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Une négociation hors de contrôle Partie 2

Une négociation hors de contrôle Partie 2



Cette histoire est une fiction.

Une négociation hors de contrôle. Partie 2.

— Vous vous foutez de nous ? s’exclame Eric. On avait un accord.
— Votre associée a proposé que nous allions ailleurs pour négocier. C’est ce que nous faisons. Mais je ne vous retiens pas, vous pouvez encore partir. Retournez dans votre boite en train de couler, votre foutre et surtout le mien à l’intérieur de l’estomac de votre associée. Après, si vous avez du mal à supporter le spectacle, vous pouvez aussi nous laisser. Néanmoins, je crois que dans ces conditions il faudra à Céline au minimum une nuit de plus pour me convaincre.

Non, pas ça. Pas une nuit de plus avec ce gros pervers. Je supplie Eric de ne pas m’abandonner.

— Eric…
— Espèce d’enculé.
— Je vois que vous n’avez pas encore compris votre position et le respect que vous me devez. Dois-je vous rappeler nos règles ? Pour vous, c’est monsieur. Pour cet écart, Céline va être mise à l’amende. Elle recevra une dose de plus de foutre.

Eric est sur le point d’exploser. Je lui prends la main pour l’empêcher de faire une bêtise.

— Et en parlant d’enculé, vous me donnez une idée. Je pensais réserver ça pour la fin, mais puisque désormais j’ai une cartouche de plus pour Céline, nous allons commencer en beauté avec une bonne sodomie.

Eric me regarde les yeux emplis de tristesse.

— Ne faites pas cette tête. Je vous laisse la primauté du plaisir de lui ouvrir le cul. Si je m’en chargeais, je ne suis pas certain que votre amie vous remercierait.

Ce porc a raison, avec la queue qu’il a, il risquerait de totalement me déchirer.

— Nous ferons tout ce que voudrez, monsieur, dis-je d’une voix soumise pour l’amadouer.
— Je n’en attends pas moins de vous Céline. Néanmoins, je tiens à vous avertir, j’ai des goûts très particuliers en matière de sodomie. J’aime que ça soit intense. Très intense. Eric vous fera une préparation minimale. J’ai envie de le voir vous enfiler le cul presque à sec. Quand ce sera mon tour de vous ouvrir le cul comme vous le méritez, je me servirais de son sperme comme lubrifiant.
— Sale bat…
— Comme il vous plaira, monsieur, intervins-je.
— Joli réflexe Céline, mais dommage. J’ai entendu. Néanmoins, pour votre initiative, votre malus sera différent de tout à l’heure. Pas de cartouche en plus. Mais il vous prendra totalement à sec.
— Vous avez raison, c’est tout ce que je mérite monsieur.
— Bien. Alors, commençons. Remettez notre ami dans de bonnes dispositions.

Je me place devant Eric. Je l’embrasse passionnément. Je me serre contre lui et lui murmure à l’oreille.

— Je t’offre mon cul. Il est à toi. Prends-le. Sodomise-moi, grave dans ma peau le plaisir que j’ai à ce que tu me prennes par là.
— Mais si je lui obéis, je vais te déchirer.
— Qui t’a dit que je n’aimais pas être prise ainsi ?

Eric me dévisage. Il n’arrive pas à croire à ce que je viens de lui dire. Il a raison, c’est un mensonge. Je n’ai peut-être rien contre la sodomie, mais j’aime quand c’est fait en douceur. Néanmoins, si ce mensonge peut le débloquer et éviter qu’il ne se laisse encore emporter et que je me retrouve un peu plus à l’amende.

— Et surtout quoiqu’il arrive, quoi qu’il dise, ne réagis pas. Reste à ta place, reste dans ton rôle. Tu as vu ce qui se passe quand tu prends ma défense avec un homme comme lui ?

Je dépose un dernier baiser sur ses lèvres puis mes lèvres descendent le long de son corps. Je l’embrasse partout jusqu’à arriver devant son sexe. Il ne bande pas. Je le prends en bouche, je fais rouler ma langue autour. Eric me caresse les cheveux. Je le sens grossir en moi. Je gémis en le suçant. Malgré la situation, je l’excite vraiment et moi j’aime sentir son sexe grossir sous mes caresses. Sa queue devient vite dure comme du béton. Je salive abondamment dessus. Je la ressors un moment pour admirer mon œuvre.

— Ça suffira, déclare Pierre.

Il jette soudain une serviette entre nous. Je la ramasse en le regardant sans comprendre ce qu’il veut.

— J’ai dit à sec.

Le salaud, il ne m’accordera même pas ma salive comme lubrifiant. Je lui obéis à regret et essuie le sexe d’Eric.

— En position face à moi, ordonne Pierre. Dernière consigne. Céline, vous devez me regarder dans les yeux en permanence. Vous, Eric, une fois votre gland rentré dans son cul vous devrez l’enfiler d’une seule poussée. Pas de va-et-vient ni de pause pour lui laisser le temps de s’habituer.
— Bien.

Pierre fixe Eric tout en tapotant du bout du doigt l’accoudoir de son fauteuil.

— Bien monsieur.

Je me place à quatre pattes devant Pierre et le fixe du regard. Eric se place derrière moi. Il empoigne ma hanche d’une main et de l’autre présente sa queue à l’entrée de mon cul. Il faut que je me détende sinon ça va être ma fête. Je sens le gland d’Eric qui fait pression sur mon œillet. Il y va doucement pour le moment, je le sens bien. Malgré ce que je lui ai dit, il cherche encore à me ménager. Hélas s’il continue comme ça ça ne rentrera jamais et Pierre s’en rend bien compte, il rappelle Eric à l’ordre et lui ordonne de se dépêcher. Immédiatement, la pression sur mon œillet se fait plus forte. Eric pousse des grognements qui se mêlent à mes petits cris aigus de douleur. Sa queue plie sous l’effort.
Soudain la résistance de mon cul lâche et son gland me perfore.

— AH !

Sous la v******e de la pénétration, mon corps se tend et je m’effondre.

— Regarde-moi, salope ! hurle Pierre.

Je mets trop de temps à son goût pour me redresser et il abat une violente gifle sur ma joue en répétant son ordre. Péniblement, je me redresse et plonge mes yeux dans son regard de prédateur.

— Et maintenant jusqu’aux couilles.

Eric me saisit les hanches à deux mains et pousse. Je sens sa queue forcer lentement son chemin dans mon cul. Putain, ça brûle.

— Allez-y, défoncez-la !

Eric raffermit sa prise, il appuie de toutes ses forces pour permettre à sa queue de se frayer un chemin dans mon cul serré qui l’écrase comme un étau.

— Plus fort !

Eric se relève en me tirant avec lui, décollant mes genoux du sol. Je me retrouve bientôt en l’air pliée en deux, mes mains touchant à peine le sol. Dans cette position, les dernières résistances de mon cul lâche et il m’enfile en entier, je sens ses couilles venir frapper ma chatte.

— Excellente position. À un détail prêt. Prenez-lui les cheveux et relevez-lui la tête. Je veux mieux la voir.

Eric me tire les cheveux et me force à de nouveau fixer ce gros porc.

— Maintenant, défoncez-la. Je veux l’entendre hurler.

Eric sort rapidement de mon cul pour mieux y replonger. Je hurle. Il ne ménage pas. Eric se laisse emporter par le moment, je crois qu’il m’a pris au mot quand je lui ai dit que j’aimais quand c’était intense et qu’il pense me faire grimper au rideau. Je n’ose pas le contredire, je ne veux pas le bloquer et compliquer un peu plus la situation dans laquelle nous nous trouvons.

— Mettez-vous de profil, que je vous vois mieux lui pistonner le cul. Et soyez un peu plus énergique, je ne la trouve pas assez expressive à mon goût.
— Bien monsieur.

La spontanéité à répondre d’Eric et de lui obéir me surprend. Je suis en train de me dire qu’il est trop rentré dans ce jeu de soumission. J’en ai la confirmation dès son premier coup de reins quand nous nous retrouvons de profil.

— Ah ! Putain !

Il ne me sodomise plus, il me déchire le cul, ça brûle, c’est atroce, j’en ai les larmes aux yeux.

— Voilà le son que j’aime entendre. Continuez comme ça, ne la ménagez pas.

Eric lui obéit docilement. La chambre est emplie de mes cris et le bruit sonore de mes fesses qui claquent contre son pubis.

— Ne soyez pas si réservé, Eric. Dites à Céline ce que vous ressentez.
— Ah ! Céline, ton cul, j’adore ton cul. Tu es brûlante et étroite. J’adore te sentir t’ouvrir sous mes assauts. Ah ! Putain ! Putain ! J’ai toujours voulu coucher avec toi et ce soir tu es moi. Ton cul est à moi. Oui ! Oui !

Il me lime comme un fou, il me possède, me fait sienne. Mes reins sont toujours en feu et pourtant, après la confession qu’il vient de faire, je sens mon plaisir monter, un plaisir profond, intense, explosif.

— Oh oui ! Eric, c’est bon. Ne te retiens pas. Vas-y, défonce-moi.

Sous mes encouragements, ses coups de reins dans mon cul redoublent. Nous sommes en transe, nous partons dans notre propre plaisir. Je me fous complètement de ce connard souriant qui bande comme un taureau de me voir me faire ravager le cul. Tout ce qui compte pour moi désormais est le sexe d’Eric, cette queue qui me fait désormais un bien fou, ses couilles qui fouettent ma chatte trempée.

— Ah ! Céline ! Je vais te remplir le cul !
— Oui ! Vas-y, jouis ! Donne-moi ton sperme !

Eric éjacule dans mon cul, il m’arrose de foutre sans s’arrêter de me pilonner, ses hurlements se mêlent à mes cris de jouissances. Même quand les jets se tarissent enfin il continue de me défoncer.

— Ça suffit. Restez dans son cul et apportez-la-moi. Offrez-la-moi.

Eric se calme difficilement. Il me saisit par la taille et me fait me redresser contre lui. Il se saisit de mes cuisses et me porte vers Pierre.
Je sens son souffle contre mon oreille.

— Je suis désolé. Je t’aime.

« Espèce d’idiot, ne me dit pas de tels mots au moment où tu m’offres à un autre homme. »
Eric sort sa queue de mon cul et avant que son sperme ne s’écoule je sens le gland de Pierre venir obstruer la sortie. Il me saisit par les hanches.

— Mais c’est qu’elle est trempée ma salope, dit-il en plongeant un doigt dans ma chatte inondée de cyprine pour le porter à sa bouche. Hum, un vrai jus de pute. C’est la bite de ton associé qui t’a mise dans cet état ? Le fait de te faire tirer devant moi ? Ou bien simplement te faire éclater ton cul de pute à sec ?

Je ne sais pas quoi lui répondre et je n’ai pas envie de lui répondre. C’est une grosse erreur et il me gifle brusquement.

— Les trois, dis-je par réflexe.
— Hum, les trois ? Alors ta chatte de pute va se transformer en fontaine dans quelques secondes. Maintenant, Eric, allez-vous asseoir et admirez. C’est comme ça qu’on ouvre le cul des putes.

Les doigts de Pierre s’enfoncent dans ma peau et d’une seule poussée il écartèle mon cul et s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Malgré la longue sodomie d’Eric et la dilatation de mon cul, la différence entre leurs deux sexes est considérable et je hurle comme une démente.

— Ah !

Pierre ne me laisse pas le temps de récupérer. Il se met à me défoncer comme un fou furieux. Il distend mon cul. Je ne suis plus qu’un patin entre ses mains, un trou dont il se sert pour se faire du bien.

Après d’interminables minutes à me faire ouvrir en deux, Pierre se calme enfin sa queue totalement plantée dans mon anus. Je reste pantelante entre ses mains. Je me sens pleine, c’est aussi incroyable que difficilement supportable. Pierre se lève et me porte comme une plume. Il m’amène devant la baie vitrer de sa suite, écarte le rideau qu’il repasse dans mon dos puis me plaque contre la vitre avant de se remettre à me sodomiser en profondeur.

— Regarde, salope. Tu as du public.

Terrifiée, je baise les yeux et distingue sous un réverbère un groupe d’hommes qui regarde dans notre direction. Ils nous voient, j’en suis certaine. Putain, non, l’un d’eux a même sorti son portable et nous filme.

— Ton premier porno, ricane Pierre.

Enivré par le spectacle qu’il leur offre, Pierre me défonce de plus belle. Dans cette position, ses grosses couilles viennent fouetter durement ma chatte. Un contact qui le rend fou. Je suis de nouveau trempée. Passé le choc, j’ai commencé à être excitée de me retrouver là exposée à la vue de tous ces hommes.

— Mais quelle pute ! C’est une vraie inondation dans ta chatte. Ça te plaît tant que ça de te faire exploser le cul devant tous ces mecs.
— Oui !
— Salope ! Alors, fais leur signe. Montre que tu as vu qu’il te matait et que tu aimes ça.

Le laisser m’exhiber ainsi est une chose, interpeller ces inconnus en est une autre et je reste sans réagir ce qui déplaît à Pierre.

— Je t’ai dit de les saluer, sale pute ! hurle-t-il en m’envoyant des coups de reins absolument titanesques entre chaque mot qui font vibrer toute la baie vitrée

Écrasée contre la vitre, je fais ce que je peux pour leur faire signe, agitant de manière maladroite mes mains vers eux. Celui qui me filme avec son portable comprend mon geste et me fait de grands signes.

— Hum, je crois qu’ils viennent tenter leur chance.

Effectivement, je vois le groupe se diriger vers l’hôtel. Je tente de me libérer de l’étreinte de Pierre. Il m’en empêche. Il se plante dans mon cul jusqu’à la garde et m’écrase contre la baie vitrée en me décollant les pieds du sol. Je sens son souffle dans mon cou.

— Cinq ans. Je m’engage avec vous pour cinq ans si tu les laisses nous rejoindre.

Cinq ans ? Il n’est pas sérieux. S’il signe un tel contrat, notre société est définitivement sauvée. Une telle offre me fait complètement disjoncter et oublier toutes les conséquences des mots que je vais prononcer.

— D’accord. Cinq ans. Mais tu tiendras ta parole, même s’il ne trouve pas la chambre.
— Oh, ils vont la trouver, crois-moi.

Les pieds toujours décollés du sol, je sens la queue de Pierre qui sort entièrement de mon cul pour mieux y replonger. J’en ai le souffle coupé. Il répète l’opération inlassablement. Je ne peux vite plus supporter ça en silence et je me mets à hurler comme une folle. Putain quel enfoiré, même si l’hôtel est bien insonorisé, en tout cas je l’espère, si ces hommes ne se trompent pas d’étage il suffira qu’ils se placent derrière la porte pour entendre mes hurlements et savoir qu’ils ont trouver la bonne chambre

Comme je le redoutais, deux minutes plus tard, on frappe à la porte.

— Entrez ! hurle Pierre sans ralentir sa sodomie.

J’entends la porte s’ouvrir.

— On s’amuse bien ici. On vous a vu depuis le parking alors on s’est dit que nous pourrions venir vous voir de plus prêt.
— Bien sûr vous avez bien fait. Mais vous voulez seulement regarder ? Pas tester ?
— Sérieusement ?
— Bien sûr. C’est qu’une pute qu’on s’est payé avec mon ami. On lui a déjà déchargé deux fois directement dans l’estomac et une fois dans le cul. Elle attend sa deuxième cartouche. Au prix où on la paye, je suis certain qu’elle accueillera avec plaisir toutes celles que vous aurez à lui offrir.

Je prie pour que ces intrus n’osent pas aller jusque là. Ils douchent mes espoirs en quelques secondes.

— Dans ce cas, pourquoi se priver ?

Pierre se penche vers moi et me murmure à l’oreille.

— Hum, tu vas prendre cher.

Plus rien ne le retient, il se déchaîne dans mon cul. La présence de tous ces hommes et la perspective de les voir me passer dessus à leur tour l’ont encore un peu plus excité. Il me besogne sous les commentaires salaces des intrus. « Putain, comme il la défonce ». « Quelle pute ! Vous avez vu comment elle encaisse ? ».
Le spectacle que Pierre leur offre dure encore un long moment, mais enfin j’entends sa respiration qui s’accélère.

— Sale pute, je vais te repeindre le cul en blanc avec mon foutre.

Il éjacule une fois de plus à gros flots. Ses grosses couilles se vident dans ma chatte et déversent une quantité astronomique de sperme. La sensation de tous ses jets qui s’écrasent dans mon cul me rend folle et je jouis avec lui comme une démente.

— Au suivant.

La soirée bascule totalement. Pierre sort de mon cul et la seconde suivante une nouvelle bite vient s’y loger et s’y enfoncer jusqu’à la garde.

— Putain, c’est plus un cul qu’elle a, mais un trou béant.

Le premier des inconnus me tringle comme un fou furieux sans la moindre retenue. Toujours secoué par mon orgasme, j’ai les jambes qui flageolent et je ne parviens pas à résister à ses assauts. Nous nous effondrons au sol sans que cela le ralentisse une seule seconde. Il me démonte comme ça, le visage plaqué contre la baie vitrée. Le rideau encore sur le dos, il ne voit même pas à quoi je ressemble. Il n’en a rien à faire, je ne suis qu’un cul, qu’un trou qu’il lime à grands coups de bite. En moins de cinq minutes, il gicle en moi.

— Au suivant !

Son sexe tout juste sorti, ce n’est pas une, mais deux bites qui se présentent à l’entrée de mon cul béant.

— On va te dresser, sale chienne !

Je n’ai pas le temps de réagir et le seul son qui sort de ma bouche est un cri strident qui les faits rire tandis qu’ils s’enfoncent en moi. Eux aussi ne font preuve d’aucune retenue et m’ouvrent en deux, ils distendent les parois de mon anus comme jamais. Ils me prennent de façon désynchronisée, quand l’un rentre l’autre recule. Je devrais souffrir le martyre, me sentir humiliée de subir ma première double pénétration avec deux hommes comme eux et pourtant la chaleur entre mes fesses commence à me tourner la tête. Je sens de nouveau le plaisir monter et j’ai honte. Je fais tout pour le cacher, je ne veux pas le leur montrer, mais c’est plus fort que moi. Ma respiration s’accélère lentement et je pousse de petits gémissements, puis de plus en plus long, avant d’être subitement submergée par le plaisir et de pousser un long feulement.

— Mais quelle pute ! Écoutez là comme elle jouit cette salope alors qu’elle se fait pistonner le cul par deux mecs.
— Allez, on change de position, on va la prendre debout bien à fond comme elle le mérite et là elle va voir ce qu’elle va voir. On va la faire décoller cette chienne.

Celui complètement derrière moi sort de mon cul pour permettre à celui dans mon dos de se relever en m’emportant avec lui. Je me retrouve dans les airs. Immédiatement, celui qui vient de quitter mon cul y retourne. Son gland tout juste rentré, il me prend sur toute la longueur de son sexe et la double pénétration reprend de plus belle. Dans cette position, ils disposent de plus d’amplitude pour me prendre et malgré la rudesse de leur assaut le plaisir que je prends est décuplé.
Emportée dans ce tourbillon sexuel, il me faut un long moment avant de songer que dans cette position je peux enfin compter le nombre d’hommes qui se sont introduits dans la chambre. Ils sont quatre. Après ces deux qui me font grimper au rideau, il en restera un qui voudra me passer dessus et pas n’importe qui. C’est un homme noir de plus de deux mètres, battis comme une armoire à glace. Sa queue colossale est dressée devant lui. Malgré que j’ai deux bites en moi, j’ai peur de ce qu’il va me faire, car il me semble avoir un sexe encore plus long que celui de Pierre et la paire de couilles qui pend entre ses jambes est tout aussi monstrueuse.
Les deux hommes finissent par me donner le coup de grâce au moment où ils inondent mon cul d’un peu plus de foutre. Je jouis comme une folle, transportée par leurs jets de sperme qui s’enchaînent et se mêlent contre mes parois anales.

— Ouuuiiii !

Je m’effondre dans leur bras, terrassée par ma jouissance. Le noir se lève, prend la place de celui devant moi et passe mes jambes sur ses épaules. Celui derrière moi abandonne alors mes fesses qui sont instantanément réinvesties par la formidable bite du noir qui m’enfile d’un coup sec jusqu’à la garde. Malgré ou à cause de ce que je viens de subir, mon anus est très sensible et je me cabre en poussant un grand cri aigu.

— Ah !
— Tu la sentis passer, sale pute. Attends, tu n’as encore rien vu.

Il sort presque entièrement son sexe de mon cul ravagé, ne laissant que la pointe de son gland à l’intérieur pour soudainement me faire redescendre et m’enfiler sur toute sa longueur. Il y va de toutes ses forces. Je suis pantelante entre ses bras, je ne suis plus capable que de gémir.
Après m’avoir longuement ramoné, il s’arrête et raffermit sa prise autour de mes hanches et me fait pivoter, sa bite toujours plantée dans mon cul. Il me tourne jusqu’à ce que mes jambes soient vers le sol. Ses mains remontent jusqu’à ma poitrine qu’il écrase en me tirant à lui pour plaquer mon dos contre lui.

— Et si on retournait t’exhiber un peu ?

Il me ramène contre la baie vitrée et me plaque dessus. Contrairement à Pierre il ne se cache pas derrière le rideau. Il me défonce là à la vue de tous. Il faut attendre moins de cinq minutes avant que des riverains nous remarquent. Certains nous regardent un instant sans trop s’arrêter, d’autres profitent du spectacle plus longtemps. Beaucoup sortent leur portable pour immortaliser ce moment. Par miracle, aucun ne s’approche de l’hôtel.
Comme avec Pierre tout à l’heure, être exposée ainsi m’excite et pour ne rien arranger je commence à de nouveau prendre du plaisir. Ces hommes m’ont rendue folle, mais j’adore sentir mon anus se dilater ainsi sous les assauts d’un tel sexe. Mon partenaire ne rate rien de mon excitation, il sent bien ses couilles qui viennent fouetter ma chatte devenir humides. Un encouragement clair pour lui à continuer à me besogner comme il le fait et il ne s’en prive pas.

— Elle en est à deux cartouches dans le ventre, cinq dans le cul, bientôt six. Et pour sa chatte ? C’est quoi les règles ?
— Aucune, répond Pierre. Quand on en aura fini avec son cul, ce sera son tour. D’ailleurs, pourquoi attendre ? Eric, tu es d’attaque ?
— Non, répond-il à voix basse.
— Dans ce cas.

Le noir rit. Il se cale au fond de mon cul, passe ses mains sous mes cuisses et relève mes jambes contre ma poitrine. Il se retourne et me présente cuisses grandes ouvertes à Pierre qui vient nous rejoindre.

— Pitié. Pas ça. Pas en même temps, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer.

Pierre se blottit contre moi, son gland vient se poser à l’entrée de ma chatte. Il se penche à mon oreille.

— Dix ans.

Avant même que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, sa bite force son passage dans ma chatte rendue étroite par le pieu que j’ai dans le cul. Je pleure, je couine, mais Pierre n’en a cure et continue son forage jusqu’à me la mettre en entier.

— Ensemble.

D’un même rythme, Pierre et le noir font des va-et-vient dans mes orifices. Il m’ouvre en deux, je n’arrête pas de pousser des petits gémissements aigus qui les excitent et les encouragent à ne surtout pas ralentir.

— Putain, quelle pute ! s’exclame le noir. Elle encaisse vraiment bien. Elle te coûte combien ?
— Chère, très chère, mais elle en vaut le coup.

Voilà ce que je suis devenu pour eux, une pute. Une pute qu’ils prennent sans la moindre considération. Ils y vont de toutes leurs forces.

Après dix minutes de double pénétration frénétique, le noir atteint enfin ses limites et se fige tout au fond de mon cul.

— Ah ! Sale chienne, prends ça !

Il se répand à gros flot dans mon cul, il remplit mes intestins d’un peu plus de foutre. Il éjacule pendant de très longues secondes, sa jouissance est aussi copieuse que celle que Pierre a déversée dans mon estomac.

— Messieurs, admirez le spectacle, dit Pierre après que le noir ait enfin abandonné mon cul.

Tout en continuant à me baiser, Pierre me tourne vers tous les hommes. Il empoigne mes fesses et les écarte. Mon anus est tellement distendu que je ne peux retenir tout le foutre qu’ils ont mis à l’intérieur et celui-ci s’écoule à gros flots sur le sol de la chambre.
Mon cul vide, Pierre me repose au sol, me retourne et me force à me cambrer au-dessus de la flaque de foutre avant de retourner dans ma chatte en m’enfilant d’un coup sec sur toute la longueur de son pieu.

— Regarde, sale pute. À la fin de la nuit, tu en auras autant dans la chatte et dans l’estomac.

Sous les applaudissements et les insultes de tous les hommes hormis Eric, Pierre me laboure la chatte comme un dément. Il me prend ainsi pendant de très longues minutes sans me ménager. Sa troisième éjaculation est très longue à venir, pour son plus grand plaisir et le mien. Car oui, moi aussi je prends mon pied. Je ne devrais pas et pourtant j’aime comme il me baise, j’aime sentir sa bite pistonner ma chatte complètement inondée.
Pierre se plante en moi dans un dernier coup de reins titanesque.

— Tiens, voilà ta première dose, salope !

Il éjacule encore à gros flots dans ma chatte. Il la noie sous son foutre brûlant.

— Au suivant !

Et le défiler de bites reprend. Ils me prennent ainsi à la chaîne chacun leur tour devant tout les autres. C’est un vrai défilé de bestialité. Il cherche tous à me faire jouir plus fort que le précédent. Ma chatte est inondée sous des flots de sperme.

Le dernier à passer est Eric. Malgré les assauts que je subissais lorsque le noir me tringlait de toutes ses forces, j’ai bien vu Pierre aller lui parler. De toute évidence, il ne voulait pas prendre part à ce délire orgiaque, mais Pierre est parvenu à le convaincre.

— Sale pute, ça va être ta fête. Je ne vais pas quitter tes reins avant que nos quatre amis aient inondé de foutre ton estomac.

Je pensais en finir avec lui, mais Pierre compter user de moi jusqu’au bout. Ce que je lui ai offert à Eric et lui je dois l’offrir aux autres. Nos quatre invités accueillent cette nouvelle avec enthousiasme.
Ce n’est pas Eric qui plonge entre mes cuisses et me défonce, c’est un autre homme, un mâle dominant qui démonte une pute. Je ne sais pas si c’est à cause de ce que Pierre lui a dit qu’il est comme ça ou si sa façon de me voir et me considérer a basculé après avoir vu autant d’hommes profiter de mes orifices et se soulager dedans en m’entendant jouir, mais il ne semble plus avoir la moindre considération pour moi.
Il faut moins de cinq minutes avant que le premier des inconnus se lèvent et viennent nous rejoindre pour présenter sa queue devant moi. Eric me tire par les cheveux pour me mettre en position.

— Ouvre ce garage à bite qui te sert de bouche.

Comme au début de la soirée, c’est Eric qui dirige le rythme de ma fellation. Il la cale avec celle de ses va-et-vient dans ma chatte.

— Ah putain, ça c’est du garage à bite.

Et c’est reparti pour un tour.

Trois bites remplissent mon estomac d’un peu plus de foutre et Eric n’a toujours pas joui. Il continue à me limer sans se ménager. J’ai beau l’exciter à mort, de toute évidence, la situation l’empêche d’éjaculer.
Il ne me reste plus que le noir à soulager. Une dernière épreuve, une dernière pipe. La plus intense de toute, j’en suis certaine.

— Laisse-moi faire mon gars. Je vais me charger de lui limer la gorge à cette pute. Occupe-toi bien de sa chatte. Fais-toi plaisir.

Eric libère mes cheveux que le noir s’empresse de saisir et il empoigne fermement mes hanches.

— Ça va être ta fête.

Eric sort son sexe de ma chatte pour mieux replonger à l’intérieur. Il y va de toutes ses forces et crie à chacun de ses assauts. Le noir enfonce ses mains dans mes cheveux et se met à limer ma bouche, il y va d’un bon rythme sans s’enfoncer en entier. Un détail qu’Eric remarque très vite.

— Sale chienne, avale-le jusqu’aux couilles !

« Bordel, Eric, qu’est-ce qui te prend ? »
Je sens la main de mon ami se poser à l’arrière de mon crâne et appuyer de toutes ses forces dessus. Comme pour Pierre tout à l’heure la pression qu’il exerce fait sauter le barrage de ma gorge et le noir hurle de plaisir.

— Putain ! Personne n’était jamais parvenu à m’avaler comme ça. C’est trop bon ! Ah !
— Alors, profite bien de cette pute ! Fais-toi plaisir, elle est là pour ça.

Le noir n’hésite pas un seul instant et il commence son ramonage de ma gorge sous ses grognements de plaisir. Dès ce moment, je ne suis plus qu’une vulgaire poupée qu’ils défoncent des deux côtés. Ils ne ménagent pas et ne ralentissent à aucun moment.
Après d’interminables minutes où la résistance d’Eric à jouir défit tout entendement, le noir s’apprête enfin à remplir d’une dernière dose de sperme mon estomac.

— Putain, merde. Pas déjà.

Il ne tente pourtant rien pour faire retomber la pression, au contraire, il se finit en faisant des va-et-vient d’un rythme frénétique. Sa bite tressaute et il hurle comme un dément au moment où il explose et jouit.

— Oui !

Immédiatement, je sens la main d’Eric plonger dans mes cheveux.

— Avale ! Avale ! N’en laisse pas tomber une goutte.

Mon dieu, ne me dites pas que si j’échoue après tout ce que j’ai subit ce porc de Pierre annulera notre accord ? Enivré par les mots d’Eric, le noir se renfonce une dernière fois tout au fond de ma gorge pour être sûre que je ne perde rien de son jus. Quand il se retire, Eric présente mon visage ravagé, ma bouche béante vers Pierre.

— Parfait, déclare Pierre. Maintenant il ne reste plus que ta dose à mettre dans sa chatte et nous pourrons arrêter là.

Les hommes sont toujours aussi fascinés par l’endurance d’Eric. S’il savait comment il y arrivait, que penseraient-ils de nous ?
Eric enroule ses bras autour de ma poitrine et me redresse pour me blottir contre lui. Une fois de plus, mes pieds ne touchent plus le sol. Je sens son souffle rauque dans mon cou.

— Salope ! Salope ! Je t’avais prévenu ! Tu es qu’une pute ! Tu n’as jamais dit non ! Pas une seule fois ! Dix-sept ! Dix-sept éjac ! Tu n’es plus qu’un sac à foutre !

Seul Pierre comprend le véritable de sens des mots d’Eric et ça le fait rire. Les autres, eux, sont hypnotisés par les assauts d’Eric et n’ont retenu qu’une seule chose, le nombre d’éjaculations que j’ai déjà eu et le compte que je dois atteindre.

— Dix-huit ! Dix-huit !

Tous les hommes frappent dans leurs mains pour encourager Eric. Je n’aurais pas cru ça possible pourtant Eric parvient à accélérer encore la vitesse et l’amplitude de ses coups de reins. Après encore deux minutes à me faire labourer dans cette ambiance toujours aussi hystérique, les mouvements de queue d’Eric deviennent frénétiques. Il éclate enfin en hurlant.

— Dix-huit !
— Oui !

Mon cerveau bascule une dernière fois et je jouis comme une folle alors qu’il m’inonde une dernière fois de foutre. C’est sa plus grosse éjaculation de la soirée et de très loin.
Comme Pierre tout à l’heure, il me redresse puis sort de ma chatte dont il écarte les lèvres rougies, laissant tout le foutre qu’elle contient s’écouler à gros flots sur le sol sous les applaudissements et les insultes de tous les hommes.
Quand j’ai fini de me vider, Eric me dépose par terre en plein dans le sperme comme une poupée de chiffon. Les hommes se rhabillent enfin et partent après avoir tous fessé mon cul de toutes leurs forces, laissant la marque de leur main dessus.

— Monsieur est satisfait ? demande Eric.
— Je suis satisfait, Eric et vous pouvez arrêter de m’appeler monsieur.
— Bien. Je tiens à vous prévenir, je vais avoir du mal à repasser une fois de plus entre ses fesses.
— C’est vrai, l’amende. Je l’avais oubliée. Moi aussi je ne suis pas certain de pouvoir rebander, elle m’a vraiment bien drainé les couilles.
— Dans ce cas, peut-être est-il temps de terminer cette soirée avec votre signature ? J’ai les contrats dans ma voiture.
— Nous devrions plutôt aller à votre bureau. Il y a quelques petits changements à faire. Votre associée, je veux dire votre pute, a obtenu de moi que je m’engage avec vous pour dix ans.

Il y a au long silence d’Eric.

— Dans ce cas vous avez raison, nous serions mieux là-bas. Que faisons-nous d’elle ?
— Je la trouve très bien où elle est. Pas vous ?
— Si.

Eric et Pierre sortent de la chambre, me laissant seule vautrée dans mes flaques de spermes. Je devrais me lever, prendre une douche et partir avant qu’ils ne reviennent et ne soient tentés de me reprendre par derrière, mais je ne parviens pas à bouger. Ils m’ont tué. Je reste donc là et je m’endors en moins deux minutes, soulagée à l’idée de savoir qu’après tout ce que j’ai dû subir je suis parvenu à totalement sauver mon entreprise.

Épilogue (rien de sexuel, juste les conséquences de la soirée)

Lorsque je me réveille, je suis dans un lit. Il me faut plusieurs secondes pour reconnaître ma chambre. Je suis de retour chez moi. De toute évidence, en retournant à l’hôtel après avoir fait signer le contrat, Eric a pris soin de moi. Je dois reconnaître que je suis soulagée d’en avoir fini avec Pierre, je me voyais vraiment mal l’accueillir une fois de plus dans mon cul. Je me lève lentement, j’ai mal partout, j’ai l’impression d’avoir été piétinée. On est pas loin de la vérité. Je me traîne péniblement jusqu’à ma douche où je reste plus d’une demi-heure sous l’eau chaude, il faut bien ça pour me réveiller et me libérer de toutes cette sueur a****le dont je suis recouverte.
Après avoir avalé un peu de céréales et des fruits, je décide de me rendre à mon bureau. Je rejoins ma voiture d’une démarche toujours hasardeuse. Je pousse un long soupir au moment de m’asseoir. Ces salauds m’ont vraiment détruite. Je roule tranquillement jusqu’à mon entreprise. Je croise dans les couloirs notre comptable qui me félicite pour cet extraordinaire contrat. Il me trouve merveilleuse. Je pense qu’il serait moins enthousiaste s’il connaissait la vérité, mais tout ça est désormais derrière moi.
Je rentre dans le bureau et découvre Eric derrière son bureau.

— Merci de m’avoir raccompagné hier. Tu es mon sauveur.

Il ne me répond pas, les yeux toujours fixés sur son écran.

— Le comptable m’a dit qu’il avait signé. Je peux voir le contrat.
— Sur ton bureau, lâche Eric du bout des lèvres.

Eric n’est vraiment pas comme d’habitude. Je crois qu’il va lui falloir un moment avant d’oublier la nuit qui vient de se passer. Je vais à mon bureau et lis le contrat. Tout y est, tout est clair. Pierre s’est engagé pour dix ans à se fournir chez nous comme convenu.

— Nous allons pouvoir recommencer depuis le début, dis-je. Je me disais que nous pourrions changer certaines choses de notre système de fonctionnement pour nous rendre plus compétitifs.
— C’est déjà fait.
— Quoi ? Comment ? Depuis quand ?
— Depuis hier.
— Écoute, je suis désolée. Tu avais raison, je n’aurais pas dû me lancer dans une telle histoire. Je n’aurais pas dû t’y mêler. Je te promets, je ne commettrais plus une telle erreur.
— Il est trop tard.
— Non, grâce à ce porc tout va pouvoir changer.
— Tout a déjà changé. Tu as déjà deux soirées prévu. Une la semaine prochaine, l’autre la suivante.
— Hein ? Non, je t’ai dit, j’ai retenu la leçon, je ne ferais plus ça.
— C’est tout le foutre que tu as bu qui te monte à la tête pour que tu ne comprennes pas ?
— Eric, qu’est ce qu’il t’arrive ?
— Ce qu’il m’arrive ? Ça.

Il tourne l’écran de son ordinateur. Je sens mon sang se glacer. Devant moi défile le film de notre soirée.

— Qu’est-ce que c’est ?
— Quoi, tu ne reconnais pas la pute qui est en train de se faire tringler à la fenêtre ?
— C’est impossible, nous étions seuls, personne ne pouvait nous filmer.
— Mais pauvre conne, il y avait des caméras absolument partout. Pierre a arrosé ma boite mail d’extraits de tes exploits sous différents angles.
— Comment ?
— À ton avis ? Il n’a jamais été question de négocier avec toi. Depuis l’instant où tu l’as appelé, il a su qu’il te sauterait et il a veillé à immortaliser ce moment.
— Non ! Si notre concurrent n’avait pas appelé, jamais…
— Il n’a jamais appelé. Je les ai contactés ce matin, ils n’étaient pas en négociation avec lui. Ce coup de fil c’était du bidon, un stratagème pour être sûr de te planter avec sa queue.
— Qu’est-ce qu’il va faire de toutes ces vidéos ?
— Tu ne m’as pas écouté ? Je t’ai dit que tu avais déjà deux rendez-vous pour négocier avec des confrères à qui il a déjà refilé le tuyau. Tu te doutes de ce qu’ils attendent de toi désormais, de ce qu’ils vont tous attendre de toi, car ça va très vite se savoir que tu te fais passer dessus pour avoir leur signature ?
— Non.

Je pleure toutes les larmes de mon corps. Moi qui pensais en avoir fini avec cette histoire, je me retrouve dans une situation encore plus horrible.

— Il faut que tu m’aides.
— Je ne peux plus rien pour toi.
— Tu as dit que tu m’aimais.
— Oui, je l’ai dit, mais c’était avant que je te voie te faire passer dessus par une meute de chiens en rut et t’entendre couiner de plaisir.
— Salaud, tu en as bien profité toi aussi.
— J’ai fait comme eux, je me suis tapé une pute. Rien de plus.
— Salaud.

Mes larmes redoublent.

— Tu n’as plus que deux solutions qui s’offrent à toi. Soit tu pars et tu me cèdes tes parts de la société pour un prix dérisoire. Vu la merde dans laquelle tu m’as mis, c’est la moindre des choses. Soit tu restes et du statut d’associée tu passes à celui de pute. Alors ? Qu’est-ce que tu choisis ?

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