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Une fille dégourdie

Une fille dégourdie



Je me demande encore si je que j’écris là, je ne l’ai pas lu dans un bouquin ou vu dans un film. Un de mes cousins avait une maison dans le Luberon. Ça paraissait incroyable que je puisse y aller. Je me suis installé dans une chambre à l’étage puis je suis allé me promener au village. Je n’étais jamais venu dans cette région et c’était bien ce qu’on m’en avait dit. Tout était beau et malgré la solitude j’ai commencé à me sentir bien.
J’ai vécu quelques jours dans la tranquillité puis tout s’est gâté. Je ne connaissais pas la fille de mon cousin. Il ne m’avait pas prévenu qu’elle viendrait elle aussi mais elle était là. J’ai bien failli l’assommer quand elle est arrivée au milieu de la nuit. J’avoue que j’ai eu peur mais c’était bien elle. Elle s’est installée de l’autre côté de la maison et jusqu’à la nuit suivante, j’ai eu du calme mais j’ai entendu le bruit d’une voiture et je suis allé à la fenêtre. Grâce à la lune j’ai pu voir que c’était bien la fille de mon cousin. Elle n’était pas seule. Au volant, il y avait un homme et ils semblaient collés fortement l’un à l’autre, échangeant multitude de baiser puis la fille s’est écartée et elle a relevé son top pour lui montrer ses seins. J’ai eu l’impression que le type allait péter un plomb mais elle a fini par rentrer dans la maison et il est parti.
Je me suis recouché. Putain cette salope, ai-je pensé ! Je n’arrivais pas à me rendormir. Le lendemain matin, la fille est réapparue dans la cuisine. Elle a fait comme si rien n’était arrivé. Je n’arrivais pas à lui en parler. Je pensais aussi que je lui faisais des reproches elle partirait. En fait, je n’arrêtais pas de penser à elle et j’avais même commencé à me branler en faisant ma toilette mais je m’étais vite arrêté.
– Tu veux du café, m’a demandé Sophie ? Tu sais, je peux être utile !
Elle m’a servi une tasse. Elle était tout près de moi et ses mamelons déformaient le tissu de son top. Bien sûr, elle n’avait rien dessous. Ses seins n’arrêtaient pas de bouger. Heureusement, si je peux dire, la fille n’a pas tardé à disparaître et une fois de retour dans ma chambre, j’ai recommencé à me branler et cette fois jusqu’au bout, tout en me disant que si j’osais lui demander, peut-être qu’elle accepterait…
– Tu n’utilise pas la piscine ?
J’avais les doigts pleins de sperme. Heureusement que Sophie n’avait pas ouvert la porte. Je la savais là, de l’autre côté du panneau.
– Bon, alors, j’y vais, a-t-elle ajouté !
J’ai regardé par la fenêtre et j’ai vu qu’elle se dirigeait vers le bassin. J’avais vu une paire de jumelles quelque part. Oui, c’était ça, dans le bureau. Je suis allée la chercher mais quand je suis revenu dans ma chambre, Sophie était déjà en train de nager. Je l’ai espionner jusqu’à ce qu’elle ressorte de l’eau. Elle était nue. Ses seins étaient un peu trop flasques à mon goût et ils pendaient sur son torse, mais c’était pas mal et même assez excitant. J’ai porté la main à ma bite. Je bandais et j’allais me branler une fois encore quand la fille a regardé vers ma fenêtre et je me suis reculé.
Elle avait rompu le charme. Je me suis assis dans le fauteuil et j’ai commencé à lire un livre mais je n’y étais plus. Quand j’ai regardé dehors à nouveau, Sophie avait disparu. Je suis descendu à la piscine et je me suis baigné nu. Je n’avais jamais fait ça.
Quand j’allais à la mer avec mon ex, elle avait toujours le seins à l’air et j’avais toujours l’impression que qui elle les enduisait de crème c’était pour exciter les autres estivants. Elle m’avait dit une fois que les seins ne sont que des morceaux de viande et j’avais lu un tel mépris dans sa voix. Elle n’était pas très sexe non plus et pour elle, ce n’était qu’un mal nécessaire. Jamais de préliminaires et une fois fini, elle se précipitait toujours pour se laver et si je lui demandais si ça lui avait plu elle me répondait que si j’en veux plus je n’ai qu’à aller voir une putain.
Notre mariage n’avait duré que deux ans. J’ai su plus tard qu’elle avait trouvé un autre mec. Pour me changer les idées, je suis allé me promener dans la campagne et cette nuit-là, encore, j’ai entendu arriver une voiture. J’ai regardé par la fenêtre. C’était Sophie mais le mec n’était pas le même. Ils se sont donnés un dernier baiser et elle est descendue de la voiture et c’est là qu’elle a renfilé sa petite culotte. Avait-elle peur que j’aille à sa rencontre et que je lui pose des questions ?
La même scène s’est reproduite plusieurs fois et chaque fois avec un autre homme. Au bout de huit jours, la fille de mon cousin avait donc eu huit amants différents. C’était un dimanche matin. Je suis descendu pour me faire un café. Sophie était déjà là. Une fois de plus elle m’a demandé si je veux un café. J’ai accepté.
– J’ai l’impression que tu as toujours un manche à balais dans le cul, m’a-t-elle lancé !
– Quoi ?
– Tu ne me poses jamais de questions, a-t-elle continué ! J’ai l’impression de vivre avec un étranger !
– C’est que si je suis ici, c’est que j’ai fait une déprime, ai-je commencé à lui répondre !
– Je sais, m’a répondu Sophie ! Ton divorce !
– C’était une garce !
Ça m’avait échappé.
– Qui te dit que je n’en suis pas une moi aussi ?
Elle devait bien avoir la moitié de mon âge. Une fois encore, elle n’avait pas de soutien-gorge.
– Tu ne veux même pas savoir ce que je fais comme boulot, a insisté la fille ?
– Moi, je…
Elle m’a répondu qu’elle sait tout sur moi et elle a ajouté qu’elle s’est déjà renseignée.
– Tu ne veux vraiment pas savoir ce que je fais pour vivre, a-t-elle ajouté ?
Je la regardais mais je regardais surtout sa poitrine et elle s’en est aperçu et elle a soulevé son top une seconde avant de le rabaisser.
– Maintenant tu sais, m’a-t-elle lancé en éclatant de rire !
Elle avait l’air bien contente du tour qu’elle m’avait joué.
– Maintenant, je vais te le dire, a-t-elle encore ajouté ! Je travaille comme modèle sur un site, mais ne t’avise pas de dire ça à mon père !
– Sur un site ? Tu vends des trucs ?
– Mais non, idiot ! Je vends mon cul ! Et aussi mes nichons !
Je suis resté muet. Je n’arrivais pas à imaginer qu’elle faisait ça.
– J’ai hésité longtemps, mais quand je me suis décidée, j’ai rapidement vu que c’était facile et que je pouvais faire ça sans me poser trop de questions.
– Tu… montres tes seins ?
Je bafouillais.
– Tu gagnes bien ta vie ?
– Pour ce que j’ai besoin, ça va, m’a-t-elle répondu ! Si j’ai besoin de plus d’argent, j’ai un autre plan !
– Ah, bon ?
– Je ne te le dis qu’à toi, a ajouté Sophie ! Il y a tellement de clients qui voudraient bien me baiser que je n’ai que l’embarras du choix !
– Tu te moques de moi ?
Elle ne se moquait pas de moi et elle m’a même dit le nom du site dont elle se sert pour ses rendez-vous. Elle a encore ajouté que ce n’est pas pour rien qu’elle a fait des études d’informatique. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête.
– Je sais ce que vous aimez, a ajouté Sophie ! L’autre soir je t’ai espionné et j’ai vu que tu te masturbais ! Si tu pense à moi, on peut baiser ! Ça sera gratuit.
J’ai fini mon bol mais en fait je l’avais déjà fini puis je l’ai posé dans l’évier et j’ai pris l’escalier. J’étais dans ma chambre quand Sophie a frappé à ma porte. Elle était à moitié nue. Elle m’a dit de rester derrière elle et elle m’a tendu un préservatif puis je l’ai pénétrée en levrette. Je me suis beaucoup amusé avec ses tétons. Ils étaient mous et aussi réactifs. Mon ventre tapait sur son beau cul et j’ai réalisé qu’elle savait se débrouiller avec son cul et quand j’ai voulu changer de trou, elle a commencé par refuser puis elle a fini par accepter et je l’ai enculée. C’est dans ce trou que j’ai fini ce soir-là.
Elle a continué à se trouver de nouveaux amants les autres soirs. J’ai continué à la baiser puis un jour elle a disparu de mon horizon. Je suis rentré chez moi et j’ai cherché son site de cul et j’ai pu la voir. Je me suis inscrit sous un faux nom pour voir jusqu’où elle pouvait aller et j’ai découvert que c’était une vraie salope.

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