Un fils à papa bien salope
Je suis intérimaire et inscrit dans plusieurs boite d’intérim, un jour l’unes d’entre elles me propose une mission de 2 semaines dans une entreprise de rénovation et déco d’intérieur. Le lendemain je me pointe à l’entreprise et rencontre le patron qui m’explique le boulot que j’aurais à faire, c’est de repeindre tout les mures d’une putain de grande baraque. On arrive sur le chantier et le propriétaire avant de partir à son taf nous explique par ou on doit commencer et ce qu’il y a à faire, avec mon collègue du moment on se partage chacun une pièce. Moi je m’occupe de la cuisine, une putain de cuisine de 25m², je prépare donc tout le matos, pinceaux, rouleau, sceau de peinture et escabeau pour atteindre le plafond. Je commence par un bon nettoyage et grattage du plafond, vu la surface qu’il y a à faire je me dis que j’en ai bien pour la journée. En milieux de matinée le fils du propriétaire fait son entrée dans la cuisine, bien qu’il est des manières de fils à papa il n’est pas gêner car il se pointe en simple calbut, les cheveux ébouriffé et les yeux encore gonflé je comprends qu’il vient de se lever. De sa voix fluette il me salut, se prépare un café et m’en propose une tasse, j’accepte, bois mon café et remonte sur mon escabeau, lui se tiens debout sa tasse dans la main et commence à me taper la discute, au bout d’un moment il me saoul avec ses bla bla bla mais bon….. Je reste poli et répond à ses questions et me rend compte qu’a chaque fois que je me retourne vers lui il me reluque soit le cul lorsque je suis dos à lui ou mon paquet quand je lui fais face. De toute la journée qui s’écoule il n’arrête pas de venir me voir, prétextant boire un verre d’eau ou encore un café et me tape à chaque fois la discute toujours en me reluquant. En fin de journée mon plafond est nickel et je lui dis que j’attaquerais la peinture le lendemain, c’est là qu’il me propose de m’invité à déjeuner le midi en ajoutant :
– Houuuu demain il va faire une chaleur à crever vous devriez venir en short…
Là je me dis que cette petite garce me fait un appel au sex et lui rétorque :
– Ouai, bonne idée je serais plus à l’aise pour bosser…
Le lendemain en effet dans la cuisine le soleil tape dure derrière les fenêtres et je commence réellement à avoir chaud, je profite donc d’être seul pour me changer et me mettre en short en prenant soins préalablement de retirer mon boxer affin que cette petite salope de fils à papa puisse bien reluquer ma bite et mes couilles par l’entre jambe de mon large short du haut de mon escabeau. Comme la veille il se pointe juste en calbut et me propose un café, j’accepte et au lieu de descendre je m’assois sur la dernière marche de l’escabeau en écartant un peu les cuisses histoire de bien l’excité, mon café bu je lui tend la tasse et remonte sur l’escabeau lui offrant une belle vue sur ma bite et mes couilles qui se balance dans mes mouvements de coup de rouleau au plafond. Je jette un œil vers lui et constate qu’il bande dans son calçons mais fait mine de ne pas m’en être aperçu. Midi arrive, mon collègue part déjeuner et je reste seul avec le p’tit mec, du haut de mon escabeau assis sur la dernière marche j’écarte un peu plus mon short pour laisser apparaitre le bout de mon gland et le regarde préparer le diner ; il me propose un verre de vin en guise d’apéro, en s’approchant de moi pour me tendre le verre il se fige sur ma teub puis me regarde avec un petit sourire, je lui prends alors le verre d’une main et de l’autre je le prends par le cou et le bascule sur le bout de ma bite qui dépasse. Il ne se débat pas bien au contraire et se met à reniflé à plein poumons l’odeur de mes couilles en sueur.
– C’est ça qu’tu voulais hein p’tite salope…
– Hummm… Ouiii…
– Et bien vas-y fait toi plaisir et suce…
Sans se faire prié il écarte un peu plus mon short et gobe ma bite. Mine de rien il a beau être un fils à papa c’est aussi une sacré salope de suceuse de bite, il joue tellement bien avec sa langue la faisant tourner autour de mon gland que je ne mets pas longtemps à bander dure. Là il m’enlève carrément mon short, plonge son nez sur mes couilles pour bien en savourer l’odeur, les lèches bien partout et reprend sa suce.
– Hummm…. Ouaiiii… c’est bon…. continu… t’aime la bite toi hein ?
Gardant ma queue dans sa bouche il me fait un oui de la tête.
– Et bien vas-y p’tite salope régale toi…
Il s’y prend si bien que très vite je lui annonce que je suis sur le point de jouir, là il redouble d’ardeur, me pompant goulument en me branlant en même temps.
– Putain ! je viens….
Et dans un grand râle je lui largue toute ma purée dans sa bouche qu’il avale sans en perdre une goute. Cette salope n’est pas uniquement un bon tire jus mais c’est aussi une bonne pompe à foutre et il adore ça, il me nettoie bien la bite avant de me redonner mon short et retourne préparer le déjeuner. Il est 13h30 mon collègue reviens et on reprend le taf. Dans l’après midi sachant que la p’tite salope viendrait me voir et, repensant à la pipe qu’il m’avait faite je me suis mis à bander, lorsqu’il est arrivé j’ai fermé la porte de la cuisine puis le prenant par les épaules je lui fais comprendre qu’il doit se mettre à genoux, j’écarte mon short et lui tend ma queue.
– Allez… vas-y pompe moi p’tite salope…
Comme à midi il ne se fait pas prié et recommence à me faire une pipe d’enfers. Je me retiens de gueuler de plaisir en lui larguant mon foutre dans sa bouche qu’il prend encore plaisir à tout avalé. Pendant 3 jours de suite dés son réveille après le café il me pompe la bite et reçois son lait, au 4 eme jour (nous sommes le vendredi) a midi après que mon collègue soit partis il me rejoint vêtu d’une serviette de bain autour de la taille et m’annonce qu’il sort de la douche, il s’approche de moi pour me tailler une pipe qui, comme les jours précédent me fait bander au moindre coup de langue puis il s’arrête, se redresse, enlève sa serviette de bain, se retourne, lève une jambe qu’il repose sur une chaise, se penche en avant et tout en me regardant par-dessus son épaule se lèche un doigt qu’il se fourre dans le cul.
– Prend moi mec…. baise moi la chatte…
Là pour le coup c’est moi qui ne me fait pas prié et m’approche de lui pour l’enculer direct. Là il pousse un petit cri de douleur qui me laisse indifférent.
– Aie…
– Ta gueule salope… c’est toi qui ma demander de te baiser alors assume maintenant…
Sans ménagement je lui bourrine sa chatte en lui claquant en même temps le cul et en l’insultant qui au bout d’un moment gueule son plaisir.
– Tiens…. Prend ça salope… t’aime te faire baiser hein p’tite pute…
– Han, han… Ouiii… Ouiii… vas-y… baise moi… prend moi comme une pute… fais de moi ta chienne… j’aime trop la bite…. Hummm…..c’est trop bon….vas-y… défonce moi la chatte mec…. prend ton pied….
– Hummm… hummm… ouai… putain ! tu va m’faire jouir sale garce….
– Oui… vas-y… ensemence moi… engrosse moi…
Puis dans un ultime coup de rein je me décharge dans son fion, lorsque je ressors de son cul direct il se retourne, se mets à genoux et me nettoie la bite.
La fin de semaine se termine, demain nous sommes en WE, comme chaque soir avant de partir du chantier le propriétaire inspecte les travaux et nous donne ses consignes pour le lendemain et ce vendredi il nous souhaitant un bon WE son fils ne sachant pas quelle salope il était me regarde droit dans les yeux et me dit :
– Bon WE et surtout reposer vous bien…
– Pas de PB et merci…
Durant tout ce WE j’ai repensé à ma 1ere semaine avec cette petite salope ce qui me valut bien des érections car sous son air de fils à papa bien ranger se cachait une vraie petite pute qui ma servis pendant toute la 2eme semaine de vide couilles. En effet tout les matins à son réveil il venait me pomper la bite pour boire son lait et le midi il se faisait remplir sa petite chatte
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