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un chien qui s’ignore 21

un chien qui s’ignore 21



Je revins à moi. J’étais couché sur le côté au sol, sur le carrelage. Je sentais de mon cul dilaté couler librement des restants de gel.
C’est le bruit du karcher qui m’avait réveillé.
Je me remis à 4 pattes péniblement, j’étais perclus de fatigue. Maitresse Ophélie m’arrosa copieusement pour me nettoyer.
Le sol était à nouveau propre et je dégoulinais.

Une sonnette retentit et la porte s’ouvrit.

‘Horace, tu arrives juste à point. Je viens de le nettoyer, il est prêt à partir’

Tout à coup ce prénom me remémora la discussion de mes 3 maitresses à propos d’un Horace. Apparemment il baisait ma femme régulièrement.
Je levai la tête et vis un homme basané assez petit mais trapu, très propre sur lui. Brun les cheveux coiffés en arrière qu’il coiffait régulièrement de sa main droite ornée de nombreuses bagues. L’homme portait une chemise blanche ouverte sur une chaine en or et un poitrail velu, un pantalon à pinces et une paire de chaussure de luxe. Connaissant les gouts de ma femme, je compris qu’elle avait craqué pour ce dandy sportif au regard ténébreux.
Sans un regard pour moi, il alla faire la bise à maitresse Ophélie.

‘Salut Ophélie ! Je me suis garé à côté, tout est prêt’
– Ok parfait, on pourra le charger dans sa caisse discrètement. Moi j’ai pu m’amuser une dernière fois avec cette crevure. Il est à point, hein mon Rex ? Tu t’es bien fait défoncé, hein ?’

Elle s’adressait à moi comme à un chien stupide et montrait fièrement les bites qui m’avaient mises dans cet état. Ils discutaient de moi et je n’y prêtais plus attention. De plus en plus de détails de conversation m’inquiétaient.

Je sursautais quand quelques instants plus tard, maitresse Ophélie m’appela.
Je me dirigeais vers eux et vis l’homme qui avait enlevé son pantalon et caressait son sexe en me regardant amusé.
‘Viens là, viens me la sucer, trou à bites. Tu sais que je baise ta pute de femme ? Allé viens je vais te dire si tu pompes aussi bien que cette grosse salope’

J’ouvrais la bouche machinalement pour accueillir son sexe qui commençait à bander. Cela faisait longtemps que je n’avais pas sucé de bites et j’avoue que ça me manquait. J’avais pris gout au sperme, aux félicitations de mes maitresses, même aux insultes des hommes qui finissaient par jouir dans ma gorge…
J’étais devenu leur vide couille qu’ils appréciaient. J’avais fini par prendre du plaisir à les voir bander et provoquer leur jouissance.

Là c’était différent, l’homme baisait ma femme et j’avais encore du mal à l’accepter.
Il grossissait dans ma bouche et je retrouvai mes gestes pour l’amener rapidement à jouir au fond de ma gorge. Mais il m’arrêta et pris les choses en main en me maintenant la tête.
Son sexe avait encore pris du volume. Il n’avait rien à envier aux plus grosses que j’avais déjà sucé. Il était épais et d’une longueur impressionnante. Comme s’il avait suivi ma pensée, Horace en m’enfournant sa bite à fond, ses couilles sur mon menton :

‘Alors elle te plait ? Ta femme en raffole, en tout cas ! Quand je l’ai baisée de tous les côtés, elle en veut encore cette pute !’

A ma grande honte, cela m’excitait. D’autant plus que je reconnaissais le gout de sa bite. Je me rappelai que j’ingérais depuis longtemps son sperme mélangé à mes croquettes ! Ma femme veillait toujours à garder des fonds de capotes à me faire partager, malgré moi. Je me surpris à savourer le fait de pouvoir enfin gouter cette bite dont j’avalais régulièrement la semence.

‘Hum, mais tu aimes ça, Nolwenn a pas raconté des cracks. Quelle bonne pompeuse tu fais’
Il me sortit sa queue toute veinée et dégoulinante de ma bouche. Je repris une bouffée d’oxygène.
‘Sois pas si pressé, tu l’auras ta giclée de sperme. On a tout notre temps ! Hein Ophélie, le yacht est à quelle heure ?’

Le yacht ? Quel yacht ??
Il me la r enfourna, tout en lui parlant. Ophélie nettoyait et rangeait son matériel pour rendre la salle propre.

‘Vas y Horace, profite de ce porc. On doit leur livrer dans sa caisse de transport ce soir, le voyage jusqu’à Casablanca se fera la nuit. C’est plus prudent avec les gardes côtes’

Je profitais de respirer à nouveau, sa bite avait quitté ma gorge meurtrie. Je tournais la tête vers maitresse Ophélie abasourdi. De quoi parlaient-ils ? Casablanca ?
Une gifle monumentale faillit me faire tomber.

‘ Concentres toi sur ma bite et rien d’autre, salope’

Il m’enfourna sa bite au fond de la gorge et me la maintint. Il s’adressa à maitresse Ophélie :

‘Ta pute de Rex est apparemment pas au courant, qu’elle change de propriétaire ‘ ‘Mmmmh que c’est bon, ça ‘
Il se retira dans un flot de salive.J’ haletais.
Maitresse Ophélie s’était rapproché. Elle se baissa à mon niveau, ses seins énormes en évidence.

‘C’est vrai ça ? Oh quel dommage, tu n’auras pas eu le temps de dire adieu à ta femme, ni à tes maitresses Nolwenn et Laurence. Oui ce soir tu pars pour Casablanca, ensuite la Mauritanie. On a pu te vendre pour 1500 € à un réseau d’esclave. Vu ton âge c’est bien payé. Tu devrais t’y plaire, d’après ce que Laurence à compris, ils organisent des tournantes avec des chiens et des ânes. Ton propriétaire nous a promis de nous envoyer une vidéo. Avec ce que je t’ai fait, l’âne va t’enculer sans toucher les bords !!’

Horace accélérait la cadence, sans doute excité par les propos de maitresse Ophélie.
Elle reprenait, tout sourire, visiblement satisfaite de ma réaction de frayeur. Horace m’écrasait mes pattes avant atrophiées, sous ses chaussures et reprenait à me baiser de sa bite infatigable.

‘De toute façon, ta situation était foutue ici. Ton employeur t’a envoyé un dernier courrier pour t’annoncer ton licenciement pour abandon de poste. C’est vrai que tu étais très occupé, tu n’as pas pu retourner travailler. Ce n’est pas grave, Nolwenn a pris ton poste. Elle est montée en grade, ton ancienne stagiaire. Ton ancien patron est très très satisfait de ses compétences…Tu sais bien qu’elle les piège comme elle veut ! ’

Horace me présentait ses couilles à lécher. Sa bite prête à exploser était superbement veinée. Je léchais l’ensemble après qu’il m’eut lancé une gifle, déconcentré par les révélations de maitresse Ophélie.

‘Du coup, ton salaire n’existe plus. Ta femme en a bien profité. Tu as bien vu le nombre d’escarpins et de bottes qu’elle s’est achetées. Faut voir sa lingerie. Quelle conne, elle croyait mener la grande vie et s’envoyer en l’air.’
Elle se tourna vers Horace, qui soufflait de plaisir sous ma langue assidue.

‘Tu as des nouvelles d’Andrej au fait ?’
Horace repris sa bite en main, et me l’enfourna à nouveau à fond de gorge. Surpris j’eus un haut le cœur, mais il bloquait ma nuque et mes mains.

‘Hmmf ! Oui, hier… Ils est …bien content de sa …nouvelle pute…bien soumise’
Maitresse Ophélie se tourna vers moi, le regard amusé.
‘Tu te souviens d’Andrej ? …Son chien Tex t’a laissé un bon souvenir m’avait dit Nolwenn. ‘
‘On lui a refilé ta belle femme, toute fière avec ses talons, ses bas et ses guêpières. Ah ma sœur a toujours été très naïve ! Elle a rien vu venir, la conne. Horace la prise en main comme il faut. Il l’a fait monter aux rideaux et là, patatras, elle se retrouve dans une cabane de chantier à servir de vide couille tous les soirs.’

Horace soufflait et me ramonait la bouche, ses couilles gonflées butant sur mon menton. Des bruits réguliers de salive accompagnaient ses râles. Je n’étais que son réceptacle à sperme, il ne se souciait que de son plaisir. Des flots de bave coulaient sur mon cou.
Maitresse Ophélie s’était tu et appréciait ce moment, tout sourire, à quelques centimètres de moi.
Horace explosa dans ma bouche en se reculant, son sperme remontait dans mon nez, emplissait ma gorge. Il essuya sa bite sur mon crâne rasé, j’avalais son éjaculat et nettoyais mes lèvres de ma langue.

‘Beau travail, Rex ! C’est vrai que les marocains vont être content de toi !’

Pendant que je reprenais mon souffle, elle continuait à me dévoiler encore plus sa stratégie de démolition.

‘Ah oui pour ta femme ça non plus tu le savais pas ? j’oubliais que tu avais passé quelques semaines dans le noir…
‘Tu sais bien que ma sœur et moi, on s’entendait pas du tout. On avait beau travailler dans la même boite, j’étais toujours considérée comme la grosse de service. Alors qu’elle avec sa silhouette de Barbie et ses manières de bourgeoise, elle est passé chef du service, puis directrice. A mon avis, elle a du sucer ! J’ai bien plus d’expérience qu’elle pourtant ! Mais les gens n’aiment pas mon parlé cash. Alors elle a tout fait pour me mettre des bâtons dans les roues.’
‘Bref, quand tu as voulu te faire Nolwenn, la nièce de Laurence, Laurence a vu rouge. On a donné toutes les instructions à ma conne de sœur, pour qu’elle te piège. Ce qu’elle a pas du tout pigé, c’est qu’en nous débarrassant de toi, la place était libre pour l’arrivée de Roméo.’

Je regardais, incrédule Maitresse Ophélie, et commençais à comprendre leur plan machiavélique. Ma maitresse femme n’avait été que manipulée, tout comme moi.

‘Et Roméo, ne s’est pas fait prié ! Hein Horace !
– Je veux ouais ! Tu m’as appelé tout de suite, alors je l’ai suivi. Quand j’ai commencé à l’appâter en boite, elle faisait son effarouchée. J’ai rien pu faire le premier soir. Mais je savais que cette bonnasse était en manque de sexe. Il fallait d’abord la flatter, lui faire sentir qu’elle était encore bonne pour son âge Tu sais faut savoir laisser le poisson frétiller avant de mouliner.
– Quel poète cet Horace…
– Faut voir le deuxième soir quand elle s’est ramenée avec sa robe en cuir et ses bottes. Là je me suis dit, c’est bon, celle là je vais la secouer à mort. J’y suis allé doucement hein, avec une femme mariée depuis 20 ans, faut jouer du violon.
– Et en plus fin psychologue !
– Sur la piste de danse, les potes que j’avais briffés, commençaient à se frotter et la peloter. Elle en pouvait plus, mais elle prenait peur. Je l’ai amenée à ma table, on a parlé et je l’ai fait picoler. Bref je l’ai ramené chez elle et je l’ai baisée à mort. Elle hurlait comme une chienne.
– Ça a du la changer de son gros con de mari !
– Tu l’as dit, elle est devenue accro à ma bite. J’ai commencé à la prendre en main. Je lui ai fait comprendre qu’avec moi c’était porte jarretelle et talons aiguille.
– Ça, on a bien vu qu’elle se sapait comme une pute à la fin !
– Eh oui c’est mon travail, ça ! Faut voir, au début elle voulait pas me sucer. Deux semaines, plus tard, je te jure, je l’agrippais par les cheveux et elle me pompait à fond dans la voiture sur le parking avant d’arriver en boite et en sortant au petit matin, je la sodomisais dans sa voiture. Là elle s’était un peu débattue quand elle avait vu les copains la mater à travers les vitres.
– Là tu as fait les premières photos et j’ai commencé à les balancer sur son nouveau compte face book
– Ouais exactement ! après ça s’est enchainé. Je l’emmenais au resto ou au ciné, je lui indiquais comment je voulais qu’elle se sape. Enfin, tu imagines. elle allumait toute la salle. Elle devait me tailler une pipe dans les chiottes des hommes. La première fois que je lui demandé de sucer un mec qui nous matait (j’avais laissé la porte du chiot ouverte), j’ai du lui balancer quelques tartes, mais elle fini par le sucer et il lui a éjaculé sur sa gueule
– J’aurais voulu voir ma bourgeoise de sœur, la gueule couverte de foutre !
– Ouais ! Et au ciné, elle a pas compris sur le coup quand je lui ai dit qu’on sortait de la salle en plein film. Je lui avais dit de mettre une jupe en cuir, ses plus hauts talons et surtout pas de culotte. Y’a pas un mec qui l’a pas reluquée ! Je l’ai emmené dans les chiottes des hommes et je l’ai tringlée à sec en levrette, à 4 pattes sur le carrelage. Elle a voulu se relever quand les deux premiers mecs sont entrés, mais je lui ai mise dans le cul pour qu’ils se régalent. Crois-moi, elle s’y attendait pas ! Quand j’ai eu fini, les mecs se sont branlés et ont déchargé sur son cul. D’autres sont arrivés. Je lui ai dit de les sucer.
– Une vraie pute, quoi ?
– Ouais, c’est ce jour là qu’elle a cédé. Les gars la traitaient de pute, de pompe à bite et la giflaient et ça l’a transformée. Après elle se déchainait sur les bites et branlait tout ce qu’elle pouvait.
– Oui j’ai vu les photos, comme tous nos collègues de la boite ! Putain, le lendemain elle était convoquée chez la direction et 3 jours après elle a du démissionner pour ‘raison de santé’. Du coup, j’ai miraculeusement occupé son poste ! Cool !
– Tu sais que les derniers soirs, elle n’avait pas le temps de monter sur la piste de danse ? Je l’emmenais directement dans les chiottes. Tous les mecs lui passaient dessus. Je la raccompagnais chez elle en la félicitant que j’étais fier d’elle. Elle pleurait de honte en essayant de remettre de l’ordre dans ses cheveux couverts de sperme. Pour la remotiver, je lui démontais systématiquement le cul avant de la laisser se reposer.
– Ça je te fais confiance. Nolwenn et Laurence, m’ont bien dit qu’il fallait voir sa tête le matin encore toute boursouflée. Il parait qu’elle pouvait plus s’assoir !
– Ah oui il m’arrivait de la cravacher pour la chauffer.

Maitresse Ophélie se tourna vers moi. J’étais resté pétrifié à leurs pieds en entendant le récit de leur prise en main de ma femme.
Ma femme ! Vint ans de mariage !
Elle, qui n’avait jamais voulu de plein grès que me sucer du bout des lèvres. Elle, qui avait toujours refusé la sodomie. J’étais ébahi et excité en imaginant ma femme ainsi, se faire baiser comme une pute, dominée par cet Horace. Celui là même que je venais de faire jouir dans ma bouche !

Maitresse Ophélie éclata de rire en voyant mon visage.
‘Regarde-moi ce pauvre Rex ! Son petit gland est tout violacé d’envie !’

Cette fois ils éclatèrent de rire en cœur et je baissais la tête.
Maitresse Ophélie continuait, jouissant de mon humiliation

‘C’est vrai que Laurence m’avait dit que c’était pas folichon entre vous. Quoi ? T’as jamais baisé ta femme comme ça ? Ah Ah ! Faut croire que ta petite bite ne l’intéressait pas. Elle, c’était une grosse qu’il lui fallait ! ‘

Horace qui se rhabillait reprit ‘ Ouais et maintenant, elle va s’en prendre de toutes les tailles et dans toutes les positions. Andrej m’a dit que les gars adoraient ce genre de pute bien mûre, bien bourgeoise. Il se fait des couilles en or avec cette truie !’

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