Maître Tumba prit deux brins de corde et commença à entourer les énormes seins de Sweet Pussy. Il prit les bouts de corde qu’il passa dans deux anneaux fixés au plafond. Il tira sur les brins pour que ses seins soient tendus vers le haut. Puis il prit deux autres cordes et les passa dans les piercings de ses tétons et les attacha à la fucking-machine après avoir stoppé celle-ci. Il régla les brins de cordes et mit le piston en position de sortie du cul de N°1. Lorsque Maître Tumba remit en route la machine, à faible allure, Sweet Pussy sentit ses tétons s’étirer lorsque le plug entra dans le cul de N°1. Maître Tumba tourna lentement le bouton de vitesse de la machine. Sweet Pussy poussait un cri à chaque étirement de ses tétons. Lola, quant à elle, n’arrivait plus à boire la jouissance de Sweet Pussy car le tuyau se remplissait doucement. La jouissance de Sweet Pussy coulait de ses lèvres.
La séance continuait et les trois esclaves commençaient à fatiguer, de par leur posture mais aussi parce que cela faisait déjà plus de 20 minutes que N°1 se faisait enculer mécaniquement par la fucking-machine, que Sweet Pussy recevait les vibrations de la sybian machine et que Lola, enfin, attachée à même le sol buvait les giclées de jouissance de Sweet Pussy.
Quelques minutes plus tard, Maître Tumba et Maîtresse Aurore stoppait la fucking-machine et la sybian-machine.
Il retira le tuyau de la bouche de Lola qui toussa et rota grossièrement, ce qui fit rire Maître Tumba. Maîtresse Aurore ôta tous les équipements des esclaves, les libéra de leurs liens et leur ordonna d’aller dans la chambre.
Les trois esclaves marchaient doucement tellement leurs membres étaient endoloris. N°1 marchait tel un canard comme si elle avait encore le plug qui lui distendait le cul.
Une fois dans la chambre et attachées par leur collier à la tête de lit, Maîtresse Aurore jeta sur le lit un tube de pommade cicatrisante et apaisante pour leurs orifices.
« Je ne veux pas vous entendre ! »
Lorsque Maîtresse sortit de la chambre, N°1 prit le tube de crème et mit une noisette de crème sur sa chatte et une sur son anus.
« Vous feriez mieux d’en faire autant car je pense que la journée de demain sera identique à celle d’aujourd’hui. »
« Pourquoi ? » demanda Lola.
« Parce que les Maîtres sont là. » Ils ne vont pas se priver de nous faire subir des épreuves aussi avilissantes les unes que les autres…Sweet Pussy, j’ai mis de la crème sur mon cul mais peux-tu me le malaxer car je suis trop fourbue pour le faire ».
« Oui N°1, je m’en occupe. »
N°1 se mit à quatre pattes et Sweet Pussy posa délicatement son index sur l’anus et étala la noisette de pommade.
Les propriétés analgésiques de la crème ne tardèrent pas et N°1 commença à se sentir bien et le signifia par des humm de contentement. L’anus de N°1 s’ouvrit sous les douces caresses de Sweet Pussy. Elle appuya son doigt qui s’enfonça doucement dans son fondement. N°1 mordait son index gauche pour ne pas crier ni manifester son plaisir.
Elle faisait aller et venir son bassin pour se pénétrer l’anus. Sweet Pussy colla son majeur à son index et introduisit ses deux doigts. Sentant sa jouissance venir, N°1 se retira et fit volte-face. Elle prit les chevilles de Sweet Pussy et l’allongea sur le lit. Elle lui écarta les jambes et approcha sa bouche du sexe de Sweet Pussy. N°1 se mit à lécher doucement les lèvres annelées de Sweet Pussy qui gémit doucement. N°1 jouait avec les piercings de sa langue et ceux des lèvres de Sweet Pussy. N°1 trouva le capuchon piercé et aspira lentement le clitoris. Sweet Pussy soufflait et se pinçait les lèvres. Ses mains se posèrent sur ses énormes seins marqués par la cravache de Maître Tumba. Lola ne resta pas longtemps inactive et vint embrasser Sweet Pussy sur la bouche dans un baiser langoureux et profond. La bouche de Lola quitta celle de Sweet Pussy. Lola se leva et vint se positionner à califourchon sur le visage de Sweet Pussy, celle-ci lécha alors le sexe de Lola qui bougeait ses hanches en se tenant à la tête de lit. Sweet Pussy voyait se reflétait dans le miroir du plafond le crâne de Lola. C’est par un cri strident que Lola manifesta son orgasme sous les caresses buccales de Sweet Pussy. En entendant jouir Lola, N°1 enfonça ses doigts dans la chatte de Sweet Pussy et la lima violemment. Sweet Pussy jouit abondamment en giclant sur les draps et la main de N°1.
« A votre tour maintenant ! Je veux aussi jouir moi ! » Dit N°1.
Lola libéra Sweet Pussy, n°1 s’allongea sur le lit et Lola se mit en levrette et commença à lécher N°1.
Sweet Pussy voyant le cul de Lola se trémousser, enfonça un doigt dans son anus. Lola poussa un petit cri en se dégageant du sexe de N°1 mais cette dernière serra la tête entre ses mains pour l’empêcher d’arrêter de lécher son sexe. Sweet Pussy enfonça alors un second doigt, puis un troisième. Lola gloussait dans les lèvres de N°1. Sweet Pussy enfonça alors sa main dans le fondement de Lola et lui travailla le cul. Lorsque N°1 jouit sur le visage de Lola, la « fête » se termina par des baisers langoureux.
Désobéissance et punition
C’est alors que Maîtresse Aurore entra dans la chambre.
« Je ne voulais pas vous entendre et vous vous gouinez après une séance comme celle que vous venez de subir. Je vais vous réserver une bonne surprise, vous allez voir, petites merdeuses ! »
Maîtresse Aurore sortit en claquant violemment la porte, ce qui interloqua les trois esclaves qui se regardèrent, inquiètes.
Lola prit le tube qui traînait sur le lit et s’enduisit aussi les orifices. Sweet Pussy pressa le tube et déposa une noisette de crème sur son index et malaxa son anus de crème apaisante. Après quelques minutes, elle fit de même avec son sexe et déposa le tube sur la table de nuit. Les trois esclaves s’endormirent collées l’une à l’autre comme l’aurait fait des enfants pour se rassurer.
Les trois esclaves furent réveillées par Maîtresse Aurore. Elle les libéra de leur collier.
« Douche, lavement et petit-déjeuner. Au trot ! » Dit-elle fortement. Les trois esclaves furent surprises du ton que Maîtresse Aurore avait employé et se regardèrent inquiète car cela n’augurait rien de bon pour la journée.
Les trois esclaves se douchèrent en silence. Même si elles se savonnaient mutuellement, elles ne perdirent pas de temps en caresse ni à se savonner langoureusement. Elles prirent ensuite chacun leur tour la poire à lavement et vidèrent leur cul. L’intromission de la poire se fit avec délicatesse pour les trois esclaves car les piqûres d’aiguille se firent encore ressentir.
Lorsqu’elles arrivèrent à table un copieux petit-déjeuner les attendait. Elles montrèrent de nouveau leur interrogation et se regardèrent.
Une demi-heure plus tard, la collation terminée, et de retour dans leur chambre, Maîtresse Aurore entra avec Maître Tumba.
« Maître Tumba va s’occuper de chacune d’entre vous aujourd’hui. »
« Oui, Maîtresse Aurore m’a dit que vous batifoliez hier soir dans votre chambre. Vous n’en avez pas eu assez alors je vous emmène quelque part où vous serez toutes les trois comblées.
Maîtresse Aurore apporta trois paires d’escarpins noirs à haut talons, trois paires de bas auto-fixant, trois imperméables et trois colliers avec laisse.
« Mettez chacune ça et vous partez avec Maître Tumba. »
Maître Tumba regarda les trois esclaves enfiler les bas, se chausser de leurs escarpins, poser le collier métallique autour du cou et mettre l’imperméable crème pour cacher leur nudité.
Elles suivirent Maître Tumba qui monta dans un fourgon. Maîtresse Aurore voulut leur attacher le cou mais Maître Tumba fit signe que cela n’était pas la peine. Le fourgon démarra. Les esclaves regardaient la ville de liège défiler à travers la vitre. Le temps était menaçant, et à l’horizon, des éclairs illuminaient de temps à autre un ciel bien gris. Le paysage urbain se transforma peu à peu en zone industrielle puis en chantier autoroutier. Le fourgon emprunta un accès de chantier en terre et s’arrêta devant une guérite de laquelle sortit un gardien. Le gardien s’approcha du véhicule et reconnu Maître Tumba.
« Bonjour Monsieur Tumba. »
« Bonjour Sam. Pas de problème ? Tout va bien ? Pas d’effraction cette semaine ?3
« Non c’est calme depuis que j’ai Baxter. Plus aucun vol à déplorer. Je vous ouvre. »
« Merci Sam. Passez à la baraque 1 d’ici une heure ou deux. »
« Oui, je n’y manquerai pas. »
Le gardien ouvrit la barrière et Maître Tumba se dirigea vers les bungalows. Il gara le fourgon Non loin d’un bungalow qui portait l’inscription B1. Maître Tumba descendit de son véhicule, ouvrit la porte.
« Sweet Pussy, descends ! »
Sweet Pussy descendit du véhicule et Maître Tumba empoigna Sweet Pussy et l’emmena vers le bungalow B1. Les deux esclaves virent Maître Tumba ouvrir la porte. Sweet Pussy et Maître Tumba entrèrent et disparurent de leur vue. Lorsque Sweet Pussy pénétra dans le bungalow, elle vit alors une vingtaine de black attablés, certains jouant aux cartes, d’autres à discuter du pays. Maître Tumba referma la porte derrière lui, tenant toujours Sweet Pussy par le bras.
« Bonjour messieurs. »
« Bonjour Chef. » dirent pratiquement ensemble les blacks.
« Cette demoiselle a le feu au cul et sera donc à votre disposition pendant trois heures. Vous pouvez lui faire tout ce qui vous passera par la tête. » Dit Maître Tumba en avançant au milieu de la salle. Il passa ses mains autour du cou de Sweet Pussy et tira sèchement sur l’imperméable dont les boutons sautèrent sous l’effort découvrant le corps de l’esclave et surtout ses énormes seins siliconés.
Des sifflets retentirent dans la salle, quelques hommes se levèrent et s’approchèrent de Sweet Pussy pour lui toucher le corps. Elle prit peur et recula quelque peu. Elle sentit la prise de Maître Tumba s’intensifier autour de son bras et vit ses yeux lui intimer l’ordre de ne pas bouger.
« Cette pute est à vous, bonne bourre ! » Dit Maître Tumba en tournant les talons. Il sortit du bungalow et laissa Sweet Pussy aux mains des ouvriers.
Maître Tumba retourna au fourgon, ouvrit la porte :
« N°1, suis-moi ! » Dit-il en lui prenant le bras.
Ils traversèrent le parking, se dirigèrent vers un bungalow portant la mention B2 et y pénétrèrent. Maître Tumba laissa N°1 aux mains d’ouvriers comme il l’avait fait pour Sweet Pussy.
Maître Tumba retourna une dernière fois à son véhicule et prit Lola.
« Toi, tu viens avec moi, tu vas savoir ce qu’il en coûte de désobéir à un ordre. »
« Pitié Maître, je ne recommencerais plus, je vous en prie. » Dit Lola en pleurant et reniflant. Maître Tumba sortit Lola de force et ils se dirigèrent tous deux vers le bungalow B3.
Sweet Pussy fut entourée de la vingtaine de black qui la regardait avidement. L’un d’entre eux prit la parole :
« A genoux salope, mains sur la tête et écartes tes cuisses ! »
« Bien parlé, chef. » dit un black habillé d’un short et d’un tee-shirt bleu avec deux auréoles aux aisselles et d’une propreté douteuse.
Sweet Pussy obtempéra sans attendre et se mit en position. Le chef du baraquement s’approcha de Sweet Pussy.
« Tu as entendu Maître Tumba ? Tu vas faire tout ce qu’on t’ordonnera, compris ? » Dit-il en lui pinçant le téton droit. Sweet Pussy répondit un oui à peine audible dû à la douleur qui montait dans sa poitrine. Le chef ouvrit son pantalon et sortit sa verge noire à demi tendue, mais déjà de bonnes dimensions.
« Suce salope ! »
Sweet Pussy emboucha le sexe présenté. Elle eut du mal à faire pénétrer cette bite qui dégageait une forte odeur de pisse et de sueur. Elle eut des spasmes de dégoût qui énerva le black. Il sortit son sexe de sa bouche et la gifla tellement fort que Sweet Pussy tomba à la renverse. Il la reprit aussitôt par la laisse qui pendait de son collier et d’un regard mauvais et le visage déformé par la méchanceté : »
« Tu vas me sucer la bite, sinon je t’éclate les dents ! »Dit le chef en lui collant son poing contre sa joue droite.
« Oui Monsieur. » Dit Sweet Pussy entre deux sanglots. Il lui présenta sa bite à nouveau et Sweet Pussy emboucha doucement le sexe malodorant. La bite durcissait dans la bouche de Sweet Pussy et le black souriait de plaisir.
« Allez les amis, venez tous vous taper cette pute. »
Les blacks ne perdirent pas de temps et se déshabillèrent tous. Deux d’entre eux présentèrent leur sexe et Sweet Pussy les prit dans chaque main. Un autre s’agenouilla derrière elle et commença à lui triturer la chatte et le cul. Deux autres malaxaient durement ses gros seins pendant que les autres se branlaient en attendant leur tour. L’un de ceux qui se branlaient alla chercher un matelas et le jeta au sol près du groupe. Tous arrêtèrent leur action. Le chef tira Sweet Pussy par sa laisse et la plaça au milieu du matelas, à genoux. Un noir s’allongea sous Sweet Pussy. Le chef présenta à nouveau son sexe à Sweet Pussy qui l’engloutit et reprit ses mouvements de succion. Le noir qui se trouvait sous l’esclave prit sa bite et l’enfourna d’une seule traite dans sa chatte. Un cri étouffé sortit de sa bouche. Un autre black vint se positionner derrière Sweet Pussy et s’accroupit. Sweet Pussy sentit qu’une bite touchait son anus et écarquilla les yeux lorsque le sexe pénétra son cul. Elle sortit le sexe de sa bouche pour crier. La bite était tellement grosse qu’elle pensait qu’on lui ouvrait le cul en deux. Les piqûres d’aiguilles de la veille y étaient aussi pour beaucoup. Le chef du baraquement prit la tresse de Sweet Pussy et elle reprit sa bite en bouche. Elle était prise par les trois trous et branlait aussi des sexes avec ses mains. Un black essaya même de pénétrer sa bouche alors qu’elle avait déjà une bite à sucer. Les trois sexes noirs allaient et venaient en elle. Une main tira sur sa tresse, Sweet Pussy se retrouva la tête en arrière bouche grande ouverte. Deux blacks qui se branlaient déposèrent dans un cri de plaisir leur giclée de sperme dans la bouche de leur esclave.
« Avale, pétasse ! »
Sweet Pussy ne put qu’obéir à l’ordre salace.
Deux autres blacks vinrent alors de chaque côté du visage de Sweet Pussy. Ils firent signe à leur compagnon qui l’enculait de s’arrêter. Celui-ci tira la tresse de Sweet Pussy et elle se retrouva avec la tête basculée, bouche ouverte. Les deux blacks se branlaient toujours et de leur main libre, ils tirèrent sur les paupières de Sweet Pussy pour lui ouvrir les yeux en grand. Les blacks approchèrent leur sexe sur les yeux de la pauvre esclave et déchargèrent leur giclée de sperme dans ses yeux qu’elle ne pouvait plus fermer. Ils rirent tous aux éclats de voir les yeux de Sweet Pussy remplis du produit de leur jouissance. Le black qui avait toujours son membre dans le cul de Sweet Pussy reprit ses mouvements. Celui qui se trouvait sous elle avec la bite dans sa chatte sentit venir son plaisir. Ses mains lâchèrent ses hanches pour venir pincer ses tétons annelés. Il les pinça si fort lorsqu’il déchargea sa salve dans sa chatte que Sweet Pussy hurla de douleur. Le black qui l’enculait sentit le cul de Sweet Pussy se resserrer autour de sa bite par la douleur et elle le fit jouir dans ses intestins. Le festival continua et les bites défilèrent dans sa chatte, dans son cul et dans sa bouche. Les vingt blacks avaient joui dans ou sur elle. Lorsqu’ils avaient joui, ils allaient s’assoir et regardaient envieux leurs copains défoncer l’esclave sur le matelas en buvant une bière ou un whisky et en parlant de Sweet Pussy de manière grivoise la rabaissant plus bas que terre. Tout en suçant une bite et en se faisant défoncer le cul et la chatte, elle entendait les hommes la traiter de putain, de raclure ou de vide-couille bonne qu’à se faire baiser.
Le sexe des premiers à s’être épanché en elle reprirent de la vigueur à regarder ce spectacle sexuel. Ils retournèrent au matelas et branlaient leur bite attendant que leurs compagnons en aient fini avec Sweet Pussy. Trois nouvelles bites prirent place dans les orifices de Sweet Pussy. La porte du baraquement s’ouvrit et un homme en uniforme tenant un Rottweiler en laisse entra. Dehors, la pluie tombait et le tonnerre grondait.
« Vous auriez pu me prévenir qu’il y avait une pute ici pour l’après-midi. »
« Viens Sam, viens baiser cette pute. »
Sweet Pussy, tout en suçant une bite, regarda le chef du baraquement parler au gardien de sécurité.
Le gardien attacha son chien à un poteau du baraquement et commença à se déshabiller en déposant soigneusement ses vêtements dégoulinant sur une chaise. Lorsqu’il se retrouva nu, il s’approcha de la bande qui attendait de passer sur l’esclave. Lorsque celui qui l’enculait joui dans un râle bestial, le chef dit :
« Allez Sam, viens lui mettre ton zgeg dans son cul de pute. »
Le gardien ne se fit pas prier et se mit derrière Sweet Pussy pointant sa bite contre son anus.
Et c’est sans ménagement qu’il enfonça sa bite, d’une seule traite, dans le fondement de Sweet Pussy qui hurla à nouveau. Il lima Sweet Pussy qui ahanait tout en suçant une autre bite qui s’était présentée devant sa bouche.
Le gardien commença à sentir le plaisir monter et enfonça son sexe jusqu’à la garde lorsqu’il éjacula dans les intestins de l’esclave. Il se retira et essuya sa bite sur les fesses tatouées de Sweet Pussy.
« Ahhh, c’est toujours bon d’enculer une pute sans payer !!! Attendez, on va mettre un peu de piquant au spectacle. »
Le gardien sortit sa bite du cul de Sweet Pussy et alla délier son chien. Les blacks comprirent de suite où il voulait en venir et libérèrent les orifices de Sweet Pussy. Elle voulut se relever pensant qu’ils en avaient fini avec elle.
« Toi, tu bouges pas salope ! »
Le gardien présenta à la vue de Sweet Pussy son Rottweiler.
« Non, je vous en prie pas ça ! »
En disant cela, Sweet Pussy se relevait pour échapper à l’ignominie que le gardien voulait lui faire subir. Les deux blacks la retinrent en lui bloquant les bras et la mirent à genoux.
Le gardien s’avança et le chien commença à lécher le visage de Sweet Pussy qui détournait la tête. Il tapota sur la tête de son chien et celui-ci se coucha sur le matelas sur le dos. Les blacks obligèrent Sweet Pussy à abaisser la tête en lui tordant les bras. Elle se retrouva la bouche coller au sexe du chien.
« Suce-lui la bite, pétasse ! » Dit le chef du baraquement en appuyant sur le crâne de l’esclave.
« Non ! » Fit Sweet Pussy en tournant la tête pour éviter de toucher le sexe du Rottweiler.
« Suce-le salope, ou ton cul va encore dérouiller. »
Le chef du baraquement s’avança et prit la tresse de Sweet Pussy pour diriger son visage et sa bouche vers l’organe génital du chien. Sweet Pussy ouvrit la bouche, sortit sa langue piercée et suça le sexe canin. Le chien haletait de bonheur. Le sexe du chien sortit de son fourreau. Le gardien tira sur la laisse et alla derrière Sweet Pussy qui comprit qu’elle allait se faire pendre par le molosse.
« Mettez-la en position pour que Baxter puisse prendre sa chienne. » Dit le gardien en riant aux éclats.
Les deux blacks qui tenaient toujours les bras de Sweet Pussy, l’obligèrent à poser sa tête contre le matelas, ce qui souleva ses fesses. Le chien léchait la chatte et le cul de Sweet Pussy. Son Maître tira sur sa laisse et le chien se cambra pour mettre ses deux pattes avant sur le dos de Sweet Pussy. Lorsque le chien fut à bonne hauteur, le gardien dirigea le sexe du chien vers le cul de l’esclave. Elle sentit le sexe canin entrer dans son cul et après plusieurs va et vient, le collet gonfla et le sexe fut calé pour ne plus bouger. Le chien était aux anges et après de longues minutes, il se désaccoupla de Sweet Pussy.
Le sperme du chien coulait de son anus dans un bouillonnement auditif qui fit éclater de rire tous les hommes, anus qui restait ouvert avec toutes les pénétrations qu’il venait de subir.
Le gardien récupéra le sperme du chien dans sa main. Les deux blacks comprirent et relevèrent la tête de Sweet Pussy lui tirant également sa tresse. Le gardien présenta sa main pleine de liquide à la bouche de Sweet Pussy et déversa son contenu dans sa bouche grande ouverte.
« Avale salope ! »
Sweet Pussy avala ce mélange de liquide séminal, homme et chien. Lorsqu’elle eut tout avalé, le black lâcha la tresse et Sweet Pussy s’affala sur le matelas. Le chef du baraquement parla à l’oreille de son voisin qui sortit de la salle. Il revint deux minutes plus tard avec des cordes à la main. Le chef du baraquement et trois autres se levèrent. Le chef du baraquement prit Sweet Pussy par le bras et la traîna vers une table du réfectoire. Il écarta d’un coup de pied les deux chaises qui se trouvaient sous la table et força Sweet Pussy à poser son torse sur celle-ci. Il maintint son visage collé sur le plateau de la table pendant que l’homme lui attacha les poignets aux deux pieds de table, puis ses chevilles aux deux autres pieds. Sweet Pussy se retrouva les bras et les jambes largement écartés, sa chatte et son cul grands ouverts à la vue des blacks avec pour seule vue la paroi peinte du bungalow. Le chef du baraquement ôta la ceinture en cuir du pantalon du gardien et se positionna derrière Sweet Pussy. Les autres se levèrent et se mirent en file indienne derrière le chef. Le silence se fit dans le réfectoire. Le chef leva son bras et asséna un coup de ceinture sur les fesses de Sweet Pussy qui hurla sous la douleur. Ses fesses tressautèrent immédiatement et une marque rouge de la largeur de la bande de cuir apparut sur les fesses de l’esclave. On n’entendait plus que le souffle de Sweet Pussy dans la salle entre ses sanglots. Le chef passa la ceinture au black qui attendait derrière lui. Le second coup de ceinture vint s’abattre sur sa fesse droite. Sweet Pussy hurla de nouveau. Le troisième homme prit la ceinture et zébra son dos. Le quatrième coup s’abattit sur sa fesse gauche. Les cris et coups de ceinture alternèrent jusqu’au dixième coup.
Le chef fit signe à deux hommes et ceux-ci détachèrent Sweet Pussy pour la mettre dos sur la table et l’attachèrent à nouveau. Cette fois-ci, Sweet Pussy allait voir les coups arriver. Le onzième homme prit la ceinture et projeta celle-ci sur le sein gauche. Le douzième coup fut pour le sein droit. Le treizième coup fit hurler Sweet Pussy comme une bête blessée pendant de longues secondes car l’homme s’était mis derrière la tête de Sweet Pussy et asséna son coup de ceinture sur sa chatte annelée. Son ventre reçut aussi un coup et ses cuisses ne furent pas en reste.
« Voilà comment on traite les putes dans la jungle profonde du Congo. »
Les hommes la détachèrent de la table. Sweet Pussy glissa lentement pour s’affaler au sol. Elle n’était plus qu’une loque humaine toute endolorie. Deux hommes la saisirent par les bras et la traînèrent au sol vers la sortie. Un autre ouvrit la porte du bungalow. Les deux hommes sortirent du bungalow et jetèrent littéralement Sweet Pussy sur le sol boueux suite à la pluie de la journée. Elle se retrouva la face dans la boue. Un des hommes, avait l’imperméable et les escarpins de Sweet Pussy. Il jeta l’ensemble vers Sweet Pussy. Les chaussures s’enfoncèrent dans la boue et l’imperméable se posa doucement près d’elle. Sweet Pussy rampa péniblement jusqu’à son manteau et posa sa tête sur celui-ci en le serrant de ses mains comme pour chercher un peu de sérénité après les terribles moments qu’elle venait de vivre et pour apaiser quelques peu les douleurs de son corps. Dans le baraquement, les blacks riaient et trinquaient au bon moment qu’ils venaient de passer.
Le fourgon de Maître Tumba arriva près de Sweet Pussy et en virant le fourgon envoya une gerbe d’eau et de boue sur le corps de Sweet Pussy. Maître Tumba recula en direction de l’esclave, il descendit du fourgon et ouvrit les portes arrières.
« Dépêche-toi, on n’a pas toute la journée et tu montes dans le coffre, tu ne saliras pas mes sièges ! » Dit Maître Tumba en voyant Sweet Pussy se lever péniblement pour aller vers le fourgon.
Au moment où Sweet Pussy montait doucement dans le fourgon, on entendit crier un peu plus loin :
« Fout moi le camp espèce de sale pute ! »
Maître Tumba se retourna et vit deux hommes jeter N°1 hors de leur baraquement. Peu après ce fut au tour de Lola d’être jetée du baraquement dans lequel Maître Tumba l’avait amené.
Maître Tumba remonta dans son fourgon et se dirigea vers N°1, puis Lola pour les faire monter à l’arrière du véhicule. Il démarra en trombe et quitta la base vie du chantier.

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