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Une soirée mémorable en club libertin.

Une soirée mémorable en club libertin.



Je suis au bar d’un club libertin, je sirote à la paille un cocktail glacé.
J’ai mis ma robe très fendue, moulée à mon corps (voir photo) et qui laisse apercevoir mes seins cachés derrière un haut en résille.

Depuis un moment un couple charmant me regarde d’un air insistant vers ma direction en souriant, je n’y prête pas plus attention souvent les regards se croisent dans ces endroits.

Mais au moment où je m’y attends le moins, cette jolie inconnue, très sure d’elle, en tenue ultra sexy, blonde, cheveux court, les yeux pétillants de désirs ce trouve devant moi, et me fixe avec insistance pour capter mon regard.

Voyant que je réponds par un grand sourire, elle se rapproche encore plus, ce qui augmente d’autant mon trouble, elle me parle, mais je ne comprends pas tout ce qu’elle me dit.

Je suppose qu’elle se présente et qu’elle me fait un compliment au moment où ces yeux me scannent des pieds à la tête.

Après un petit échange franco/anglo/langage des signes, et me voyant assez réceptive à son charme, son visage se rapproche du mien, mon cœur s’emballe, palpite, je comprends très vite son intention, et je m’abandonne complètement à ses lèvres.

Puis ses mains caressantes attirées par ma poitrine, trahissent mes émotions par la vitesse de mes pulsations cardiaques.

Constatant mon état de soumission total, elle en profite pour me prendre la main et m’attirer vers les escaliers qui mènent vers les coins câlins du club.
Suivi de très près par nos compagnons respectifs, qui n’en loupe pas une miette.

Deux entrées s’offrent à nous, mais elle choisies « couple » d’un pas décidé, tout en me regardant d’un air malicieux.

Les espaces coquins sont presque tous occupés, sauf une alcôve ouverte aux regards, dont la lumière tamisée permet de tout voir, une fois les yeux habitués à la pénombre.

Très gentiment, avec beaucoup de douceur, elle m’invite à me mettre en levrette sur cet épais matelas froid et plastifié, et profite de cette position pour relever ma robe et dévoiler mes fesses, à peine cachées par une petite culotte rouge.

Une véritable invitation aux voyeurs et curieux qui circulent le long des allées.

Dans les pièces de chaque côté, J’entends le bruit de frottements et de claquements de corps nues qui s’entrechoque accompagnés de gémissements. Puis tout près de moi, je reconnais le zip des braguettes rapidement descendues.

Face à moi, mon amante d’un soir, me relève le visage pour m’obliger à la regarder, et comme pour me récompenser pour ma docilité, elle se penche pour me faire découvrir son sublime décolleté dans l’échancrure de sa chemise déboutonnée, laissant pleinement apparaitre deux magnifiques seins débordant harmonieusement de son soutien-gorge.
Derrière moi, je sens des visiteurs s’attrouper, en effet mes pieds plaqués sur le chant du matelas ressentent le moindre effleurement.
Mais ma charismatique partenaire, veille, tel un chef d’orchestre et personne n’ose tenter quoi que ce soit sans son autorisation.
Ils leurs est seulement permis d’accorder leur instrument à coulisse, dans leur coin, pour s’échauffer, et se préparer, au premier signal.
Mais pour l’instant, ses deux mains délicates et expertes continue leur influence sur ma tête pour diriger ma bouche vers ses lèvres pulpeuses à souhait, magnifiés par un gloss, que je croque, lèche et embrasse langoureusement avec délice.
Puis elle laisse subtilement sa place à son compagnon, tout en continuant à me maintenir fermement.
Devant moi, ce dresse son sexe en érection long et rigide, les veines gonflées, le gland lisse et brillant, s’approchant de moi sans que je ne puisse bouger.
Il introduisit son membre dans ma bouche, en glissant sur ma langue, et en l’écrasant dans ma gorge. De sa main il me saisit le cou, pour s’assurer une pénétration encore plus profonde, et ainsi prendre le relai de ma belle blonde, qui en profite pour me détrousser le haut de ma robe afin de laisser échapper mes petits seins, lui permettant les caresser, les presser, les lécher, rendant mes tétons tout dure et ultra sensibles, m’excitant comme une folle, et me rendant totalement dépendante d’elle. Le ton est donné, et les autres, y ont vu un signe de départ.
L’un a saisi mon pied pour le masser à l’aide de ses boules, et de sa verge lubrifiée naturellement, en n’épargnant aucun espace de peau, un autre, prépare le passage de mon petit trou en malaxant mes fesses dans tous les sens, et un autre c’est perdu le long de mes cuisses en quête de mon petit bouton, déclencheur du déploiement de mes lèvres, assurant l’ouverture béante de mon vagin.
Le prélude d’une œuvre orgasmique collégiale se profile ou chacun pourra y apporter sa touche personnelle, et son savoir-faire sur mes zones érogènes.
Soudain, comme prise dans un étau, mes hanches sont maintenues fermement et basculé légèrement en arrière, la culotte baissé d’un trait au niveau de mes genoux, je sens un membre en érection directement s’enfoncé en moi, et chaque coup de rein, me fais apprécier sa virilité, en totale synchrone avec les percussions buccales de mon 1er amant.
Je ne contrôle absolument plus rien, mon cœur palpite, je suis dans un état second, la jouissance pousser à son paroxysme, me provocant de multiples orgasmes, et quand il retire son sexe en exerçant une forte pression au niveau de mon point g, j’expulse à chaque fois un jet de cyprine, tout en poussant des cris étouffés. Lors d’un dernier retrait il me déposa sa contribution toute chaude le long de ma cambrure.
La pipe c’est transformé en gorge profonde, ses boules claques sur mon menton et sa bite me provoque un étouffement à chaque passage, dont le dernier plus long que d’habitude, fut suivi d’un jet de sperme directement dans le fond de ma gorge, puis en se retirant, une deuxième giclée traversa mon visage. Il me présenta de nouveau son pénis dégoulinant pour que je le nettoie soigneusement.
Epanoui et le regard radieux, mes camarades de jeux sexuelles, prirent congés en me remerciant chaleureusement pour ce moment torride.
Mon homme qui était au première loge, s’approcha de moi afin d’être le dernier à apposer sa signature et à finaliser le tableau.
Assise devant lui, le regard évasif, le corps recouvert de différents fluides, il me déclare être « Une belle salope ! ».
Ce que je lui confesse, en lui affirmant qu’il avait raison, et c’est en redressant ma poitrine, qu’il déversa sa crème liquide sur mes seins.

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