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La pute de l’entreprise – Chapitre 1

La pute de l’entreprise – Chapitre 1



Ingrid a besoin d’un emploi. Et elle a besoin d’un bon emploi. Malgré tous ses efforts, toutes les entreprises où elle avait eu un rendez-vous, ne l’avaient pas embauchée.
Même si elle ne voulait pas se l’avouer, elle était certaine que c’était à cause de ses énormes seins. Les femmes refusaient de travailler avec une femme qui à leurs yeux était une allumeuse et les hommes regardaient juste sa poitrine mais pas ses qualifications.

Se faire refaire la poitrine l’année dernière, fut l’une des plus grandes erreurs de sa vie. A 24 ans, ce n’était pas vraiment son choix. Malheureusement son petit ami, dont elle était follement amoureuse et un peu soumise, avait insisté pour qu’elle augmente la taille de ses seins. C’était un homme qui adorait les grosses poitrines.
Elle alla à la clinique en espérant que sa taille moyenne 90 B se change en un simple 90 C. Au lieu de cela, lorsqu’elle se réveilla, sa poitrine avait été augmentée au-delà de sa volonté. Après avoir cicatrisé, Ingrid passa l’année à branler quotidiennement son petit ami entre ses seins. Elle n’avait pas le courage de lui refuser car elle avait besoin de lui. Ces actes dégradants venaient en compensation de son soutien financier.
Si bien que, lors de leur rupture, Ingrid eu des sentiments partagés. Elle fut, à la fois soulagée et accablée lorsque son petit ami la chassa de l’appartement pour la remplacer par une bimbo blonde avec de plus gros seins qu’elle. Elle fut soulagée que son corps ne subisse plus les assauts dégradants de son ex-compagnon mais elle fut accablée car elle n’avait plus d’endroit pour vivre, pas de travail et pas d’économies.

Donc elle était là, une semaine plus tard, dans un vieil hôtel miteux, à essayer de trouver un travail qui lui permettrait de vivre. Elle vérifia sa petite montre bracelet et vu qui lui restait 15 minutes avant son prochain entretien, juste le temps de vérifier son reflet dans le petit miroir, de s’assurer que son chemisier était fermé jusqu’à la gorge et que les petits boutons blancs tenaient bien (ses seins avaient la fâcheuse habitude de faire sauter ces boutons). Elle arrangea sa jupe droite et la lissa vers le bas sur ses fesses et cuisses bien fermes.

Puis elle partit trouver les bureaux de DUPONT, MARTIN et FOUCHER. Après une petite marche, Ingrid traversa plusieurs portes vitrées et se trouva dans une salle de réception moderne et immaculée. Une jeune femme tirées à quatre épingles, la salua, confirma son rendez-vous et la conduisit, en traversant plusieurs portes avec code d’accès, dans de longs couloirs calmes, jusqu’au bureau de M. DUPONT, directeur adjoint de la société. Ingrid fut impressionné par le cadre et l’homme assis derrière un grand bureau en acajou. Elle reprit confiance, redressa le menton et sourit.

Une heure plus tard, Ingrid avait l’emploi ! Encore mieux, elle devait commencer des le lendemain.
Après avoir expliqué pourquoi elle avait besoin de ce travail, M. DUPONT, avait été très gentil, sans lorgner ses seins et ses fesses, et lui avait dit qu’il était content qu’elle rejoigne l’équipe DMF.
En fin d’entretien, il lui lista ce qu’il attendait d’elle. Elle devait être ponctuelle, traiter toutes les demandes du personnel jusqu’à la fermeture, lui préparer un café tous le matin et avoir une tenue vestimentaire appropriée.

Donc le lendemain matin, Ingrid arriva 20 minutes d’avance, habillée comme pour son entretien, avec une jupe droite s’arrêtant au-dessous des genoux, un soutien-gorge qui lui amenuisait ses seins, un chemisier boutonné jusqu’en haut et une veste de tailleur fermée. Avec son maquillage naturel et ses longs cheveux noirs remontés en chignon, elle se sentait femme d’affaire.

Elle fut fière de proposer une tasse de café à M. DUPONT lorsqu’il arriva et rejoignit son bureau. Après lui avoir donné la tasse avec un respectueux « Bonjour Monsieur », Ingrid alla s’assoir dans son fauteuil en cuir à son secrétariat derrière les grandes portes en noyer du bureau de M. DUPONT. Ne sachant pas que faire, elle pris l’épais manuel de l’employé trouvé dans le tiroir du haut de son bureau et commença à le lire.
Elle sursauta lorsqu’elle entendit un imposant appel de la voix de baryton de Monsieur DUPONT à travers la porte entrouverte :

– Ingrid, s’il vous plait, venez me voir !

Inquiète, car elle sentait au son de la voix que ça n’allait pas, Ingrid se leva et se précipita, désireux de faire plaisir à son patron en ce premier jour. Il la regarda de haut en bas avec un air sévère sur le visage.

– N’avez-vous pas compris les exigences du poste ?

Ingrid ne comprenait pas :

– Si…… Si Monsieur. J’ai compris……… Qu’ai je oublié ?

Soupirant, M. DUPONT regarda sa tenue.

– Que pensez-vous que je voulais dire en demandant une tenue vestimentaire appropriée ?

La voyant confuse, il continua :

– Pourquoi pensez-vous que je vous ai engagé ? Je pensais que vous aviez compris votre position.

Il repoussa son fauteuil de son bureau, et traversa la pièce afin de se tenir devant elle. Il posa sa main sur la manche de la jeune fille, fit courir ses doigts vers le bas puis lui pris sa petite main dans ses doigts charnus :

– S’il vous plait, rentrez chez vous à l’heure du déjeuner et changez-vous pour avoir quelque chose de plus……… approprié pour moi.

Ingrid ne comprenait pas ce qu’il voulait. Elle était vêtue d’une tenue stricte et respectable. Elle ne voyait pas ce qu’il fallait qu’elle change. Même la réceptionniste qu’il l’avait accueilli lors de l’entretien, était habillée de façon similaire à elle.

Le midi, elle se précipita à son hôtel. Elle fouilla sa valise. Elle pensa qu’elle devait peut-être montrer un peu mieux ses formes, être un peu plus sexy pour les clients. Elle savait que les jolies secrétaires étaient un atout important pour les patrons qui voulaient donner une bonne impression à leurs clients et collègues. C’était la seule chose qui lui venait à l’esprit et ça la rendait nerveuse d’avoir à raisonner sans avoir d’instructions explicites. Et si elle avait tort ? Elle ne pouvait pas se permettre de perdre son emploi. Elle décida de changer son soutien-gorge serré par un autre en dentelle blanche et pigeonnant. Son ex-ami aimait que ses énormes seins rebondissent. En elle-même, elle haussa les épaules. Elle espéra qu’elle avait raison

Après le déjeuner, à son retour, Monsieur DUPONT la trouva à son bureau portant le même chemisier que le matin mais avec deux boutons de défait, laissant ent****rcevoir sa magnifique poitrine. Elle sentit son regard sur son visage et ses cheveux maintenant déliés et brossés. Il s’attarda sur les lèvres charnues, agrémentées d’un rouge à lèvre brillant ainsi que sur le haut de sa gorge :

– Suivez-moi dans mon bureau s’il vous plaît Ingrid !

Ingrid ne savait pas s’il était content ou non mais se dépêcha d’obéir. Après avoir franchi le seuil de son bureau , il lui demanda de fermer la porte et la prenant par le coude, il la guida vers un coin de la pièce où se trouvaient un canapé, une commode et un grand miroir sur pied.

– Regardez-vous dans la glace Ingrid et dites-moi ce que vous voyez. ?

La jeune fille eut subitement un nœud à l’estomac, pensant avoir mal choisi en revenant habillée plus sexy que plus austère. Elle regarda dans le miroir et vit derrière elle l’aspect sévère de M. DUPONT.

– REPONDEZ MOI !

Nerveuse, ayant perdu contenance, Ingrid balbutia :

– Je…. Je ….. Je me vois, Monsieur

Elle déglutit.

– Et que faites-vous ici Ingrid ?

– Je suis votre secrétaire Monsieur

Le directeur sourit mais ses yeux restaient sévère. Parlant patiemment comme à un enfant il demanda :

– Pourquoi pensez-vous que je vous ai embauché Ingrid ?

Elle ne savait pas où il voulait en venir. Les mains de son patron serraient ses épaules et elle commençait à avoir un peu mal. Mais elle restait là, à se regarder, bouche bée, sans savoir que dire. Elle sursauta lorsqu’il répéta sa question d’une façon plus menaçante. Elle essaya de trouver une réponse :

– Parce que je suis la meilleure candidate pour ce poste Monsieur ?

– M. DUPONT sourit de nouveau mais il n’y avait rien d’agréable dans son sourire :

– Avez-vous vraiment besoin de ce poste Ingrid ?

A cette question, la jeune fille se retourna, obligeant les mains de son patron à se retirer, le suppliant avec ses yeux, prête à tomber à genoux, ses seins oscillants comme elle se balançait de panique :

– Oh Monsieur ! S’il vous plait, j’ai tellement besoin de cet emploi Monsieur ! Dites moi ce que je dois faire et je le ferais.

L’homme remis ses mains sur les épaules d’Ingrid et la retourna face au miroir :

– Je ne vous ai pas embauché parce vous êtes intelligente…… vous ne l’êtes pas. Je vous ai embauché car vous êtes la meilleure pour ce poste……..beaucoup de femme avec des petits cerveaux pourrait être secrétaire. Mais je vous ai embauché vous Ingrid car vous êtes …. Une salope !

Ingrid ne pouvait croire ce qu’elle entendait. Elle rougit de son décolleté à la pointe de ses oreilles et balbutia :

– Ex…… Excusez-moi Monsieur ?

Les mains de M. DUPONT glissèrent doucement de ses épaules vers les boutons de son chemisier. Il déboutonna 2 boutons et ses mains pénétrèrent l’intérieur afin de saisir chacun des seins. Même ses grandes mains ne pouvaient tenir ces gros seins dans leur intégralité.
Ingrid était paralysée. Elle murmura :

– Je ne suis pas une salope Monsieur.

Pourtant elle lui laissait caresser ses seins.

– Mais si vous l’êtes ! Seule une salope ferait refaire ses seins à cette taille obscène. Cette énorme poitrine me dit que vous en êtes une. Vous êtes assez intelligente pour comprendre cela. Vous êtes ici pour me faire plaisir et je veux que vous vous habilliez comme le jouet sexuel que vous êtes. Voyez, vous me permettez de malmener vos seins. Une autre femme se débattrait et appellerait un avocat pour m’accuser d’harcèlement sexuel dès qu’elle trouverait un téléphone. Dites-moi ce que vous êtes si vous n’êtes pas une salope ?

Il serra chacun des seins avec ses mains.

Dans sa tête, Ingrid paniquait et n’arrivait pas à penser à une réponse cohérente. Il avait raison. Dès le moment où elle s’était réveillée avec cette poitrine démesurée, elle savait qu’elle serait une salope pour le plaisir des hommes. Il était inutile de le nier.
D’ailleurs, elle le laissait glisser ses doigts sous la dentelle du soutien-gorge afin de tirer ses mamelons au-dessus du tissu, serrant assez fort pour lui causer un peu de douleur. Ingrid était mortifié de sentir sa culotte s’humidifier. Elle déglutit et regarda les mains à l’intérieur de son chemisier puis chuchota :

– Oh mon dieu, vous devez avoir raison. Je dois être une salope….Monsieur

Il pinça le mamelon droit et tira dessus. Elle haleta.

– Enfin vous commencez à avoir du bon sens , putain d’avaleuse de sperme.

Elle se mordit les lèvres et essaya de penser, mais c’était impossible alors qu’il lui pinçait et roulait ses mamelons entre ses doigts. Elle ne savait plus que faire. Ou tout du moins tout ce qu’elle savait c’est qu’elle devait lui plaire pour garder son emploi.
Son patron la retourna pour lui faire face et mis ses mains à l’intérieur du soutien-gorge. Saisissant toute la chair qu’il pouvait, il souleva les seins pour les extraire et les laissa tomber et rebondir sur le dessus du soutien-gorge, nus au regard. Sur ces gros seins étaient posés deux petits tétons roses. Il tira brutalement sur ces deux bourgeons rose et vit que les yeux de la jeune fille commençaient à se mouiller de larmes. Puis il gifla le sein droit et le regarda rebondir sur le sein gauche. Alors que sous le choc, Ingrid commença à se tourner, il gifla le sein gauche encore plus violemment.

– Puisque vous êtes lente à comprendre ce que j’attends, je vais vous le préciser sac à sperme stupide. Vous ne devez jamais résister aux exigences des hommes dans cette entreprise. Vous devez vous habillez convenablement. Et puisque votre esprit ne comprend pas, une « tenue appropriée » signifie que vos seins doivent être exposés autant que possible.

Les mains de M. DUPONT quittèrent finalement ses seins et glissèrent vers le bas, sur ses hanches, agrippant le tissu de sa jupe.

– Votre jupe doit être juste assez longue pour couvrir votre chatte et votre cul. Vous êtes une salope à baiser donc vous devez vous habiller comme tel.

Il s’agenouilla, glissa ses mains sous l’ourlet de la jupe et commença à explorer son entrecuisse. Il sourit :

– Comme si je devais entendre des confirmations de votre part. Cette culotte humide et ce sexe gonflé sont la confirmation que vous êtes une putain de jouet sexuel. Sentez comme vous êtes mouillée, comme vous aimez ça.

Ingrid n’avait jamais été aussi humiliée. Mais ce traitement dégradant lui faisait de l’effet. Ses mamelons durcissaient et elle pouvait sentir l’humidité entre ses cuisses.
Elle se demandait si M. DUPONT voulait la baiser ou tout simplement la malmener. Mais elle en avait conclu qu’elle lui aurait tout permis. Elle n’était peut-être qu’un jouet sexuel pour hommes.

Après une nuit presque sans sommeil dans son hôtel miteux, Ingrid se réveilla en sursaut, honteuse de ses rêves humides et de son anticipation de la journée.
M. DUPONT ne l’avait pas baisée hier. Apres le scène humiliante du miroir, il avait pris des ciseaux et coupé la jupe juste au-dessous des fesses. Puis il l’avait poussé sur le sol, la faisant marcher à quatre pattes, la chatte exposée et humides. Le reste de la journée fut consacré à un vrai travail de secrétaire mais elle était habillée comme une pute.

Aujourd’hui, elle entra dans l’entreprise, prête à exposer ses seins et son cul. Elle était prête à tout du moment que les salaires rentreraient. Son habillement étant trop embarrassant en public, Ingrid portait un grand manteau. Dessous elle avait une minijupe sans culotte. Et même si elle n’était pas très intelligente, elle avait compris la leçon de la veille. Elle n’avait attaché qu’un bouton à son chemisier, juste celui en dessous de son soutien-gorge pigeonnant, exposant ainsi son ventre plat et affichant sa grosse poitrine dans son soutien-gorge en dentelle noire visible à travers la blancheur de son chemisier. A chaque pas, ses seins ballottaient et menaçaient de s’évader de leur soutien. Elle avait terminé avec un maquillage de star du porno, ses longs cheveux noirs attachés en longue queue de cheval et une haute paire de chaussures à talons. Elle se sentait salope et oscillait entre l’humiliation et le plaisir.
Elle pensait qu’elle était mieux habillée pour aller travailler dans une boite de strip-tease que dans un immeuble de bureau.

Apres avoir déposé son manteau, elle prépara le café de M. DUPONT et l’attendit à la porte de son bureau, tête baissée. Avec appréhension, elle espérait qu’il aimerait ce qu’il verrait. Il entra, jeta un regard et lui sourit :

– Ah voilà c’est beaucoup mieux Salope. Vous ressemblez à la pute à baiser que vous êtes. Suivez-moi dans mon bureau !

En entendant ses paroles dégradantes, Ingrid commença à mouiller. Elle avait honte de réagir ainsi à ces mots insultants et paradoxalement cette honte augmenta l’humidité de son entrejambe. Elle espéra qu’il ne voie pas le liquide qui coulait le long de l’intérieur de ses jambes. Elle le suivit.
M. DUPONT déposa le café sur son bureau et se tourna vers elle. Il la regarda et sourit lorsque qu’il s’aperçut du jus qui coulait le long des cuisses.

– Mets-toi à genoux Salope et ouvre grand la bouche !

Sans hésitation, elle se laissa tomber par terre, ouvrit la bouche, attendant ce qu’elle savait qu’il allait faire. Mais au lieu de mettre sa queue entre les lèvres rouges brillantes, il saisit les joues d’Ingrid dans une main et en serrant la força à ouvrir encore plus grand :

– Vous avez envie de ma bite hein Salope ? Eh bien, vous ne la méritez pas encore.

Ensuite il cracha dans la bouche ouverte puis lui gifla la joue, lui dévissant la tête sur le côté. Bien que choquée, la jeune fille resta assis sur ses genoux, le sang montant à sa joue. Elle avala la salive en se demandant « un salaire vaut-il cela ».
Son patron la força de nouveau à ouvrir la bouche et lui enfonça un mince plug anal noir :

– Suces putain !

Elle pris le plug et le suça docilement, le mouillant avec sa salive. M. DUPONT sourit devant cette scène d’elle, les yeux brillants, agenouillée et craintive suçant ce plug avec ses lèvres rouges vifs.

– Avez-vous déjà été sodomisée Salope ?

Ingrid rougit, détourna le regard avant de hocher lentement la tête. Pourquoi n’était-il pas surpris ? Il tira le mince plug de la bouche de sa secrétaire, se tourna vers son bureau pour le remplacer par un plus gros :

– Alors vous m’éviterez l’éducation de votre trou du cul, Salope. Je ne sais pas si je suis heureux ou non. J’ai embauché une salope et une vrai.

Ingrid voulu commencer à parler mais son patron glissa le plus gros plug sans sa bouche, la bâillonnant efficacement. Elle a crié dans sa tête qu’il avait mal compris, que son ex-petit ami, enivré, avait forcé la passage de son anus avec sa bite. Elle avait alors crié et essayé de s’éloigner de lui. Elle n’avait pas aimé et son petit trou du cul plissé n’avait pas été formé à être baisé régulièrement.
M. DUPONT a fait coulisser le plug en avant et en arrière plusieurs fois dans sa bouche. Enfin le jugeant assez humide, il le sortit, ordonna à la jeune fille de se lever et de se pencher sur le bureau. Tremblante, elle lui obéit. Alors qu’elle se penche, sa jupe glissa, exposant le bas de ses fesses et les lèvres de sa chatte. Il admira la vue, puis releva complétement la jupe afin de révéler son petit trou du cul serré. Alors qu’il appuyait le plug humide contre la ride, il la senti serrer ses fesses et gémir.

– Si tu ne te détends pas Salope, ça va faire plus mal !

Ingrid fit de son mieux pour suivre son conseil alors qu’il poussait petite à petit le plug dans son anus. Elle se sentait déchiré. Saisissant le bord du bureau, elle se mordit les lèvres alors que ses yeux s’emplissaient de larmes. Son tourmenteur lui tapota les fesses, tira sur sa jupe puis la remis debout en tirant par sa queue de cheval. Puis il la renvoya s’assoir à son bureau.

Après quelque heures à répondre au téléphone et exécuter quelque tâches administratives, Ingrid se tortillait sur sa chaise, constamment consciente du jouet dans son cul. Elle n’avait jamais porté de plug et se sentait très dilaté. Elle se dit que plus elle se détendrait mieux elle se sentirait bien. Humiliée par ses propres pensées, ses mains ne cessaient de vouloir aller toucher son clito palpitant. Elle aurait voulu que ses doigts caressent son clitoris et les plis de sa chatte mouillée. Mais à chaque fois, elle était mortifiée de penser à elle, se caressant, un plug dans le cul. Même les objets ordinaires sur son bureau prenaient un sens nouveau alors qu’elle spéculait sur leur taille et leur forme…. Un tas de stylos réunis par un caoutchouc, une bouteille de rhum trouvé dans le fond de son bureau, même l’agrafeuse. Tous ces objets prenaient un sens phallique.

Alors qu’elle essayait une fois de plus de faire sortir toutes ces pensées de sa tête, Ingrid entendit des pas dans le couloir. Désespérée d’être trouvée par quelqu’un habillée de cette façon, elle chercha à se cacher ou se couvrir mais elle ne trouva pas. Elle décida qu’elle ne pouvait rien faire à part se tenir droite et afficher un faux sourire sur son visage, aussi faux que les seins siliconés dans son soutien-gorge.

Assise sur le plug, ses seins poussés vers le haut et hors de son chemisier, Ingrid se sentait ridicule.
Les pas se rapprochèrent et s’arrêtèrent lorsque l’arrivant la voit derrière son bureau.

– Eh bien ! qu’avons-nous ici ? Albert m’a parlé de sa nouvelle salope alors je suis venu me rendre compte. Levez-vous Salope !

En transe, Ingrid ne pouvait toujours pas croire qu’elle autorisait les hommes l’appeler « salope ». A ce moment, M. DUPONT est sorti de son bureau pour accueillir le visiteur.

– Auguste, je pensais bien vous voir aujourd’hui

Il cligna de l’œil puis se tourna vers Ingrid :

– Salope, voici M. FOUCHER, Directeur Général chez DMF. Vous devez le traiter avec plus de respect que pour moi.

En regardant en direction de M. FOUCHER, il continua :

– Elle est toute prête. A vous le premier tour !

Ingrid pâlit. Il semblait qu’elle allait enfin se faire baiser. Elle ne voulait pas. Mais sa chatte la brulait alors qu’elle faisait quelques pas en arrière sur ses talons pour s’éloigner du vieil homme en face d’elle. Cet homme était assez vieux pour être son père, 50 ans voir 60 ans. Son instinct la poussait à s’enfuir. La seule chose qui l’arrêtait était la pensée d’être à la rue sans salaire et moyen de payer son hôtel. Elle avait besoin de ce travail.

Monsieur FOUCHER desserra sa cravate et enleva sa veste de costume, la jetant sur le bureau. Il se dirigea vers la jeune femme brune. Il passa le dos de sa main le long de la joue puis encercla avec ses doigts le cou d’Ingrid, serrant peu à peu. Elle pouvait encore respirer mais elle devina la menace. Le vieil homme se pencha senti son odeur et lui dit à l’oreille :

– Je peux sentir le désespoir en vous mais je sens aussi le besoin de vous y habituer car vous êtes faites pour ça.

Ingrid ne savait pas si elle été désespérée de se faire baiser mais elle savait qu’elle en donnait l’air avec sa tenue de pute et ses gros seins. Elle avait honte.

La lâchant et se frottant la bosse qui se formait sur le devant de son pantalon de costume, M. FOUCHER commanda :

– Suivez-moi Sac à foutre ! je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.

Sur ce, il tourna les talons et parti, sans douter que la femme le suivrait, muette et résignée. Il le fallait, Ingrid le suivit dans un petit couloir puis dans une salle de conférence. Il se retourna, lui saisit le bras, enleva ses talons et la plia tête première sur la table de conférence.

– Ecartez les jambes Salope !

Elle obéit, les pieds bien à plat, écartant le plus possible ses jambes. Il tira sur la jupe, la remontant sur la taille de la fille. Observant pour la première fois le plug à l’intérieur de son cul il se réjouit :

– Ah voilà ce que j’aime voir ! Un trou du cul de salope prêt pour ma bite !

Il commença à masser les fesses de la jeune fille et la sentit se détendre. Puis subitement il leva la main droite puis la laissa tomber rapidement et avec force sur la fesse droite d’Ingrid. Elle sursauta et gémit. Il recommença encore et encore. Le petit cul dodu se trémoussait à chaque claque, devenant de plus en plus rose. L’ex petit ami d’Ingrid lui avait donné la fessée en de rares occasions la faisant se sentir comme une écolière coquine. Elle rougit d’humiliation en s’imaginant sa position, penchée en avant, jupe relevée, un plug dans l’anus, recevant une fessée, cyprine coulant le long de sa jambe.

La fessée s’arrêta. M. FOUCHER la saisit par sa queue de cheval pour lui faire lever la tête. Il prit ses joues dans une main et força la mâchoire pour qu’elle ouvre la bouche :

– Laissez votre bouche ouverte Salope ! Tous vos trous doivent être prêts à l’utilisation. Vous n’êtes bonne qu’à ça !

Sa main glissa en arrière le long de la joue, dans son cou, sur le dos du chemisier puis sur son cul jusqu’à atteindre le plug anal. Il tira doucement dessus faisant gémir la jeune femme. Après quelque va et vient dans son anus, il retira le plug, regardant le petit trou se fermer lentement. Cependant, il ne le laissa pas longtemps fermé car il enfonça de nouveau le plug d’un geste brusque. Ingrid cria et essaya de fuir en avant l’invasion du sex-toy, mais son tourmenteur l’arrêta avec son autre main enroulé autour de sa queue de cheval, tenant sa tête comme on tient un cheval :

– Oh vous allez encore plus souffrir trou à sperme ! Attendez juste que ma grosse bite prenne la place de cet objet en plastique. Alors vous crierez pour de bon Chienne sans cervelle, trou à bite, sac à foutre !

Il insista en poussant encore plus le plug, puis il le sortit et le remonta vers le visage de la jeune fille. Ingrid eut un mouvement de recul alors que le jouet anal atteignait ses lèvres. Elle lutta pour échapper à l’emprise de l’homme. Elle ne voulait pas que cet objet sale pénètre dans sa bouche. Elle se débattit et essaya d’échapper à M. FOUCHER. Mais il la tenait solidement par les cheveux. Il savait qu’elle le voulait. Il suffisait qu’elle écoute son corps plutôt que son esprit. Tirant fort sur son cheveu, lui tournant le visage vers le plafond, il l’entraîna à reculons jusqu’à un fauteuil en cuir placé contre un mur où il la lâcha. Puis il la gifla violemment, plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle se blottisse :

– Cela vous apprendra à vous laver le trou du cul tous les matins ! Parce que je veux pouvoir baiser tous vos trous : la chatte, la bouche, le trou du cul ! Dans l’ordre que je voudrais ! C’est la raison de votre embauche Putain ! Bien sûr, vous êtes libre de partir quand vous voulez….. Pour une journée et demie de travail, nous vous donnerons 50 euros et vous vous retrouverez à la rue. Et que ferez-vous avec ce corps de salope, ces énormes seins ? Je pense que vous êtes bien ici, n’est-ce pas ?

Le maquillage des yeux d’Ingrid coulaient sur son visage avec ses larmes. Elle arrêta de se débattre et le regarda, se rendant compte qu’il avait raison. Elle le laissa tripoter son visage avec ses doigts, étalant le maquillage. Elle baissa sa lèvre inférieure alors qu’il pointait son pouce vers sa bouche

– Ouvrez grand Salope !

Finalement elle obéit alors qu’il enfonça le plug lentement entre ses lèvres. Elle fut dégoûtée mais l’humiliation la fit encore plus mouiller. Elle commença à sucer l’objet.

M. FOUCHER monta à califourchon sur le fauteuil, les genoux de chaque côté du corps de la femme. Il lui enleva son chemisier puis son soutien-gorge, exposant ainsi son opulente poitrine. Il se mit à malaxer les seins d’une main alors que de l’autre, il déboutonna son pantalon, laissant apparaître sa grosse queue rigide. Alors qu’il caressait sa bite, elle put se rendre compte qu’il était de bonne taille, pas comme une star de porno mais beaucoup plus gros et long que celui de son ex-petit ami. Penché sur sa poitrine M. FOUCHER cracha à la base des seins. Puis il cracha à nouveau, la salive coulant entre ses seins. Puis in cracha une dernière fois dans sa main et continua à se masturber alors qu’il regardait le gros plug noir qui bâillonnait la bouche de la jeune fille.

– Serrez vos seins, Salope, je vais me faire branler par votre poitrine !

Elle se souvenait que son ex-petit ami avait l’habitude de faire la même chose alors elle obéit, sachant comment faire.
Le directeur général glissa sa queue entre les seins d’Ingrid et il commença des mouvements du bassin de haut en bas poussant ses obus comme s’il baisait un autre trou.

– Dites-moi que vous aimez ça putain !

Ingrid gémit. Elle venait juste de rencontrer cet homme, elle ne connaissait que son nom mais il se masturbait entre ses seins alors qu’elle suçait un plug anal qui avait été dans son cul pendant plusieurs heures. Elle ne pouvait pas parler avec cet objet. Elle gémit et grogna, se sentant de plus en plus excitée. M. FOUCHER ralentit ses mouvements et descendit du fauteuil.

– Maintenant que vous acceptez votre situation de Salope à gros seins, levez-vous et allez-vous pencher sur la table et écartez vos fesses avec vos mains.

Elle fit comme il lui avait ordonné et fut récompensée en sentant la tête du gland de l’homme se poser contre son trou du cul. De la bave coulait de sa bouche obstruée par le plug mais elle ne pouvait pas s’essuyer ses mains étant occupées à écarter ses fesses.
Monsieur FOUCHER entra quelques doigts dans sa chatte humide puis les retira pour frotter son anus.

– Rien de tel que votre mouille pour vous lubrifier. Je vais vous sodomiser et éjaculer dans votre cul de salope. Alors vous serez vraiment ma putain.

Puis il enfonça d’un cou sa queue au fond du cul de la fille, ses testicules venant taper contre les fesses. Et sans la laisser s’habituer à sa bite, il commença à la pistonner avec de coups violents.

– Tenez ma grosse bite espèce de sac à foutre ! Voilà ce que vous méritez ! et je sais que vous aimez ça que l’on bourre votre gros cul de salope.

Il continua à l’enculer, sans pitié, se délectant des cris étouffés de la jeune fille. Il sentait qu’elle se levait sur la pointe des pieds pour essayer de faire sortit la queue qui la violait. Mais il la maintenait. Et tout en continuant de la sodomiser, il tira sur ses cheveux, forçant la tête en arrière et la poitrine en avant. Maintenant un gémissement continu sortait de la bouche d’Ingrid avec un grognement à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Il continua à la baiser jusqu’à ce que les gémissements deviennent plus désespérés et qu’elle commence à se pousser contre lui, se baissant afin d’obtenir plus de bite dans son cul.

Il ralentit son enculage puis enfonça le plus profondément possible sa bite dans le cul de la femme. Il se pencha sur la table et retira le plug de la bouche d’Ingrid en lui disant dit :

– Maintenant dites-moi ce que vous êtes et ce que vous voulez ? n’aimez-vous pas être sodomisée ?

Lorsque sa bouche fut libre, elle cria :

– Oui ! oui ! je suis votre salope, votre putain ! utilisez-moi comme vous le voulez ! je ne suis que bonne à baiser ! s’il vous plaît, s’il vous plaît, enculez-moi encore ! utilisez ce petit trou serré !

– C’est vrai que vous êtes un sac à sperme ! mais vous avez oublié de m’appeler Monsieur, grosse chienne !

Et tout en recommençant de la pilonner il gifla son cul.
Elle cria et serra son trou du cul autour de la bite du Directeur.

– Monsieur ! oui Monsieur, je suis votre sac à sperme ! cria-t-elle

Encore une grosse claque sur sa fesse

– Baisez-moi Monsieur !

Clac !

– Enculez-moi Monsieur !

Clac

– Violez-moi Monsieur !

– On ne viole pas quelqu’un qui ne souhaite que ça, stupide chienne !

Une autre grosse claque et il fora son cul avec son membre rigide. M. Foucher savait qu’il ne pourrait tenir encore longtemps avec les crispations du trou du cul du à la fessée. Il donna encore quelques coups puis déchargea au fond des entrailles de la femme !

– Prends mon sperme, sac à foutre !

Ingrid sentit le liquide chaud envahir le fond de son cul. Elle regretta qu’il finisse déjà. Elle avait senti un orgasme venir alors qu’il l’humiliait et l’insultait pendant ce viol anal. Puis elle pensa qu’elle s’était penchée sur la table et avait tenu son cul ouvert comme une invitation donc ça ne pouvait être un viol. Ses pensées tournaient dans sa tête alors qu’un sexe ramollissait dans son cul. Monsieur FOUCHER retira sa queue et mis à sa place le gros plug anal.

– Gardez ce jouet dans votre cul ainsi que mon sperme à l’intérieur de vous toute la journée ! Qui sait, peut-être quelqu’un ajoutera quelque chose à cette collection de sperme que vous avez commencé, Salope

Puis il rangea sa bite, désormais flasque, dans son pantalon, remonta la fermeture éclair puis sortit de la pièce laissant la fille penchée sur la table.

Ingrid se redressa, sentant le plug fermer son cul avec le liquide à l’intérieur. Elle remit ses vêtements puis essaya d’arranger son maquillage comme elle le pouvait. Sur ses jambes tremblantes, elle retourna à son bureau et vit que quelqu’un lui avait mis un petit cadeau. Heureuse car il y avait longtemps qu’on ne lui avait fait de cadeau à part le « don » de ses seins par son ex-petit ami, elle déchira le papier. A l’intérieur se trouvait une plaque de bureau avec inscrit « PUTE DE L’ENTREPRISE ». Elle fut horrifiée. Puis, son cul plein de sperme, son esprit accepta et elle posa le plaque sur le devant de son bureau. S’asseyant et poussant le plug plus haut, elle se demanda qui allait la baiser la prochaine fois.

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur notsoliteral
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