Aujourd’hui, mercredi c’est RTT à midi, comme Agnès, ça tombe bien pour notre covoiturage.
Son sms trotte toujours dans ma tête, je ne comprends pas ce qu’elle a voulu dire, et tout le trajet jusqu’à chez elle, c’est le même refrain qui sonne.
De toute façon, plus besoin d’y penser, je viens de me garer devant chez elle. La maison à l’air d’être plus en vie que hier matin, les volets sont déjà ouvert. Je sonne. La voilà qui m’ouvre, déjà habillée, elle porte un jean sombre slim, avec un chemisier légèrement transparent, qui laisse entrevoir un soutient gorge noir en dentelle. Après une bise rapide, et un bonjour cordial, elle me propose de l’attendre cinq minutes, le temps qu’elle finisse de se préparer.
Je la suis jusqu’à la salle de bain, elle me regarde étonnée :
« Oui ? Tu as besoin de quelque chose ? »
« Te rendre ça » lui répondis-je, en lui tendant son string souillé et encore humide de mes effluves de hier.
Elle le saisit à pleine main, et me regarde surprise.
« Il a bien servit effectivement, il y a tout de disproportionné chez toi ! » dit-elle, le sourire aux lèvres.
« Je ne fais pas les choses à moitié, effectivement »
« Que dois-je en conclure ? »
« Ce que vous voulez, c’est vous qui m’avait offert votre string »
Je l’avais piqué, elle pensait pouvoir gérer la situation, mais au fond d’elle, elle savait que la situation n’était plus sous contrôle.
« Cela fait trois ans, que je n’ai pas eu un homme dans mon lit, ce n’est pas aujourd’hui que ça va changer, surtout un collègue, et encore moins un homme marié ! »
C’était clair, et froid comme réponse, pas vraiment celle que j’attendais, mais je savais aussi que son but était de reprendre la main, je ne devais pas la brusquer, mais garder une longueur d’avance sans qu’elle s’en rende compte.
« Qui a dit que je voulais entrer dans votre lit Agnès ? Aussi attirante que vous êtes, je ne pense pas que ce soit une bonne idée…. »
Son visage se ferma d’un coup, piquée, je ne voulais surtout pas qu’elle pense gérer la séduction.
« Et pourquoi donc ? »
« Sans rentrer dans le détail intime de ma vie, je ne pense pas que mes envies sexuelles puissent correspondre à une femme divorcée et sans activité sexuelle depuis aussi longtemps. »
J’avais décidé de taper fort, je voulais qu’elle se sente vexé, fragile, j’avais envie que ce soit elle qui me demande de la prendre, c’est le seul moyen pour moi de l’avoir toute entière.
« Tu as trop regardé 50 nuances » me lança t’elle sur un ton froid.
« Effectivement, et j’avoue qu’à cet instant, je ne serai pas contre vous mettre une bonne fessée sur vos fesses nue ! »
Elle ne répondit pas, mais son regard en disait long.
Le trajet se passa bien, Agnès était concentrée sur sa route, mais je voyais bien qu’elle était perdue dans ses pensées. Je pense que mon petit jeu fait effet, et honnêtement, je m’arrêterai bien sur le bord de la route pour la prendre en levrette rapidement sur la banquette de la Twingo.
La matinée fut calme et passa vite, 2, 3 clients classiques, je suis à jour dans mes dossiers, à 12h15 je frappe à sa porte pour indiquer qu’il était l’heure.
Elle était déjà prête, et 5 minutes plus tard nous voici sur le chemin du retour.
« Vous me paraissez bien songeuse Agnès depuis ce matin ? »
« Effectivement, je dois reconnaitre que je suis assez pensive depuis hier soir, ça fait beaucoup d’éléments depuis hier matin, tu es entré dans mon intimité, je t’ai offert une partie de celle-ci, tu me confie la tienne » et là elle ne peut s’empêcher de jeter un œil entre mes jambes, mon sexe l’attire.
« Je ne sais pas quoi en penser, pour être honnête »
« Effectivement, c’est troublant de se retrouver dans cette situation, mais je vais être honnête également, depuis hier matin, je n’ai qu’une vision en tête, et elle est interdite aux moins de 18 ans…. »
« Dit-moi » elle susurre presque ces deux mots, je la sens excitée et impatiente.
« Je ne cesse d’imaginer, ce gode s’enfonçant entre vos cuisses… » La bombe était lâchée, elle savait ce qui m’excitait. Et rien que d’y penser, voici ma verge qui se réveille, formant la même bosse que hier soir.
« J’ai un marché à te proposer » me dit-elle, sérieuse, le regard brillant.
Dans ma tête c’est feu d’artifice, je sens qu’elle lâche prise, et que je vais obtenir ce que je veux….
« Pour les mêmes raisons évoquées ce matin, je ne peux pas concevoir coucher avec toi, mais… » Le suspens était trop long, elle était là, bouche mi ouverte à attendre…
« Mais, je peux concevoir, d’essayer de me pénétrer avec mon gode devant toi, à condition que je puisse te mater aussi, je pourrai ainsi m’imaginer que c’est ton sexe que j’aurai en moi…. Mais rien de plus, es-tu d’accord avec mes conditions ? »
« Ok pour moi, mais j’ai une condition également, je veux que vous vous épiliez intégralement, j’ai envie de profiter de la vue d’un sexe lisse »
« J’ai jamais fait, mais ok pour cette condition »
Prétextant un mal de dos, je lui demandais de m’arrêter à la 1ere pharmacie, pour y prendre des cachets, mais en réalité c’est surtout pour acheter du lubrifiant, je savais qu’il allait être utile, si je voulais voir son jouet s’enfoncer sans difficulté.
« Pas la peine d’acheter des capotes, tu ne les utiliseras pas » me lança t’elle sur un ton moqueur.
« Ça tombe bien je suis allergique, effectivement je m’en servirais pas »
La réponse est parfaite pour ce genre d’attaque, et en plus c’est bien vrai.
De retour avec les cachets dans les mains, et le lubrifiant dans ma sacoche, Agnès parait rassurée.
« Tu es vraiment allergique ? »
« Si tu veux me voir tout mou et rouge, on peut essayer si tu veux »
« Je préférai la voir dans la même forme que hier soir »
J’étais vraiment excité, et ma bosse regonflait de plus belle, arrivé chez elle, elle me regarde et me demande si je veux passer l’après-midi ici avec elle, je caresse juste mon sexe, en guise de réponse.
On entrant, je nous sens un peu fébrile et mal à l’aise, on sait ce qu’il va se passer, je lui propose de commander traiteur et de se faire livrer. Elle me remercie, et m’invite à m’installer dans le salon pendant qu’elle passe à la salle de bain.
« Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas »
« Tu ne veux pas plutôt me tutoyer stp ? »
« Je vous tutoierai qu’à une seule condition, et pour l’instant ce n’est pas au programme »
Je passe commande auprès d’un traiteur chinois, dont j’ai trouvé le flyer sur son frigo, pendant que je l’imagine cul nu sur le rebord de sa baignoire et cette vision me pousse à frapper à la porte une fois la commande passée.
« Tout se passe bien ? »
« Entre si tu veux, je pense que j’aurai besoin d’aide, ce n’est vraiment pas évident »
Elle est effectivement assise sur le rebord de la baignoire, jambe écartée, le sexe poilu, en train de batailler avec un rasoir.
Voyant une tondeuse à cheveux sur l’étagère, je décide de prendre les choses en mains, elle me regarde, surprise.
« Pas d’inquiétude, je maitrise »
« Interdiction de me toucher, c’est la règle, sinon on arrête tout ! »
« Je toucherai que ce qui est nécessaire pour réaliser un minou lisse… »
Je m’assois par terre entre ses jambes, le visage à 20cm de son sexe, la tondeuse sans sabot dans la main droite, ma main gauche vient fébrilement toucher son ventre….et méthodiquement je retire tous les poils sur son pubis, autour de ses lèvres, et je descends même sur son périnée. Elle me laisse opérer sans bouger, je vois un liquide brillant humidifier sa fente, mais je n’en fait rien, je continu concentré à rendre ce sexe aussi lisse que possible. Une fois la tondeuse passée, je prends du savon que je fais mousser, et l’étale sur son pubis, autour des lèvres, sur son périnée, tout en remontant mon index le long de son sillon fessier….en insistant sur son anus. Elle se crispe et serre les jambes.
« Pas d’inquiétude, je ne fais que préparer le passage du rasoir » lui dis-je calmement, en faisant glisser le bic dans le sens inverse de la pousse des poils, mes doigts frôle ses grandes lèvres, ma paume de main vient se plaquer contre son clitoris, et en jonglant bien, j’arrive de manière naturelle a effectuer une pression suffisante à cet endroit, pour la sentir légèrement soupirer, ma lame a quasiment finie son travail, son sexe est gonflé et son clitoris et bien hors de son capuchon, je fini le rasage par les quelques poils qui entourent son anneau interdit, et la voici douce et lisse. Je lui demande d’entrée dans la baignoire, et avec le pommeau de douche, à température agréable je la rince, tout en en profitant avec ma main et mes doigts pour lui caresser le sexe. Cette position est très sensuelle est excitante, je bande comme un taureau, et j’ai qu’une seule envie, c’est de lui dévorer cette chatte si fraiche….
Elle me sort de mon envie en coupant l’eau.
« Stop, ça va trop loin, j’avais dit pas de contact, et là c’est déjà bien assez »
« Dites-moi que vous n’aimez pas ça ? » lui dis-je en titillant son clitoris gonflé de sang.
« Stooop » glissa t’elle en soupirant de désir,
« DING DONG » satané livreur, il choisit mal son moment…..
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