J’écoutais le chant des oiseaux à l’extérieur de la maison. Le soleil venait de se lever et les premiers rayons perçaient les volets. Je n’avais pas du tout envie de quitter mon lit. Malgré une bonne nuit de sommeil je me sentais encore fatiguée, sans doute à cause de ce rêve étrange.
La scène s’était déroulée ici même, dans l‘obscurité la plus totale. Je me trouvais sur mon lit, complètement nue et les cuisses grandes ouvertes. Un homme était penché au-dessus de ma tête, son pénis glissait à tort et à travers dans mon vagin. Je subissais les assauts maladroits de mon partenaire, hélas, sans ressentir le moindre plaisir malgré mes efforts pour le guider. Je feignais quelques cris avant d’actionner la lampe de chevet pour voir son visage. Je poussais alors un grognement de mécontentement en découvrant qu’il s’agissait de mon ancien petit ami. Tu parles d’un rêve ! Je tentais de me dégager mais il m’en empêcha, me clouant au lit. Furieuse, je lui adressais de grands coups de bassin mais il semblait apprécier cela et s’enfonça dans mon ventre avec encore plus d’empressement.
J’essayais de me tirer de ce mauvais pas mais je ne parvenais à aucun résultat, apparemment prisonnière de mes songes. Je me résignais à mon triste sort quand quelque chose d’incroyable se produisit. La tête de mon ex venait de disparaître, aussitôt remplacée par celle d’un cheval. Dans le genre loufoque on ne faisait pas mieux. Je me suis pincée très fort avant de me souvenir qu’il ne s’agissait pas de la réalité. Waouh ! Du cheval il n’y avait pas que la tête ! Je sentais à présent un sexe énorme se frayer un chemin entre mes petites lèvres. Il était encore plus gros que celui de Caramel. Chose que je croyais impossible mais comme il s’agissait de mon rêve… Mon compagnon administrait des grands coups de butoir, cognant dans le fond de ma grotte et me procurant des cris de jouissance d’une rare intensité.
Enfin, j’avais ma part de plaisir ! Je croisais les pieds autour de ses reins pour imprimer le rythme, cependant, il allait si vite que je n’arrivais pas à suivre. Je jouissais à n’en plus finir, telle une démente. Je gémissais à chaque pénétration, le dos arqué, un feu d’artifice retentissant dans mon ventre. Je brûlais de désir, au propre comme au figuré.
Par la suite, mon partenaire a replié mes cuisses contre ma poitrine, m’ouvrant la chatte en deux. Au bout d‘un moment, il se retira. Sa bite s’agita nerveusement sous mon nez, prête à lâcher toute la sauce. Diable, elle était incroyablement longue ! L’homme à tête de cheval poussa un cri strident lorsqu’il m‘inonda le visage. J’ouvrais la bouche en grand afin de recueillir le plus de nectar possible. Et c’est à ce moment précis que je me réveillais… (Zut)
Je restais immobile, bien décidée à ne pas bouger du lit. Le réveil posé sur la table de chevet affichait 10h00. Julie serait là d‘une minute à l‘autre. Je repoussais donc les draps sur le côté avant de prendre la direction de la salle de bain. Ce rêve étrange occupait toujours mes pensées. Je me débarrassais de mon pyjama pour filer sous la douche et me décrasser. Le gant de toilette entra en contact avec ma chatte toute poisseuse, les lèvres gonflées d’excitation. Je venais de jouir lorsque la sonnette retentit.
***
Julie attendait sur le seuil de la maison, débordante d’énergie, comme à l’accoutumée. Elle portait une mini-jupe et un haut très sexy exposant sa plastique de rêve. Elle avait les cheveux blonds coupés courts, hérissés dans tous les sens. Je manquais de tomber à la renverse quand elle se précipita dans mes bras pour me saluer.
– Hé, doucement ! rigolais-je en tentant de la repousser.
– Désolé, je suis trop contente de te voir. On commence par quoi ?
– Je pensais faire un tour au centre commercial…
– Oh non, il fait si beau, rétorqua Julie. Il serait idiot de ne pas profiter du soleil. On pourrait faire un tour chez tes grand parents… et dire bonjour à Caramel.
Elle me fixa droit dans les yeux, me défiant de refuser sa proposition.
– Pas question de te défiler, insista Julie en agitant son index sous mon nez. Autrement, je raconte ton petit secret à tout le monde.
Je faisais mine de m’offusquer, prête à la gronder. Bien sûr, elle n’était pas sérieuse. On se taquinait régulièrement.
– D’accord, répondis-je en feignant un long moment d’hésitation.
– C’est génial !
Julie se jeta sur moi et m’embrassa sur la joue, folle de joie. À vrai dire, j’avais également hâte de rendre visite à Caramel. Je pensais à la vidéo de la veille, désireuse de reproduire la séquence en compagnie de Julie. Ma chatte coula à l’idée d’initier mon amie à de nouvelles pratiques. Oh oui !… Je serrais autant que possible mes cuisses pour dissimuler mon état.
– En selle, claironna-t-elle en enjambant sa bicyclette.
Je l’imitais, la laissant passer devant. Nous avons emprunté la grande route pour quitter la ville et rejoindre le domaine de mes grand parents. Durant le trajet, je remarquais que ma camarade ne portait pas de culotte. Sa jupe se soulevait à plusieurs reprises, dévoilant ses fesses particulièrement rebondies.
– J’aime sentir le vent souffler sur mon cul, expliqua Julie après avoir croisé mon regard, en levant un peu plus son postérieur pour qu’il soit bien visible. C’est tellement agréable. Tu devrais essayer.
Je sentais mon visage s’empourprer sous l’effet de l’émotion, sidérée qu’elle s’exhibe de la sorte sans montrer le moindre signe de pudeur.
– On pourrait te voir, bredouillais-je en regardant autour de moi.
Julie pouffa de rire et augmenta son allure avant de prendre un petit sentier de terre, m’exposant une fois de plus sa magnifique croupe. Nous avons pédalé un moment à travers la campagne pour enfin arriver à destination. L’emplacement où se trouvait d’ordinaire la voiture de mes grand-parents était vide. Tant mieux, nous n’aurons pas à nous inquiéter de leur présence.
J’abandonnais mon vélo derrière l’écurie, finissant à pied. Julie me collait de très près, plutôt agitée. Oh, comme je la comprenais ! Pour ma part, je n’avais pas encore franchi le seuil que mon estomac se contractait déjà. Ressaisis-toi ma grande ! Je sentais des petits picotements remonter le long de ma colonne vertébrale quand Julie respira de plus en plus fort dans mon dos. Je parvenais malgré tout à rejoindre le box de Caramel. Celui-ci redressa la tête en nous voyant venir et poussa un hennissement de contentement. J’avais l’impression que nous étions séparés depuis une éternité ! Enfin, j’ouvrais la porte de l’enclos pour lui caresser le visage. Il apprécia beaucoup. Julie se posta à mes côtés, les yeux flamboyants.
– Ah, voici le don Juan de mademoiselle. Comment vous sentez-vous aujourd’hui?
Caramel fit tournoyer sa queue dans les airs.
– Il est en pleine forme, répondis-je en longeant l’a****l.
– Je peux le toucher ?
– Bien sûr. Il est très affectueux.
Julie promena sa main sur le flanc avant de prendre une profonde inspiration. Elle eut un léger frisson lorsqu’elle sentit la chaleur de Caramel se propager dans la paume de sa main.
– Il est brûlant, fit-elle remarquer, enthousiaste.
Je lui adressais un sourire complice, ayant de plus en plus de mal à dissimuler mon excitation. Dans ma tête, je voyais déjà Caramel nous saillir comme des juments ! Impatiente, j’ajoutais :
– As-tu envie de toucher quelque chose de plus brûlant encore ?
Je pouvais lire la réponse sur le visage de mon amie. Elle le désirait ardemment. Aucun doute possible à ce sujet quand je la voyais s’agiter dans tous les sens, le regard fiévreux. Je me glissais alors sous le ventre de Caramel pour le stimuler un peu. J’étais plutôt ignorante en la matière mais je suppose qu’il fallait faire comme s’il s’agissait d’un homme. Je posais ma main sur ses testicules et les caressa longuement. Au bout d’un moment, son sexe émergea du fourreau en devenant de plus en plus gros.
– Waouh ! s’exclama Julie.
Je lui faisais signe de venir auprès de moi. Elle s’exécuta presque aussitôt sans perdre une miette du spectacle. La savoir à mes côtés me rendait fébrile. Je saisissais le sexe de Caramel pour le masturber le plus doucement possible. Julie ne tarda pas à me rejoindre, plaçant sa main au-dessus de la mienne.
Par la suite, je prenais le gros membre de mon étalon à pleine bouche pour lui faire une fellation bien baveuse. Je continuais de le branler tandis que ma langue titillait l’ouverture de son gland. Il avait encore meilleur goût que la veille. Julie se joignit finalement à la fête, embrassant le sexe de Caramel sur toute sa longueur. Elle poussait des petits gloussements lorsque nos regards se croisaient. De mon côté, je relevais mon tricot afin de libérer mes seins tendus à l’extrême. Mes tétons fièrement bandés furent rudement passés à tabac par l’énorme gland de mon amant.
Entre-temps, Julie écartait les cuisses pour plonger les doigts dans son puits d‘amour. Elle lâchait des gémissements en gardant sa main sur la verge de Caramel. Pour ma part, je prenais beaucoup de plaisir à la regarder. Quel phénomène ! Elle n’avait vraiment pas froid aux yeux… Et toute cette agitation me rendait encore plus folle. J’avais une envie urgente de sentir cette grosse bite dans mon ventre.
Je me déshabillais en un éclair, approchant le sexe de Caramel tout près de ma chatte. À peine m’avait-il effleuré que je goûtais à mon premier orgasme. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrais les cuisses pour le presser contre mes lèvres, affichant un sourire de béatitude.
– Oh, c’est si bon… Julie…
– Je suis là, répondit cette dernière en se collant contre moi.
Je poussais un cri très bref quand le membre s’enfonça dans mon ventre. Je le sentais grossir à n’en plus finir, ne tardant pas à être soumise à des vertiges contre lesquels je ne pouvais lutter. Le bonheur tambourinait à ma porte. Pendant ce temps, Julie profitait de la situation pour faire rouler mes mamelons entre le bout de ses doigts, m’arrachant des rugissements de plaisir.
– Aaaah, je jouis ! criais-je au bout de quelques secondes.
J’écartais en grand les cuisses pour avoir de meilleures sensations, encaissant les coups et produisant des gémissements vraiment forts tellement c’était divin.
Finalement, Julie prit ma place après que j’eus été saisie d’un ultime grand frisson. Je me glissais derrière elle pour saisir le chibre du cheval et le guider entre les jambes de ma copine nymphomane. A cet effet, elle commença à bouger son corps puis à pousser des hurlements de bien-être lorsqu’elle sentit son vagin se dilater à l’extrême.
– Tu prends bien ton pied ? toi qui voulait tant le voir… lui soufflais-je à l’oreille.
Julie continuait de crier tandis que le sexe hors normes la limait sans relâche, manquant de la faire s’écrouler dans la paille. Cela dura plusieurs minutes avant qu’elle n’obtienne un bel orgasme.
Pour terminer, j’invitais Julie à me rejoindre sous l’a****l pour recevoir notre dose de sperme. Je buvais jusqu’à plus soif, tâchant de ne pas perdre une goutte de ce doux nectar. A son tour, ma compagne s’empressa de me nettoyer le visage, bien décidée à avoir sa part du gâteau. Je l’embrassais le plus naturellement du monde, fouillant sa bouche à la recherche d’une quelconque trace de semence. Elle avait l’air d’apprécier car elle me rendit la pareille en calant deux doigts dans ma chatte.
– C’était vraiment géniale, répondis-je au bout d’un moment, après avoir revêtu mes habits.
– Tu m’étonnes ! Promets-moi que nous remettrons ça dans pas longtemps.
– Bien sûr. Après aujourd’hui je pourrais difficilement me passer de Caramel… même si je désirais le contraire.
– Je te comprends, fit Julie en me lançant un regard complice.
– Tu as entendu ?!
Mes grands-parents étaient de retour. Je pouvais entendre leur voiture approcher. Nous avons enfourché nos bécanes, filant à l’anglaise et riant aux éclats.
Un sentiment de bien-être m’habitait soudainement. A présent, je n’étais plus seule. Je partageais quelque chose d’unique avec Julie. Mon secret était entre de bonnes mains.
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