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Un p’tit coup, facteur.

Un p’tit coup, facteur.



Il y a 3 jours, on sonne. J’allais prendre une douche Bien sûr, c’est toujours à ce moment-là qu’on sonne.
Je regarde par la fenêtre : c’est le facteur. Il m’apporte peut-être une bonne nouvelle, genre Tarrentino veut faire un film avec mon livre, « Dans la peau d’une esclave ». (Quentin, if you read me, it’s ok for the movie!)
Je prends une serviette que je mets devant moi et j’ouvre la porte. C’est un nouveau facteur qui me regarde avec de grands yeux, car j’ai pas mal de parties de moi qui dépassent de la serviette.
Je lui dis :  » Excusez-moi facteur, j’allais prendre une douche. « 
Il bredouille :  » Vous êtes… euh… très bien comme ça… . »
Ce qu’il m’apporte, c’est pas une lettre de Tarrentino, c’est un recommandé !
Pour signer son papier, je suis obligée de lâcher la serviette et voilà mes
nichons qui montrent le bout de leurs nez… Je vois le facteur qui louche dessus
et devient tout rouge… C’est fou l’effet que peut faire une paire de nichons sur
un facteur !

Depuis, il vient régulièrement m’apporter mon courrier. C’est gentil, non ? Pour
le remercier, je lui offre une tasse de café.
Souvent, je n’ai que la serviette devant moi. On va dans la cuisine, il me suit et je crois qu’il aime bien la vue… Il faut dire que j’arriver à écrire 888 en tortillant des fesses ! Il est timide et se contente de regarder…

Dernièrement, j’étais encore en tee shirt de nuit, court, très court… Bon, je
ne vais pas faire de manières, mes fesses, il les a déjà vues. Par contre, quand je
me suis baissée pour ramasser quelque chose par terre, je lui ai montré beaucoup plus. Je crois que ça l’a un peu décoincé et quand je lui ai servi son café, il a posé une main timide sur mes fesses.
Moi, je lui ai dit ce que disent toutes les femmes à leur facteur :  » Facteur !!! Qu’est ce que vous faites ? C’est pas convenable.  » Mais, je l’ai laissé faire.
Qu’est ce vous voulez, j’aime qu’on me caresse les fesses… Je me suis esquivée quand son doigt allait atteindre des zones très humides.
Je lui ai dit :  » Et votre tournée ? Vous allez être en retard.  »
C’est la voix rauque qu’il m’a répondu : « rrr A rrr rrr demain rrr. »
(Je fais bien la voix rauque, hein ?)

Ça me plait ce jeu avec le facteur et depuis ce jour, je me laisse complaisamment
caressée, mais en tout bien tout honneur, on ne fait rien de sexuel. Sauf, qu’avant, hier, j’ai été obligée de faire un peu plus. J’étais occupée à écrire un article sur la fellation et tout à coup, j’ai eu un trou : je ne savais plus comment on faisait ! Juste à ce moment là, il sonne.
Je lui dis :  » Ah vous tombez bien, facteur, j’ai un trou. Vous voulez bien me servir de cobaye ? « 
Quand je lui ai expliqué de quoi il s’agissait, il était tout à fait d’accord et il a sortit de son pantalon un sexe, ma foi, fort sympa.
Me voilà donc, à genoux, devant ce sexe agité de petits soubresauts d’impatience, le méat très humide étant un signe que je ne le laisse vraiment
pas indifférent. Moi un sexe d’homme, ça m’attire, c’est pas que j’ai le feu au cul, mais je suis un peu….. flirteuse !
Je commence à pratiquer quelques petits tests utiles pour mon article… et une
chose en entraînant une autre, j’ai fini par êtres très excitée.
Ma chatte me réclamait sa part avec une insistance qui devenait douloureuse… Je me suis donc retrouvée penchée sur la table, avec le facteur derrière moi qui me baisait en levrette. Franchement, c’est arrivé sans que je me rende bien
compte… C’est pourtant pas mon genre de me faire prendre en levrette par un
inconnu… D’un autre côté, je le connais, c’est le facteur.
Et pile ( !) à ce moment là, on sonne. Trois coups : deux courts, un long. C’est un code. Celui de mon nouvel amoureux.
Ooops ! Je repousse le facteur. Il sort de moi et ça fait « plop », un peu comme une ventouse qu’on décolle !
Je lui dis :  » Vite, facteur, faut pas qu’il vous trouve ici. « 
Difficilement, il remet son sexe dans son pantalon et je le fais sortir par derrière.
Ensuite, je vais ouvrir à mon amoureux. Je lui dis :  » Bonjour, mon chéri, quelle bonne surprise, tu ne devais venir qu’à midi… »
Il répond :  » Oui mais un client n’étais pas là. « 
Il me caresse les fesses, lui aussi, et son doigt glisse.
Il me dit :  » Mais t’es toute mouillée, toi ! « 
Moi, l’air angélique, je réponds :  » Je pensais à toi, mon chéri « .
Et de nouveau, l’enchaînement : sa main, mes fesses, ses doigts, ma chatte, bref il a terminé ce que le facteur avait si bien commencé. Merci, la poste !

Le midi on a été mangé dans un petit resto et en passant, on a acheté des revues et un billet de loto.
Il m’a dit :  » Je sens que je vais avoir de la chance aujourd’hui. « 
Alors, ça, c’est très possible !

J’écris des livres follement excitants, si, si. J’en parle ici : dans leslivresdemia l’adresse se trouve sur la dernière ligne de mon texte de profil. Il y a aussi une photo de moi, allant ouvrir en petite tenue au facteur.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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