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Le calendrier des pompiers

Le calendrier des pompiers



Avant la tempête dehors, je reste nue chez moi, au chaud, prés de l’âtre de la cheminée. Je n’attends personne, en cette après-midi froide et ventée de décembre. Je rêvasse sur mes élucubrations érotiques et sur des scénarios plus où moins abracadabrantesques et scabreux. Soudain, je sursaute lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit.
Je regarde autour de moi… Mince, je n’ai rien à me mettre sur le dos. Je vais à la porte, regarde la caméra pour voir un pompier qui passe pour les calendriers. J’entrouvre la porte et lui dis :
« Je file me mettre quelque chose sur le dos. Entrez ! »
Je file dans ma chambre mais le pompier à le temps de me voir nue. Je reviens quelques secondes plus tard avec juste une veste d’intérieur sur le dos qui m’arrive aux ras des fesses.
«  Moi c’est Michèle et vous ? »
« Guy Madame. »
Je lui souris et lui demande :
« Alors Guy ? Montrez-moi vos jolis calendriers. » 
Il étale les calendriers sur la table et je me penche pour les examiner. Dans la position où je me trouve, il ne peut perdre une miette de mon anatomie. Je prends mon temps et remarque bien du coin de l’œil qu’il ne se gêne pas pour me mater.
Je tombe à un moment sur un calendrier original où les pompier sont presque nus. Je m’attarde sur celui-là et remarque que mon pompier s’y exhibe, divinement sexy.
« Hummm… Sympa votre calendrier ! »
« Il rougit légèrement et me dit :
« Oui nous avons souhaiter faire quelque chose comme le calendrier des rugbyman. En fait, il plait beaucoup aux femmes et elles se l’arrachent. »
« Mais c’est vous sur celle-ci ? »
« Heu…. oui Madame. »
« Vous êtes super sexy. »
« Merci Madame. Mais vous aussi. »
Je lui souris et aguicheuse :
« Mais appelez moi Michèle. Je pourrais voir le modèle en vrai ? »
Guy a un moment d’hésitation, puis il retire sa veste et son pull. Lorsque je vois son torse musclé, j’ai comme un choc. Mes tétons durcissent et je me met à mouiller presque instantanément. Il s’aperçoit de mon trouble et me demande si je vais bien. C’est alors qu’une idée saugrenue me passe par la tête et je simule un évanouissement en m’écroulant au sol. En tombant, ma veste c’est ouverte et je me retrouve nue devant lui. En professionnel, il me palpe et commence un bouche à bouche. Aussitôt, ma langue s’active entre ses lèvres. Loin d’être surpris, il répond à mon baisé et nos langue commence une sarabande sensuelle. Ses mains deviennent baladeuses et même inquisitrices. Je lui dis :
« J’adore vos calendriers. Montrez-moi en plus ! »
Il se relève et comme le ferait un Chippendale , il me fait un strip-tease rapide qui dévoile sa masculinité triomphante. Je ne peux quitter des yeux cette magnifique lance d’incendie qui est déjà prête à éteindre le feu qui brûle en moi. Je m’exclame :
« Ha Oui très joli… Tu m’excites ! »
«  Ah, oui ? Elle te plaît ma lance ? » Ma dit-il moqueur.
« Comment pourrais-je rester indifférente devant te virilité. T’es parfaitement équipé pour eteindre mon incendie. »
Souriant et conquérant, il s’approche de moi et me dominant, il me propose :
« Tiens ! Touche-là ! Et pelote-moi les couilles ! »
Il n’a pas besoin d’insister. Fébrile, je soupèse ses bourses fermes et pleines en enserrant sa hampe prometteuse. Machinalement, je commence à le masturber. Il sait que je suis sous son charme et il en joue.
« Hum, tu aime les pompier alors? »
« Oh oui, Guy et j’adore les pompiers…. »
Il rigole en me disant :
« He bien fais-toi plaisir ! Ma lance est à ton service ! »
Je prends aussitôt en bouche son délicieux sucre d’orge et commence une fellation comme j’adore si bien en faire. Il me regarde le sucer en gémissant. Je gobe sa queue délicatement au début puis l’aspire et le pompe comme une affamée. J’avale sa queue au plus profond de ma gorge. Après quelques minutes, nous changeons de position. Dans un 69 d’enfer, il se met à me bouffer la chatte et l’action de sa langue sur mon clito m’électrise, me provocant presque un orgasme. Nos bruits de succions amplifie cet instant magique. Il me dévore la chatte avec une telle fougue que je couine et l’encourage en engloutissant le plus possible son dard dans ma bouche et en gobant ses œufs. Dans ce tourbillon érotique, je ne tarde pas à jouir. Je réussi à le retourner et en me mettant à quatre patte, je l’implore de me sauter et de me défoncer pour éteindre l’incendie qui continue à faire rage en moi. Il me prend par les hanches et d’un coup me pourfend jusqu’à la garde. Je pousse un cri de plaisir en le remerciant.
« Ho, elle est bonne ta queue. C’est si gentil de enir me secourir au péril de votre vie. Oh oui, vas y- défonce moi mon pompier ! J’aime ta grosse lance. Bourre-moi a fond oui c’est bon… »
Me voyant très chaude, il me lance :
« Michèle ! Faut que j’ramone ton conduit par sécurité… J’vais t’enculer salope ! »
« Oui ramones-moi l’cul ! Défonce-moi bien ! Eclate-moi la rondelle ! »
A quatre pattes sur le sol de la cuisine, fesses cambrée et offerte, j’offre à ce pompier mon anus palpitant de désir.  J’écarte de mes mains mes fesses attendant avec impatience la pénétration de son engin. Il joue avec moi et trépignant d’impatience, je le conjure de me prendre.
« Ohh, vite, dépêche-toi ! J’ai trop envie ! Défonce-moi l’cul ! »
Il ne me fait pas attendre plus longtemps et pousse son gland sur mon œillet palpitant. Sa lance entre assez facilement tant je suis excitée. Rapidement, il me besogne avec ardeur et je couine comme une truie qu’on égorge.
« j’la sens bien dans mon cul ! C’est trop boooon !!!! Vas-y ! Plus fort!!!!Haaaa !!! »
Il accélère son ramonage dans mon fondement accueillant de Colette Sentant le moment fatidique arriver, il se retire et éjacule en de généreux jets de foutre épais dans ma bouche gourmande. Je reste hébétée, reprenant mes esprit avec un sourire béat de femme comblée. Il se rhabille et comme si rien ne s’était passé, il me demande :
« Vous prenez ce calendrier alors ? C’est un très bon choix. »
Je me reléve, les jambes flageolantes et sort un billet de 20€ pour le calendrier. Il me remercie et en repartant, il me lance :
« N’hésite pas à venir nous voir à la caserne, on te fera un excercie incendie personnel ! »
En allant prendre une douche réparatrice de mes excès érotiques, je repense à mes ébats et à sa proposition i sympathique. Voilà comment j’aime les pompier au service de la population pour nous secourir.

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